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  • Les Ovnis envahissent l'Europe 3 Les cheveux d'ange
    Les Ovnis envahissent l'Europe 3 Les cheveux d'ange
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  • Les inventions de Nicolas Tesla, les premiers ovnis.
    Les inventions de Nicolas Tesla, les premiers ovnis.
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  • Le Congrès des États-Unis ont admis que certains OVNIs ne sont pas d’origine humaine bien qu’elle reconnaisse que certaines peuvent être d’origine inconnue. Comme indiqué par dans un article de Vice qui cite un document interne du Congrès

    Bien que le document critiquant la lenteur du ministère de la Défense à mettre en place un bureau d’enquête sur les ovnis, fait une révélation importante. Le Congrès reconnaît qu’il existe des objets non identifiés qui ne sont pas fabriqués par l’homme. Si le Comité n’indique pas qu’ils sont d’origine extraterrestre, il admet qu’il en existe certains « non attribués« .
    Le Congrès des États-Unis ont admis que certains OVNIs ne sont pas d’origine humaine bien qu’elle reconnaisse que certaines peuvent être d’origine inconnue. Comme indiqué par dans un article de Vice qui cite un document interne du Congrès Bien que le document critiquant la lenteur du ministère de la Défense à mettre en place un bureau d’enquête sur les ovnis, fait une révélation importante. Le Congrès reconnaît qu’il existe des objets non identifiés qui ne sont pas fabriqués par l’homme. Si le Comité n’indique pas qu’ils sont d’origine extraterrestre, il admet qu’il en existe certains « non attribués« .
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  • INTERVIEW. "99 cas de 'soucoupe volante' restent inexpliqués malgré nos enquêtes"

    sam. 30 juillet 2022 à 2:00 PM

    Thomas Baron / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP
    À Toulouse, le Geipan étudie chaque année près de 700 signalements de phénomènes aérospatiaux non identifiés, précise son directeur. La plupart avec succès… Mais certains résistent à l'analyse.

    Cet article est issu du magazine Les Indispensables de Sciences et Avenir n°210 daté juillet/ septembre 2022.

    Vincent Costes est directeur du Groupe d'étude et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Geipan).

    Sciences et Avenir : Voit-on encore beaucoup de soucoupes volantes de nos jours ?

    Vincent Costes : Au Geipan, le groupe du Centre national d'études spatiales (Cnes) chargé depuis 1977 d'étudier les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Pan), nous recevons environ 700 signalements par an, dont 500 sont traités par échanges de mails avec le témoin car leur explication est simple. En complément, nous ouvrons 150 à 200 enquêtes par an. Nous traitons tout témoignage de "soucoupe volante" ! Mais nous n'utilisons pas ce terme ou ceux de "petits hommes verts" ou "ovnis", même s'ils ne sont pas tabous. Notre mission est d'expliquer de façon rationnelle toutes les étrangetés vues, perçues ou vécues.

    Qui sont les témoins, et quelles sont les explications courantes des phénomènes qu'ils observent ?

    Ce sont Monsieur ou Madame Tout-le-Monde, confronté(e) à une observation insolite, inattendue, qu'il ou elle ne peut s'expliquer clairement. C'est ce manque d'explication qui crée l'étrangeté. L'émotion peut s'inviter, la mémoire jouer des tours... Et la croyance aux extraterrestres rend parfois le témoignage complexe à analyser.
    INTERVIEW. "99 cas de 'soucoupe volante' restent inexpliqués malgré nos enquêtes" sam. 30 juillet 2022 à 2:00 PM Thomas Baron / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP À Toulouse, le Geipan étudie chaque année près de 700 signalements de phénomènes aérospatiaux non identifiés, précise son directeur. La plupart avec succès… Mais certains résistent à l'analyse. Cet article est issu du magazine Les Indispensables de Sciences et Avenir n°210 daté juillet/ septembre 2022. Vincent Costes est directeur du Groupe d'étude et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Geipan). Sciences et Avenir : Voit-on encore beaucoup de soucoupes volantes de nos jours ? Vincent Costes : Au Geipan, le groupe du Centre national d'études spatiales (Cnes) chargé depuis 1977 d'étudier les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Pan), nous recevons environ 700 signalements par an, dont 500 sont traités par échanges de mails avec le témoin car leur explication est simple. En complément, nous ouvrons 150 à 200 enquêtes par an. Nous traitons tout témoignage de "soucoupe volante" ! Mais nous n'utilisons pas ce terme ou ceux de "petits hommes verts" ou "ovnis", même s'ils ne sont pas tabous. Notre mission est d'expliquer de façon rationnelle toutes les étrangetés vues, perçues ou vécues. Qui sont les témoins, et quelles sont les explications courantes des phénomènes qu'ils observent ? Ce sont Monsieur ou Madame Tout-le-Monde, confronté(e) à une observation insolite, inattendue, qu'il ou elle ne peut s'expliquer clairement. C'est ce manque d'explication qui crée l'étrangeté. L'émotion peut s'inviter, la mémoire jouer des tours... Et la croyance aux extraterrestres rend parfois le témoignage complexe à analyser.
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  • #ovnis #extraterrestre
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  • Le livre des races extraterrestres trouvé dans les archives du KGB (vidéo)

    SMERSH, le service de contre-espionnage lancé en 1943 par Josef Staline lui-même a publié un livre. Cela inclut les descriptions de certains des meilleurs agents de l'équipe de service qui auraient été des extraterrestres depuis le début.
    Ce livre est sorti le 13 janvier 1947. Et depuis que cela a été fait, beaucoup ont cessé de croire au gouvernement russe. Et plus précisément dans leur réponse à une invasion extraterrestre quelconque.
    Comment se soucie-t-on vraiment de leur faire confiance s'ils nous mentent depuis le début ?
    Le livre raconte comment il y avait huit classes ou races différentes. Il comprend même des dessins et des informations sur chaque race en particulier.
    Au fil du temps, les informations sont devenues de plus en plus précises à mesure que de plus en plus de photos étaient prises des créatures décrites dans le livre SMERSH. Témoignages de créatures déchaînées dans les champs, d'ovnis enlevant des humains. Même des images de créatures se promenant ont toutes été ajoutées aux documents.

