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  • Pourquoi le sperme n'est-il pas rejeté du corps de la femme alors que c'est un élément étranger ?
    Pour la même raison que la nourriture que vous mangez tous les jours n'est pas rejetée par votre corps. Le phénomène de rejet est lié uniquement aux organes et à leur ADN compatible ou non.
    Pourquoi le sperme n'est-il pas rejeté du corps de la femme alors que c'est un élément étranger ? Pour la même raison que la nourriture que vous mangez tous les jours n'est pas rejetée par votre corps. Le phénomène de rejet est lié uniquement aux organes et à leur ADN compatible ou non.
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  • La pédopornographie explose. Sur Internet, le nombre d’images augmente. Autre phénomène : le live streaming (le visionnage de contenus en direct) sur des plateformes comme Skype. Les pédophiles n’ont plus besoin de se déplacer en Asie du Sud-Est, notamment aux Philippines, pour « voir des viols d’enfants » assure Yann Le Goff, commissaire divisionnaire et attaché de sécurité intérieure à l’ambassade de France de Singapour. Entretien.

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    ? Suivez-nous ??? t.me/StreetReporters1
    La pédopornographie explose. Sur Internet, le nombre d’images augmente. Autre phénomène : le live streaming (le visionnage de contenus en direct) sur des plateformes comme Skype. Les pédophiles n’ont plus besoin de se déplacer en Asie du Sud-Est, notamment aux Philippines, pour « voir des viols d’enfants » assure Yann Le Goff, commissaire divisionnaire et attaché de sécurité intérieure à l’ambassade de France de Singapour. Entretien. Lire la suite ? lien ? Suivez-nous ??? t.me/StreetReporters1
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  • L'EAU A UNE MÉMOIRE ET PEUT ÊTRE CHARGÉE ET PROGRAMMÉE AVEC DES INTENTIONS

    La mémoire de l'eau permet à l'eau de conserver des informations sur tout ce avec quoi elle est entrée en contact et de recevoir également des informations provenant de la pensée et de l'intention humaines. Elle peut, en fait, conserver une "image" de n'importe quelle substance dans son noyau moléculaire. Certains scientifiques ont prouvé que l'eau est également vivante, un phénomène connu sous le nom d'eau structurée. Serait-il vraiment possible que l'eau enregistre en permanence l'histoire de sa relation avec le monde par le biais d'amas moléculaires ? Et si oui, que fait-elle de ces informations ?

    ?Contact : qlm432hz@gmail.com

    ?Lien source vidéo : https://youtu.be/qkVK4BaPSL4
    L'EAU A UNE MÉMOIRE ET PEUT ÊTRE CHARGÉE ET PROGRAMMÉE AVEC DES INTENTIONS La mémoire de l'eau permet à l'eau de conserver des informations sur tout ce avec quoi elle est entrée en contact et de recevoir également des informations provenant de la pensée et de l'intention humaines. Elle peut, en fait, conserver une "image" de n'importe quelle substance dans son noyau moléculaire. Certains scientifiques ont prouvé que l'eau est également vivante, un phénomène connu sous le nom d'eau structurée. Serait-il vraiment possible que l'eau enregistre en permanence l'histoire de sa relation avec le monde par le biais d'amas moléculaires ? Et si oui, que fait-elle de ces informations ? ?Contact : qlm432hz@gmail.com ?Lien source vidéo : https://youtu.be/qkVK4BaPSL4
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  • La Nasa dévoile une photo du soleil "qui sourit" : comment expliquer ce phénomène ?

    Comme l’explique la Nasa, ces taches noires sont des trous coronaux, c’est-à-dire "des régions où le vent solaire est projeté dans l’espace à grande vitesse". Les trous coronaux apparaissent plus sombres, car la zone est plus froide et moins dense à cause des éjections de matière, précise Numerama.

    Si vous voyez un visage souriant, c’est parce que votre cerveau vous joue des tours. Ce phénomène est une forme d’illusion d’optique, aussi appelée paréidolie, détaillent nos confrères de Numerama.
    La Nasa dévoile une photo du soleil "qui sourit" : comment expliquer ce phénomène ? Comme l’explique la Nasa, ces taches noires sont des trous coronaux, c’est-à-dire "des régions où le vent solaire est projeté dans l’espace à grande vitesse". Les trous coronaux apparaissent plus sombres, car la zone est plus froide et moins dense à cause des éjections de matière, précise Numerama. Si vous voyez un visage souriant, c’est parce que votre cerveau vous joue des tours. Ce phénomène est une forme d’illusion d’optique, aussi appelée paréidolie, détaillent nos confrères de Numerama.
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  • Le syndrome de la Havane vous connaissez?

    C'est un ensemble de symptômes allant de problèmes neurologiques comme des malaises, vertiges, acouphènes, fatigue, insomnies mais également des douleurs et dysfonctionnements cardiaques.

    ?? Le neurologue de la DARPA (Agence des Projets de Recherche Avancée) Américaine James Giordano à avoué dans cette conférence que les neuro-armes et armes à energie dirigée (utilisant des ondes électromagnétique comme des micro-ondes) sont à l'origine de cette maladie ayant touché des diplomates US à la Havane, Cuba en 2016-2017 et en Chine.

    C'est reconnu par le gouvernement Américain et ils auront droit à des dédommagements. Néanmoins l'ensemble de la population des états de l'OTAN est susceptible d'en être victime car ces armes à micro-ondes sont disséminées dans les antennes relais, satellites, bornes wi-fi et smartphones.

