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  • Valérie Bugault,Docteur en droit,analyste géopolitique juridique : " L'état français n'existe plus "

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  • ? EXTRAIT - "Il faut échapper à ces constructions moralisatrices destinées à créer une identité pour créer un ennemi". Extrait de l'Entretien essentiel du 13 mars 2023, avec Patrice Gibertie, professeur d’histoire et de géopolitique. ?
    L'entretien complet : https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/complotiste-un-terme-utilise-contre-qui-remet-en-cause-la-construction
    ? EXTRAIT - "Il faut échapper à ces constructions moralisatrices destinées à créer une identité pour créer un ennemi". Extrait de l'Entretien essentiel du 13 mars 2023, avec Patrice Gibertie, professeur d’histoire et de géopolitique. ? L'entretien complet : https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/complotiste-un-terme-utilise-contre-qui-remet-en-cause-la-construction
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  • Madame, Monsieur, chers Patriotes,

    La roue tourne ! Depuis avant-hier, les soignants italiens, jusque-là suspendus, peuvent à nouveau travailler !
    Même chose dans des villes aux États-Unis, ou dans la province canadienne de l’Alberta où le nouveau premier ministre, Danielle Smith, va réparer les injustices terribles du covidisme, mais aussi rompre avec le Forum économique de Davos ! Une révolution !
    Dans le même temps, à quelques jours d’élections cruciales aux États-Unis, Les Républicains promettent de lancer une procédure de destitution de Joe Biden et d’enquêter sur la corruption du régime.

    La géopolitique du monde aussi se réorganise. L’hégémonie américaine est contestée, des puissances sur tous les continents veulent un monde multipolaire, pressentant que la Paix ne viendra jamais de l’OTAN ni de l’écrasement de pays entiers par une puissance dominante qui ne recule devant rien.

    Notre pays n’est pas à l’écart de ce grand élan de vérité et d’action ! Voyez les victoires du Pr Perronne par exemple ! Grâce à tous les efforts de la résistance, des millions de Français ouvrent les yeux sur l’Union européenne, l’OTAN, les conflits d’intérêts, la corruption, la fuite en avant vers une société de contrôle, anti-humaine, la destruction de nos services publics, de notre souveraineté de pays et de peuple, au bénéfice de quelques uns qui n’agissent pas pour le Bien commun. Par toutes nos actions, manifestations, livres, pétitions, mobilisations partout en France métropolitaine et d’outre-mer, nous prenons notre part à ce grand réveil des consciences, qui doit mener à un bel avenir ! Avec lucidité et sans naïveté : tant reste à faire !

    Si la France veut éviter de foncer vers le mur de la guerre, des rationnements, des restrictions de liberté, des pénuries, du chômage de masse et de la pauvreté, elle doit se libérer d’une oligarchie malfaisante, sortir de toutes les organisations supranationales et être elle-même.
    Cela signifie d’abord des combats prioritaires : obtenir ici-aussi la réintégration des personnels suspendus, forcer les oppositions à voter, enfin toutes ensemble, les motions de censure pour renverser le gouvernement, lancer la procédure de destitution d’Emmanuel Macron, redonner confiance en lui-même à notre peuple, dans une France libre, capable d’inventer de grands projets nationaux pour se tracer une route dans les décennies futures !

    Vive l’unité et la ténacité ! Un grand bravo par avance à ceux d’entre vous qui vont dès maintenant rejoindre Les Patriotes ou reprendre leur adhésion annuelle ou faire un don de soutien au mouvement (pour tout cela, voir les liens en fin de mail). Nous n’avons pas un euro d’aide publique en 2022 et les actions que nous organisons en permanence sont très coûteuses. Les adhésions, réadhésions et dons sont défiscalisés aux 2/3 pour vous. Beaucoup d’entre vous ont adhéré en 2021, pensez à renouveler. Bravo pour votre engagement !

