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  • #SudRadio #Bercoff #LE_FACE_A_FACE #Paul_Antoine_Martin #auditeurs #fonction_publique #politique #fonctionnaires #mandat #hauts_fonctionnaires #ena #Polytechnique #gouvernement #réalité #pays #clan #mafia #pouvoir #influence #administration #ministre #établissement #contrôle #fraternité #livre #réforme_des_retraites #travail #caste #privilèges #capacités_intellectuelles #avantages #impunité #argent_publique #carrière #rouages #cupidité #imposteur #tartuffe #manipulation #prestidigitateur #convictions #système #public #privé #capacité #stratégie #réseau #ports #maritime #industrie #histoire
    https://www.youtube.com/watch?v=icqCyLoW3bM
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  • Voici quelques questions que l'on peut se poser!!!! beaucoup, beaucoup. trop de. questionssssssssssss

    POURQUOI AVOIR RESUSCITE UNE CASTE DE COURTISANS DIGNE DE L'ANCIEN REGIME ?
    - Pourquoi un député au bout de seulement cinq ans de cotisation retraite touche une retraite moyenne de 1 500 €/mois alors qu’un employé pour 42 années de cotisation touchera 896 euros en moyenne ?
    - Pourquoi, au bout de deux mandats de six ans chacun, un sénateur peut-il toucher plus de 3 700 € par mois de retraite ?
    - Pourquoi la retraite des élus n’est-elle pas prise en compte dans l’écrêtement (8 200 €) des indemnités d’élus ?
    - Pourquoi une cotisation retraite d’élu rapporte-t-elle en moyenne 6,50 € pour un euro cotisé pendant vingt ans alors qu’un salarié du régime général touche entre 0,87 et 1,57 € pour un euro cotisé pendant quarante-deux ans ?
    - Pourquoi un élu peut-il cumuler ses différentes retraites (jusqu’à 5 retraites) ?
    - Pourquoi un élu peut-il travailler en touchant sa (ses) retraite(s) d’élu complète(s) sans plafond de montant alors que le citoyen lambda ne peut le faire sans dépasser la valeur de son dernier salaire ?
    - Pourquoi les élus ont-ils une retraite par capitalisation et ’interdisent-ils résolument aux « autres » qui n’ont droit qu’à une retraite par répartition ?
    - Pourquoi les cotisations retraite des élus peuvent-elles être abondées par les collectivités, ce qui permet à un parlementaire de toucher sa retraite à taux plein avec moins d’annuités de cotisation ?
    - Pourquoi une partie de la pension de retraite des parlementaires est-elle insaisissable (même en cas de fraude ou d’amende) ?
    - Pourquoi un agent public qui voudrait se présenter à une élection législative ne devrait-il pas démissionner de la fonction publique ? Un salarié le doit, lui, s’il veut travailler ailleurs !
    - Pourquoi deux ans d’allocations chômage pour un salarié lambda du régime général et cinq ans pour les députés ? Ceux-ci ont-ils plus de mal à retrouver un travail ?
    - Pourquoi les députés qui ne se représentent pas peuvent-ils toucher l’allocation différentielle et dégressive de retour à l’emploi ? Un salarié qui démissionne n’a lui, droit à rien !
    - Pourquoi faut-il avoir un casier judiciaire vierge pour entrer dans certaines professions et que ce n’est pas le cas pour être élu ?
    - Pourquoi la fraude dans la déclaration de patrimoine d’un élu ne vaut-elle pas la prison mais seulement 30 000 € d’amende alors que la simple fraude d’un citoyen pour faux et usage de faux d’un document délivré par l’Administration est punissable de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende ?
    - Pourquoi un parlementaire (député ou sénateur) touche-t-il une IRFM (indemnité représentative de frais de mandat) de 5 770 € par mois pour un député et de 6 200 € par mois pour un sénateur, dont l’usage n’est pas contrôlable et pour lequel il n’a de compte à rendre à personne ?
    - Pourquoi, durant son mandat, un élu peut-il s’acheter un bien qu’il nomme souvent « permanence », le payer à crédit avec l’IRFM, qui est de l’argent public, et le garder ou le vendre pour son bénéfice personnel ?
    - Pourquoi les parlementaires cumulards peuvent-ils toucher plusieurs enveloppes de frais de représentation (frais en tant que président d’agglomération, frais en tant que maire, IRFM en tant que député…) ?
    - Pourquoi les restaurants trois étoiles (cinq étoiles ?) de l’Assemblée nationale et du Sénat coûtent-ils si peu cher à l’élu ?
    - Pourquoi un élu à revenu égal de celui d’un salarié paye-t-il moins d’impôt sur le revenu ?
    - Pourquoi parle-t-on toujours de réduire le nombre de fonctionnaires mais jamais celui des parlementaires ?
    - Pourquoi les sénateurs se sont-ils versé en 2011, au titre d’un « rattrapage exceptionnel », une prime de 3 531,61 € avant les congés d’été… ?
    - Pourquoi aucun chiffre n’existe sur la présence ou non des sénateurs lors des séances au Sénat ?
    - Pourquoi la pension de réversion d’un élu décédé est-elle de 66 % sans condition de ressources du survivant alors que celle d’un salarié du privé est de 54 % sous condition de ressources du survivant (aucune réversion au-dessus de 19 614,40 brut annuel !
    - Pourquoi la retraite d’un élu est-elle garantie et connue d’avance alors qu’un salarié du régime général n’est sûr de rien ?
    - Pourquoi un député peut-il cumuler plusieurs « réserves parlementaires » sans que cela se sache officiellement ?
    - Pourquoi l’indemnité de fonction d’un député et son IRFM ne sont-elles pas imposables ?
    - Pourquoi un député a-t-il droit au remboursement de frais de taxis parisiens (alors qu’il touche l’IRFM pour ça) ?
    - Pourquoi un ancien sénateur ou un ancien député ont-ils droit à la gratuité à vie en première classe SNCF ?
    - Pourquoi un ancien sénateur et son conjoint ont-ils le droit du remboursement de la moitié de 12 vols Air France par an et à vie ?
    - Pourquoi un sénateur peut-il emprunter jusqu’à 150 000 € à un taux préférentiel ?
    - Pourquoi les anciens ministres, leurs conjoints et leurs enfants ont-ils droit à la gratuité à vie des vols Air France et à la gratuité à vie des transports sur le réseau SNCF ?
    - Pourquoi y a-t-il dans le service des fraudes un service spécial pour les élus ?
    - Pourquoi une fraude d’élu est-elle différente des autres pour bénéficier d’un traitement de faveur ?
    - Pourquoi un élu condamné définitivement ne rembourse-t-il pas les frais d’avocat dépensés pour lui par la collectivité ?



