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  • Le voyage triomphal d’Emmanuel Macron aux Pays-Bas se poursuit sur le même ton puisqu’il est accueilli à l’université d’Amsterdam par un manifestant qui a eu le temps de chanter « on est là » avant d’être plaqué au sol.

    https://t.me/infostrategiquefr
    Le voyage triomphal d’Emmanuel Macron aux Pays-Bas se poursuit sur le même ton puisqu’il est accueilli à l’université d’Amsterdam par un manifestant qui a eu le temps de chanter « on est là » avant d’être plaqué au sol. https://t.me/infostrategiquefr
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  • ?? Pour la première fois de son histoire, l’université Paris Dauphine est bloquée.

    L’union du peuple se matérialise jour après jour

    ?? For the first time in its history, Paris Dauphine University is blocked.

    The union of the people is materializing day after day

    @StoryOfBlackBond
    ?? Pour la première fois de son histoire, l’université Paris Dauphine est bloquée. L’union du peuple se matérialise jour après jour ?? For the first time in its history, Paris Dauphine University is blocked. The union of the people is materializing day after day @StoryOfBlackBond
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  • En quoi l’approche du domaine public sera-t-elle différente de celle des autres villes du monde? Et serait-il juste de dire que THE LINE aura la meilleure qualité de vie sur la planète?

    L’idée est que notre domaine public est très ouvert et accessible. Si vous avez besoin d’aller d’un point A à un point B, vous passez par le domaine public. Par conséquent, il ne peut pas s’agir de passages étroits. Il ne peut pas faire sombre. Des espaces verts et des parcs seront intégrés. Peut-être que le domaine public passe par le milieu d’une université. Et lorsque vous vous promenez dans l’université, tous les laboratoires sont vitrés. Vous voyez les étudiants apprendre, vous voyez les robots travailler. Peut-être que dans l’école culinaire devant laquelle vous passez, vous voyez la cuisine ouverte. Cela vous donne donc une communauté de visibilité et de transparence. Nous pouvons donc avoir des murs de verre à côté d’imprimantes 3D qui fabriquent des choses. Le domaine public devient alors plus qu’une simple passerelle d’un point A à un point B, il fait partie du tissu de la ville. Notre objectif est d’avoir la meilleure qualité de vie sur la planète. Différentes personnes ont des valeurs différentes quant à ce qui rend leur vie agréable. Dans le classement annuel, ce sont normalement les suspects habituels de Vienne, Copenhague, Adélaïde ou Vancouver qui ont tendance à arriver en tête. Diverses mesures sont appliquées à la formule, comme la taille des classes dans les écoles ou les courts temps d’attente dans les hôpitaux. Nous voulons les dépasser, nous essayons d’améliorer les meilleures villes du monde du point de vue de l’habitabilité. L’habitabilité concerne généralement la santé, le bien-être, les déplacements, la pollution, les espaces verts, l’accès à X, Y et Z. Ce sont les éléments de base de ce qui rend une ville vivable.
    En quoi l’approche du domaine public sera-t-elle différente de celle des autres villes du monde? Et serait-il juste de dire que THE LINE aura la meilleure qualité de vie sur la planète? L’idée est que notre domaine public est très ouvert et accessible. Si vous avez besoin d’aller d’un point A à un point B, vous passez par le domaine public. Par conséquent, il ne peut pas s’agir de passages étroits. Il ne peut pas faire sombre. Des espaces verts et des parcs seront intégrés. Peut-être que le domaine public passe par le milieu d’une université. Et lorsque vous vous promenez dans l’université, tous les laboratoires sont vitrés. Vous voyez les étudiants apprendre, vous voyez les robots travailler. Peut-être que dans l’école culinaire devant laquelle vous passez, vous voyez la cuisine ouverte. Cela vous donne donc une communauté de visibilité et de transparence. Nous pouvons donc avoir des murs de verre à côté d’imprimantes 3D qui fabriquent des choses. Le domaine public devient alors plus qu’une simple passerelle d’un point A à un point B, il fait partie du tissu de la ville. Notre objectif est d’avoir la meilleure qualité de vie sur la planète. Différentes personnes ont des valeurs différentes quant à ce qui rend leur vie agréable. Dans le classement annuel, ce sont normalement les suspects habituels de Vienne, Copenhague, Adélaïde ou Vancouver qui ont tendance à arriver en tête. Diverses mesures sont appliquées à la formule, comme la taille des classes dans les écoles ou les courts temps d’attente dans les hôpitaux. Nous voulons les dépasser, nous essayons d’améliorer les meilleures villes du monde du point de vue de l’habitabilité. L’habitabilité concerne généralement la santé, le bien-être, les déplacements, la pollution, les espaces verts, l’accès à X, Y et Z. Ce sont les éléments de base de ce qui rend une ville vivable.
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  • En ce qui concerne les atouts marquants prévus pour chaque module, pourriez-vous peut-être nous en dire un peu plus sur ceux-ci – l’université, le stade, l’opéra, le parc aquatique, le centre de congrès, etc.?