    SVP Faites connaitre ce phénomène en partagent cette vidéo.
    Le syndrome de la Havane vous connaissez? C'est un ensemble de symptômes allant de problèmes neurologiques comme des malaises, vertiges, acouphènes, fatigue, insomnies mais également des douleurs et dysfonctionnements cardiaques. ?? Le neurologue de la DARPA (Agence des Projets de Recherche Avancée) Américaine James Giordano à avoué dans cette conférence que les neuro-armes et armes à energie dirigée (utilisant des ondes électromagnétique comme des micro-ondes) sont à l'origine de cette maladie ayant touché des diplomates US à la Havane, Cuba en 2016-2017 et en Chine. C'est reconnu par le gouvernement Américain et ils auront droit à des dédommagements. Néanmoins l'ensemble de la population des états de l'OTAN est susceptible d'en être victime car ces armes à micro-ondes sont disséminées dans les antennes relais, satellites, bornes wi-fi et smartphones. SVP Faites connaitre ce phénomène en partagent cette vidéo.
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  • INTERVIEW. "99 cas de 'soucoupe volante' restent inexpliqués malgré nos enquêtes"

    sam. 30 juillet 2022 à 2:00 PM

    Thomas Baron / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP
    À Toulouse, le Geipan étudie chaque année près de 700 signalements de phénomènes aérospatiaux non identifiés, précise son directeur. La plupart avec succès… Mais certains résistent à l'analyse.

    Cet article est issu du magazine Les Indispensables de Sciences et Avenir n°210 daté juillet/ septembre 2022.

    Vincent Costes est directeur du Groupe d'étude et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Geipan).

    Sciences et Avenir : Voit-on encore beaucoup de soucoupes volantes de nos jours ?

    Vincent Costes : Au Geipan, le groupe du Centre national d'études spatiales (Cnes) chargé depuis 1977 d'étudier les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Pan), nous recevons environ 700 signalements par an, dont 500 sont traités par échanges de mails avec le témoin car leur explication est simple. En complément, nous ouvrons 150 à 200 enquêtes par an. Nous traitons tout témoignage de "soucoupe volante" ! Mais nous n'utilisons pas ce terme ou ceux de "petits hommes verts" ou "ovnis", même s'ils ne sont pas tabous. Notre mission est d'expliquer de façon rationnelle toutes les étrangetés vues, perçues ou vécues.

    Qui sont les témoins, et quelles sont les explications courantes des phénomènes qu'ils observent ?

    Ce sont Monsieur ou Madame Tout-le-Monde, confronté(e) à une observation insolite, inattendue, qu'il ou elle ne peut s'expliquer clairement. C'est ce manque d'explication qui crée l'étrangeté. L'émotion peut s'inviter, la mémoire jouer des tours... Et la croyance aux extraterrestres rend parfois le témoignage complexe à analyser.
    INTERVIEW. "99 cas de 'soucoupe volante' restent inexpliqués malgré nos enquêtes" sam. 30 juillet 2022 à 2:00 PM Thomas Baron / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP À Toulouse, le Geipan étudie chaque année près de 700 signalements de phénomènes aérospatiaux non identifiés, précise son directeur. La plupart avec succès… Mais certains résistent à l'analyse. Cet article est issu du magazine Les Indispensables de Sciences et Avenir n°210 daté juillet/ septembre 2022. Vincent Costes est directeur du Groupe d'étude et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Geipan). Sciences et Avenir : Voit-on encore beaucoup de soucoupes volantes de nos jours ? Vincent Costes : Au Geipan, le groupe du Centre national d'études spatiales (Cnes) chargé depuis 1977 d'étudier les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Pan), nous recevons environ 700 signalements par an, dont 500 sont traités par échanges de mails avec le témoin car leur explication est simple. En complément, nous ouvrons 150 à 200 enquêtes par an. Nous traitons tout témoignage de "soucoupe volante" ! Mais nous n'utilisons pas ce terme ou ceux de "petits hommes verts" ou "ovnis", même s'ils ne sont pas tabous. Notre mission est d'expliquer de façon rationnelle toutes les étrangetés vues, perçues ou vécues. Qui sont les témoins, et quelles sont les explications courantes des phénomènes qu'ils observent ? Ce sont Monsieur ou Madame Tout-le-Monde, confronté(e) à une observation insolite, inattendue, qu'il ou elle ne peut s'expliquer clairement. C'est ce manque d'explication qui crée l'étrangeté. L'émotion peut s'inviter, la mémoire jouer des tours... Et la croyance aux extraterrestres rend parfois le témoignage complexe à analyser.
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  • Le visage de l'Antarctique : Revendications d'un visage massif enfoui sous la glace

    Les affirmations suggérant qu'il y a un visage massif enfoui sous la glace de l'Antarctique sont devenues virales. Cependant, il s'agit d'un exemple clair de paréidolie - la tendance à la perception incorrecte d'un stimulus en tant qu'objet, modèle ou signification connue de l'observateur.

    Au fil des ans, de nombreuses choses étranges ont été rapportées par les médias du monde entier, des pyramides en Antarctique aux OVNI écrasés et aux bases extraterrestres et gouvernementales secrètes.

    En d'autres termes, l'Antarctique est devenu un référentiel pour les théories du complot, amenant de nombreuses personnes à spéculer sur la véritable nature du continent gelé. Au fil des ans, de nombreuses personnes en sont venues à croire que les gouvernements du monde entier gardent des secrets en Antarctique et qu'il existe même des traces de civilisations perdues depuis longtemps sur le continent gelé.

    L'une des théories du complot les plus célèbres concernant l'Antarctique est celle des prétendues pyramides supermassives au sommet enneigé qui se cachent "à la vue de tous". Ces prétendues structures - qui, selon les géologues, ne sont rien de plus que des formations naturelles - seraient les vestiges de civilisations extrêmement anciennes qui habitaient la Terre avant que notre "civilisation" n'existe.

    Bien sûr, les preuves physiques qui soutiennent l'idée que les pyramides de l'Antarctique sont réelles sont inexistantes, probablement parce qu'elles ne sont rien de plus que des montagnes. De nombreuses autres formations naturelles à travers le monde existent; beaucoup de gens ont tendance à les confondre avec de véritables pyramides artificielles.

    Néanmoins, les gens ont écrit et parlé d'eux pendant des années.

    Le visage géant de l'Antarctique Les
    gens ont maintenant trouvé un nouveau sujet de conversation. Un visage géant. Et pas n'importe quel visage géant, mais un visage extraterrestre massif, qui selon certaines théories, a été laissé par une civilisation extraterrestre extrêmement avancée qui vénérait apparemment les extraterrestres.

    Le visage grimaçant trouvé grâce à Google Earth est censé être sculpté dans une région éloignée du sud-est de l'Antarctique, s'ajoutant à la liste des anomalies sur le continent gelé.