    Faites tourner... l'omerta de leurs copains journalistes protège leur abattement fiscal 30% de leurs revenus. Il faut le savoir.
    Voici quelques questions que l'on peut se poser!!!! beaucoup, beaucoup. trop de. questionssssssssssss POURQUOI AVOIR RESUSCITE UNE CASTE DE COURTISANS DIGNE DE L'ANCIEN REGIME ? - Pourquoi un député au bout de seulement cinq ans de cotisation retraite touche une retraite moyenne de 1 500 €/mois alors qu’un employé pour 42 années de cotisation touchera 896 euros en moyenne ? - Pourquoi, au bout de deux mandats de six ans chacun, un sénateur peut-il toucher plus de 3 700 € par mois de retraite ? - Pourquoi la retraite des élus n’est-elle pas prise en compte dans l’écrêtement (8 200 €) des indemnités d’élus ? - Pourquoi une cotisation retraite d’élu rapporte-t-elle en moyenne 6,50 € pour un euro cotisé pendant vingt ans alors qu’un salarié du régime général touche entre 0,87 et 1,57 € pour un euro cotisé pendant quarante-deux ans ? - Pourquoi un élu peut-il cumuler ses différentes retraites (jusqu’à 5 retraites) ? - Pourquoi un élu peut-il travailler en touchant sa (ses) retraite(s) d’élu complète(s) sans plafond de montant alors que le citoyen lambda ne peut le faire sans dépasser la valeur de son dernier salaire ? - Pourquoi les élus ont-ils une retraite par capitalisation et ’interdisent-ils résolument aux « autres » qui n’ont droit qu’à une retraite par répartition ? - Pourquoi les cotisations retraite des élus peuvent-elles être abondées par les collectivités, ce qui permet à un parlementaire de toucher sa retraite à taux plein avec moins d’annuités de cotisation ? - Pourquoi une partie de la pension de retraite des parlementaires est-elle insaisissable (même en cas de fraude ou d’amende) ? - Pourquoi un agent public qui voudrait se présenter à une élection législative ne devrait-il pas démissionner de la fonction publique ? Un salarié le doit, lui, s’il veut travailler ailleurs ! - Pourquoi deux ans d’allocations chômage pour un salarié lambda du régime général et cinq ans pour les députés ? Ceux-ci ont-ils plus de mal à retrouver un travail ? - Pourquoi les députés qui ne se représentent pas peuvent-ils toucher l’allocation différentielle et dégressive de retour à l’emploi ? Un salarié qui démissionne n’a lui, droit à rien ! - Pourquoi faut-il avoir un casier judiciaire vierge pour entrer dans certaines professions et que ce n’est pas le cas pour être élu ? - Pourquoi la fraude dans la déclaration de patrimoine d’un élu ne vaut-elle pas la prison mais seulement 30 000 € d’amende alors que la simple fraude d’un citoyen pour faux et usage de faux d’un document délivré par l’Administration est punissable de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende ? - Pourquoi un parlementaire (député ou sénateur) touche-t-il une IRFM (indemnité représentative de frais de mandat) de 5 770 € par mois pour un député et de 6 200 € par mois pour un sénateur, dont l’usage n’est pas contrôlable et pour lequel il n’a de compte à rendre à personne ? - Pourquoi, durant son mandat, un élu peut-il s’acheter un bien qu’il nomme souvent « permanence », le payer à crédit avec l’IRFM, qui est de l’argent public, et le garder ou le vendre pour son bénéfice personnel ? - Pourquoi les parlementaires cumulards peuvent-ils toucher plusieurs enveloppes de frais de représentation (frais en tant que président d’agglomération, frais en tant que maire, IRFM en tant que député…) ? - Pourquoi les restaurants trois étoiles (cinq étoiles ?) de l’Assemblée nationale et du Sénat coûtent-ils si peu cher à l’élu ? - Pourquoi un élu à revenu égal de celui d’un salarié paye-t-il moins d’impôt sur le revenu ? - Pourquoi parle-t-on toujours de réduire le nombre de fonctionnaires mais jamais celui des parlementaires ? - Pourquoi les sénateurs se sont-ils versé en 2011, au titre d’un « rattrapage exceptionnel », une prime de 3 531,61 € avant les congés d’été… ? - Pourquoi aucun chiffre n’existe sur la présence ou non des sénateurs lors des séances au Sénat ? - Pourquoi la pension de réversion d’un élu décédé est-elle de 66 % sans condition de ressources du survivant alors que celle d’un salarié du privé est de 54 % sous condition de ressources du survivant (aucune réversion au-dessus de 19 614,40 brut annuel ! - Pourquoi la retraite d’un élu est-elle garantie et connue d’avance alors qu’un salarié du régime général n’est sûr de rien ? - Pourquoi un député peut-il cumuler plusieurs « réserves parlementaires » sans que cela se sache officiellement ? - Pourquoi l’indemnité de fonction d’un député et son IRFM ne sont-elles pas imposables ? - Pourquoi un député a-t-il droit au remboursement de frais de taxis parisiens (alors qu’il touche l’IRFM pour ça) ? - Pourquoi un ancien sénateur ou un ancien député ont-ils droit à la gratuité à vie en première classe SNCF ? - Pourquoi un ancien sénateur et son conjoint ont-ils le droit du remboursement de la moitié de 12 vols Air France par an et à vie ? - Pourquoi un sénateur peut-il emprunter jusqu’à 150 000 € à un taux préférentiel ? - Pourquoi les anciens ministres, leurs conjoints et leurs enfants ont-ils droit à la gratuité à vie des vols Air France et à la gratuité à vie des transports sur le réseau SNCF ? - Pourquoi y a-t-il dans le service des fraudes un service spécial pour les élus ? - Pourquoi une fraude d’élu est-elle différente des autres pour bénéficier d’un traitement de faveur ? - Pourquoi un élu condamné définitivement ne rembourse-t-il pas les frais d’avocat dépensés pour lui par la collectivité ? 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  • David Merlin