    La ville est un modèle de croissance. Nous ne construisons pas tout cela d’un seul coup, mais il sera déployé d’ici 2045. Vous ne construisez donc pas tous vos stades en une seule fois. Vous les construisez pour répondre aux besoins de la population qu’ils desservent. Dans le plan directeur, qui correspond aux 170 kilomètres de LA LIGNE qui abrite 9 millions de personnes, nous avons cartographié proportionnellement le nombre de stades de football, d’opéras, de théâtres, de cinémas, de postes de police, d’écoles, d’hôpitaux, etc. dont nous avons besoin au fur et à mesure que la chronologie se déroule. Tout dans la construction se rapporte à une matrice de population. Nous construisons une université dans le premier module parce que nous voulons ancrer le lancement autour de l’innovation et de l’éducation. Chaque chose à laquelle vous pouvez penser dans n’importe quelle ville du monde sera sur THE LINE à un moment donné, mais ce ne sera peut-être pas dans le tout premier module; juste au moment où cela a du sens du point de vue de la population. Nous voulons créer un parc aquatique de classe mondiale, par exemple, mais seulement lorsque le moment sera venu.
    En ce qui concerne les atouts marquants prévus pour chaque module, pourriez-vous peut-être nous en dire un peu plus sur ceux-ci – l’université, le stade, l’opéra, le parc aquatique, le centre de congrès, etc.? La ville est un modèle de croissance. Nous ne construisons pas tout cela d’un seul coup, mais il sera déployé d’ici 2045. Vous ne construisez donc pas tous vos stades en une seule fois. Vous les construisez pour répondre aux besoins de la population qu’ils desservent. Dans le plan directeur, qui correspond aux 170 kilomètres de LA LIGNE qui abrite 9 millions de personnes, nous avons cartographié proportionnellement le nombre de stades de football, d’opéras, de théâtres, de cinémas, de postes de police, d’écoles, d’hôpitaux, etc. dont nous avons besoin au fur et à mesure que la chronologie se déroule. Tout dans la construction se rapporte à une matrice de population. Nous construisons une université dans le premier module parce que nous voulons ancrer le lancement autour de l’innovation et de l’éducation. Chaque chose à laquelle vous pouvez penser dans n’importe quelle ville du monde sera sur THE LINE à un moment donné, mais ce ne sera peut-être pas dans le tout premier module; juste au moment où cela a du sens du point de vue de la population. Nous voulons créer un parc aquatique de classe mondiale, par exemple, mais seulement lorsque le moment sera venu.
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  • Pourriez-vous nous dire où se situe THE LINE dans la grande vision de NEOM et à quel point elle fait partie intégrante du succès du projet, ainsi que de la première mondiale sur laquelle vous travaillez ?

    Dans une certaine mesure, THE LINE est NEOM. C’est l’épicentre de toutes les activités – la résidence principale des résidents, en tant que ville verticale avec toutes les activités qui s’y trouveront – des opéras et des bibliothèques aux stades et universités. Près de neuf millions de personnes vivront sur THE LINE lorsqu’elles seront terminées, la plupart de la population de NEOM en fait. Ce sera la toute première ville verticale avec la mobilité intégrée dans son noyau même. Cela n’a jamais été tenté auparavant, nous prenons une ville entière et la mettons sur une empreinte de 200 mètres de large. En tant que résident ou visiteur, vous aurez la possibilité de voyager facilement entre les modules [communautés de 80 000 personnes] horizontalement. Donc, si vous êtes dans le module 40 et que vous devez aller au match de football dans le module 44, vous n’avez pas besoin de descendre pour traverser pour monter. Vous pouvez simplement traverser directement le stade, à n’importe quelle hauteur. Ce sera également la première ville au monde à être entièrement gérée par des énergies renouvelables – avec une empreinte carbone nulle. Il ne s’agit pas seulement de tout empiler les uns sur les autres, nous réinventons des choses qui existent dans un domaine horizontal conventionnel pour un paysage vertical de proximité. L’objectif est de s’assurer que les gens ne sont jamais à cinq minutes de tout ce qu’ils veulent dans le monde, car tout sera directement en dessous ou au-dessus de vous.
    Pourriez-vous nous dire où se situe THE LINE dans la grande vision de NEOM et à quel point elle fait partie intégrante du succès du projet, ainsi que de la première mondiale sur laquelle vous travaillez ? Dans une certaine mesure, THE LINE est NEOM. C’est l’épicentre de toutes les activités – la résidence principale des résidents, en tant que ville verticale avec toutes les activités qui s’y trouveront – des opéras et des bibliothèques aux stades et universités. Près de neuf millions de personnes vivront sur THE LINE lorsqu’elles seront terminées, la plupart de la population de NEOM en fait. Ce sera la toute première ville verticale avec la mobilité intégrée dans son noyau même. Cela n’a jamais été tenté auparavant, nous prenons une ville entière et la mettons sur une empreinte de 200 mètres de large. En tant que résident ou visiteur, vous aurez la possibilité de voyager facilement entre les modules [communautés de 80 000 personnes] horizontalement. Donc, si vous êtes dans le module 40 et que vous devez aller au match de football dans le module 44, vous n’avez pas besoin de descendre pour traverser pour monter. Vous pouvez simplement traverser directement le stade, à n’importe quelle hauteur. Ce sera également la première ville au monde à être entièrement gérée par des énergies renouvelables – avec une empreinte carbone nulle. Il ne s’agit pas seulement de tout empiler les uns sur les autres, nous réinventons des choses qui existent dans un domaine horizontal conventionnel pour un paysage vertical de proximité. L’objectif est de s’assurer que les gens ne sont jamais à cinq minutes de tout ce qu’ils veulent dans le monde, car tout sera directement en dessous ou au-dessus de vous.
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  • "Pour le Dr Richard Ebright, microbiologiste à l'université Rutgers du New Jersey, cette recherche « présente un risque exceptionnellement élevé » si un accident de laboratoire se produisait, laissant le virus s’échapper." https://www.francesoir.fr/societe-sante/etats-unis-un-laboratoire-du-maryland-envisage-une-souche-de-variole
    "Pour le Dr Richard Ebright, microbiologiste à l'université Rutgers du New Jersey, cette recherche « présente un risque exceptionnellement élevé » si un accident de laboratoire se produisait, laissant le virus s’échapper." https://www.francesoir.fr/societe-sante/etats-unis-un-laboratoire-du-maryland-envisage-une-souche-de-variole
    WWW.FRANCESOIR.FR
    États-Unis: un laboratoire envisage de créer une souche hybride de variole du singe plus mortelle que celle qui circule actuellement | FranceSoir
    Dans le cadre des recherches du National Institute of Allergy and Infectious Disease (NIAID), un laboratoire gouvernemental du Maryland projette de créer une souche hybride de la variole du singe. Celle-ci serait plus mortelle que celle qui se propage actuellement aux États-Unis.
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  • #Meeting #historique ce #samedi 22 #octobre à l’ #espace #Charenton à #Paris où plus de 1800 #travailleurs et #jeunes se sont rassemblés contre la #guerre et l’#exploitation. Sous la #présidence de Daniel #GLUCKSTEIN, #coordinateur du #Comité #ouvrier #international contre la guerre et l’exploitation, pour l’ #Internationale #ouvrière ( #COI ), ont pris la #parole :

    #AFGHANISTAN :
    Freshta AMIRI, #militante de la #Gauche #radicale d’Afghanistan ( #LRA ), partie prenante des #manifestations de #femmes et d’ #écolières pour la #réouverture des #écoles

    #ALLEMAGNE :
    Claudius NAUMANN, militant internationaliste, #président du conseil des #délégués du #personnel de l’ #Université #libre de #Berlin.