    L'image satellite a d'abord été partagée par un compte Instagram connu pour promouvoir de prétendues vidéos d'OVNI. UFO_Scandinava avait mis en ligne une vidéo montrant un homme zoomant et dézoomant sur une capture d'écran satellite de Google Earth.

    https://www.instagram.com/p/B1ZtwtkCFOw/

    La zone où se trouve le prétendu "visage géant" a une forme étrange, donnant l'impression que tout ce qui se trouve en dessous a des yeux, un nez et une bouche.

    L'image a finalement été reprise par une autre chaîne UFO/Conspiracy, cette fois sur YouTube, appelée thirdphaseofthemoon.
    Les administrateurs de la chaîne pensent que le visage supermassif est extrêmement ancien, peut-être même une mégastructure laissée par une civilisation disparue depuis longtemps.

    Dans une vidéo où la troisième phase de la lune passe en revue le visage géant, l'un des narrateurs demande où "cela pourrait être quelque chose qui a été laissé par les anciennes civilisations qui ont habité l'Antarctique dans le passé?"

    Ils prétendent que la fonte accélérée des glaces sur le continent révèle des structures restées cachées à l'humanité depuis des temps immémoriaux.

    Et beaucoup de gens sont convaincus que les théoriciens du complot sont sur quelque chose.
    Parmi les nombreux commentateurs sur YouTube, un utilisateur a écrit que le visage, ou quoi que ce soit, n'est pas naturel et que la nature n'est pas vraiment possible de faire des choses comme ça. En fait, le commentateur affirme que le visage ressemble à un Viking et qu'il a un casque en métal clairement visible sur le dessus de la tête.

    D'autres utilisateurs commentant la vidéo YouTube semblaient plus rationnels, affirmant que le visage présumé était purement naturel et entièrement aléatoire, rappelant la glace avec de nombreuses fissures.

    Mais malgré les affirmations de races extraterrestres, de civilisations perdues et de visages massifs enfouis sous la glace, le scénario le plus probable n'est qu'une formation naturelle.
    Et notre esprit nous joue des tours.

    Ce phénomène s'appelle Pareidolia, un effet étrange qui fait que notre cerveau voit des formes, des structures et même des modèles familiers là où ils n'existent pas.

    On dit que de nombreuses images de la lune terrestre et même des photographies de la surface de Mars montrent des preuves de civilisations perdues, d'extraterrestres et de bases secrètes.

    Mais la NASA a rejeté tous ceux-ci comme étant Pareidolia.

    Selon l'Agence spatiale américaine : « La paréidolie est le phénomène psychologique où les gens voient des formes reconnaissables dans les nuages, les formations rocheuses ou des objets ou des données autrement sans rapport.

    "Il existe de nombreux exemples de ce phénomène sur Terre et dans l'espace."

    La paréidolie peut vraiment faire des merveilles, elle peut vous faire voir des traces d'anciennes civilisations extraterrestres sur des planètes lointaines.

    <Par : https://curiosmos.com/>
    Le visage de l'Antarctique : Revendications d'un visage massif enfoui sous la glace Les affirmations suggérant qu'il y a un visage massif enfoui sous la glace de l'Antarctique sont devenues virales. Cependant, il s'agit d'un exemple clair de paréidolie - la tendance à la perception incorrecte d'un stimulus en tant qu'objet, modèle ou signification connue de l'observateur. Au fil des ans, de nombreuses choses étranges ont été rapportées par les médias du monde entier, des pyramides en Antarctique aux OVNI écrasés et aux bases extraterrestres et gouvernementales secrètes. En d'autres termes, l'Antarctique est devenu un référentiel pour les théories du complot, amenant de nombreuses personnes à spéculer sur la véritable nature du continent gelé. Au fil des ans, de nombreuses personnes en sont venues à croire que les gouvernements du monde entier gardent des secrets en Antarctique et qu'il existe même des traces de civilisations perdues depuis longtemps sur le continent gelé. L'une des théories du complot les plus célèbres concernant l'Antarctique est celle des prétendues pyramides supermassives au sommet enneigé qui se cachent "à la vue de tous". Ces prétendues structures - qui, selon les géologues, ne sont rien de plus que des formations naturelles - seraient les vestiges de civilisations extrêmement anciennes qui habitaient la Terre avant que notre "civilisation" n'existe. Bien sûr, les preuves physiques qui soutiennent l'idée que les pyramides de l'Antarctique sont réelles sont inexistantes, probablement parce qu'elles ne sont rien de plus que des montagnes. De nombreuses autres formations naturelles à travers le monde existent; beaucoup de gens ont tendance à les confondre avec de véritables pyramides artificielles. Néanmoins, les gens ont écrit et parlé d'eux pendant des années. Le visage géant de l'Antarctique Les gens ont maintenant trouvé un nouveau sujet de conversation. Un visage géant. Et pas n'importe quel visage géant, mais un visage extraterrestre massif, qui selon certaines théories, a été laissé par une civilisation extraterrestre extrêmement avancée qui vénérait apparemment les extraterrestres. Le visage grimaçant trouvé grâce à Google Earth est censé être sculpté dans une région éloignée du sud-est de l'Antarctique, s'ajoutant à la liste des anomalies sur le continent gelé. L'image satellite a d'abord été partagée par un compte Instagram connu pour promouvoir de prétendues vidéos d'OVNI. UFO_Scandinava avait mis en ligne une vidéo montrant un homme zoomant et dézoomant sur une capture d'écran satellite de Google Earth. https://www.instagram.com/p/B1ZtwtkCFOw/ La zone où se trouve le prétendu "visage géant" a une forme étrange, donnant l'impression que tout ce qui se trouve en dessous a des yeux, un nez et une bouche. L'image a finalement été reprise par une autre chaîne UFO/Conspiracy, cette fois sur YouTube, appelée thirdphaseofthemoon. Les administrateurs de la chaîne pensent que le visage supermassif est extrêmement ancien, peut-être même une mégastructure laissée par une civilisation disparue depuis longtemps. Dans une vidéo où la troisième phase de la lune passe en revue le visage géant, l'un des narrateurs demande où "cela pourrait être quelque chose qui a été laissé par les anciennes civilisations qui ont habité l'Antarctique dans le passé?" Ils prétendent que la fonte accélérée des glaces sur le continent révèle des structures restées cachées à l'humanité depuis des temps immémoriaux. Et beaucoup de gens sont convaincus que les théoriciens du complot sont sur quelque chose. Parmi les nombreux commentateurs sur YouTube, un utilisateur a écrit que le visage, ou quoi que ce soit, n'est pas naturel et que la nature n'est pas vraiment possible de faire des choses comme ça. En fait, le commentateur affirme que le visage ressemble à un Viking et qu'il a un casque en métal clairement visible sur le dessus de la tête. D'autres utilisateurs commentant la vidéo YouTube semblaient plus rationnels, affirmant que le visage présumé était purement naturel et entièrement aléatoire, rappelant la glace avec de nombreuses fissures. Mais malgré les affirmations de races extraterrestres, de civilisations perdues et de visages massifs enfouis sous la glace, le scénario le plus probable n'est qu'une formation naturelle. Et notre esprit nous joue des tours. Ce phénomène s'appelle Pareidolia, un effet étrange qui fait que notre cerveau voit des formes, des structures et même des modèles familiers là où ils n'existent pas. On dit que de nombreuses images de la lune terrestre et même des photographies de la surface de Mars montrent des preuves de civilisations perdues, d'extraterrestres et de bases secrètes. Mais la NASA a rejeté tous ceux-ci comme étant Pareidolia. Selon l'Agence spatiale américaine : « La paréidolie est le phénomène psychologique où les gens voient des formes reconnaissables dans les nuages, les formations rocheuses ou des objets ou des données autrement sans rapport. "Il existe de nombreux exemples de ce phénomène sur Terre et dans l'espace." La paréidolie peut vraiment faire des merveilles, elle peut vous faire voir des traces d'anciennes civilisations extraterrestres sur des planètes lointaines. <Par : https://curiosmos.com/>
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  • Les décors naturels forgés par les phénomènes de la nature.
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  • Rapport Condon