    Les retraités il les a plumés !! Les infirmières il les a dégoûtés !! Les militaires ils les a humiliés !! La police il l’a muselée !! Les Français il les a plumés !! Les handicapés ils les a oubliés !! Les fonctionnaires c’est pareil !! La presse il l’a achetée !! Les journalistes il les a muselés !! Le pouvoir d’achat il l’a diminué !! Les gilets jaunes il les a trompés! La France il l’a ruinée !! Etc etc etc etc etchttps://www.facebook.com/photo/?fbid=7909634805728932&set=a.517434801615673
    David Merlin Les retraités il les a plumés !! Les infirmières il les a dégoûtés !! Les militaires ils les a humiliés !! La police il l’a muselée !! Les Français il les a plumés !! Les handicapés ils les a oubliés !! Les fonctionnaires c’est pareil !! La presse il l’a achetée !! Les journalistes il les a muselés !! Le pouvoir d’achat il l’a diminué !! Les gilets jaunes il les a trompés! La France il l’a ruinée !! Etc etc etc etc etchttps://www.facebook.com/photo/?fbid=7909634805728932&set=a.517434801615673
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  • "...on découvre, pantois, les pratiques de McKinsey, cette entreprise emblématique du capitalisme le plus sauvage, qui emploie d'anciens hauts fonctionnaires français, parfois militants politiques à leurs heures perdues (bien souvent chez En Marche), afin de vendre à l'État à des prix exorbitants des prestations intellectuelles basiques. On pense notamment à ce rapport sur "l'avenir du métier d'enseignant" facturé 496 800 euros. Un rapport qui s'avère n'être qu'une simple compilation de données publiques, destinée à un colloque international n'ayant jamais eu lieu ! https://frontpopulaire.fr/o/Content/co1402584/affaire-mckinsey-pourquoi-c-est-une-affaire-d-etat?utm_source=frontpopulaire&utm_medium=newsletter&utm_campaign=nl3103fp&utm_content=MCKINSEY+AFFAIRE+ETAT&utm_medium=email&utm_source=frontpop&utm_term=NL3103FP&utm_content=%20Violence%20d%27extr%C3%AAme%20centre%20%3A%20le%20cas%20M%27jid%20El%20Guerrab%20vu%20par%20C%C3%A9line%20Pina
    "...on découvre, pantois, les pratiques de McKinsey, cette entreprise emblématique du capitalisme le plus sauvage, qui emploie d'anciens hauts fonctionnaires français, parfois militants politiques à leurs heures perdues (bien souvent chez En Marche), afin de vendre à l'État à des prix exorbitants des prestations intellectuelles basiques. On pense notamment à ce rapport sur "l'avenir du métier d'enseignant" facturé 496 800 euros. Un rapport qui s'avère n'être qu'une simple compilation de données publiques, destinée à un colloque international n'ayant jamais eu lieu ! https://frontpopulaire.fr/o/Content/co1402584/affaire-mckinsey-pourquoi-c-est-une-affaire-d-etat?utm_source=frontpopulaire&utm_medium=newsletter&utm_campaign=nl3103fp&utm_content=MCKINSEY+AFFAIRE+ETAT&utm_medium=email&utm_source=frontpop&utm_term=NL3103FP&utm_content=%20Violence%20d%27extr%C3%AAme%20centre%20%3A%20le%20cas%20M%27jid%20El%20Guerrab%20vu%20par%20C%C3%A9line%20Pina
    FRONTPOPULAIRE.FR
    Affaire McKinsey : pourquoi c'est une affaire d'État
    ARTICLE. Agissant comme un puissant révélateur de l'incurie macronienne, l'affaire McKinsey met les membres de l’exécutif dans un embarras qu'ils n'arrivent plus à cacher. Étonnamment pourtant, la question des conflits d'intérêts du cabinet américain avec l'industrie pharmaceutique est rarement soulevée dans les médias et par les adversaires politiques du Président.
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  • Royaume-Uni : La fraude Covid-19 doit maintenant faire l’objet d’une enquête criminelle !?

    « Le 20 décembre, une série de documents ont été déposés dans un poste de police de l’ouest de Londres soutenant l’allégation d’un crime lié au programme de vaccination britannique », a déclaré le porte-parole à Reuters le 19 janvier .

    « Les fonctionnaires ont été chargés d’examiner les documents. Ce processus prend beaucoup de temps et a été prolongé par la soumission de documents supplémentaires par des personnes à qui on a demandé de le faire en ligne.

    L’enquête est en cours, mais jusqu’à présent, il n’y a aucune preuve d’un crime, et aucune enquête criminelle n’aurait été ouverte.

    Seule l’information sur le site internet de la police, avant l’attribution d’un numéro de dossier, et une « évaluation de l’enquête » est effective. Les informations recueillies sont examinées pour décider si d’autres enquêtes sont justifiées. Plus d’informations sur cette procédure peuvent êtretrouvées ici .

    Reuters écrit :

    Cependant, la police métropolitaine a déclaré à Reuters qu’aucune enquête criminelle n’avait été détenue en lien avec les vaccins contre la COVID-19, confirmant qu’aucun centre de vaccination n’avait été fermé dans le cadre d’une enquête inexistant ».

    Un porte-parole a déclaré dans un courriel que l’émission d’un CRN ne signifie pas automatiquement qu’une enquête a été commise - ni qu’un crime a été réellement commis.

    Au contraire, un CRN signifie que la police a reçu et enregistré une accusation.
    Royaume-Uni : La fraude Covid-19 doit maintenant faire l’objet d’une enquête criminelle !? « Le 20 décembre, une série de documents ont été déposés dans un poste de police de l’ouest de Londres soutenant l’allégation d’un crime lié au programme de vaccination britannique », a déclaré le porte-parole à Reuters le 19 janvier . « Les fonctionnaires ont été chargés d’examiner les documents. Ce processus prend beaucoup de temps et a été prolongé par la soumission de documents supplémentaires par des personnes à qui on a demandé de le faire en ligne. L’enquête est en cours, mais jusqu’à présent, il n’y a aucune preuve d’un crime, et aucune enquête criminelle n’aurait été ouverte. Seule l’information sur le site internet de la police, avant l’attribution d’un numéro de dossier, et une « évaluation de l’enquête » est effective. Les informations recueillies sont examinées pour décider si d’autres enquêtes sont justifiées. Plus d’informations sur cette procédure peuvent êtretrouvées ici . Reuters écrit : Cependant, la police métropolitaine a déclaré à Reuters qu’aucune enquête criminelle n’avait été détenue en lien avec les vaccins contre la COVID-19, confirmant qu’aucun centre de vaccination n’avait été fermé dans le cadre d’une enquête inexistant ». Un porte-parole a déclaré dans un courriel que l’émission d’un CRN ne signifie pas automatiquement qu’une enquête a été commise - ni qu’un crime a été réellement commis. Au contraire, un CRN signifie que la police a reçu et enregistré une accusation.
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  • Bill Gates et Adar Poonawala sont poursuivis pour la mort d’un jeune homme de 23 ans par un vaccin d’AstraZeneca.

    Une vaste action en justice a été intentée contre Bill Gates, Adar Poonawala et le gouvernement indien, ainsi que plusieurs responsables de la santé, pour la mort d’un jeune adulte de 23 ans à la suite de la vaccination COVID d’AstraZeneca.

    Un pétitionnaire indien tente de poursuivre Bill Gates, le tsar indien des vaccins Adar Poonawalla, ainsi que le gouvernement indien et les responsables de la santé publique pour la mort d’un jeune homme de 23 ans décédé après le vaccin Covishield d’AstraZeneca. Il pourrait s’agir de la première affaire judiciaire de ce type au monde.

    Au nom de son fils décédé, Shri Hitesh Kadve, Kiran Yadav a intenté une action en justice pour meurtre, Smt. Kiran Yadav contre l’État du Maharashtra & Ors. (ci-après désignée Yadav c. Maharashtra), devant la Haute Cour de Justice de Bombay.

    Le 29 septembre 2021, son fils a été vacciné. Selon la poursuite, il a succombé aux effets négatifs du vaccin le même jour.

    La poursuite allègue que Kadve est mort « à la suite d’actes délibérés et d’omissions attribuables à certains fonctionnaires qui abusent de leur position pour prendre des mesures politiques en faveur de la mafia pharmaceutique et sont donc responsables de meurtres de masse ».