    #BIÉLORUSSIE, #RUSSIE ET #UKRAINE :
    Des militantes et des militants qui combattent contre la guerre et pour le #socialisme.

    #BURKINA_FASO
    Adama COULIBALY, de l’ #Alternative #patriotique #panafricaine-Burkindi ( #APP-B ).

    #ÉTATS-UNIS
    Alan BENJAMIN, militant de #Socialist-Organizer, l’un des #fondateurs de #US_Labor_Against The #War (Le mouvement ouvrier #américain contre la guerre).

    #FRANCE
    Christel KEISER, #secrétaire nationale du #Parti-ouvrier-indépendant-démocratique ( #POID ).
    Une militante de la #Fédération des jeunes #révolutionnaires ( #FJR ).

    #GRANDE-BRETAGNE
    Ian HODSON, président du #syndicat des travailleurs de l’ #alimentation Bakers, Food and Allied Workers Union ( #BFAWU ).

    #PALESTINE
    Une militante, au nom de l’association #Secular-Palestine, qui milite pour une Palestine #laïque et #démocratique.
    Des #vidéo-messages de militants d’ #IRAN, du #SRI_LANKA et de #CHINE ont été projetés.
    https://www.youtube.com/watch?v=gyVvalxRhLw
    #Meeting #historique ce #samedi 22 #octobre à l’ #espace #Charenton à #Paris où plus de 1800 #travailleurs et #jeunes se sont rassemblés contre la #guerre et l’#exploitation. Sous la #présidence de Daniel #GLUCKSTEIN, #coordinateur du #Comité #ouvrier #international contre la guerre et l’exploitation, pour l’ #Internationale #ouvrière ( #COI ), ont pris la #parole : #AFGHANISTAN : Freshta AMIRI, #militante de la #Gauche #radicale d’Afghanistan ( #LRA ), partie prenante des #manifestations de #femmes et d’ #écolières pour la #réouverture des #écoles #ALLEMAGNE : Claudius NAUMANN, militant internationaliste, #président du conseil des #délégués du #personnel de l’ #Université #libre de #Berlin. #BIÉLORUSSIE, #RUSSIE ET #UKRAINE : Des militantes et des militants qui combattent contre la guerre et pour le #socialisme. #BURKINA_FASO Adama COULIBALY, de l’ #Alternative #patriotique #panafricaine-Burkindi ( #APP-B ). #ÉTATS-UNIS Alan BENJAMIN, militant de #Socialist-Organizer, l’un des #fondateurs de #US_Labor_Against The #War (Le mouvement ouvrier #américain contre la guerre). #FRANCE Christel KEISER, #secrétaire nationale du #Parti-ouvrier-indépendant-démocratique ( #POID ). Une militante de la #Fédération des jeunes #révolutionnaires ( #FJR ). #GRANDE-BRETAGNE Ian HODSON, président du #syndicat des travailleurs de l’ #alimentation Bakers, Food and Allied Workers Union ( #BFAWU ). #PALESTINE Une militante, au nom de l’association #Secular-Palestine, qui milite pour une Palestine #laïque et #démocratique. Des #vidéo-messages de militants d’ #IRAN, du #SRI_LANKA et de #CHINE ont été projetés. https://www.youtube.com/watch?v=gyVvalxRhLw
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  • Le chef du ministère du Développement de l’Extrême-Orient russe a suggéré que la Russie devrait « suivre le chemin des canons de Sun Tzu ».
    Alexey Chekunkov est convaincu que la Russie devrait prendre la voie orientale dans le contexte des sanctions occidentales – selon les enseignements de l’ancien penseur chinois Sun Tzu. La bataille pour la technologie ne peut pas être gagnée en prenant « tout ce qui manque » à la Chine.

    La Russie, qui se trouve « à l’épicentre de la division mondiale » après le début de l’opération spéciale en Ukraine et l’imposition de sanctions occidentales, doit prendre la voie orientale – selon les enseignements du général et philosophe, l’auteur du traité de stratégie militaire « L’art de la guerre » Sun Tzu, qui a vécu dans la Chine ancienne. Alexei Chekunkov, chef du ministère du Développement de l’Extrême-Orient russe, a commenté dans un article pour RBC.

    Ce chemin ne sera pas simple et rapide, mais long et cohérent, mais couronné de succès, selon le ministre : « Une bataille d’une telle ampleur que la bataille pour la technologie ne peut pas être gagnée de front – en prenant tout ce qui nous manque à la Chine ou en inventant un ordinateur quantique plus rapidement que les autres. Il s’agit d’une campagne multigénérationnelle dans laquelle chaque prédécesseur remet le bon passeport au suivant. » La Russie a tout ce dont elle a besoin pour surmonter les difficultés et parvenir à une croissance économique élevée, pour suivre le rythme du développement technologique et pour prendre la place qui lui revient dans un monde complexe et changeant. « Le virage vers l’Est doit se faire non seulement par un changement de partenaires, mais aussi par un changement de paradigme », ajoute-t-il.

    La première victoire de la « campagne » est une croissance économique rapide. Un scénario réaliste pour atteindre une telle croissance est d’augmenter considérablement le volume des investissements et, si nécessaire, de réduire la dette de l’économie, selon Chekunkov. « La bonne nouvelle, c’est que nous pouvons encore nous le permettre dans les dix prochaines années. Les indicateurs macroéconomiques de la Russie sont fiables. L’économie sur les marchés étrangers est favorable », ajoute-t-il. Bien que seulement 1,8% de la population mondiale vit dans le pays, il produit 17% du gaz mondial, 12% du pétrole, 11% du nickel, 9% de l’or, 30% des diamants et 11% du blé.