    Le rapport Condon est le nom usuel du rapport du projet OVNI de l’université du Colorado. Ce projet a étudié les Objets Volants Non Identifiés de 1966 à 1968 sous la direction du physicien Edward Condon et a rendu son rapport en 1968. Il a été initié à la demande de l’US Air Force.

    Travaux:

    Après examen de plusieurs centaines de dossiers du Projet Blue Book et de certains groupes civils sur la recherche d’OVNI, le comité en a sélectionné 56 pour une analyse détaillée afin, d’une part, de déterminer si « l’analyse de nouvelles observations peut permettre d’augmenter les connaissances scientifiques utiles pour l’US air force » et, d’autre part, « de tirer des rapports sur les OVNI toute contribution pouvant être considérée comme un accroissement des connaissances scientifiques. ».

    Le rapport final, officiellement titré L’étude scientifique des Objets Volants Non Identifiés mais plus connu sous le nom de rapport Condon a été publié en 1968. Il a conclu « que l’étude des OVNI durant ces vingt et une dernières années n’a rien apporté à la connaissance scientifique [et] que d’autres études approfondies des OVNI ne peuvent probablement pas se justifier par l’espoir qu’elles pourraient faire progresser la science »et que certains scientifiques n’accepteraient pas sans sourciller la conclusion que l’étude des rapports OVNI n’est pas à même de faire avancer la science. En particulier le comité a conclu à des lacunes dans les domaines de l’optique atmosphérique, de la propagation d’ondes radio et d’électricité atmosphérique qui pourraient bénéficier des travaux effectués par le comité Condon. Ils concluent, d’autre part, que l’étude des 56 cas n’a pas apporté de preuves sur la réalité des ovnis ou sur l’hypothèse extraterrestre

    Le rapport a été relu par un panel de l’Académie des Sciences des États-Unis qui l’a validé, ainsi que ses conclusions et ses recommandations. Le rapport Condon reste donc encore aujourd’hui un document fondateur de l’approche sceptique du phénomène ovni. Il faut toutefois remarquer que l’Académie des Sciences ne s’était nullement intéressée aux ovnis et que sa consultation était une initiative de l’armée de l’air qui tenta ainsi de cacher les lacunes de ce travail. Les responsables de la censure de l’USAF craignaient en effet les conséquences d’un symposium devant réunir les scientifiques opposés à la thèse de Condon, symposium au cours duquel le travail de l’Université du Colorado aurait été vivement critiqué. En définitive, le rapport Condon n’a de valeur que pour ceux qui n’ont jamais analysé le travail effectué et la méthodologie mise en œuvre. Cette étude scientifique publique était la plus chère (500 000 dollars) consacrée à un sujet de ce type.

    Le contexte:

    Après les différentes commissions chargées de cette étude, l’U.S. Air Force fait savoir que rien ne permet de croire à l’existence d’une menace pour la sécurité des États-unis. Par menace, on entend d’hypothétiques vaisseaux extra-terrestres ou une arme secrète soviétique. Certains soupçonnèrent les officiels de cacher la vérité. Le président Truman démentit de telles hypothèses développées dans les médias. Pour certains, son intervention était la preuve d’une « conspiration du silence »; pour d’autres, elle ne fit qu’encourager le développement de thèses paranoïaques. Ce fut alors que les militaires se débarrassèrent du problème en le confiant à un organisme universitaire, ayant l’image de neutralité pour le public américain.

    Les principaux résultats de l’équipe Condon

    Analyse de la photo de McMinnville:

    Cette autorité scientifique a par exemple conclu, à propos de la photographie prise à McMinnville (11 mai 1950, Oregon), que « tous les facteurs étudiés, géométriques, psychologiques et physiques paraissent être cohérents avec l’assertion d’un objet volant extraordinaire, argenté, métallique, en forme de disque, de dizaines de mètres de diamètre, et évidemment artificiel, qui volait à portée de vue des deux témoins. On ne peut dire que les éléments excluent catégoriquement une fabrication, bien qu’il y ait des facteurs physiques tels que la précision de certaines mesures photométriques des négatifs d’origine qui arguent contre une fabrication.»