    SOURCE : BILL GATES ET ADAR POONAWALA CIBLES DANS UN PROCÈS POUR LA MORT D’UN JEUNE HOMME DE 23 ANS DU VACCIN D’ASTRAZENECA
    Bill Gates et Adar Poonawala sont poursuivis pour la mort d’un jeune homme de 23 ans par un vaccin d’AstraZeneca. Une vaste action en justice a été intentée contre Bill Gates, Adar Poonawala et le gouvernement indien, ainsi que plusieurs responsables de la santé, pour la mort d’un jeune adulte de 23 ans à la suite de la vaccination COVID d’AstraZeneca. Un pétitionnaire indien tente de poursuivre Bill Gates, le tsar indien des vaccins Adar Poonawalla, ainsi que le gouvernement indien et les responsables de la santé publique pour la mort d’un jeune homme de 23 ans décédé après le vaccin Covishield d’AstraZeneca. Il pourrait s’agir de la première affaire judiciaire de ce type au monde. Au nom de son fils décédé, Shri Hitesh Kadve, Kiran Yadav a intenté une action en justice pour meurtre, Smt. Kiran Yadav contre l’État du Maharashtra & Ors. (ci-après désignée Yadav c. Maharashtra), devant la Haute Cour de Justice de Bombay. Le 29 septembre 2021, son fils a été vacciné. Selon la poursuite, il a succombé aux effets négatifs du vaccin le même jour. La poursuite allègue que Kadve est mort « à la suite d’actes délibérés et d’omissions attribuables à certains fonctionnaires qui abusent de leur position pour prendre des mesures politiques en faveur de la mafia pharmaceutique et sont donc responsables de meurtres de masse ». SOURCE : BILL GATES ET ADAR POONAWALA CIBLES DANS UN PROCÈS POUR LA MORT D’UN JEUNE HOMME DE 23 ANS DU VACCIN D’ASTRAZENECA
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  • Un projet de loi déposé à Washington permettrait à une « force de frappe » de « détenir » des familles non vaccinées. Des camps d'internement ont déjà été mis en place.

    Le département de la santé de l'État de Washington pourrait bientôt modifier la loi pour autoriser l'incarcération des résidents de moins de 5 ans dans des « centres de détention Covid-19 » s'ils ne respectent pas le mandat de l'État pour la vaccination expérimentale.

    WAC 246-100-040 , une révision proposée pour incorporer le protocole Covid dans la loi sur les maladies transmissibles et certaines autres maladies de l'État, décrit les « procédures d'isolement ou de quarantaine ». La mesure permettrait aux autorités sanitaires locales de délivrer « une ordonnance de détention d'urgence qui entraînerait la détention immédiate d'une personne ou d'un groupe de personnes pour isolement ou quarantaine » à « leur propre discrétion ».

    Les responsables de la santé sont tenus de fournir des dossiers montrant que les résidents non vaccinés qui sont en détention, "les demandes d'examen médical, de test, de traitement, de conseil, de vaccination, de décontamination de personnes ou d'animaux, d'isolement, de quarantaine et d'inspection et de fermeture des installations" avant d'être involontairement placés dans des installations de quarantaine, lit-on dans la résolution.

    La loi modifiée permettrait également aux responsables de la santé d'utiliser des agents des forces de l'ordre pour aider à arrêter les résidents de Washington qui enfreignent la réglementation.

    Conformément à W 246-100-040 , un agent de santé local peut utiliser les pouvoirs des agents de la force publique, des shérifs, des agents de police et de tous les autres fonctionnaires et employés de toute subdivision politique relevant de la compétence du ministère de la Santé pour émettre des ordonnances visant à mettre en œuvre les objectifs de cette section conformément aux dispositions de RCW 43.20.050 (4) et 70.05.120 à appliquer immédiatement.

    Le « Emergency Arrest Order » légalise l'isolement et la détention des citoyens américains qui ne se soumettent pas volontairement aux vaccinations de thérapie génique Covid « pendant une période de dix jours ou moins ».

    Cependant, un juge peut prolonger la quarantaine forcée « pour une durée maximale de trente jours » si la personne ou la famille isolée continue de refuser la vaccination.

    Le WAC 246-100-040 a été certifié le 25 octobre 2019, quelques mois avant l'épidémie de coronavirus aux États-Unis. Le premier cas confirmé de Covid aux États-Unis a été diagnostiqué à Seattle le 20 janvier 2020.

    Le département de la santé de l'État de Washington tiendra une session publique virtuelle le 12 janvier pour discuter de l'application du W246-100-040 .


    Scott Miller, un assistant médical basé à Washington qui dirige une clinique privée pour enfants, a perdu sa licence médicale en octobre pour avoir fourni de l'ivermectine, des vitamines et d'autres traitements puissants à plus de deux mille patients Covid gravement malades.

    Miller témoignera lors de la session Zoom de huit heures du WSBH mercredi pour avertir de l'avènement de la vaccination expérimentale pour les enfants et pour fournir des données à l'appui des blessures aiguës et des décès liés au vaccin.

    Toujours aux prises avec les conséquences du retrait de sa licence médicale pour avoir sauvé des vies, Miller se demande combien de familles innocentes doivent fuir l'État pour retrouver la liberté fondamentale qui était autrefois omniprésente dans les États si cette soi-disant loi d'urgence est adoptée.

    « J'étais debout à 5h30 ce matin. J'ai reçu un appel d'une femme de l'Ohio dont le mari a été infecté le huitième jour [Covid] qui m'a demandé en pleurant : " Pouvez-vous m'aider, nous sommes désespérés. C'est dévastateur de savoir que j'aurais pu le traiter facilement, la façon dont j'ai traité des centaines de personnes en dehors de Washington avant que mon permis de prescrire des traitements salvateurs ne soit révoqué », a déclaré Miller dans une interview exclusive avec The Gateway Pundit. Je ne peux plus aider activement ces familles dans le besoin, et cela me brise le cœur.

    Je vais souvent contacter des vendeurs à travers le pays que je considère comme des héros et leur demander s'ils peuvent aider à sauver ces vies innocentes. Si seulement les médecins légistes de l'État examinaient la « qualité des soins » ou leur absence dans les hôpitaux de notre pays et se demandaient pourquoi plus de 700 000 Américains vont à l'hôpital et ne rentrent pas chez eux », a-t-il déclaré. "L'oxygène supplémentaire et six milligrammes de dexaméthasone ont prouvé des échecs catastrophiques dans le soulagement du syndrome de détresse respiratoire aiguë. Pourtant, il s'agit du protocole de traitement primaire à l'échelle nationale, même si les patients décompensent et sont statistiquement condamnés à la ventilation mécanique.