    En matière de protection de la nature, méfions-nous des spectacles médiatiques qu’on veut bien nous montrer. Tandis que sont ultra-médiatisés quelques militants radicaux, qui jettent de la purée sur des œuvres d’art dans des musées, bloquent la circulation, ou pulvérisent de la peinture sur des monuments, pendant ce temps, les vraies décisions se prennent. L’Union européenne, notamment, continue de signer partout dans le monde des Traités de libre-échange qui engendrent beaucoup de pollution et des destructions d’emplois et de bien-être dans notre agriculture, notre industrie. Le 30 juin, l’UE a signé un tel accord avec la Nouvelle-Zélande, premier producteur mondial de lait, et elle veut le faire bientôt avec l’Inde et l’Australie. Quant à la cause animale, elle passe à la trappe !

    Lutter vraiment pour la nature, et pour l’emploi ici, notre savoir-faire et notre art de vivre, c’est refuser ce libre-échange mondialiste. Le Frexit est nécessaire pour cela !

    Un monde fondé sur le Bien, le Juste et le Beau, un monde d’harmonie, une France, juste, puissante, souveraine, belle, libre sont parfaitement possibles !
    N’oublions jamais que nous sommes, chacun à notre niveau, et plus encore collectivement, les moteurs de cette Histoire qui reste à écrire. Pour nous-mêmes et les générations qui viennent, et quels que soient les difficultés ou le désespoir que nos adversaires voudraient tant susciter, nous avons l’ardente obligation de rester debout, de nous battre et de gagner !
    Le vent a tourné !

    ‪Vive Les Patriotes !
    Vive la France !
    Florian Philippot,
    Président des Patriotes.