    Le livre appartenait officiellement au KGB après l'effondrement de l'URSS et une copie en a été faite en Bouriatie, en Sibérie, qui a ensuite été divulguée au grand public.
    Fait amusant, la populaire série de jeux connue sous le nom de Mass Effect, qui a été créée par une société canadienne nommée BioWare, était l'une des sociétés qui ont eu accès au livre. Quand il a été diffusé au grand public et l'a utilisé comme source d'inspiration pour son propre jeu.

    Beaucoup de gens discréditent les déclarations de ce livre, mais il y a tout simplement trop de preuves à l'appui.
    Le livre des races extraterrestres trouvé dans les archives du KGB (vidéo) SMERSH, le service de contre-espionnage lancé en 1943 par Josef Staline lui-même a publié un livre. Cela inclut les descriptions de certains des meilleurs agents de l'équipe de service qui auraient été des extraterrestres depuis le début. Ce livre est sorti le 13 janvier 1947. Et depuis que cela a été fait, beaucoup ont cessé de croire au gouvernement russe. Et plus précisément dans leur réponse à une invasion extraterrestre quelconque. Comment se soucie-t-on vraiment de leur faire confiance s'ils nous mentent depuis le début ? Le livre raconte comment il y avait huit classes ou races différentes. Il comprend même des dessins et des informations sur chaque race en particulier. Au fil du temps, les informations sont devenues de plus en plus précises à mesure que de plus en plus de photos étaient prises des créatures décrites dans le livre SMERSH. Témoignages de créatures déchaînées dans les champs, d'ovnis enlevant des humains. Même des images de créatures se promenant ont toutes été ajoutées aux documents. Le livre appartenait officiellement au KGB après l'effondrement de l'URSS et une copie en a été faite en Bouriatie, en Sibérie, qui a ensuite été divulguée au grand public. Fait amusant, la populaire série de jeux connue sous le nom de Mass Effect, qui a été créée par une société canadienne nommée BioWare, était l'une des sociétés qui ont eu accès au livre. Quand il a été diffusé au grand public et l'a utilisé comme source d'inspiration pour son propre jeu. Beaucoup de gens discréditent les déclarations de ce livre, mais il y a tout simplement trop de preuves à l'appui.
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  • ★ ZONE 51 : Quand un scientifique révèle que l’Armée US utilise de la technologie Extraterrestre !
    Lire ici : https://veriteailleurs.blogspot.com/2022/05/zone-51-quand-un-scientifique-revele.html
    " Les humains collaborent avec des Extraterrestres pour la construction de vaisseaux spatiaux antigravité " a déclaré un ingénieur américain ayant travaillé dans la zone 51 confirmant ainsi les rumeurs que les militaires travaillent avec des extraterrestres sur de la rétroingénierie d'OVNIS récupérés.
    ★ ZONE 51 : Quand un scientifique révèle que l’Armée US utilise de la technologie Extraterrestre ! Lire ici : https://veriteailleurs.blogspot.com/2022/05/zone-51-quand-un-scientifique-revele.html " Les humains collaborent avec des Extraterrestres pour la construction de vaisseaux spatiaux antigravité " a déclaré un ingénieur américain ayant travaillé dans la zone 51 confirmant ainsi les rumeurs que les militaires travaillent avec des extraterrestres sur de la rétroingénierie d'OVNIS récupérés.
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    ★ ZONE 51 : Quand un scientifique révèle que l’Armée US utilise de la technologie Extraterrestre !
    " Les humains collaborent avec des Extraterrestres pour la construction de vaisseaux spatiaux antigravité " a déclaré un ingénieur américain...
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  • Rapport Condon

    Le rapport Condon est le nom usuel du rapport du projet OVNI de l’université du Colorado. Ce projet a étudié les Objets Volants Non Identifiés de 1966 à 1968 sous la direction du physicien Edward Condon et a rendu son rapport en 1968. Il a été initié à la demande de l’US Air Force.

    Travaux:

    Après examen de plusieurs centaines de dossiers du Projet Blue Book et de certains groupes civils sur la recherche d’OVNI, le comité en a sélectionné 56 pour une analyse détaillée afin, d’une part, de déterminer si « l’analyse de nouvelles observations peut permettre d’augmenter les connaissances scientifiques utiles pour l’US air force » et, d’autre part, « de tirer des rapports sur les OVNI toute contribution pouvant être considérée comme un accroissement des connaissances scientifiques. ».

    Le rapport final, officiellement titré L’étude scientifique des Objets Volants Non Identifiés mais plus connu sous le nom de rapport Condon a été publié en 1968. Il a conclu « que l’étude des OVNI durant ces vingt et une dernières années n’a rien apporté à la connaissance scientifique [et] que d’autres études approfondies des OVNI ne peuvent probablement pas se justifier par l’espoir qu’elles pourraient faire progresser la science »et que certains scientifiques n’accepteraient pas sans sourciller la conclusion que l’étude des rapports OVNI n’est pas à même de faire avancer la science. En particulier le comité a conclu à des lacunes dans les domaines de l’optique atmosphérique, de la propagation d’ondes radio et d’électricité atmosphérique qui pourraient bénéficier des travaux effectués par le comité Condon. Ils concluent, d’autre part, que l’étude des 56 cas n’a pas apporté de preuves sur la réalité des ovnis ou sur l’hypothèse extraterrestre

    Le rapport a été relu par un panel de l’Académie des Sciences des États-Unis qui l’a validé, ainsi que ses conclusions et ses recommandations. Le rapport Condon reste donc encore aujourd’hui un document fondateur de l’approche sceptique du phénomène ovni. Il faut toutefois remarquer que l’Académie des Sciences ne s’était nullement intéressée aux ovnis et que sa consultation était une initiative de l’armée de l’air qui tenta ainsi de cacher les lacunes de ce travail. Les responsables de la censure de l’USAF craignaient en effet les conséquences d’un symposium devant réunir les scientifiques opposés à la thèse de Condon, symposium au cours duquel le travail de l’Université du Colorado aurait été vivement critiqué. En définitive, le rapport Condon n’a de valeur que pour ceux qui n’ont jamais analysé le travail effectué et la méthodologie mise en œuvre. Cette étude scientifique publique était la plus chère (500 000 dollars) consacrée à un sujet de ce type.