    Si ce mandat entre en vigueur pour les enfants, ce sera épouvantable. Il ne s'agit pas seulement d'aller à l'école - si un agent de santé local pense que vous ne respectez pas les règles, vous pouvez être détenu contre votre gré. C'est l'extension la plus répréhensible des pouvoirs d'urgence que j'aie jamais vue - ils ont emmené tout le monde les conduire comme du bétail, les conduire chez eux comme des prisonniers, et leur dire que c'est pour notre bien et pour le bien commun est . Tandis que les personnes qui ont établi ces règles sortent dîner avec leurs amis sans masques et montent dans l'avion pour partir en vacances. Ils disent, je sais qu'il sera difficile de ne pas être à bout de souffle cette année ou de rater Noël en famille.Mais ils n'obéissent pas à ces règles. Nous voyons des photos d'eux célébrant personnellement les vacances avec leurs familles. Faites ce que nous vous disons, pas ce que nous faisons.'

    Le médecin assistant pédiatrique a accordé d'innombrables dérogations à l'exigence de masque pour les enfants à risque de maladies respiratoires et neurologiques. Mais les dérogations ne sont plus acceptées sur le lieu de travail ou à l'école et n'empêcheront pas les agents de liaison de détenir ceux qui enfreignent les règles, prévient Miller :

    J'avais délivré plusieurs exemptions médicales et permis de masques pour les patients présentant des dommages connus au vaccin et des problèmes respiratoires. Dans cette nouvelle Amérique méconnaissable, non seulement les prestataires médicaux sont interdits de traiter leurs patients de manière appropriée pour Covid, mais ils ne peuvent plus délivrer d'exemptions médicales légitimes, même pour les patients dont les tests d'anticorps sont positifs. Tout prestataire qui délivre des dispenses médicales court le risque de faire l'objet d'une enquête. Les enquêteurs médicaux de l'État ignorent souvent les antécédents médicaux, accusent les prestataires de diffuser de la «désinformation» et les jugent inappropriés pour l'octroi d'une licence médicale.

    L'État s'est donné pour priorité d'enquêter sur tout médecin suffisamment courageux pour soigner correctement ses patients. Si le plan de traitement du médecin s'écarte des directives restreintes récemment introduites par le Center for Disease Control, il existe un risque élevé de perdre sa licence et ses moyens de subsistance.
    La décision du Washington State Health Department de tenir la session sur la détention involontaire de Purebloods lors d'un appel Zoom, plutôt que dans un forum "dangereux" en face à face, rend encore plus difficile la responsabilisation des membres.

    Mais les patriotes de Washington font pression sur deux membres du conseil d'administration républicains, Gary Medvigy et Karen Dill Bowerman, pour qu'ils fassent ce qu'il faut.

    Il y a un comité de cinq personnes. Medvigy et Bowerman sont deux très bonnes personnes qui ont peut-être poursuivi la mauvaise science. Ce sont les personnes auxquelles je m'adresserai lors de la réunion. Si nous pouvons convaincre ce comité de faire ce qu'il faut et de donner la priorité à nos enfants, notre État aura de l'espoir. Nous voulons désespérément qu'ils adhèrent aux principes sur lesquels notre nation a été fondée et qu'ils préservent la liberté que nous, parents et Américains, avons de déterminer ce qui entre dans le corps de nos enfants. Ils ont déjà mis en place les camps d'internement. J'ai vu des photos d'eux.

    Le gouverneur démocrate de Washington, Jay Inslee, recrute actuellement une "équipe de grève" pour exploiter les installations de quarantaine.