    Pour adhérer aux Patriotes, reprendre votre adhésion, offrir une adhésion :
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    Madame, Monsieur, chers Patriotes, La roue tourne ! Depuis avant-hier, les soignants italiens, jusque-là suspendus, peuvent à nouveau travailler ! Même chose dans des villes aux États-Unis, ou dans la province canadienne de l’Alberta où le nouveau premier ministre, Danielle Smith, va réparer les injustices terribles du covidisme, mais aussi rompre avec le Forum économique de Davos ! Une révolution ! Dans le même temps, à quelques jours d’élections cruciales aux États-Unis, Les Républicains promettent de lancer une procédure de destitution de Joe Biden et d’enquêter sur la corruption du régime. La géopolitique du monde aussi se réorganise. L’hégémonie américaine est contestée, des puissances sur tous les continents veulent un monde multipolaire, pressentant que la Paix ne viendra jamais de l’OTAN ni de l’écrasement de pays entiers par une puissance dominante qui ne recule devant rien. Notre pays n’est pas à l’écart de ce grand élan de vérité et d’action ! Voyez les victoires du Pr Perronne par exemple ! Grâce à tous les efforts de la résistance, des millions de Français ouvrent les yeux sur l’Union européenne, l’OTAN, les conflits d’intérêts, la corruption, la fuite en avant vers une société de contrôle, anti-humaine, la destruction de nos services publics, de notre souveraineté de pays et de peuple, au bénéfice de quelques uns qui n’agissent pas pour le Bien commun. Par toutes nos actions, manifestations, livres, pétitions, mobilisations partout en France métropolitaine et d’outre-mer, nous prenons notre part à ce grand réveil des consciences, qui doit mener à un bel avenir ! Avec lucidité et sans naïveté : tant reste à faire ! Si la France veut éviter de foncer vers le mur de la guerre, des rationnements, des restrictions de liberté, des pénuries, du chômage de masse et de la pauvreté, elle doit se libérer d’une oligarchie malfaisante, sortir de toutes les organisations supranationales et être elle-même. Cela signifie d’abord des combats prioritaires : obtenir ici-aussi la réintégration des personnels suspendus, forcer les oppositions à voter, enfin toutes ensemble, les motions de censure pour renverser le gouvernement, lancer la procédure de destitution d’Emmanuel Macron, redonner confiance en lui-même à notre peuple, dans une France libre, capable d’inventer de grands projets nationaux pour se tracer une route dans les décennies futures ! Vive l’unité et la ténacité ! Un grand bravo par avance à ceux d’entre vous qui vont dès maintenant rejoindre Les Patriotes ou reprendre leur adhésion annuelle ou faire un don de soutien au mouvement (pour tout cela, voir les liens en fin de mail). Nous n’avons pas un euro d’aide publique en 2022 et les actions que nous organisons en permanence sont très coûteuses. Les adhésions, réadhésions et dons sont défiscalisés aux 2/3 pour vous. Beaucoup d’entre vous ont adhéré en 2021, pensez à renouveler. Bravo pour votre engagement ! En matière de protection de la nature, méfions-nous des spectacles médiatiques qu’on veut bien nous montrer. Tandis que sont ultra-médiatisés quelques militants radicaux, qui jettent de la purée sur des œuvres d’art dans des musées, bloquent la circulation, ou pulvérisent de la peinture sur des monuments, pendant ce temps, les vraies décisions se prennent. L’Union européenne, notamment, continue de signer partout dans le monde des Traités de libre-échange qui engendrent beaucoup de pollution et des destructions d’emplois et de bien-être dans notre agriculture, notre industrie. Le 30 juin, l’UE a signé un tel accord avec la Nouvelle-Zélande, premier producteur mondial de lait, et elle veut le faire bientôt avec l’Inde et l’Australie. Quant à la cause animale, elle passe à la trappe ! Lutter vraiment pour la nature, et pour l’emploi ici, notre savoir-faire et notre art de vivre, c’est refuser ce libre-échange mondialiste. Le Frexit est nécessaire pour cela ! Un monde fondé sur le Bien, le Juste et le Beau, un monde d’harmonie, une France, juste, puissante, souveraine, belle, libre sont parfaitement possibles ! N’oublions jamais que nous sommes, chacun à notre niveau, et plus encore collectivement, les moteurs de cette Histoire qui reste à écrire. Pour nous-mêmes et les générations qui viennent, et quels que soient les difficultés ou le désespoir que nos adversaires voudraient tant susciter, nous avons l’ardente obligation de rester debout, de nous battre et de gagner ! Le vent a tourné ! ‪Vive Les Patriotes ! Vive la France ! Florian Philippot, Président des Patriotes. ♦️Pour adhérer aux Patriotes, reprendre votre adhésion, offrir une adhésion : Rejoindre les Patriotes ♦️Faire un Don pour permettre aux Patriotes de mener des actions : ‪(Les Patriotes ne reçoivent pas un seul euro de l’Etat. 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    ·44K Lectures ·0 Avis
  • #Terrorisme_alimentaire–«Les Etats-Unis attaquent la sécurité alimentaire mondiale par tous les moyens» —Zakharova

    «Encore une fois, nous sommes prêts à fournir à la fois la nourriture et les engrais, et tout ce qui est nécessaire pour assurer que la sécurité alimentaire du monde ne soit pas soumise à quelque menace ou attaque», a noté Maria Zakharova, porte-parole de la diplomatie russe.

    Mais «tout est fait pour nous en empêcher», a-t-elle déploré, accusant les Etats-Unis de bloquer l’exportation de denrées alimentaires, dont les céréales, et les engrais.

    Or, sans engrais, pas de récoltes, notamment en Afrique.

    «Crise alimentaire sans précédent»: Macron annonce encore la couleur

    Avec la crise du Covid, l'Occident a accaparé les flux de matières premières et de nourriture, grâce à l’arme de la dette et de la planche à billets, jouant de la domination de ses devises, avait rappelé Lavrov.