    Une étude chahutée

    La réaction négative des partisans des ovnis:

    Alors que quatre-vingt-dix-sept pour cent des observations avaient été expliquées par le projet blue book, les conclusions scientifiques identiques formulées par le rapport Condon ne plurent pas aux partisans de la thèse extraterrestre, lesquels, au lieu d’apporter des preuves scientifiques, recherchèrent la possibilité d’un biais et déclenchèrent la polémique axée sur la forme plutôt que le fond.

    Le psychologue David Saunders divulgue une note interne de l’administrateur de la commission, Robert Low, de 1966, précisant « Notre étude sera conduite exclusivement par des personnes qui n’y croient pas et qui, bien qu’elles ne pourront probablement pas prouver un résultat négatif, pourront fournir un ensemble impressionnant de preuves qu’il n’y a aucune réalité dans les observations. Le truc serait, je le pense, de présenter le projet de telle manière que pour le public, il apparaisse comme une étude tout à fait objective alors que, pour la communauté scientifique, il présenterait l’image d’un groupe de sceptiques faisant de leur mieux pour être objectifs mais avec un espoir pratiquement nul de trouver une soucoupe ». Cette note sortira dans la presse en avril 1968 et mènera à une polémique sur l’objectivité du rapport.

    Le magazine Look publie en mai 1968 un article virulent contre Condon et l’armée de l’air, et Frank Drake presse le président de l’Académie des sciences de condamner le futur rapport Condon, tandis que le député Edward Roush demande une enquête à la Chambre des représentants. L’Académie des sciences valide l’étude scientifique mais l’Institut américain de l’aéronautique et de l’astronautique (AIAA) estime que « la conclusion inverse aurait pu être déduite de son contenu, c’est-à-dire qu’un phénomène avec un ratio aussi élevé de cas inexpliqués (environ 15 %) devrait produire assez de curiosité scientifique pour continuer son étude ». À l’examen des courriers entre Robert Low et l’U.S.Air Force en vue de la signature du contrat les liant, apparaît le mot trick , mot signifiant aussi bien « astuce » que « fraude ou procédé malhonnête ».

    La négociation du contrat entre l’université du Colorado et le gouvernement américain:

    Craignant de se faire ridiculiser par la communauté scientifique (les histoires de soucoupes et de Martiens n’avaient pas bonne presse à l’époque) , Robert Low et Edward U.Condon négocièrent le contrat de manière à trouver une formulation assez habile pour que leur objectivité ne soit pas mise en doute et qu’ils ne soient pas la risée du monde universitaire.

    James Mac Donald reçut copie de ces documents, par l’intermédiaire de David Saunders et Levine, et fit une campagne de presse en interprétant le mot « trick » , l’astuce de formulation visant à éviter de ridiculiser des scientifiques, comme une fraude ou procédé malhonnête.

    Le précédent de la commission Warren, où l’on suspecte les commanditaires de l’assassinat de John Kennedy d’avoir voulu étouffer l’affaire, a laissé penser certains que d’autres commissions auraient pu avoir été truquées mais là pour des raisons moins évidentes.

    Les partisans des ovnis avancèrent l’idée, c’est la théorie du complot, que le gouvernement américain collaborait avec les extra-terrestres dans des bases secrètes afin de confectionner des engins nouveaux et des armes nouvelles.