    Le contexte:

    Après les différentes commissions chargées de cette étude, l’U.S. Air Force fait savoir que rien ne permet de croire à l’existence d’une menace pour la sécurité des États-unis. Par menace, on entend d’hypothétiques vaisseaux extra-terrestres ou une arme secrète soviétique. Certains soupçonnèrent les officiels de cacher la vérité. Le président Truman démentit de telles hypothèses développées dans les médias. Pour certains, son intervention était la preuve d’une « conspiration du silence »; pour d’autres, elle ne fit qu’encourager le développement de thèses paranoïaques. Ce fut alors que les militaires se débarrassèrent du problème en le confiant à un organisme universitaire, ayant l’image de neutralité pour le public américain.

    Les principaux résultats de l’équipe Condon

    Analyse de la photo de McMinnville:

    Cette autorité scientifique a par exemple conclu, à propos de la photographie prise à McMinnville (11 mai 1950, Oregon), que « tous les facteurs étudiés, géométriques, psychologiques et physiques paraissent être cohérents avec l’assertion d’un objet volant extraordinaire, argenté, métallique, en forme de disque, de dizaines de mètres de diamètre, et évidemment artificiel, qui volait à portée de vue des deux témoins. On ne peut dire que les éléments excluent catégoriquement une fabrication, bien qu’il y ait des facteurs physiques tels que la précision de certaines mesures photométriques des négatifs d’origine qui arguent contre une fabrication.»

    Une étude chahutée

    La réaction négative des partisans des ovnis:

    Alors que quatre-vingt-dix-sept pour cent des observations avaient été expliquées par le projet blue book, les conclusions scientifiques identiques formulées par le rapport Condon ne plurent pas aux partisans de la thèse extraterrestre, lesquels, au lieu d’apporter des preuves scientifiques, recherchèrent la possibilité d’un biais et déclenchèrent la polémique axée sur la forme plutôt que le fond.

    Le psychologue David Saunders divulgue une note interne de l’administrateur de la commission, Robert Low, de 1966, précisant « Notre étude sera conduite exclusivement par des personnes qui n’y croient pas et qui, bien qu’elles ne pourront probablement pas prouver un résultat négatif, pourront fournir un ensemble impressionnant de preuves qu’il n’y a aucune réalité dans les observations. Le truc serait, je le pense, de présenter le projet de telle manière que pour le public, il apparaisse comme une étude tout à fait objective alors que, pour la communauté scientifique, il présenterait l’image d’un groupe de sceptiques faisant de leur mieux pour être objectifs mais avec un espoir pratiquement nul de trouver une soucoupe ». Cette note sortira dans la presse en avril 1968 et mènera à une polémique sur l’objectivité du rapport.

    Le magazine Look publie en mai 1968 un article virulent contre Condon et l’armée de l’air, et Frank Drake presse le président de l’Académie des sciences de condamner le futur rapport Condon, tandis que le député Edward Roush demande une enquête à la Chambre des représentants. L’Académie des sciences valide l’étude scientifique mais l’Institut américain de l’aéronautique et de l’astronautique (AIAA) estime que « la conclusion inverse aurait pu être déduite de son contenu, c’est-à-dire qu’un phénomène avec un ratio aussi élevé de cas inexpliqués (environ 15 %) devrait produire assez de curiosité scientifique pour continuer son étude ». À l’examen des courriers entre Robert Low et l’U.S.Air Force en vue de la signature du contrat les liant, apparaît le mot trick , mot signifiant aussi bien « astuce » que « fraude ou procédé malhonnête ».

    La négociation du contrat entre l’université du Colorado et le gouvernement américain:

    Craignant de se faire ridiculiser par la communauté scientifique (les histoires de soucoupes et de Martiens n’avaient pas bonne presse à l’époque) , Robert Low et Edward U.Condon négocièrent le contrat de manière à trouver une formulation assez habile pour que leur objectivité ne soit pas mise en doute et qu’ils ne soient pas la risée du monde universitaire.

    James Mac Donald reçut copie de ces documents, par l’intermédiaire de David Saunders et Levine, et fit une campagne de presse en interprétant le mot « trick » , l’astuce de formulation visant à éviter de ridiculiser des scientifiques, comme une fraude ou procédé malhonnête.

    Le précédent de la commission Warren, où l’on suspecte les commanditaires de l’assassinat de John Kennedy d’avoir voulu étouffer l’affaire, a laissé penser certains que d’autres commissions auraient pu avoir été truquées mais là pour des raisons moins évidentes.

    Les partisans des ovnis avancèrent l’idée, c’est la théorie du complot, que le gouvernement américain collaborait avec les extra-terrestres dans des bases secrètes afin de confectionner des engins nouveaux et des armes nouvelles.