    Les consultants de l'équipe de grève d'isolement et de quarantaine gagneront 3 294 $ à 4 286 $ par mois pour leurs services, selon une description publiée sur gouvernementjobs.com en septembre qui confirme les plans de l'État pour le camp de Covid.
    Un projet de loi déposé à Washington permettrait à une « force de frappe » de « détenir » des familles non vaccinées. Des camps d'internement ont déjà été mis en place. Le département de la santé de l'État de Washington pourrait bientôt modifier la loi pour autoriser l'incarcération des résidents de moins de 5 ans dans des « centres de détention Covid-19 » s'ils ne respectent pas le mandat de l'État pour la vaccination expérimentale. WAC 246-100-040 , une révision proposée pour incorporer le protocole Covid dans la loi sur les maladies transmissibles et certaines autres maladies de l'État, décrit les « procédures d'isolement ou de quarantaine ». La mesure permettrait aux autorités sanitaires locales de délivrer « une ordonnance de détention d'urgence qui entraînerait la détention immédiate d'une personne ou d'un groupe de personnes pour isolement ou quarantaine » à « leur propre discrétion ». Les responsables de la santé sont tenus de fournir des dossiers montrant que les résidents non vaccinés qui sont en détention, "les demandes d'examen médical, de test, de traitement, de conseil, de vaccination, de décontamination de personnes ou d'animaux, d'isolement, de quarantaine et d'inspection et de fermeture des installations" avant d'être involontairement placés dans des installations de quarantaine, lit-on dans la résolution. La loi modifiée permettrait également aux responsables de la santé d'utiliser des agents des forces de l'ordre pour aider à arrêter les résidents de Washington qui enfreignent la réglementation. Conformément à W 246-100-040 , un agent de santé local peut utiliser les pouvoirs des agents de la force publique, des shérifs, des agents de police et de tous les autres fonctionnaires et employés de toute subdivision politique relevant de la compétence du ministère de la Santé pour émettre des ordonnances visant à mettre en œuvre les objectifs de cette section conformément aux dispositions de RCW 43.20.050 (4) et 70.05.120 à appliquer immédiatement. Le « Emergency Arrest Order » légalise l'isolement et la détention des citoyens américains qui ne se soumettent pas volontairement aux vaccinations de thérapie génique Covid « pendant une période de dix jours ou moins ». Cependant, un juge peut prolonger la quarantaine forcée « pour une durée maximale de trente jours » si la personne ou la famille isolée continue de refuser la vaccination. Le WAC 246-100-040 a été certifié le 25 octobre 2019, quelques mois avant l'épidémie de coronavirus aux États-Unis. Le premier cas confirmé de Covid aux États-Unis a été diagnostiqué à Seattle le 20 janvier 2020. Le département de la santé de l'État de Washington tiendra une session publique virtuelle le 12 janvier pour discuter de l'application du W246-100-040 . Scott Miller, un assistant médical basé à Washington qui dirige une clinique privée pour enfants, a perdu sa licence médicale en octobre pour avoir fourni de l'ivermectine, des vitamines et d'autres traitements puissants à plus de deux mille patients Covid gravement malades. Miller témoignera lors de la session Zoom de huit heures du WSBH mercredi pour avertir de l'avènement de la vaccination expérimentale pour les enfants et pour fournir des données à l'appui des blessures aiguës et des décès liés au vaccin. Toujours aux prises avec les conséquences du retrait de sa licence médicale pour avoir sauvé des vies, Miller se demande combien de familles innocentes doivent fuir l'État pour retrouver la liberté fondamentale qui était autrefois omniprésente dans les États si cette soi-disant loi d'urgence est adoptée. « J'étais debout à 5h30 ce matin. J'ai reçu un appel d'une femme de l'Ohio dont le mari a été infecté le huitième jour [Covid] qui m'a demandé en pleurant : " Pouvez-vous m'aider, nous sommes désespérés. C'est dévastateur de savoir que j'aurais pu le traiter facilement, la façon dont j'ai traité des centaines de personnes en dehors de Washington avant que mon permis de prescrire des traitements salvateurs ne soit révoqué », a déclaré Miller dans une interview exclusive avec The Gateway Pundit. Je ne peux plus aider activement ces familles dans le besoin, et cela me brise le cœur. Je vais souvent contacter des vendeurs à travers le pays que je considère comme des héros et leur demander s'ils peuvent aider à sauver ces vies innocentes. Si seulement les médecins légistes de l'État examinaient la « qualité des soins » ou leur absence dans les hôpitaux de notre pays et se demandaient pourquoi plus de 700 000 Américains vont à l'hôpital et ne rentrent pas chez eux », a-t-il déclaré. "L'oxygène supplémentaire et six milligrammes de dexaméthasone ont prouvé des échecs catastrophiques dans le soulagement du syndrome de détresse respiratoire aiguë. Pourtant, il s'agit du protocole de traitement primaire à l'échelle nationale, même si les patients décompensent et sont statistiquement condamnés à la ventilation mécanique. Si ce mandat entre en vigueur pour les enfants, ce sera épouvantable. Il ne s'agit pas seulement d'aller à l'école - si un agent de santé local pense que vous ne respectez pas les règles, vous pouvez être détenu contre votre gré. C'est l'extension la plus répréhensible des pouvoirs d'urgence que j'aie jamais vue - ils ont emmené tout le monde les conduire comme du bétail, les conduire chez eux comme des prisonniers, et leur dire que c'est pour notre bien et pour le bien commun est . Tandis que les personnes qui ont établi ces règles sortent dîner avec leurs amis sans masques et montent dans l'avion pour partir en vacances. Ils disent, je sais qu'il sera difficile de ne pas être à bout de souffle cette année ou de rater Noël en famille.Mais ils n'obéissent pas à ces règles. Nous voyons des photos d'eux célébrant personnellement les vacances avec leurs familles. Faites ce que nous vous disons, pas ce que nous faisons.' Le médecin assistant pédiatrique a accordé d'innombrables dérogations à l'exigence de masque pour les enfants à risque de maladies respiratoires et neurologiques. Mais les dérogations ne sont plus acceptées sur le lieu de travail ou à l'école et n'empêcheront pas les agents de liaison de détenir ceux qui enfreignent les règles, prévient Miller : J'avais délivré plusieurs exemptions médicales et permis de masques pour les patients présentant des dommages connus au vaccin et des problèmes respiratoires. Dans cette nouvelle Amérique méconnaissable, non seulement les prestataires médicaux sont interdits de traiter leurs patients de manière appropriée pour Covid, mais ils ne peuvent plus délivrer d'exemptions médicales légitimes, même pour les patients dont les tests d'anticorps sont positifs. Tout prestataire qui délivre des dispenses médicales court le risque de faire l'objet d'une enquête. Les enquêteurs médicaux de l'État ignorent souvent les antécédents médicaux, accusent les prestataires de diffuser de la «désinformation» et les jugent inappropriés pour l'octroi d'une licence médicale. L'État s'est donné pour priorité d'enquêter sur tout médecin suffisamment courageux pour soigner correctement ses patients. Si le plan de traitement du médecin s'écarte des directives restreintes récemment introduites par le Center for Disease Control, il existe un risque élevé de perdre sa licence et ses moyens de subsistance. La décision du Washington State Health Department de tenir la session sur la détention involontaire de Purebloods lors d'un appel Zoom, plutôt que dans un forum "dangereux" en face à face, rend encore plus difficile la responsabilisation des membres. Mais les patriotes de Washington font pression sur deux membres du conseil d'administration républicains, Gary Medvigy et Karen Dill Bowerman, pour qu'ils fassent ce qu'il faut. Il y a un comité de cinq personnes. Medvigy et Bowerman sont deux très bonnes personnes qui ont peut-être poursuivi la mauvaise science. Ce sont les personnes auxquelles je m'adresserai lors de la réunion. Si nous pouvons convaincre ce comité de faire ce qu'il faut et de donner la priorité à nos enfants, notre État aura de l'espoir. Nous voulons désespérément qu'ils adhèrent aux principes sur lesquels notre nation a été fondée et qu'ils préservent la liberté que nous, parents et Américains, avons de déterminer ce qui entre dans le corps de nos enfants. Ils ont déjà mis en place les camps d'internement. J'ai vu des photos d'eux. Le gouverneur démocrate de Washington, Jay Inslee, recrute actuellement une "équipe de grève" pour exploiter les installations de quarantaine. Les consultants de l'équipe de grève d'isolement et de quarantaine gagneront 3 294 $ à 4 286 $ par mois pour leurs services, selon une description publiée sur gouvernementjobs.com en septembre qui confirme les plans de l'État pour le camp de Covid.
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  • Des centaines de travailleurs de la santé et de policiers en Australie quittent leur emploi à cause du vaccin Covid-19.
    Des centaines de policiers et d’agents de santé australiens ont cessé de travailler en raison des réglementations en matière de vaccination dans deux États.

    Les gouvernements du monde entier ont mis en place de nombreuses restrictions pour contenir la propagation du Covid-19. Beaucoup ont forcé des citoyens à rester chez eux pour que leurs maisons deviennent des prisons. Cependant, de nombreux gouvernements introduisent maintenant des réglementations en matière de vaccination qui empiètent sur le droit de chaque citoyen à la liberté de santé.

    La Nouvelle-Galles du Sud (NSW) et le Queensland ont déjà introduit des réglementations sur la vaccination, amenant les travailleurs de la santé et les agents des forces de l’ordre à arrêter de fumer pour éviter la vaccination.

    En Nouvelle-Galles du Sud, environ 136 agents de santé et un nombre inconnu de policiers du Queensland ont quitté leur emploi en raison des exigences de vaccination sur leur lieu de travail.

    NSW a annoncé plus tôt cette année que les agents de santé de l’État devraient recevoir au moins une dose du vaccin Covid d’ici le 30 septembre. Depuis, 1 200 employés ont été suspendus et mis en congé payé, qui expire au bout de deux semaines.

    Le syndicat de la santé n’est pas surpris, affirmant que la perte d’employés est « négligeable » par rapport aux 140 000 personnes ou plus employées dans le secteur de la santé du pays. Le gouvernement s’attend à ce qu’il y ait plus de licenciements.

    Certains hôpitaux régionaux de NSW offrent également des bourses de voyage et de salaire aux candidats à la vaccination. Le ministère de la Santé de l’État serait en pourparlers avec le Commonwealth pour accélérer la reconnaissance des qualifications étrangères afin que des infirmières étrangères puissent être recrutées, en particulier celles des soins intensifs et des salles d’urgence, qui sont très demandées en raison de la pandémie.

    Le site Web du gouvernement de NSW indique que les travailleurs médicaux doivent avoir reçu au moins une dose du vaccin Covid avant de pouvoir travailler. Au 30 novembre, les travailleurs de la santé doivent avoir reçu les deux doses de vaccin, à moins qu’ils ne disposent d’une exemption médicale approuvée par l’autorité sanitaire de la Nouvelle-Galles du Sud.