    Source: Wikipedia
    Rapport Condon Le rapport Condon est le nom usuel du rapport du projet OVNI de l’université du Colorado. Ce projet a étudié les Objets Volants Non Identifiés de 1966 à 1968 sous la direction du physicien Edward Condon et a rendu son rapport en 1968. Il a été initié à la demande de l’US Air Force. Travaux: Après examen de plusieurs centaines de dossiers du Projet Blue Book et de certains groupes civils sur la recherche d’OVNI, le comité en a sélectionné 56 pour une analyse détaillée afin, d’une part, de déterminer si « l’analyse de nouvelles observations peut permettre d’augmenter les connaissances scientifiques utiles pour l’US air force » et, d’autre part, « de tirer des rapports sur les OVNI toute contribution pouvant être considérée comme un accroissement des connaissances scientifiques. ». Le rapport final, officiellement titré L’étude scientifique des Objets Volants Non Identifiés mais plus connu sous le nom de rapport Condon a été publié en 1968. Il a conclu « que l’étude des OVNI durant ces vingt et une dernières années n’a rien apporté à la connaissance scientifique [et] que d’autres études approfondies des OVNI ne peuvent probablement pas se justifier par l’espoir qu’elles pourraient faire progresser la science »et que certains scientifiques n’accepteraient pas sans sourciller la conclusion que l’étude des rapports OVNI n’est pas à même de faire avancer la science. En particulier le comité a conclu à des lacunes dans les domaines de l’optique atmosphérique, de la propagation d’ondes radio et d’électricité atmosphérique qui pourraient bénéficier des travaux effectués par le comité Condon. Ils concluent, d’autre part, que l’étude des 56 cas n’a pas apporté de preuves sur la réalité des ovnis ou sur l’hypothèse extraterrestre Le rapport a été relu par un panel de l’Académie des Sciences des États-Unis qui l’a validé, ainsi que ses conclusions et ses recommandations. Le rapport Condon reste donc encore aujourd’hui un document fondateur de l’approche sceptique du phénomène ovni. Il faut toutefois remarquer que l’Académie des Sciences ne s’était nullement intéressée aux ovnis et que sa consultation était une initiative de l’armée de l’air qui tenta ainsi de cacher les lacunes de ce travail. Les responsables de la censure de l’USAF craignaient en effet les conséquences d’un symposium devant réunir les scientifiques opposés à la thèse de Condon, symposium au cours duquel le travail de l’Université du Colorado aurait été vivement critiqué. En définitive, le rapport Condon n’a de valeur que pour ceux qui n’ont jamais analysé le travail effectué et la méthodologie mise en œuvre. Cette étude scientifique publique était la plus chère (500 000 dollars) consacrée à un sujet de ce type. Le contexte: Après les différentes commissions chargées de cette étude, l’U.S. Air Force fait savoir que rien ne permet de croire à l’existence d’une menace pour la sécurité des États-unis. Par menace, on entend d’hypothétiques vaisseaux extra-terrestres ou une arme secrète soviétique. Certains soupçonnèrent les officiels de cacher la vérité. Le président Truman démentit de telles hypothèses développées dans les médias. Pour certains, son intervention était la preuve d’une « conspiration du silence »; pour d’autres, elle ne fit qu’encourager le développement de thèses paranoïaques. Ce fut alors que les militaires se débarrassèrent du problème en le confiant à un organisme universitaire, ayant l’image de neutralité pour le public américain. Les principaux résultats de l’équipe Condon Analyse de la photo de McMinnville: Cette autorité scientifique a par exemple conclu, à propos de la photographie prise à McMinnville (11 mai 1950, Oregon), que « tous les facteurs étudiés, géométriques, psychologiques et physiques paraissent être cohérents avec l’assertion d’un objet volant extraordinaire, argenté, métallique, en forme de disque, de dizaines de mètres de diamètre, et évidemment artificiel, qui volait à portée de vue des deux témoins. On ne peut dire que les éléments excluent catégoriquement une fabrication, bien qu’il y ait des facteurs physiques tels que la précision de certaines mesures photométriques des négatifs d’origine qui arguent contre une fabrication.» Une étude chahutée La réaction négative des partisans des ovnis: Alors que quatre-vingt-dix-sept pour cent des observations avaient été expliquées par le projet blue book, les conclusions scientifiques identiques formulées par le rapport Condon ne plurent pas aux partisans de la thèse extraterrestre, lesquels, au lieu d’apporter des preuves scientifiques, recherchèrent la possibilité d’un biais et déclenchèrent la polémique axée sur la forme plutôt que le fond. Le psychologue David Saunders divulgue une note interne de l’administrateur de la commission, Robert Low, de 1966, précisant « Notre étude sera conduite exclusivement par des personnes qui n’y croient pas et qui, bien qu’elles ne pourront probablement pas prouver un résultat négatif, pourront fournir un ensemble impressionnant de preuves qu’il n’y a aucune réalité dans les observations. Le truc serait, je le pense, de présenter le projet de telle manière que pour le public, il apparaisse comme une étude tout à fait objective alors que, pour la communauté scientifique, il présenterait l’image d’un groupe de sceptiques faisant de leur mieux pour être objectifs mais avec un espoir pratiquement nul de trouver une soucoupe ». Cette note sortira dans la presse en avril 1968 et mènera à une polémique sur l’objectivité du rapport. Le magazine Look publie en mai 1968 un article virulent contre Condon et l’armée de l’air, et Frank Drake presse le président de l’Académie des sciences de condamner le futur rapport Condon, tandis que le député Edward Roush demande une enquête à la Chambre des représentants. L’Académie des sciences valide l’étude scientifique mais l’Institut américain de l’aéronautique et de l’astronautique (AIAA) estime que « la conclusion inverse aurait pu être déduite de son contenu, c’est-à-dire qu’un phénomène avec un ratio aussi élevé de cas inexpliqués (environ 15 %) devrait produire assez de curiosité scientifique pour continuer son étude ». À l’examen des courriers entre Robert Low et l’U.S.Air Force en vue de la signature du contrat les liant, apparaît le mot trick , mot signifiant aussi bien « astuce » que « fraude ou procédé malhonnête ». La négociation du contrat entre l’université du Colorado et le gouvernement américain: Craignant de se faire ridiculiser par la communauté scientifique (les histoires de soucoupes et de Martiens n’avaient pas bonne presse à l’époque) , Robert Low et Edward U.Condon négocièrent le contrat de manière à trouver une formulation assez habile pour que leur objectivité ne soit pas mise en doute et qu’ils ne soient pas la risée du monde universitaire. James Mac Donald reçut copie de ces documents, par l’intermédiaire de David Saunders et Levine, et fit une campagne de presse en interprétant le mot « trick » , l’astuce de formulation visant à éviter de ridiculiser des scientifiques, comme une fraude ou procédé malhonnête. Le précédent de la commission Warren, où l’on suspecte les commanditaires de l’assassinat de John Kennedy d’avoir voulu étouffer l’affaire, a laissé penser certains que d’autres commissions auraient pu avoir été truquées mais là pour des raisons moins évidentes. Les partisans des ovnis avancèrent l’idée, c’est la théorie du complot, que le gouvernement américain collaborait avec les extra-terrestres dans des bases secrètes afin de confectionner des engins nouveaux et des armes nouvelles. Source: Wikipedia
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  • Projet Sign

    Le Projet Sign (signe en français) a été la première étude scientifique officielle de l’US Air Force sur les OVNI. Le projet a été créé en décembre 1947 et dissous le 16 décembre 1948, remplacé par le projet Grudge.

    Contexte:

    Le projet Sign fut créé sous l’impulsion du général Nathan F. Twining, à la suite d’une vague d’OVNI (appelées « soucoupes volantes » à l’époque) en 1947 aux États-Unis. Les deux cas les plus célèbres sont l’observation de Kenneth Arnold en juin et l’incident de Roswell en juillet. Le projet avait été précédé, en 1946, par une enquête du général James H. Doolittle durant l’affaire des « fusées fantômes », et par une étude du général Schulgen durant l’été 1947, qui envisageait la possibilité d’engins militaires soviétiques.

    Projet Sign:

    La proposition de Twining fut approuvée par le gouvernement le 30 décembre 1947 et le projet Sign débuta le 22 janvier 1948, sur la base aérienne de Wright-Patterson, dans l’Ohio. Il était placé sous le commandement du capitaine Robert R. Sneider. Bien que le projet ait été classifié « d’accès restreint », son existence était connue du grand public, souvent sous le nom de « Projet Soucoupe ». Le projet engagea aussi des consultants scientifiques, comme l’astronome américain J. Allen Hynek, chargé de distinguer les cas de méprises avec des étoiles ou des météorites.