    Source: Wikipedia
    Rapport Condon Le rapport Condon est le nom usuel du rapport du projet OVNI de l’université du Colorado. Ce projet a étudié les Objets Volants Non Identifiés de 1966 à 1968 sous la direction du physicien Edward Condon et a rendu son rapport en 1968. Il a été initié à la demande de l’US Air Force. Travaux: Après examen de plusieurs centaines de dossiers du Projet Blue Book et de certains groupes civils sur la recherche d’OVNI, le comité en a sélectionné 56 pour une analyse détaillée afin, d’une part, de déterminer si « l’analyse de nouvelles observations peut permettre d’augmenter les connaissances scientifiques utiles pour l’US air force » et, d’autre part, « de tirer des rapports sur les OVNI toute contribution pouvant être considérée comme un accroissement des connaissances scientifiques. ». Le rapport final, officiellement titré L’étude scientifique des Objets Volants Non Identifiés mais plus connu sous le nom de rapport Condon a été publié en 1968. Il a conclu « que l’étude des OVNI durant ces vingt et une dernières années n’a rien apporté à la connaissance scientifique [et] que d’autres études approfondies des OVNI ne peuvent probablement pas se justifier par l’espoir qu’elles pourraient faire progresser la science »et que certains scientifiques n’accepteraient pas sans sourciller la conclusion que l’étude des rapports OVNI n’est pas à même de faire avancer la science. En particulier le comité a conclu à des lacunes dans les domaines de l’optique atmosphérique, de la propagation d’ondes radio et d’électricité atmosphérique qui pourraient bénéficier des travaux effectués par le comité Condon. Ils concluent, d’autre part, que l’étude des 56 cas n’a pas apporté de preuves sur la réalité des ovnis ou sur l’hypothèse extraterrestre Le rapport a été relu par un panel de l’Académie des Sciences des États-Unis qui l’a validé, ainsi que ses conclusions et ses recommandations. Le rapport Condon reste donc encore aujourd’hui un document fondateur de l’approche sceptique du phénomène ovni. Il faut toutefois remarquer que l’Académie des Sciences ne s’était nullement intéressée aux ovnis et que sa consultation était une initiative de l’armée de l’air qui tenta ainsi de cacher les lacunes de ce travail. Les responsables de la censure de l’USAF craignaient en effet les conséquences d’un symposium devant réunir les scientifiques opposés à la thèse de Condon, symposium au cours duquel le travail de l’Université du Colorado aurait été vivement critiqué. En définitive, le rapport Condon n’a de valeur que pour ceux qui n’ont jamais analysé le travail effectué et la méthodologie mise en œuvre. Cette étude scientifique publique était la plus chère (500 000 dollars) consacrée à un sujet de ce type. Le contexte: Après les différentes commissions chargées de cette étude, l’U.S. Air Force fait savoir que rien ne permet de croire à l’existence d’une menace pour la sécurité des États-unis. Par menace, on entend d’hypothétiques vaisseaux extra-terrestres ou une arme secrète soviétique. Certains soupçonnèrent les officiels de cacher la vérité. Le président Truman démentit de telles hypothèses développées dans les médias. Pour certains, son intervention était la preuve d’une « conspiration du silence »; pour d’autres, elle ne fit qu’encourager le développement de thèses paranoïaques. Ce fut alors que les militaires se débarrassèrent du problème en le confiant à un organisme universitaire, ayant l’image de neutralité pour le public américain. Les principaux résultats de l’équipe Condon Analyse de la photo de McMinnville: Cette autorité scientifique a par exemple conclu, à propos de la photographie prise à McMinnville (11 mai 1950, Oregon), que « tous les facteurs étudiés, géométriques, psychologiques et physiques paraissent être cohérents avec l’assertion d’un objet volant extraordinaire, argenté, métallique, en forme de disque, de dizaines de mètres de diamètre, et évidemment artificiel, qui volait à portée de vue des deux témoins. On ne peut dire que les éléments excluent catégoriquement une fabrication, bien qu’il y ait des facteurs physiques tels que la précision de certaines mesures photométriques des négatifs d’origine qui arguent contre une fabrication.» Une étude chahutée La réaction négative des partisans des ovnis: Alors que quatre-vingt-dix-sept pour cent des observations avaient été expliquées par le projet blue book, les conclusions scientifiques identiques formulées par le rapport Condon ne plurent pas aux partisans de la thèse extraterrestre, lesquels, au lieu d’apporter des preuves scientifiques, recherchèrent la possibilité d’un biais et déclenchèrent la polémique axée sur la forme plutôt que le fond. Le psychologue David Saunders divulgue une note interne de l’administrateur de la commission, Robert Low, de 1966, précisant « Notre étude sera conduite exclusivement par des personnes qui n’y croient pas et qui, bien qu’elles ne pourront probablement pas prouver un résultat négatif, pourront fournir un ensemble impressionnant de preuves qu’il n’y a aucune réalité dans les observations. Le truc serait, je le pense, de présenter le projet de telle manière que pour le public, il apparaisse comme une étude tout à fait objective alors que, pour la communauté scientifique, il présenterait l’image d’un groupe de sceptiques faisant de leur mieux pour être objectifs mais avec un espoir pratiquement nul de trouver une soucoupe ». Cette note sortira dans la presse en avril 1968 et mènera à une polémique sur l’objectivité du rapport. Le magazine Look publie en mai 1968 un article virulent contre Condon et l’armée de l’air, et Frank Drake presse le président de l’Académie des sciences de condamner le futur rapport Condon, tandis que le député Edward Roush demande une enquête à la Chambre des représentants. L’Académie des sciences valide l’étude scientifique mais l’Institut américain de l’aéronautique et de l’astronautique (AIAA) estime que « la conclusion inverse aurait pu être déduite de son contenu, c’est-à-dire qu’un phénomène avec un ratio aussi élevé de cas inexpliqués (environ 15 %) devrait produire assez de curiosité scientifique pour continuer son étude ». À l’examen des courriers entre Robert Low et l’U.S.Air Force en vue de la signature du contrat les liant, apparaît le mot trick , mot signifiant aussi bien « astuce » que « fraude ou procédé malhonnête ». La négociation du contrat entre l’université du Colorado et le gouvernement américain: Craignant de se faire ridiculiser par la communauté scientifique (les histoires de soucoupes et de Martiens n’avaient pas bonne presse à l’époque) , Robert Low et Edward U.Condon négocièrent le contrat de manière à trouver une formulation assez habile pour que leur objectivité ne soit pas mise en doute et qu’ils ne soient pas la risée du monde universitaire. James Mac Donald reçut copie de ces documents, par l’intermédiaire de David Saunders et Levine, et fit une campagne de presse en interprétant le mot « trick » , l’astuce de formulation visant à éviter de ridiculiser des scientifiques, comme une fraude ou procédé malhonnête. Le précédent de la commission Warren, où l’on suspecte les commanditaires de l’assassinat de John Kennedy d’avoir voulu étouffer l’affaire, a laissé penser certains que d’autres commissions auraient pu avoir été truquées mais là pour des raisons moins évidentes. Les partisans des ovnis avancèrent l’idée, c’est la théorie du complot, que le gouvernement américain collaborait avec les extra-terrestres dans des bases secrètes afin de confectionner des engins nouveaux et des armes nouvelles. Source: Wikipedia
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  • Projet Grudge
    Le Projet Grudge (rancune en français) était une étude de l’US Air Force, chargée d’étudier le phénomène OVNI entre 1949 et 1952. Elle succède au projet Sign, qui avait le même but. Ce projet était dirigé par le général Charles Cabell. Le projet était de tendance sceptique, mais on peut légitimement lui reprocher son manque d’enquêtes sur le terrain, contrairement au projet Blue Book.