    Analyse pour @Strategika
    Terrorisme alimentaire: une géopolitique de la famine
    #Terrorisme_alimentaire–«Les Etats-Unis attaquent la sécurité alimentaire mondiale par tous les moyens» —Zakharova «Encore une fois, nous sommes prêts à fournir à la fois la nourriture et les engrais, et tout ce qui est nécessaire pour assurer que la sécurité alimentaire du monde ne soit pas soumise à quelque menace ou attaque», a noté Maria Zakharova, porte-parole de la diplomatie russe. Mais «tout est fait pour nous en empêcher», a-t-elle déploré, accusant les Etats-Unis de bloquer l’exportation de denrées alimentaires, dont les céréales, et les engrais. Or, sans engrais, pas de récoltes, notamment en Afrique. ➡️«Crise alimentaire sans précédent»: Macron annonce encore la couleur Avec la crise du Covid, l'Occident a accaparé les flux de matières premières et de nourriture, grâce à l’arme de la dette et de la planche à billets, jouant de la domination de ses devises, avait rappelé Lavrov. Analyse pour @Strategika ➡️Terrorisme alimentaire: une géopolitique de la famine
    ·13K Lectures ·5 Plays ·0 Avis
  • La question « Jusqu’où peut-on aller avec les pouvoirs existants pour les opérations secrètes ? » C’est extrêmement pertinent dans la situation géopolitique actuelle. Il est essentiel de poser des questions sur la source du programme secret de la CIA et de mener l’invasion russe de l’Ukraine.

    Selon Yahoo News, les paramilitaires de la CIA ont formé des troupes ukrainiennes sur les lignes de front de la lutte contre les séparatistes soutenus par la Russie dans le Donbass tout au long de 2014 et ont été retirés le mois dernier sous l’administration Biden.

    Lorsque la guerre a éclaté dans l’est de l’Ukraine en 2014, la CIA a envoyé un nombre limité de forces paramilitaires dans la région, déclenchées par un coup d’État soutenu par les États-Unis à Kiev et la proclamation de l 'indépendance des séparatistes du Donbass vis-à-vis du gouvernement après le coup d’État.

    Les paramilitaires de la CIA ont accusé aux soldats ukrainiens des tactiques de tireurs d’élite, comment manipulateur les missiles antichars Javelin fournis par les États-Unis et comment échapper à la surveillance sur le champ de bataille par des moyens de communication secrets et d’Autres méthodes. Selon d’anciens responsables, la CIA a d’abord été étonnée des capacités de la Russie et des séparatistes par rapport aux adversaires américains au Moyen-Orient.

    Des mesures de formation comparables pour les forces armées ukrainiennes dans l’ouest de l’Ukraine ont déjà été officiellement reconnues par l’armée américaine. Yahoo News a rapporté en janvier que la CIA organisait également un cours de formation basé aux États-Unis pour le personnel militaire ukrainien. Selon un ancien responsable de la CIA, l’opération américaine « a formé une insurrection » et appris aux Ukrainiens à « tuer des Russes ».

    L’opération d’entraînement secrète de la CIA dans l’est de l’Ukraine a été bien plus explosive que les programmes d’entraînement précédents, entraînant les États-Unis dans une guerre par procuration à la frontière russe. Les responsables de la sécurité nationale ont évalué le programme, qui a débuté sous l’administration Obama, au cours de la première année de l’administration Trump, ont déclaré d’anciens responsables.

    Les paramilitaires de la CIA ont reçu pour instruction de fournir des conseils et de la formation, mais pas d’intervenir au combat. Les responsables de l’administration Trump craignaient que les pouvoirs ne soient trop larges et que la cible ne soit trop floue. Selon un ancien responsible, des questions telles que « Jusqu’où pouvez-vous aller avec les pouvoirs d’action secrets existants ? Est-ce un problème si, Dieu nous en préserve, ils ont tiré sur des Russes ? Avez-vous besoin de pouvoirs spéciaux pour cela ?

    L’administration Trump a examiné les lignes que la Russie tracerait, a déclaré l’ancien responsable, et a conclu que le soutien américain à l’armée ukrainienne se situait dans des paramètres historiquement acceptables. Le responsible a expliqué: « Il y avait une école de pensée selon laquelle les Russes parlaient le vieux langage simple de la guerre par procuration. »

    Malgré ces craintes, l’initiative secrète est restée secrète pendant plusieurs années, jusqu’en février. D’anciennes sources ont affirmé qu’à mesure que la menace d’une opération spéciale russe devenait « plus aiguë », l’administration Biden avait évacué tout le personnel de la CIA, y compris les paramilitaires, d’Ukraine. L’administration Biden avait « peur que même les responsables du renseignement ne soient en première ligne », selon un ancien responsable.