    La première entreprise du projet Sign fut l’étude de l’incident de Mantell. Le 7 janvier 1948, le pilote de l’Air Force Thomas Mantell avait repéré un OVNI dans le ciel du Kentucky et s’était lancé à sa poursuite — chose confirmée par ses coéquipiers qui avaient dû rentrer à leur base avant le drame. On retrouva les débris de son avion éparpillés sur des kilomètres, indiquant qu’il avait été détruit à haute altitude. Les enquêteurs de Sign arrivèrent à la conclusion que Mantell avait confondu la planète Vénus — en plein après-midi — et qu’il avait été victime d’un manque d’oxygène. L’explication de l’explosion en plein vol par le contact avec un ballon-sonde ne fut pas l’œuvre de Sign mais arriva plus tard.

    Le 27 avril 1949, le projet Sign présenta un memorandum à la presse qui affirmait que les soucoupes volantes ne constituent pas une menace et ne viennent pas d’autres planètes.

    Composition:

    – Capitaine Robert R. Sneider, officier commandant
    – Alfred Loedding et Albert B. Deyarmond, ingénieurs aéronautiques
    – Lawrence Truettner, expert en nucléaire et balistique

    Le rapport Estimate of the Situation:

    Au fil du temps, une partie du personnel de Sign changea d’attitude et devint moins sceptique. L’idée que certains de ces OVNI pouvaient être d’origine extraterrestre fut envisagée par les experts du projet. Ce fut la rédaction d’un rapport secret resté fameux, nommé Estimate of the Situation. Ce rapport expliquait qu’au vu des performances aériennes de certains des OVNI et de l’impossibilité de les faire correspondre à des phénomènes naturels, l’explication la plus probable et rationnelle était donc qu’une partie des OVNI avaient une origine extraterrestre.

    Ce rapport fut cependant rejeté et détruit. Le Pentagone publia le rapport officiel du Projet Sign, intitulé aussi Estimate of the situation, le 10 décembre 1948, concluant que les OVNI étaient soit non réels, soit issus d’une technologie inconnue en provenance d’Union soviétique. C’est alors qu’en décembre 1948, le Projet Sign fut dissous et remplacé par le Projet Grudge, composé de scientifiques ne croyant pas à l’hypothèse extraterrestre.

    Source: Wikipédia
    Projet Sign Le Projet Sign (signe en français) a été la première étude scientifique officielle de l’US Air Force sur les OVNI. Le projet a été créé en décembre 1947 et dissous le 16 décembre 1948, remplacé par le projet Grudge. Contexte: Le projet Sign fut créé sous l’impulsion du général Nathan F. Twining, à la suite d’une vague d’OVNI (appelées « soucoupes volantes » à l’époque) en 1947 aux États-Unis. Les deux cas les plus célèbres sont l’observation de Kenneth Arnold en juin et l’incident de Roswell en juillet. Le projet avait été précédé, en 1946, par une enquête du général James H. Doolittle durant l’affaire des « fusées fantômes », et par une étude du général Schulgen durant l’été 1947, qui envisageait la possibilité d’engins militaires soviétiques. Projet Sign: La proposition de Twining fut approuvée par le gouvernement le 30 décembre 1947 et le projet Sign débuta le 22 janvier 1948, sur la base aérienne de Wright-Patterson, dans l’Ohio. Il était placé sous le commandement du capitaine Robert R. Sneider. Bien que le projet ait été classifié « d’accès restreint », son existence était connue du grand public, souvent sous le nom de « Projet Soucoupe ». Le projet engagea aussi des consultants scientifiques, comme l’astronome américain J. Allen Hynek, chargé de distinguer les cas de méprises avec des étoiles ou des météorites. La première entreprise du projet Sign fut l’étude de l’incident de Mantell. Le 7 janvier 1948, le pilote de l’Air Force Thomas Mantell avait repéré un OVNI dans le ciel du Kentucky et s’était lancé à sa poursuite — chose confirmée par ses coéquipiers qui avaient dû rentrer à leur base avant le drame. On retrouva les débris de son avion éparpillés sur des kilomètres, indiquant qu’il avait été détruit à haute altitude. Les enquêteurs de Sign arrivèrent à la conclusion que Mantell avait confondu la planète Vénus — en plein après-midi — et qu’il avait été victime d’un manque d’oxygène. L’explication de l’explosion en plein vol par le contact avec un ballon-sonde ne fut pas l’œuvre de Sign mais arriva plus tard. Le 27 avril 1949, le projet Sign présenta un memorandum à la presse qui affirmait que les soucoupes volantes ne constituent pas une menace et ne viennent pas d’autres planètes. Composition: – Capitaine Robert R. Sneider, officier commandant – Alfred Loedding et Albert B. Deyarmond, ingénieurs aéronautiques – Lawrence Truettner, expert en nucléaire et balistique Le rapport Estimate of the Situation: Au fil du temps, une partie du personnel de Sign changea d’attitude et devint moins sceptique. L’idée que certains de ces OVNI pouvaient être d’origine extraterrestre fut envisagée par les experts du projet. Ce fut la rédaction d’un rapport secret resté fameux, nommé Estimate of the Situation. Ce rapport expliquait qu’au vu des performances aériennes de certains des OVNI et de l’impossibilité de les faire correspondre à des phénomènes naturels, l’explication la plus probable et rationnelle était donc qu’une partie des OVNI avaient une origine extraterrestre. Ce rapport fut cependant rejeté et détruit. Le Pentagone publia le rapport officiel du Projet Sign, intitulé aussi Estimate of the situation, le 10 décembre 1948, concluant que les OVNI étaient soit non réels, soit issus d’une technologie inconnue en provenance d’Union soviétique. C’est alors qu’en décembre 1948, le Projet Sign fut dissous et remplacé par le Projet Grudge, composé de scientifiques ne croyant pas à l’hypothèse extraterrestre. Source: Wikipédia
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  • Projet Grudge
    Le Projet Grudge (rancune en français) était une étude de l’US Air Force, chargée d’étudier le phénomène OVNI entre 1949 et 1952. Elle succède au projet Sign, qui avait le même but. Ce projet était dirigé par le général Charles Cabell. Le projet était de tendance sceptique, mais on peut légitimement lui reprocher son manque d’enquêtes sur le terrain, contrairement au projet Blue Book.

    Historique:

    Suite à la recrudescence de témoignages d’ovnis en 1947, l’US Air Force lance sous l’impulsion du général Twining un programme d’études des OVNI, le projet Sign. Le projet fut dissous en 1949 et remplacé par le Projet Grudge en février 1949.