    L’accélération du développement de la base de ressources de l’Extrême-Orient et de l’Arctique, ainsi que la création de nouveaux corridors de transport, en particulier la route maritime du Nord, pour l’exportation de ces ressources stimuleraient l’économie russe, a déclaré Chekunkov. Des investissements massifs dans la construction de logements et d’infrastructures et dans le réaménagement urbain stimuleront non seulement l’économie, mais amélioreront également la qualité de vie des gens. Le troisième et le plus important vecteur de victoire dans le développement technologique est l’investissement dans l’éducation, a conclu le ministre. Il estime que l’argent tiré des prix sans précédent des ressources naturelles ne peut être correctement investi que d’une seule manière – en jetant les bases sur des décennies pour préparer les « gens de l’avenir ». À cette fin, les meilleurs enseignants du pays sont amenés en Extrême-Orient sur une base de rotation, des programmes conjoints sont lancés avec les principales universités fédérales et des ressources sérieuses sont investies dans le développement d’équipes de gestion.
    Le chef du ministère du Développement de l’Extrême-Orient russe a suggéré que la Russie devrait « suivre le chemin des canons de Sun Tzu ». Alexey Chekunkov est convaincu que la Russie devrait prendre la voie orientale dans le contexte des sanctions occidentales – selon les enseignements de l’ancien penseur chinois Sun Tzu. La bataille pour la technologie ne peut pas être gagnée en prenant « tout ce qui manque » à la Chine. La Russie, qui se trouve « à l’épicentre de la division mondiale » après le début de l’opération spéciale en Ukraine et l’imposition de sanctions occidentales, doit prendre la voie orientale – selon les enseignements du général et philosophe, l’auteur du traité de stratégie militaire « L’art de la guerre » Sun Tzu, qui a vécu dans la Chine ancienne. Alexei Chekunkov, chef du ministère du Développement de l’Extrême-Orient russe, a commenté dans un article pour RBC. Ce chemin ne sera pas simple et rapide, mais long et cohérent, mais couronné de succès, selon le ministre : « Une bataille d’une telle ampleur que la bataille pour la technologie ne peut pas être gagnée de front – en prenant tout ce qui nous manque à la Chine ou en inventant un ordinateur quantique plus rapidement que les autres. Il s’agit d’une campagne multigénérationnelle dans laquelle chaque prédécesseur remet le bon passeport au suivant. » La Russie a tout ce dont elle a besoin pour surmonter les difficultés et parvenir à une croissance économique élevée, pour suivre le rythme du développement technologique et pour prendre la place qui lui revient dans un monde complexe et changeant. « Le virage vers l’Est doit se faire non seulement par un changement de partenaires, mais aussi par un changement de paradigme », ajoute-t-il. La première victoire de la « campagne » est une croissance économique rapide. Un scénario réaliste pour atteindre une telle croissance est d’augmenter considérablement le volume des investissements et, si nécessaire, de réduire la dette de l’économie, selon Chekunkov. « La bonne nouvelle, c’est que nous pouvons encore nous le permettre dans les dix prochaines années. Les indicateurs macroéconomiques de la Russie sont fiables. L’économie sur les marchés étrangers est favorable », ajoute-t-il. Bien que seulement 1,8% de la population mondiale vit dans le pays, il produit 17% du gaz mondial, 12% du pétrole, 11% du nickel, 9% de l’or, 30% des diamants et 11% du blé. L’accélération du développement de la base de ressources de l’Extrême-Orient et de l’Arctique, ainsi que la création de nouveaux corridors de transport, en particulier la route maritime du Nord, pour l’exportation de ces ressources stimuleraient l’économie russe, a déclaré Chekunkov. Des investissements massifs dans la construction de logements et d’infrastructures et dans le réaménagement urbain stimuleront non seulement l’économie, mais amélioreront également la qualité de vie des gens. Le troisième et le plus important vecteur de victoire dans le développement technologique est l’investissement dans l’éducation, a conclu le ministre. Il estime que l’argent tiré des prix sans précédent des ressources naturelles ne peut être correctement investi que d’une seule manière – en jetant les bases sur des décennies pour préparer les « gens de l’avenir ». À cette fin, les meilleurs enseignants du pays sont amenés en Extrême-Orient sur une base de rotation, des programmes conjoints sont lancés avec les principales universités fédérales et des ressources sérieuses sont investies dans le développement d’équipes de gestion.
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  • Pyramides sous-marines de Yonaguni au Japon

    Ces structures de pierre submergées situées juste sous les eaux au large de Yonaguni Jima pourraient-elles en fait être les ruines d'une Atlantide japonaise - une ancienne ville coulée par un tremblement de terre il y a des centaines ou des milliers d'années ?

    C'est la conviction de Masaaki Kimura, un géologue marin de l'Université des Ryukyus au Japon qui plonge sur le site pour mesurer et cartographier ses formations depuis plus de 15 ans.

    Chaque fois qu'il retourne au bateau de plongée, a déclaré Kimura, il est plus convaincu que jamais qu'en dessous de lui reposent les vestiges d'une ville vieille de 5 000 ans.

    Kimura a déclaré: "La plus grande structure ressemble à une pyramide compliquée, monolithique à gradins qui s'élève d'une profondeur de 25 mètres [82 pieds]."
    Pyramides sous-marines de Yonaguni au Japon Ces structures de pierre submergées situées juste sous les eaux au large de Yonaguni Jima pourraient-elles en fait être les ruines d'une Atlantide japonaise - une ancienne ville coulée par un tremblement de terre il y a des centaines ou des milliers d'années ? C'est la conviction de Masaaki Kimura, un géologue marin de l'Université des Ryukyus au Japon qui plonge sur le site pour mesurer et cartographier ses formations depuis plus de 15 ans. Chaque fois qu'il retourne au bateau de plongée, a déclaré Kimura, il est plus convaincu que jamais qu'en dessous de lui reposent les vestiges d'une ville vieille de 5 000 ans. Kimura a déclaré: "La plus grande structure ressemble à une pyramide compliquée, monolithique à gradins qui s'élève d'une profondeur de 25 mètres [82 pieds]."
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  • Rapport Condon

    Le rapport Condon est le nom usuel du rapport du projet OVNI de l’université du Colorado. Ce projet a étudié les Objets Volants Non Identifiés de 1966 à 1968 sous la direction du physicien Edward Condon et a rendu son rapport en 1968. Il a été initié à la demande de l’US Air Force.