    Historique:

    Suite à la recrudescence de témoignages d’ovnis en 1947, l’US Air Force lance sous l’impulsion du général Twining un programme d’études des OVNI, le projet Sign. Le projet fut dissous en 1949 et remplacé par le Projet Grudge en février 1949.

    Le Projet Grudge fut la seconde étude officielle de l’US Air Force chargée d’étudier le phénomène OVNI entre 1949 et 1952. Le Projet, dirigé par le général Charles Cabell, fut controversé en raison d’un certain nombre de « démystifications » . Certains y virent une tentative de démystification (voire de désinformation) de l’US Air Force en réponse aux conclusions du projet Sign. Comme Sign, Grudge avait établi que la majorité des cas d’OVNI étaient dus à des méprises. Mais là où les enquêteurs du projet Sign admirent l’existence de cas mystérieux, les enquêteurs du projet Grudge affirmèrent que tous les cas non-identifiés étaient probablement causés par des phénomènes connus et des fabulations.

    Le Projet Grudge fut mis en sommeil puis réactivé le 12 septembre 1951, et le capitaine Edward J. Ruppelt en prit la direction. Le projet Grudge devint le projet Blue Book l’année suivante, et Ruppelt lui donna la rigueur scientifique qui manquait à Grudge.

    Le Rapport Grudge:

    En août 1949, le personnel de Grudge rendit son rapport, dans lequel il fut inscrit :
    Toutes les analyses indiquent que les observations d’OVNI résultent :

    1. D’une méprise avec des objets conventionnels
    2. D’une forme d’hystérie collective et de nervosité
    3. D’individus qui inventent ces observations pour faire des canulars ou se rendre intéressants
    4. De personnes atteintes de troubles psychiatriques

    Les conclusions du projet Grudge rejoignent ainsi les grandes lignes du modèle sociopsychologique du phénomène ovni.

    Controverses:

    Comme le soulignera en 1956 le futur chef du projet Blue Book, Ruppelt (dans son livre intitulé The Report on Unidentified Flying Objects), à propos du projet Grudge (ex-projet Sign) :

    « Avec le changement de nom et de personnel, vint le changement d’objectif, clairement affiché, qui était de se débarrasser des ovnis. Ce ne fut jamais écrit nulle part, mais il ne fallait guère d’efforts pour voir qu’il s’agissait là du véritable objectif du Projet Grudge. Ce but inavoué transparaissait dans chaque mémorandum, rapport ou directive. »

    L’astronome américain J. Allen Hynek, devenu partisan de l’hypothèse extraterrestre, critiqua Grudge pour les mêmes raisons. Ce dernier expliqua une partie des OVNI par des confusions avec des étoiles ou des planètes. Néanmoins, certains y voient un moyen pour lui de rendre responsable sa hiérarchie des erreurs qu’il a pu commettre dans ses enquêtes.

    C’est pour cela que le projet Grudge est généralement perçu par les ufologues défendant l’hypothèse extraterrestre comme une opération de démystification.