    Le Projet Grudge fut la seconde étude officielle de l’US Air Force chargée d’étudier le phénomène OVNI entre 1949 et 1952. Le Projet, dirigé par le général Charles Cabell, fut controversé en raison d’un certain nombre de « démystifications » . Certains y virent une tentative de démystification (voire de désinformation) de l’US Air Force en réponse aux conclusions du projet Sign. Comme Sign, Grudge avait établi que la majorité des cas d’OVNI étaient dus à des méprises. Mais là où les enquêteurs du projet Sign admirent l’existence de cas mystérieux, les enquêteurs du projet Grudge affirmèrent que tous les cas non-identifiés étaient probablement causés par des phénomènes connus et des fabulations.

    Le Projet Grudge fut mis en sommeil puis réactivé le 12 septembre 1951, et le capitaine Edward J. Ruppelt en prit la direction. Le projet Grudge devint le projet Blue Book l’année suivante, et Ruppelt lui donna la rigueur scientifique qui manquait à Grudge.

    Le Rapport Grudge:

    En août 1949, le personnel de Grudge rendit son rapport, dans lequel il fut inscrit :
    Toutes les analyses indiquent que les observations d’OVNI résultent :

    1. D’une méprise avec des objets conventionnels
    2. D’une forme d’hystérie collective et de nervosité
    3. D’individus qui inventent ces observations pour faire des canulars ou se rendre intéressants
    4. De personnes atteintes de troubles psychiatriques

    Les conclusions du projet Grudge rejoignent ainsi les grandes lignes du modèle sociopsychologique du phénomène ovni.

    Controverses:

    Comme le soulignera en 1956 le futur chef du projet Blue Book, Ruppelt (dans son livre intitulé The Report on Unidentified Flying Objects), à propos du projet Grudge (ex-projet Sign) :

    « Avec le changement de nom et de personnel, vint le changement d’objectif, clairement affiché, qui était de se débarrasser des ovnis. Ce ne fut jamais écrit nulle part, mais il ne fallait guère d’efforts pour voir qu’il s’agissait là du véritable objectif du Projet Grudge. Ce but inavoué transparaissait dans chaque mémorandum, rapport ou directive. »

    L’astronome américain J. Allen Hynek, devenu partisan de l’hypothèse extraterrestre, critiqua Grudge pour les mêmes raisons. Ce dernier expliqua une partie des OVNI par des confusions avec des étoiles ou des planètes. Néanmoins, certains y voient un moyen pour lui de rendre responsable sa hiérarchie des erreurs qu’il a pu commettre dans ses enquêtes.

    C’est pour cela que le projet Grudge est généralement perçu par les ufologues défendant l’hypothèse extraterrestre comme une opération de démystification.

    Source: Wikipedia
    Projet Grudge Le Projet Grudge (rancune en français) était une étude de l’US Air Force, chargée d’étudier le phénomène OVNI entre 1949 et 1952. Elle succède au projet Sign, qui avait le même but. Ce projet était dirigé par le général Charles Cabell. Le projet était de tendance sceptique, mais on peut légitimement lui reprocher son manque d’enquêtes sur le terrain, contrairement au projet Blue Book. Historique: Suite à la recrudescence de témoignages d’ovnis en 1947, l’US Air Force lance sous l’impulsion du général Twining un programme d’études des OVNI, le projet Sign. Le projet fut dissous en 1949 et remplacé par le Projet Grudge en février 1949. Le Projet Grudge fut la seconde étude officielle de l’US Air Force chargée d’étudier le phénomène OVNI entre 1949 et 1952. Le Projet, dirigé par le général Charles Cabell, fut controversé en raison d’un certain nombre de « démystifications » . Certains y virent une tentative de démystification (voire de désinformation) de l’US Air Force en réponse aux conclusions du projet Sign. Comme Sign, Grudge avait établi que la majorité des cas d’OVNI étaient dus à des méprises. Mais là où les enquêteurs du projet Sign admirent l’existence de cas mystérieux, les enquêteurs du projet Grudge affirmèrent que tous les cas non-identifiés étaient probablement causés par des phénomènes connus et des fabulations. Le Projet Grudge fut mis en sommeil puis réactivé le 12 septembre 1951, et le capitaine Edward J. Ruppelt en prit la direction. Le projet Grudge devint le projet Blue Book l’année suivante, et Ruppelt lui donna la rigueur scientifique qui manquait à Grudge. Le Rapport Grudge: En août 1949, le personnel de Grudge rendit son rapport, dans lequel il fut inscrit : Toutes les analyses indiquent que les observations d’OVNI résultent : 1. D’une méprise avec des objets conventionnels 2. D’une forme d’hystérie collective et de nervosité 3. D’individus qui inventent ces observations pour faire des canulars ou se rendre intéressants 4. De personnes atteintes de troubles psychiatriques Les conclusions du projet Grudge rejoignent ainsi les grandes lignes du modèle sociopsychologique du phénomène ovni. Controverses: Comme le soulignera en 1956 le futur chef du projet Blue Book, Ruppelt (dans son livre intitulé The Report on Unidentified Flying Objects), à propos du projet Grudge (ex-projet Sign) : « Avec le changement de nom et de personnel, vint le changement d’objectif, clairement affiché, qui était de se débarrasser des ovnis. Ce ne fut jamais écrit nulle part, mais il ne fallait guère d’efforts pour voir qu’il s’agissait là du véritable objectif du Projet Grudge. Ce but inavoué transparaissait dans chaque mémorandum, rapport ou directive. » L’astronome américain J. Allen Hynek, devenu partisan de l’hypothèse extraterrestre, critiqua Grudge pour les mêmes raisons. Ce dernier expliqua une partie des OVNI par des confusions avec des étoiles ou des planètes. Néanmoins, certains y voient un moyen pour lui de rendre responsable sa hiérarchie des erreurs qu’il a pu commettre dans ses enquêtes. C’est pour cela que le projet Grudge est généralement perçu par les ufologues défendant l’hypothèse extraterrestre comme une opération de démystification. Source: Wikipedia
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