    Travaux:

    Après examen de plusieurs centaines de dossiers du Projet Blue Book et de certains groupes civils sur la recherche d’OVNI, le comité en a sélectionné 56 pour une analyse détaillée afin, d’une part, de déterminer si « l’analyse de nouvelles observations peut permettre d’augmenter les connaissances scientifiques utiles pour l’US air force » et, d’autre part, « de tirer des rapports sur les OVNI toute contribution pouvant être considérée comme un accroissement des connaissances scientifiques. ».

    Le rapport final, officiellement titré L’étude scientifique des Objets Volants Non Identifiés mais plus connu sous le nom de rapport Condon a été publié en 1968. Il a conclu « que l’étude des OVNI durant ces vingt et une dernières années n’a rien apporté à la connaissance scientifique [et] que d’autres études approfondies des OVNI ne peuvent probablement pas se justifier par l’espoir qu’elles pourraient faire progresser la science »et que certains scientifiques n’accepteraient pas sans sourciller la conclusion que l’étude des rapports OVNI n’est pas à même de faire avancer la science. En particulier le comité a conclu à des lacunes dans les domaines de l’optique atmosphérique, de la propagation d’ondes radio et d’électricité atmosphérique qui pourraient bénéficier des travaux effectués par le comité Condon. Ils concluent, d’autre part, que l’étude des 56 cas n’a pas apporté de preuves sur la réalité des ovnis ou sur l’hypothèse extraterrestre

    Le rapport a été relu par un panel de l’Académie des Sciences des États-Unis qui l’a validé, ainsi que ses conclusions et ses recommandations. Le rapport Condon reste donc encore aujourd’hui un document fondateur de l’approche sceptique du phénomène ovni. Il faut toutefois remarquer que l’Académie des Sciences ne s’était nullement intéressée aux ovnis et que sa consultation était une initiative de l’armée de l’air qui tenta ainsi de cacher les lacunes de ce travail. Les responsables de la censure de l’USAF craignaient en effet les conséquences d’un symposium devant réunir les scientifiques opposés à la thèse de Condon, symposium au cours duquel le travail de l’Université du Colorado aurait été vivement critiqué. En définitive, le rapport Condon n’a de valeur que pour ceux qui n’ont jamais analysé le travail effectué et la méthodologie mise en œuvre. Cette étude scientifique publique était la plus chère (500 000 dollars) consacrée à un sujet de ce type.

    Le contexte:

    Après les différentes commissions chargées de cette étude, l’U.S. Air Force fait savoir que rien ne permet de croire à l’existence d’une menace pour la sécurité des États-unis. Par menace, on entend d’hypothétiques vaisseaux extra-terrestres ou une arme secrète soviétique. Certains soupçonnèrent les officiels de cacher la vérité. Le président Truman démentit de telles hypothèses développées dans les médias. Pour certains, son intervention était la preuve d’une « conspiration du silence »; pour d’autres, elle ne fit qu’encourager le développement de thèses paranoïaques. Ce fut alors que les militaires se débarrassèrent du problème en le confiant à un organisme universitaire, ayant l’image de neutralité pour le public américain.

    Les principaux résultats de l’équipe Condon

    Analyse de la photo de McMinnville:

    Cette autorité scientifique a par exemple conclu, à propos de la photographie prise à McMinnville (11 mai 1950, Oregon), que « tous les facteurs étudiés, géométriques, psychologiques et physiques paraissent être cohérents avec l’assertion d’un objet volant extraordinaire, argenté, métallique, en forme de disque, de dizaines de mètres de diamètre, et évidemment artificiel, qui volait à portée de vue des deux témoins. On ne peut dire que les éléments excluent catégoriquement une fabrication, bien qu’il y ait des facteurs physiques tels que la précision de certaines mesures photométriques des négatifs d’origine qui arguent contre une fabrication.»

    Une étude chahutée

    La réaction négative des partisans des ovnis:

    Alors que quatre-vingt-dix-sept pour cent des observations avaient été expliquées par le projet blue book, les conclusions scientifiques identiques formulées par le rapport Condon ne plurent pas aux partisans de la thèse extraterrestre, lesquels, au lieu d’apporter des preuves scientifiques, recherchèrent la possibilité d’un biais et déclenchèrent la polémique axée sur la forme plutôt que le fond.

    Le psychologue David Saunders divulgue une note interne de l’administrateur de la commission, Robert Low, de 1966, précisant « Notre étude sera conduite exclusivement par des personnes qui n’y croient pas et qui, bien qu’elles ne pourront probablement pas prouver un résultat négatif, pourront fournir un ensemble impressionnant de preuves qu’il n’y a aucune réalité dans les observations. Le truc serait, je le pense, de présenter le projet de telle manière que pour le public, il apparaisse comme une étude tout à fait objective alors que, pour la communauté scientifique, il présenterait l’image d’un groupe de sceptiques faisant de leur mieux pour être objectifs mais avec un espoir pratiquement nul de trouver une soucoupe ». Cette note sortira dans la presse en avril 1968 et mènera à une polémique sur l’objectivité du rapport.