    Source: Wikipedia
    Projet Grudge Le Projet Grudge (rancune en français) était une étude de l’US Air Force, chargée d’étudier le phénomène OVNI entre 1949 et 1952. Elle succède au projet Sign, qui avait le même but. Ce projet était dirigé par le général Charles Cabell. Le projet était de tendance sceptique, mais on peut légitimement lui reprocher son manque d’enquêtes sur le terrain, contrairement au projet Blue Book. Historique: Suite à la recrudescence de témoignages d’ovnis en 1947, l’US Air Force lance sous l’impulsion du général Twining un programme d’études des OVNI, le projet Sign. Le projet fut dissous en 1949 et remplacé par le Projet Grudge en février 1949. Le Projet Grudge fut la seconde étude officielle de l’US Air Force chargée d’étudier le phénomène OVNI entre 1949 et 1952. Le Projet, dirigé par le général Charles Cabell, fut controversé en raison d’un certain nombre de « démystifications » . Certains y virent une tentative de démystification (voire de désinformation) de l’US Air Force en réponse aux conclusions du projet Sign. Comme Sign, Grudge avait établi que la majorité des cas d’OVNI étaient dus à des méprises. Mais là où les enquêteurs du projet Sign admirent l’existence de cas mystérieux, les enquêteurs du projet Grudge affirmèrent que tous les cas non-identifiés étaient probablement causés par des phénomènes connus et des fabulations. Le Projet Grudge fut mis en sommeil puis réactivé le 12 septembre 1951, et le capitaine Edward J. Ruppelt en prit la direction. Le projet Grudge devint le projet Blue Book l’année suivante, et Ruppelt lui donna la rigueur scientifique qui manquait à Grudge. Le Rapport Grudge: En août 1949, le personnel de Grudge rendit son rapport, dans lequel il fut inscrit : Toutes les analyses indiquent que les observations d’OVNI résultent : 1. D’une méprise avec des objets conventionnels 2. D’une forme d’hystérie collective et de nervosité 3. D’individus qui inventent ces observations pour faire des canulars ou se rendre intéressants 4. De personnes atteintes de troubles psychiatriques Les conclusions du projet Grudge rejoignent ainsi les grandes lignes du modèle sociopsychologique du phénomène ovni. Controverses: Comme le soulignera en 1956 le futur chef du projet Blue Book, Ruppelt (dans son livre intitulé The Report on Unidentified Flying Objects), à propos du projet Grudge (ex-projet Sign) : « Avec le changement de nom et de personnel, vint le changement d’objectif, clairement affiché, qui était de se débarrasser des ovnis. Ce ne fut jamais écrit nulle part, mais il ne fallait guère d’efforts pour voir qu’il s’agissait là du véritable objectif du Projet Grudge. Ce but inavoué transparaissait dans chaque mémorandum, rapport ou directive. » L’astronome américain J. Allen Hynek, devenu partisan de l’hypothèse extraterrestre, critiqua Grudge pour les mêmes raisons. Ce dernier expliqua une partie des OVNI par des confusions avec des étoiles ou des planètes. Néanmoins, certains y voient un moyen pour lui de rendre responsable sa hiérarchie des erreurs qu’il a pu commettre dans ses enquêtes. C’est pour cela que le projet Grudge est généralement perçu par les ufologues défendant l’hypothèse extraterrestre comme une opération de démystification. Source: Wikipedia
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  • Projet Blue Book
    Le projet Blue Book est une commission mise en place par l’US Air Force, afin d’étudier et d’enquêter sur le phénomène OVNI. Cette commission fut créée en 1952 et resta en activité jusqu’en 1969.

    Historique:

    Les premières observations d’ovnis qui suivirent la fin de la Seconde Guerre mondiale (notamment la célèbre histoire de Kenneth Arnold) mirent rapidement l’armée américaine en alerte. Dès 1947, l’US Air Force lança le projet Sign qui devait étudier la réalité ou non de ces phénomènes. Elle fut rebaptisée projet Grudge en 1949. En 1951, à la suite d’une importante vague de témoignages d’ovnis, l’armée décide de relancer le projet avec davantage de moyens.

    C’est le 12 avril 1952, que commença le « projet Blue Book », dirigé par le capitaine Edward J. Ruppelt. Cette commission se divisera en une section d’étude, une d’enquête, un agent de liaison avec le Pentagone et des consultants scientifiques civils. À la suite d’une recrudescence des témoignages d’ovnis au cours de l’année 1952, le gouvernement commença à s’intéresser au problème de plus près et décida d’enquêter. En septembre 1953, le capitaine Ruppelt démissionne de son poste. Il publiera, dès 1955, The Report on Unidentified Flying Objects, livre relatant les cas les plus significatifs qu’il avait pu traiter au sein du projet Blue Book.

    Le capitaine Charles Hardin reprend le commandement du projet en mars 1954. Il décide de déclassifier et de rendre public le rapport spécial N°14 du projet Blue Book. Ce rapport, qui conclut à l’inexistence des ovnis, est mis en vente auprès du grand public en octobre 1955.

    Le capitaine George T. Gregory est nommé à la tête du projet en avril 1956 ; il sera remplacé par le major Robert J. Friend en octobre 1958. En avril 1963, le projet Blue Book passe sous les ordres du major Hector Quintanilla. En mars 1966, plusieurs scientifiques civils du projet (dont J. Allen Hynek) prirent publiquement parti pour la réalité du phénomène ovni (et donc contre la position officielle du projet Blue Book), ce qu’ils n’ont jamais réussi à prouver. Ces divergences amèneront le gouvernement américain à commanditer, en 1969, un rapport d’experts auprès du docteur Edward Condon, de l’Université du Colorado afin d’établir ou non la réalité du phénomène ovni. Le rapport Condon conclura que les ovnis n’existent pas et que tous les témoignages reposent soit sur une méprise avec des phénomènes naturels, soit sur des hallucinations et que toute recherche scientifique dans ce domaine ne présente aucun intérêt. Le projet Blue Book sera donc officiellement dissout en décembre 1969 et cessera toute activité en janvier 1970.

    Champs d’étude et objectifs:

    Lors de sa création officielle, le 12 avril 1952, l’US Air Force définit très clairement les trois objectifs du projet Blue Book :

    – Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis.
    – Déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des États-Unis.
    – Déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter.

    À cela, vint s’ajouter un rôle de porte-parole gouvernemental sur le phénomène ovni qui, à de nombreuses reprises, obligea le projet Blue Book à délaisser l’objectivité scientifique pour répondre à des considérations plus politiques.
    Faits et chiffres:

    – Le projet Blue Book étudia 12 618 cas et retint 3 201 cas pour l’analyse statistique.
    – Le secrétaire de l’armée de l’air, Donald Quarles, annonce le chiffre de 3 % de cas inexpliqués lors de la conférence de presse du 25 octobre 1955.
    – Les archives du projet Blue Book comprennent 8 360 photos, 20 bobines de film (ce qui représente 6h30 de film) et 23 enregistrements audio d’interviews de témoins.
    – Conservées jusqu’en 1974 dans les archives de l’US Air Force, les archives du projet Blue Book sont stockées depuis 1976 aux archives nationales américaines après la censure de tous les noms de témoins.