    Bien qu’il soit difficile d’évaluer avec précision la situation militaire en Ukraine, les États-Unis estiment que l’Ukraine oppose une résistance beaucoup plus forte que ne l’avait prévu la Russie. D’anciens responsables s’adressant à Yahoo News ont déclaré que le programme de formation de la CIA jouait un rôle dans l’opposition. Le président Biden a déjà offert plus d’un milliard de dollars de nouveaux actifs militaires à l’Ukraine depuis le début de l’opération, ce qui suggère que les États-Unis ont l’intention d’intensifier encore le combat.
    La question « Jusqu’où peut-on aller avec les pouvoirs existants pour les opérations secrètes ? » C’est extrêmement pertinent dans la situation géopolitique actuelle. Il est essentiel de poser des questions sur la source du programme secret de la CIA et de mener l’invasion russe de l’Ukraine. Selon Yahoo News, les paramilitaires de la CIA ont formé des troupes ukrainiennes sur les lignes de front de la lutte contre les séparatistes soutenus par la Russie dans le Donbass tout au long de 2014 et ont été retirés le mois dernier sous l’administration Biden. Lorsque la guerre a éclaté dans l’est de l’Ukraine en 2014, la CIA a envoyé un nombre limité de forces paramilitaires dans la région, déclenchées par un coup d’État soutenu par les États-Unis à Kiev et la proclamation de l 'indépendance des séparatistes du Donbass vis-à-vis du gouvernement après le coup d’État. Les paramilitaires de la CIA ont accusé aux soldats ukrainiens des tactiques de tireurs d’élite, comment manipulateur les missiles antichars Javelin fournis par les États-Unis et comment échapper à la surveillance sur le champ de bataille par des moyens de communication secrets et d’Autres méthodes. Selon d’anciens responsables, la CIA a d’abord été étonnée des capacités de la Russie et des séparatistes par rapport aux adversaires américains au Moyen-Orient. Des mesures de formation comparables pour les forces armées ukrainiennes dans l’ouest de l’Ukraine ont déjà été officiellement reconnues par l’armée américaine. Yahoo News a rapporté en janvier que la CIA organisait également un cours de formation basé aux États-Unis pour le personnel militaire ukrainien. Selon un ancien responsable de la CIA, l’opération américaine « a formé une insurrection » et appris aux Ukrainiens à « tuer des Russes ». L’opération d’entraînement secrète de la CIA dans l’est de l’Ukraine a été bien plus explosive que les programmes d’entraînement précédents, entraînant les États-Unis dans une guerre par procuration à la frontière russe. Les responsables de la sécurité nationale ont évalué le programme, qui a débuté sous l’administration Obama, au cours de la première année de l’administration Trump, ont déclaré d’anciens responsables. Les paramilitaires de la CIA ont reçu pour instruction de fournir des conseils et de la formation, mais pas d’intervenir au combat. Les responsables de l’administration Trump craignaient que les pouvoirs ne soient trop larges et que la cible ne soit trop floue. Selon un ancien responsible, des questions telles que « Jusqu’où pouvez-vous aller avec les pouvoirs d’action secrets existants ? Est-ce un problème si, Dieu nous en préserve, ils ont tiré sur des Russes ? Avez-vous besoin de pouvoirs spéciaux pour cela ? L’administration Trump a examiné les lignes que la Russie tracerait, a déclaré l’ancien responsable, et a conclu que le soutien américain à l’armée ukrainienne se situait dans des paramètres historiquement acceptables. Le responsible a expliqué: « Il y avait une école de pensée selon laquelle les Russes parlaient le vieux langage simple de la guerre par procuration. » Malgré ces craintes, l’initiative secrète est restée secrète pendant plusieurs années, jusqu’en février. D’anciennes sources ont affirmé qu’à mesure que la menace d’une opération spéciale russe devenait « plus aiguë », l’administration Biden avait évacué tout le personnel de la CIA, y compris les paramilitaires, d’Ukraine. L’administration Biden avait « peur que même les responsables du renseignement ne soient en première ligne », selon un ancien responsable. Bien qu’il soit difficile d’évaluer avec précision la situation militaire en Ukraine, les États-Unis estiment que l’Ukraine oppose une résistance beaucoup plus forte que ne l’avait prévu la Russie. D’anciens responsables s’adressant à Yahoo News ont déclaré que le programme de formation de la CIA jouait un rôle dans l’opposition. Le président Biden a déjà offert plus d’un milliard de dollars de nouveaux actifs militaires à l’Ukraine depuis le début de l’opération, ce qui suggère que les États-Unis ont l’intention d’intensifier encore le combat.
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  • Rapport de la CIA : Le syndrome de La Havane n’est pas le résultat d’une campagne étrangère ciblée

