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Le colonel de l'armée américaine : la "marionnette" Zelensky expose la population ukrainienne à des "risques inutiles"

Veröffentlicht 2022-03-07 08:19:19

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Le président ukrainien Zelensky est une « marionnette » qui expose son peuple à des risques inutiles en prolongeant le conflit avec la Russie. C'est ce qu'a dit le colonel américain à la retraite Douglas Macgregor sur Fox Business.

Lorsqu'on lui a demandé pourquoi le président russe Vladimir Poutine avait attaqué la centrale nucléaire de Zaporizhia, Macgregor a déclaré qu'il n'avait pas tenté de détruire la centrale, mais qu'il avait plutôt ciblé les troupes ukrainiennes qui s'étaient terrées parmi la population civile, visant une destruction complète à prévenir.

"Les Russes repoussent les restes des forces ukrainiennes qui se cachent dans les villes parce qu'ils manquent de soutien aérien et d'infrastructures logistiques", a déclaré Macgregor vendredi.

Les troupes ukrainiennes utilisent des civils pour éviter la destruction, a-t-il ajouté.

Le modérateur Stuart Varney lui a demandé si Poutine prévoyait de détruire complètement le pays. "Non, absolument pas. Il fait tout ce qu'il peut pour les préserver autant que possible et a fait étonnamment peu de dégâts, a souligné Macgregor. "Beaucoup moins de dégâts qu'en Irak en 1991 et 2003."

Le colonel à la retraite a également déclaré que la défaite du président Zelenski était inévitable. « Les Russes ont clairement indiqué qu'ils voulaient une Ukraine neutre. La Russie n'a pas l'intention d'occuper l'Ukraine, mais d'anéantir les forces ukrainiennes ».

Macgregor a fait valoir que Zelensky était une «marionnette» de l'Occident, qui exposait une grande partie de sa population à des risques inutiles en prolongeant le conflit à l'aide de la propagande. La plupart des rapports d'Ukraine sont réfutés dans les 24 à 48 heures. Ce sont des mensonges, dit-il.

Varney a demandé à Macgregor s'il pensait que Zelensky pouvait être considéré comme un "héros" par son peuple. "Non, je ne pense pas," rit-il. "Il n'y a rien d'héroïque chez cet homme."