    Le magazine Look publie en mai 1968 un article virulent contre Condon et l’armée de l’air, et Frank Drake presse le président de l’Académie des sciences de condamner le futur rapport Condon, tandis que le député Edward Roush demande une enquête à la Chambre des représentants. L’Académie des sciences valide l’étude scientifique mais l’Institut américain de l’aéronautique et de l’astronautique (AIAA) estime que « la conclusion inverse aurait pu être déduite de son contenu, c’est-à-dire qu’un phénomène avec un ratio aussi élevé de cas inexpliqués (environ 15 %) devrait produire assez de curiosité scientifique pour continuer son étude ». À l’examen des courriers entre Robert Low et l’U.S.Air Force en vue de la signature du contrat les liant, apparaît le mot trick , mot signifiant aussi bien « astuce » que « fraude ou procédé malhonnête ».

    La négociation du contrat entre l’université du Colorado et le gouvernement américain:

    Craignant de se faire ridiculiser par la communauté scientifique (les histoires de soucoupes et de Martiens n’avaient pas bonne presse à l’époque) , Robert Low et Edward U.Condon négocièrent le contrat de manière à trouver une formulation assez habile pour que leur objectivité ne soit pas mise en doute et qu’ils ne soient pas la risée du monde universitaire.

    James Mac Donald reçut copie de ces documents, par l’intermédiaire de David Saunders et Levine, et fit une campagne de presse en interprétant le mot « trick » , l’astuce de formulation visant à éviter de ridiculiser des scientifiques, comme une fraude ou procédé malhonnête.

    Le précédent de la commission Warren, où l’on suspecte les commanditaires de l’assassinat de John Kennedy d’avoir voulu étouffer l’affaire, a laissé penser certains que d’autres commissions auraient pu avoir été truquées mais là pour des raisons moins évidentes.

    Les partisans des ovnis avancèrent l’idée, c’est la théorie du complot, que le gouvernement américain collaborait avec les extra-terrestres dans des bases secrètes afin de confectionner des engins nouveaux et des armes nouvelles.

    Source: Wikipedia
    Rapport Condon Le rapport Condon est le nom usuel du rapport du projet OVNI de l’université du Colorado. Ce projet a étudié les Objets Volants Non Identifiés de 1966 à 1968 sous la direction du physicien Edward Condon et a rendu son rapport en 1968. Il a été initié à la demande de l’US Air Force. Travaux: Après examen de plusieurs centaines de dossiers du Projet Blue Book et de certains groupes civils sur la recherche d’OVNI, le comité en a sélectionné 56 pour une analyse détaillée afin, d’une part, de déterminer si « l’analyse de nouvelles observations peut permettre d’augmenter les connaissances scientifiques utiles pour l’US air force » et, d’autre part, « de tirer des rapports sur les OVNI toute contribution pouvant être considérée comme un accroissement des connaissances scientifiques. ». Le rapport final, officiellement titré L’étude scientifique des Objets Volants Non Identifiés mais plus connu sous le nom de rapport Condon a été publié en 1968. Il a conclu « que l’étude des OVNI durant ces vingt et une dernières années n’a rien apporté à la connaissance scientifique [et] que d’autres études approfondies des OVNI ne peuvent probablement pas se justifier par l’espoir qu’elles pourraient faire progresser la science »et que certains scientifiques n’accepteraient pas sans sourciller la conclusion que l’étude des rapports OVNI n’est pas à même de faire avancer la science. En particulier le comité a conclu à des lacunes dans les domaines de l’optique atmosphérique, de la propagation d’ondes radio et d’électricité atmosphérique qui pourraient bénéficier des travaux effectués par le comité Condon. Ils concluent, d’autre part, que l’étude des 56 cas n’a pas apporté de preuves sur la réalité des ovnis ou sur l’hypothèse extraterrestre Le rapport a été relu par un panel de l’Académie des Sciences des États-Unis qui l’a validé, ainsi que ses conclusions et ses recommandations. Le rapport Condon reste donc encore aujourd’hui un document fondateur de l’approche sceptique du phénomène ovni. Il faut toutefois remarquer que l’Académie des Sciences ne s’était nullement intéressée aux ovnis et que sa consultation était une initiative de l’armée de l’air qui tenta ainsi de cacher les lacunes de ce travail. Les responsables de la censure de l’USAF craignaient en effet les conséquences d’un symposium devant réunir les scientifiques opposés à la thèse de Condon, symposium au cours duquel le travail de l’Université du Colorado aurait été vivement critiqué. En définitive, le rapport Condon n’a de valeur que pour ceux qui n’ont jamais analysé le travail effectué et la méthodologie mise en œuvre. Cette étude scientifique publique était la plus chère (500 000 dollars) consacrée à un sujet de ce type. Le contexte: Après les différentes commissions chargées de cette étude, l’U.S. Air Force fait savoir que rien ne permet de croire à l’existence d’une menace pour la sécurité des États-unis. Par menace, on entend d’hypothétiques vaisseaux extra-terrestres ou une arme secrète soviétique. Certains soupçonnèrent les officiels de cacher la vérité. Le président Truman démentit de telles hypothèses développées dans les médias. Pour certains, son intervention était la preuve d’une « conspiration du silence »; pour d’autres, elle ne fit qu’encourager le développement de thèses paranoïaques. Ce fut alors que les militaires se débarrassèrent du problème en le confiant à un organisme universitaire, ayant l’image de neutralité pour le public américain. Les principaux résultats de l’équipe Condon Analyse de la photo de McMinnville: Cette autorité scientifique a par exemple conclu, à propos de la photographie prise à McMinnville (11 mai 1950, Oregon), que « tous les facteurs étudiés, géométriques, psychologiques et physiques paraissent être cohérents avec l’assertion d’un objet volant extraordinaire, argenté, métallique, en forme de disque, de dizaines de mètres de diamètre, et évidemment artificiel, qui volait à portée de vue des deux témoins. On ne peut dire que les éléments excluent catégoriquement une fabrication, bien qu’il y ait des facteurs physiques tels que la précision de certaines mesures photométriques des négatifs d’origine qui arguent contre une fabrication.» Une étude chahutée La réaction négative des partisans des ovnis: Alors que quatre-vingt-dix-sept pour cent des observations avaient été expliquées par le projet blue book, les conclusions scientifiques identiques formulées par le rapport Condon ne plurent pas aux partisans de la thèse extraterrestre, lesquels, au lieu d’apporter des preuves scientifiques, recherchèrent la possibilité d’un biais et déclenchèrent la polémique axée sur la forme plutôt que le fond. Le psychologue David Saunders divulgue une note interne de l’administrateur de la commission, Robert Low, de 1966, précisant « Notre étude sera conduite exclusivement par des personnes qui n’y croient pas et qui, bien qu’elles ne pourront probablement pas prouver un résultat négatif, pourront fournir un ensemble impressionnant de preuves qu’il n’y a aucune réalité dans les observations. Le truc serait, je le pense, de présenter le projet de telle manière que pour le public, il apparaisse comme une étude tout à fait objective alors que, pour la communauté scientifique, il présenterait l’image d’un groupe de sceptiques faisant de leur mieux pour être objectifs mais avec un espoir pratiquement nul de trouver une soucoupe ». Cette note sortira dans la presse en avril 1968 et mènera à une polémique sur l’objectivité du rapport. Le magazine Look publie en mai 1968 un article virulent contre Condon et l’armée de l’air, et Frank Drake presse le président de l’Académie des sciences de condamner le futur rapport Condon, tandis que le député Edward Roush demande une enquête à la Chambre des représentants. L’Académie des sciences valide l’étude scientifique mais l’Institut américain de l’aéronautique et de l’astronautique (AIAA) estime que « la conclusion inverse aurait pu être déduite de son contenu, c’est-à-dire qu’un phénomène avec un ratio aussi élevé de cas inexpliqués (environ 15 %) devrait produire assez de curiosité scientifique pour continuer son étude ». À l’examen des courriers entre Robert Low et l’U.S.Air Force en vue de la signature du contrat les liant, apparaît le mot trick , mot signifiant aussi bien « astuce » que « fraude ou procédé malhonnête ». La négociation du contrat entre l’université du Colorado et le gouvernement américain: Craignant de se faire ridiculiser par la communauté scientifique (les histoires de soucoupes et de Martiens n’avaient pas bonne presse à l’époque) , Robert Low et Edward U.Condon négocièrent le contrat de manière à trouver une formulation assez habile pour que leur objectivité ne soit pas mise en doute et qu’ils ne soient pas la risée du monde universitaire. James Mac Donald reçut copie de ces documents, par l’intermédiaire de David Saunders et Levine, et fit une campagne de presse en interprétant le mot « trick » , l’astuce de formulation visant à éviter de ridiculiser des scientifiques, comme une fraude ou procédé malhonnête. Le précédent de la commission Warren, où l’on suspecte les commanditaires de l’assassinat de John Kennedy d’avoir voulu étouffer l’affaire, a laissé penser certains que d’autres commissions auraient pu avoir été truquées mais là pour des raisons moins évidentes. Les partisans des ovnis avancèrent l’idée, c’est la théorie du complot, que le gouvernement américain collaborait avec les extra-terrestres dans des bases secrètes afin de confectionner des engins nouveaux et des armes nouvelles. Source: Wikipedia
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  • Projet Blue Book
    Le projet Blue Book est une commission mise en place par l’US Air Force, afin d’étudier et d’enquêter sur le phénomène OVNI. Cette commission fut créée en 1952 et resta en activité jusqu’en 1969.