    Conclusions:

    Dans son rapport annuel, le major Quantanilla, directeur du projet Blue Book déclare : « 30 seulement de tous les cas soumis à l’Air Force sont inexpliqués et 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 se rangent dans cette catégorie … Il n’existe aucune preuve que les O.V.N.I. encore « inexpliqués » représentent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ». Sur un panel de plus de onze mille affaires, quatre-vingt-dix-sept pour cent ont été élucidées et, de l’avis même de ceux qui ont travaillé au projet, rien n’indique que les quelques cas restants soient de nature différente, et que le statut « non-identifié » résulte d’un manque d’informations et non d’une catégorie nouvelle.

    Source: Wikipédia
    Projet Blue Book Le projet Blue Book est une commission mise en place par l’US Air Force, afin d’étudier et d’enquêter sur le phénomène OVNI. Cette commission fut créée en 1952 et resta en activité jusqu’en 1969. Historique: Les premières observations d’ovnis qui suivirent la fin de la Seconde Guerre mondiale (notamment la célèbre histoire de Kenneth Arnold) mirent rapidement l’armée américaine en alerte. Dès 1947, l’US Air Force lança le projet Sign qui devait étudier la réalité ou non de ces phénomènes. Elle fut rebaptisée projet Grudge en 1949. En 1951, à la suite d’une importante vague de témoignages d’ovnis, l’armée décide de relancer le projet avec davantage de moyens. C’est le 12 avril 1952, que commença le « projet Blue Book », dirigé par le capitaine Edward J. Ruppelt. Cette commission se divisera en une section d’étude, une d’enquête, un agent de liaison avec le Pentagone et des consultants scientifiques civils. À la suite d’une recrudescence des témoignages d’ovnis au cours de l’année 1952, le gouvernement commença à s’intéresser au problème de plus près et décida d’enquêter. En septembre 1953, le capitaine Ruppelt démissionne de son poste. Il publiera, dès 1955, The Report on Unidentified Flying Objects, livre relatant les cas les plus significatifs qu’il avait pu traiter au sein du projet Blue Book. Le capitaine Charles Hardin reprend le commandement du projet en mars 1954. Il décide de déclassifier et de rendre public le rapport spécial N°14 du projet Blue Book. Ce rapport, qui conclut à l’inexistence des ovnis, est mis en vente auprès du grand public en octobre 1955. Le capitaine George T. Gregory est nommé à la tête du projet en avril 1956 ; il sera remplacé par le major Robert J. Friend en octobre 1958. En avril 1963, le projet Blue Book passe sous les ordres du major Hector Quintanilla. En mars 1966, plusieurs scientifiques civils du projet (dont J. Allen Hynek) prirent publiquement parti pour la réalité du phénomène ovni (et donc contre la position officielle du projet Blue Book), ce qu’ils n’ont jamais réussi à prouver. Ces divergences amèneront le gouvernement américain à commanditer, en 1969, un rapport d’experts auprès du docteur Edward Condon, de l’Université du Colorado afin d’établir ou non la réalité du phénomène ovni. Le rapport Condon conclura que les ovnis n’existent pas et que tous les témoignages reposent soit sur une méprise avec des phénomènes naturels, soit sur des hallucinations et que toute recherche scientifique dans ce domaine ne présente aucun intérêt. Le projet Blue Book sera donc officiellement dissout en décembre 1969 et cessera toute activité en janvier 1970. Champs d’étude et objectifs: Lors de sa création officielle, le 12 avril 1952, l’US Air Force définit très clairement les trois objectifs du projet Blue Book : – Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis. – Déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des États-Unis. – Déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter. À cela, vint s’ajouter un rôle de porte-parole gouvernemental sur le phénomène ovni qui, à de nombreuses reprises, obligea le projet Blue Book à délaisser l’objectivité scientifique pour répondre à des considérations plus politiques. Faits et chiffres: – Le projet Blue Book étudia 12 618 cas et retint 3 201 cas pour l’analyse statistique. – Le secrétaire de l’armée de l’air, Donald Quarles, annonce le chiffre de 3 % de cas inexpliqués lors de la conférence de presse du 25 octobre 1955. – Les archives du projet Blue Book comprennent 8 360 photos, 20 bobines de film (ce qui représente 6h30 de film) et 23 enregistrements audio d’interviews de témoins. – Conservées jusqu’en 1974 dans les archives de l’US Air Force, les archives du projet Blue Book sont stockées depuis 1976 aux archives nationales américaines après la censure de tous les noms de témoins. Conclusions: Dans son rapport annuel, le major Quantanilla, directeur du projet Blue Book déclare : « 30 seulement de tous les cas soumis à l’Air Force sont inexpliqués et 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 se rangent dans cette catégorie … Il n’existe aucune preuve que les O.V.N.I. encore « inexpliqués » représentent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ». Sur un panel de plus de onze mille affaires, quatre-vingt-dix-sept pour cent ont été élucidées et, de l’avis même de ceux qui ont travaillé au projet, rien n’indique que les quelques cas restants soient de nature différente, et que le statut « non-identifié » résulte d’un manque d’informations et non d’une catégorie nouvelle. Source: Wikipédia
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  • Une Masse Noire mystérieuse a émergé de l’océan et a avalé une torpille.
    Le commandant David Fravor est devenu célèbre pour son récit de la rencontre du USS Nimitz avec un OVNI – mais il a maintenant affirmé que quelque chose d’encore plus effrayant avait été repéré une dizaine d’années auparavant.
    Un pilote de haut rang de l’US Navy a affirmé qu’une « masse noire » flippante avait été aperçue surgissant des profondeurs de l’océan quelques instants avant la disparition d’une torpille – 10 ans avant un incident de renommée mondiale.

    David Fravor, commandant de pilote retraité de l’US Navy, a d’abord attiré l’attention du public en 2017 après avoir décrit comment son escadron avait vu un objet de la taille d’un 737 juste sous la surface de l’eau pendant des exercices d’entraînement dans l’océan Pacifique, à 160 km des côtes de San Diego.