    Les policiers du Queensland ont également démissionné de leurs fonctions car le 4 octobre est la date limite pour la vaccination contre le Covid.

    Steve Gollschewski, chef adjoint de la police de l’État, a déclaré que moins de 100 des 15 000 policiers de l’État étaient peut-être partis au 5 octobre. Bien que le nombre total change quotidiennement, Gollschewski a déclaré que « les chiffres sont faibles ».

    Il a déclaré qu’il fallait s’attendre à ce que certains responsables refusent de se faire vacciner et que l’État prenne des mesures contre ceux qui refusent.

    Gollschewski refuse de donner le nombre total de fonctionnaires démissionnaires, mais insiste sur le fait qu’il ne s’agit que « d’une poignée par comté à travers l’État ». Il a déclaré qu’un nombre plus précis pourrait être disponible vers la fin de la semaine.

    Le 4 octobre, le service de police du Queensland (QPS) a annoncé qu’il enquêtait sur lequel de ses membres refuserait de se faire vacciner.

    Le QPS a déclaré que ceux qui ne souhaitent pas se faire vacciner « peuvent faire l’objet de mesures disciplinaires » s’ils ne disposent pas d’une dérogation approuvée. Dans un communiqué, le QPS a déclaré que les fonctionnaires qui refusent sans dérogation seront suspendus à partir d’octobre et qu’un processus de sept jours sera lancé pour clarifier les raisons.

    Cependant, un groupe de sept policiers a déposé une plainte contre la commissaire de police du Queensland, Katarina Carroll, devant la Cour suprême début octobre pour vaccination obligatoire.

    Les agents actuellement en congé sans stress ont remporté le défi, ce qui leur a laissé un délai de 12 jours dans leur mandat. Malgré la victoire, les sept officiels ont encore besoin de plus de temps libre pour poursuivre leur carrière.

    Les mandats ont conduit de nombreux Australiens à résister et à participer à des manifestations antigouvernementales pour lutter pour leur droit à la liberté de santé.

    SOURCE : DES CENTAINES D’AGENTS DE SANTÉ ET DE POLICIERS EN AUSTRALIE ONT QUITTÉ LEUR EMPLOI EN RAISON DU MANDAT DE VACCINATION CONTRE LE COVID-19
    Des centaines de travailleurs de la santé et de policiers en Australie quittent leur emploi à cause du vaccin Covid-19. Des centaines de policiers et d’agents de santé australiens ont cessé de travailler en raison des réglementations en matière de vaccination dans deux États. Les gouvernements du monde entier ont mis en place de nombreuses restrictions pour contenir la propagation du Covid-19. Beaucoup ont forcé des citoyens à rester chez eux pour que leurs maisons deviennent des prisons. Cependant, de nombreux gouvernements introduisent maintenant des réglementations en matière de vaccination qui empiètent sur le droit de chaque citoyen à la liberté de santé. La Nouvelle-Galles du Sud (NSW) et le Queensland ont déjà introduit des réglementations sur la vaccination, amenant les travailleurs de la santé et les agents des forces de l’ordre à arrêter de fumer pour éviter la vaccination. En Nouvelle-Galles du Sud, environ 136 agents de santé et un nombre inconnu de policiers du Queensland ont quitté leur emploi en raison des exigences de vaccination sur leur lieu de travail. NSW a annoncé plus tôt cette année que les agents de santé de l’État devraient recevoir au moins une dose du vaccin Covid d’ici le 30 septembre. Depuis, 1 200 employés ont été suspendus et mis en congé payé, qui expire au bout de deux semaines. Le syndicat de la santé n’est pas surpris, affirmant que la perte d’employés est « négligeable » par rapport aux 140 000 personnes ou plus employées dans le secteur de la santé du pays. Le gouvernement s’attend à ce qu’il y ait plus de licenciements. Certains hôpitaux régionaux de NSW offrent également des bourses de voyage et de salaire aux candidats à la vaccination. Le ministère de la Santé de l’État serait en pourparlers avec le Commonwealth pour accélérer la reconnaissance des qualifications étrangères afin que des infirmières étrangères puissent être recrutées, en particulier celles des soins intensifs et des salles d’urgence, qui sont très demandées en raison de la pandémie. Le site Web du gouvernement de NSW indique que les travailleurs médicaux doivent avoir reçu au moins une dose du vaccin Covid avant de pouvoir travailler. Au 30 novembre, les travailleurs de la santé doivent avoir reçu les deux doses de vaccin, à moins qu’ils ne disposent d’une exemption médicale approuvée par l’autorité sanitaire de la Nouvelle-Galles du Sud. Les policiers du Queensland ont également démissionné de leurs fonctions car le 4 octobre est la date limite pour la vaccination contre le Covid. Steve Gollschewski, chef adjoint de la police de l’État, a déclaré que moins de 100 des 15 000 policiers de l’État étaient peut-être partis au 5 octobre. Bien que le nombre total change quotidiennement, Gollschewski a déclaré que « les chiffres sont faibles ». Il a déclaré qu’il fallait s’attendre à ce que certains responsables refusent de se faire vacciner et que l’État prenne des mesures contre ceux qui refusent. Gollschewski refuse de donner le nombre total de fonctionnaires démissionnaires, mais insiste sur le fait qu’il ne s’agit que « d’une poignée par comté à travers l’État ». Il a déclaré qu’un nombre plus précis pourrait être disponible vers la fin de la semaine. Le 4 octobre, le service de police du Queensland (QPS) a annoncé qu’il enquêtait sur lequel de ses membres refuserait de se faire vacciner. Le QPS a déclaré que ceux qui ne souhaitent pas se faire vacciner « peuvent faire l’objet de mesures disciplinaires » s’ils ne disposent pas d’une dérogation approuvée. Dans un communiqué, le QPS a déclaré que les fonctionnaires qui refusent sans dérogation seront suspendus à partir d’octobre et qu’un processus de sept jours sera lancé pour clarifier les raisons. Cependant, un groupe de sept policiers a déposé une plainte contre la commissaire de police du Queensland, Katarina Carroll, devant la Cour suprême début octobre pour vaccination obligatoire. Les agents actuellement en congé sans stress ont remporté le défi, ce qui leur a laissé un délai de 12 jours dans leur mandat. Malgré la victoire, les sept officiels ont encore besoin de plus de temps libre pour poursuivre leur carrière. Les mandats ont conduit de nombreux Australiens à résister et à participer à des manifestations antigouvernementales pour lutter pour leur droit à la liberté de santé. SOURCE : DES CENTAINES D’AGENTS DE SANTÉ ET DE POLICIERS EN AUSTRALIE ONT QUITTÉ LEUR EMPLOI EN RAISON DU MANDAT DE VACCINATION CONTRE LE COVID-19
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  • L'autorité de santé publique d'Angleterre annonce que le "vaccin" ne vous protège pas de l'hospitalisation et de la mort. Les personnes entièrement vaccinées représentent 63,5% des décès dus au Covid :

    Chers lecteurs, je ne peux pas vous protéger si vous ne lisez pas les informations. Si vous décidez que vous préférez vivre et que vous lisez les informations ci-dessous, posez-vous la question suivante :

    Pourquoi des gens qui n'ont aucun pouvoir législatif - des employeurs tels que les ***** du système de santé Ochsner en Louisiane, des conseils scolaires, des administrateurs d'université, des directeurs et propriétaires de restaurant, des compagnies aériennes, n'importe quel employeur, des gouverneurs, des maires, des hôpitaux - pensent-ils avoir le pouvoir de violer les lois de Nuremberg et de contraindre les patients, les étudiants, les employés et leurs conjoints, et tous les autres à accepter des injections d'une substance qui a de loin le pire bilan de l'histoire des vaccins en termes d'association avec la mort et des dommages graves à la santé tout au long de la vie ? En effet, le bilan du "vaccin" Covid est pire que celui de tous les vaccins précédents réunis.