    Historique:

    Les premières observations d’ovnis qui suivirent la fin de la Seconde Guerre mondiale (notamment la célèbre histoire de Kenneth Arnold) mirent rapidement l’armée américaine en alerte. Dès 1947, l’US Air Force lança le projet Sign qui devait étudier la réalité ou non de ces phénomènes. Elle fut rebaptisée projet Grudge en 1949. En 1951, à la suite d’une importante vague de témoignages d’ovnis, l’armée décide de relancer le projet avec davantage de moyens.

    C’est le 12 avril 1952, que commença le « projet Blue Book », dirigé par le capitaine Edward J. Ruppelt. Cette commission se divisera en une section d’étude, une d’enquête, un agent de liaison avec le Pentagone et des consultants scientifiques civils. À la suite d’une recrudescence des témoignages d’ovnis au cours de l’année 1952, le gouvernement commença à s’intéresser au problème de plus près et décida d’enquêter. En septembre 1953, le capitaine Ruppelt démissionne de son poste. Il publiera, dès 1955, The Report on Unidentified Flying Objects, livre relatant les cas les plus significatifs qu’il avait pu traiter au sein du projet Blue Book.

    Le capitaine Charles Hardin reprend le commandement du projet en mars 1954. Il décide de déclassifier et de rendre public le rapport spécial N°14 du projet Blue Book. Ce rapport, qui conclut à l’inexistence des ovnis, est mis en vente auprès du grand public en octobre 1955.

    Le capitaine George T. Gregory est nommé à la tête du projet en avril 1956 ; il sera remplacé par le major Robert J. Friend en octobre 1958. En avril 1963, le projet Blue Book passe sous les ordres du major Hector Quintanilla. En mars 1966, plusieurs scientifiques civils du projet (dont J. Allen Hynek) prirent publiquement parti pour la réalité du phénomène ovni (et donc contre la position officielle du projet Blue Book), ce qu’ils n’ont jamais réussi à prouver. Ces divergences amèneront le gouvernement américain à commanditer, en 1969, un rapport d’experts auprès du docteur Edward Condon, de l’Université du Colorado afin d’établir ou non la réalité du phénomène ovni. Le rapport Condon conclura que les ovnis n’existent pas et que tous les témoignages reposent soit sur une méprise avec des phénomènes naturels, soit sur des hallucinations et que toute recherche scientifique dans ce domaine ne présente aucun intérêt. Le projet Blue Book sera donc officiellement dissout en décembre 1969 et cessera toute activité en janvier 1970.

    Champs d’étude et objectifs:

    Lors de sa création officielle, le 12 avril 1952, l’US Air Force définit très clairement les trois objectifs du projet Blue Book :

    – Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis.
    – Déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des États-Unis.
    – Déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter.