    L’incident – qui s’est produit en 2004 – est devenu connu sous le nom de rencontre de l’USS Nimitz après que les pilotes eurent vu un OVNI en forme de (bonbon) tic-tac dans le ciel près de la masse.

    Dans un nouveau récit explosif, le pilote a partagé un autre mystère sur les ovnis qui a émergé depuis l’apparition de son récit.

    S’adressant à Joe Rogan, le commandant Fravor a déclaré qu’un autre pilote avait déjà eu une rencontre semblable à la fin des années 1990 au large des côtes de Porto Rico.
    Il a expliqué que le pilote était à bord d’un CH-53 et qu’il allait intercepter un BQM (un drone sans pilote utilisé par l’US Air Force).

    Un plongeur a été jeté à l’eau pour l’accrocher et ensuite revenir en avion, quand quelque chose de vraiment bizarre s’est produit.

    « Ils sont à 15 mètres au-dessus de l’eau, il voit ce genre de masse sombre qui monte des profondeurs », a-t-il ajouté.

    « Pendant qu’ils hissent le BQM, il regarde ce truc en disant : ‘Qu’est-ce que c’est que ça ? Et puis il redescend sous l’eau’. »

    « Une fois le gamin et le BQM hors de l’eau, cet objet est retourné dans les profondeurs. »

    Le pilote croit que l’incident est « assez bizarre » mais, chose incroyable, la même chose s’est produite quelques mois plus tard.

    Fravor a dit : « Il ramassait une torpille, ils accrochaient le plongeur au treuil, et en l’abaissant, puis il a vu cette grosse masse. »
    Il a dit : « Ce n’est pas un sous-marin », il a déjà vu des sous-marins, une fois qu’on a vu un sous-marin, on ne peut pas le confondre avec autre chose.

    « Ce gros objet, de forme circulaire, sort des profondeurs et il commence à crier dans l’interphone pour leur dire de ramener le plongeur à la surface, et le plongeur n’est qu’à quelques mètres sous l’eau. »

    Il a continué : « Ils inversent le treuil et le plongeur s’est dit : ‘Qu’est-ce qui se passe ?’ »

    « Et tout à coup, il a dit que la torpille venait d’être aspirée sous l’eau, et que l’objet venait de redescendre dans les profondeurs. »

    « Ils ne l’ont jamais retrouvée. »

    Le commandant Fravor a dit que le pilote de l’hélicoptère était catégorique : la torpille « n’a pas coulé » parce qu’elle « avait littéralement l’air d’avoir été aspirée ».

    Source: Daily Star, Traduction par Nouvelordremondial
    Une Masse Noire mystérieuse a émergé de l’océan et a avalé une torpille. Le commandant David Fravor est devenu célèbre pour son récit de la rencontre du USS Nimitz avec un OVNI – mais il a maintenant affirmé que quelque chose d’encore plus effrayant avait été repéré une dizaine d’années auparavant. Un pilote de haut rang de l’US Navy a affirmé qu’une « masse noire » flippante avait été aperçue surgissant des profondeurs de l’océan quelques instants avant la disparition d’une torpille – 10 ans avant un incident de renommée mondiale. David Fravor, commandant de pilote retraité de l’US Navy, a d’abord attiré l’attention du public en 2017 après avoir décrit comment son escadron avait vu un objet de la taille d’un 737 juste sous la surface de l’eau pendant des exercices d’entraînement dans l’océan Pacifique, à 160 km des côtes de San Diego. L’incident – qui s’est produit en 2004 – est devenu connu sous le nom de rencontre de l’USS Nimitz après que les pilotes eurent vu un OVNI en forme de (bonbon) tic-tac dans le ciel près de la masse. Dans un nouveau récit explosif, le pilote a partagé un autre mystère sur les ovnis qui a émergé depuis l’apparition de son récit. S’adressant à Joe Rogan, le commandant Fravor a déclaré qu’un autre pilote avait déjà eu une rencontre semblable à la fin des années 1990 au large des côtes de Porto Rico. Il a expliqué que le pilote était à bord d’un CH-53 et qu’il allait intercepter un BQM (un drone sans pilote utilisé par l’US Air Force). Un plongeur a été jeté à l’eau pour l’accrocher et ensuite revenir en avion, quand quelque chose de vraiment bizarre s’est produit. « Ils sont à 15 mètres au-dessus de l’eau, il voit ce genre de masse sombre qui monte des profondeurs », a-t-il ajouté. « Pendant qu’ils hissent le BQM, il regarde ce truc en disant : ‘Qu’est-ce que c’est que ça ? Et puis il redescend sous l’eau’. » « Une fois le gamin et le BQM hors de l’eau, cet objet est retourné dans les profondeurs. » Le pilote croit que l’incident est « assez bizarre » mais, chose incroyable, la même chose s’est produite quelques mois plus tard. Fravor a dit : « Il ramassait une torpille, ils accrochaient le plongeur au treuil, et en l’abaissant, puis il a vu cette grosse masse. » Il a dit : « Ce n’est pas un sous-marin », il a déjà vu des sous-marins, une fois qu’on a vu un sous-marin, on ne peut pas le confondre avec autre chose. « Ce gros objet, de forme circulaire, sort des profondeurs et il commence à crier dans l’interphone pour leur dire de ramener le plongeur à la surface, et le plongeur n’est qu’à quelques mètres sous l’eau. » Il a continué : « Ils inversent le treuil et le plongeur s’est dit : ‘Qu’est-ce qui se passe ?’ » « Et tout à coup, il a dit que la torpille venait d’être aspirée sous l’eau, et que l’objet venait de redescendre dans les profondeurs. » « Ils ne l’ont jamais retrouvée. » Le commandant Fravor a dit que le pilote de l’hélicoptère était catégorique : la torpille « n’a pas coulé » parce qu’elle « avait littéralement l’air d’avoir été aspirée ». Source: Daily Star, Traduction par Nouvelordremondial
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