    Toute personne émettant un mandat est un nazi en herbe ou bien pire encore. Ils n'ont aucune autorité en la matière ; pourtant, ces fous meurtriers espèrent ne pas subir le sort des fonctionnaires, médecins et juges ***** qui ont fait bien moins.

    D'où leur vient cette attente irréaliste ?

    Ils l'ont reçue des médias de la presse à scandale, qui sont tous complices de meurtres de masse et de crimes contre l'humanité.

    Ils l'ont reçue du crétin installé par l'establishment américain corrompu et criminel qui a volé une élection et installé le crétin dans le bureau ovale.

    Ils l'ont obtenu de Fauci, Walensky et d'autres responsables de la "santé publique" qui sont de mèche avec Big Pharma et bénéficient de ses profits.

    Ils l'ont obtenu grâce à l'échec total des régimes de Trump et de Biden à enquêter sur les NIH et Fauci pour avoir violé la Convention sur les armes biologiques signée par le gouvernement américain et financé la recherche sur les armes biologiques "gain de fonction", d'où provient le virus Covid. Le virus Covid-19 est issu de subventions de recherche des NIH, et non d'une chauve-souris.

    En d'autres termes, il est clair que le gouvernement américain est un complice actif du meurtre de masse et des blessures infligées aux gens dans le monde entier par le "vaccin" Covid. Chacun de ces criminels doit être tenu pour responsable.

    Dans la grande province indienne de l'Uttar Pradesh, l'administration d'Ivermectin à la population a réduit les cas de Covid de 97,1 %.

    Cette information a été supprimée par les médias putes occidentaux et les autorités de "santé publique".

    https://www.globalresearch.ca/india-ivermectin-blackout-2/5757553
    L'autorité de santé publique d'Angleterre annonce que le "vaccin" ne vous protège pas de l'hospitalisation et de la mort. Les personnes entièrement vaccinées représentent 63,5% des décès dus au Covid : Chers lecteurs, je ne peux pas vous protéger si vous ne lisez pas les informations. Si vous décidez que vous préférez vivre et que vous lisez les informations ci-dessous, posez-vous la question suivante : Pourquoi des gens qui n'ont aucun pouvoir législatif - des employeurs tels que les nazis du système de santé Ochsner en Louisiane, des conseils scolaires, des administrateurs d'université, des directeurs et propriétaires de restaurant, des compagnies aériennes, n'importe quel employeur, des gouverneurs, des maires, des hôpitaux - pensent-ils avoir le pouvoir de violer les lois de Nuremberg et de contraindre les patients, les étudiants, les employés et leurs conjoints, et tous les autres à accepter des injections d'une substance qui a de loin le pire bilan de l'histoire des vaccins en termes d'association avec la mort et des dommages graves à la santé tout au long de la vie ? En effet, le bilan du "vaccin" Covid est pire que celui de tous les vaccins précédents réunis. Toute personne émettant un mandat est un nazi en herbe ou bien pire encore. Ils n'ont aucune autorité en la matière ; pourtant, ces fous meurtriers espèrent ne pas subir le sort des fonctionnaires, médecins et juges nazis qui ont fait bien moins. D'où leur vient cette attente irréaliste ? Ils l'ont reçue des médias de la presse à scandale, qui sont tous complices de meurtres de masse et de crimes contre l'humanité. Ils l'ont reçue du crétin installé par l'establishment américain corrompu et criminel qui a volé une élection et installé le crétin dans le bureau ovale. Ils l'ont obtenu de Fauci, Walensky et d'autres responsables de la "santé publique" qui sont de mèche avec Big Pharma et bénéficient de ses profits. Ils l'ont obtenu grâce à l'échec total des régimes de Trump et de Biden à enquêter sur les NIH et Fauci pour avoir violé la Convention sur les armes biologiques signée par le gouvernement américain et financé la recherche sur les armes biologiques "gain de fonction", d'où provient le virus Covid. Le virus Covid-19 est issu de subventions de recherche des NIH, et non d'une chauve-souris. En d'autres termes, il est clair que le gouvernement américain est un complice actif du meurtre de masse et des blessures infligées aux gens dans le monde entier par le "vaccin" Covid. Chacun de ces criminels doit être tenu pour responsable. Dans la grande province indienne de l'Uttar Pradesh, l'administration d'Ivermectin à la population a réduit les cas de Covid de 97,1 %. Cette information a été supprimée par les médias putes occidentaux et les autorités de "santé publique". https://www.globalresearch.ca/india-ivermectin-blackout-2/5757553
    WWW.GLOBALRESEARCH.CA
    India's Ivermectin Blackout - Global Research
    All Global Research articles can be read in 51 languages by activating the “Translate Website” drop down menu on the top banner of our home page (Desktop version). Visit and follow us on Instagram at @crg_globalresearch. ***   On May 7, 2021, during the peak of India’s Delta Surge, The World Health Organization reported, “Uttar Pradesh (is) …
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  • Suspendus le 15 septembre, pourquoi ne pas faire payer votre avocat par votre assureur ?

    Faites prendre en charge le contentieux de votre suspension par votre assureur !
    La semaine qui vient sera critique, car les fonctionnaires et salariés suspendus auront sans doute la tentation (que nous avons toujours nourrie...) de prendre un avocat pour défendre leur dossier soit devant les prudhommes, soit devant le tribunal administratif. La question du prix d'un avocat peut être décourageante pour certains, mais voici quelques idée pour faire prendre en charge le coût de cette opération par son assureur.
    Suspendus le 15 septembre, pourquoi ne pas faire payer votre avocat par votre assureur ? Faites prendre en charge le contentieux de votre suspension par votre assureur ! La semaine qui vient sera critique, car les fonctionnaires et salariés suspendus auront sans doute la tentation (que nous avons toujours nourrie...) de prendre un avocat pour défendre leur dossier soit devant les prudhommes, soit devant le tribunal administratif. La question du prix d'un avocat peut être décourageante pour certains, mais voici quelques idée pour faire prendre en charge le coût de cette opération par son assureur.
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