    À cela, vint s’ajouter un rôle de porte-parole gouvernemental sur le phénomène ovni qui, à de nombreuses reprises, obligea le projet Blue Book à délaisser l’objectivité scientifique pour répondre à des considérations plus politiques.
    Faits et chiffres:

    – Le projet Blue Book étudia 12 618 cas et retint 3 201 cas pour l’analyse statistique.
    – Le secrétaire de l’armée de l’air, Donald Quarles, annonce le chiffre de 3 % de cas inexpliqués lors de la conférence de presse du 25 octobre 1955.
    – Les archives du projet Blue Book comprennent 8 360 photos, 20 bobines de film (ce qui représente 6h30 de film) et 23 enregistrements audio d’interviews de témoins.
    – Conservées jusqu’en 1974 dans les archives de l’US Air Force, les archives du projet Blue Book sont stockées depuis 1976 aux archives nationales américaines après la censure de tous les noms de témoins.

    Conclusions:

    Dans son rapport annuel, le major Quantanilla, directeur du projet Blue Book déclare : « 30 seulement de tous les cas soumis à l’Air Force sont inexpliqués et 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 se rangent dans cette catégorie … Il n’existe aucune preuve que les O.V.N.I. encore « inexpliqués » représentent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ». Sur un panel de plus de onze mille affaires, quatre-vingt-dix-sept pour cent ont été élucidées et, de l’avis même de ceux qui ont travaillé au projet, rien n’indique que les quelques cas restants soient de nature différente, et que le statut « non-identifié » résulte d’un manque d’informations et non d’une catégorie nouvelle.

    Source: Wikipédia
    Projet Blue Book Le projet Blue Book est une commission mise en place par l’US Air Force, afin d’étudier et d’enquêter sur le phénomène OVNI. Cette commission fut créée en 1952 et resta en activité jusqu’en 1969. Historique: Les premières observations d’ovnis qui suivirent la fin de la Seconde Guerre mondiale (notamment la célèbre histoire de Kenneth Arnold) mirent rapidement l’armée américaine en alerte. Dès 1947, l’US Air Force lança le projet Sign qui devait étudier la réalité ou non de ces phénomènes. Elle fut rebaptisée projet Grudge en 1949. En 1951, à la suite d’une importante vague de témoignages d’ovnis, l’armée décide de relancer le projet avec davantage de moyens. C’est le 12 avril 1952, que commença le « projet Blue Book », dirigé par le capitaine Edward J. Ruppelt. Cette commission se divisera en une section d’étude, une d’enquête, un agent de liaison avec le Pentagone et des consultants scientifiques civils. À la suite d’une recrudescence des témoignages d’ovnis au cours de l’année 1952, le gouvernement commença à s’intéresser au problème de plus près et décida d’enquêter. En septembre 1953, le capitaine Ruppelt démissionne de son poste. Il publiera, dès 1955, The Report on Unidentified Flying Objects, livre relatant les cas les plus significatifs qu’il avait pu traiter au sein du projet Blue Book. Le capitaine Charles Hardin reprend le commandement du projet en mars 1954. Il décide de déclassifier et de rendre public le rapport spécial N°14 du projet Blue Book. Ce rapport, qui conclut à l’inexistence des ovnis, est mis en vente auprès du grand public en octobre 1955. Le capitaine George T. Gregory est nommé à la tête du projet en avril 1956 ; il sera remplacé par le major Robert J. Friend en octobre 1958. En avril 1963, le projet Blue Book passe sous les ordres du major Hector Quintanilla. En mars 1966, plusieurs scientifiques civils du projet (dont J. Allen Hynek) prirent publiquement parti pour la réalité du phénomène ovni (et donc contre la position officielle du projet Blue Book), ce qu’ils n’ont jamais réussi à prouver. Ces divergences amèneront le gouvernement américain à commanditer, en 1969, un rapport d’experts auprès du docteur Edward Condon, de l’Université du Colorado afin d’établir ou non la réalité du phénomène ovni. Le rapport Condon conclura que les ovnis n’existent pas et que tous les témoignages reposent soit sur une méprise avec des phénomènes naturels, soit sur des hallucinations et que toute recherche scientifique dans ce domaine ne présente aucun intérêt. Le projet Blue Book sera donc officiellement dissout en décembre 1969 et cessera toute activité en janvier 1970. Champs d’étude et objectifs: Lors de sa création officielle, le 12 avril 1952, l’US Air Force définit très clairement les trois objectifs du projet Blue Book : – Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis. – Déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des États-Unis. – Déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter. À cela, vint s’ajouter un rôle de porte-parole gouvernemental sur le phénomène ovni qui, à de nombreuses reprises, obligea le projet Blue Book à délaisser l’objectivité scientifique pour répondre à des considérations plus politiques. Faits et chiffres: – Le projet Blue Book étudia 12 618 cas et retint 3 201 cas pour l’analyse statistique. – Le secrétaire de l’armée de l’air, Donald Quarles, annonce le chiffre de 3 % de cas inexpliqués lors de la conférence de presse du 25 octobre 1955. – Les archives du projet Blue Book comprennent 8 360 photos, 20 bobines de film (ce qui représente 6h30 de film) et 23 enregistrements audio d’interviews de témoins. – Conservées jusqu’en 1974 dans les archives de l’US Air Force, les archives du projet Blue Book sont stockées depuis 1976 aux archives nationales américaines après la censure de tous les noms de témoins. Conclusions: Dans son rapport annuel, le major Quantanilla, directeur du projet Blue Book déclare : « 30 seulement de tous les cas soumis à l’Air Force sont inexpliqués et 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 se rangent dans cette catégorie … Il n’existe aucune preuve que les O.V.N.I. encore « inexpliqués » représentent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ». Sur un panel de plus de onze mille affaires, quatre-vingt-dix-sept pour cent ont été élucidées et, de l’avis même de ceux qui ont travaillé au projet, rien n’indique que les quelques cas restants soient de nature différente, et que le statut « non-identifié » résulte d’un manque d’informations et non d’une catégorie nouvelle. Source: Wikipédia
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