    Par Lucas Leiroz : Chercheur en sciences sociales à l’Université fédérale de Rio de Janeiro ; conseiller géopolitique.

    Après plusieurs allégations non fondées selon lesquelles la Russie et la Chine auraient utilisé des armes à micro-ondes pour causer des problèmes de santé aux diplomates américains, la CIA a admis qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour soutenir l’affirmation selon laquelle le soi-disant « syndrome de La Havane » est délibérément provoqué par des agents étrangers. Cependant, les services de renseignements américains confirment d’affirmer que dans certains cas spécifiques, il existe des preuves d’implication étrangère, suggèrent que Washington veut simplement éviter les accusations d’utilisation de théories du complot, mais s’en tient à sa rhétorique anti-russe et anti-chinoise.

    Récemment, la CIA a publié des informations sur un rapport de l’étude résultante sur le cas du syndrome à La Havane. Après plusieurs analyses et enquêtes, l’agence semble avoir conclu qu’il n’y a pas suffisamment de preuves de l’existence d’une campagne mondiale délibérément organisée par des « puissances hostiles » - associées à la Russie ou à la Chine – pour produire les symptômes décrits par les diplomates américains.

    Contrairement aux affirmations du gouvernement, aucune preuve de l’utilisation d’armes radioactives n’a été trouvée. Aucun mécanisme spécifique n’a été identifié qui pourrait causer les symptômes. Les portes-parole de la CIA ont également précisé qu’il y a environ deux douzaines de cas qui sont toujours en cours, et que de nouvelles études et données pourraient indiquer une action étrangère délibérée.

    Cependant, la CIA n’a pas pris de position claire sur la question. Tout en reconnaissant qu’il n’y a aucune preuve d’un plan d’action mondial délibéré de la partie de nations hostiles, l’agence a précisé que dans certains cas spécifiques, il existe la possibilité d’une implication étrangère. Il est intéressant de noter qu’aucun détail n’a été donné sur ces « cas spécifiques » et les preuves d’une action étrangère, ce qui suggère que la rhétorique de Washington est une fois de plus basée sur des accusations de conspiration.

    Comme l’a déclaré un haut responsable de la CIA dans une interview sur le sujet : « Je n’y a pas une seule explication... On ne voit pas une campagne globale d’un acteur étranger (...) Nous n 'Exclurions certainement pas la possibilité d’une implication d’acteurs étrangers dans certains cas individuels, [mais] nous n’avons pas identifié de mécanisme causal, une nouvelle arme utilisée pour le moment. »

    Depuis 2017, le gouvernement américain a adopté comme récit officiel le discours selon lequel Moscou et Pékin utilisent des armes technologiquement avancées pour induire des symptômes de nausées, de vertiges, d’acouphènes et de confusion mentale chez les diplomates américains. L’hypothèse la plus communément admise par les responsables américains est que les symptômes résultent de l’exposition des victimes à des ondes radioactives émises par des armes à micro-ondes prétendument utilisées par des agents secrets de pays ennemis américains.

    De telles affirmations sont bien sûr totalement infondées. Tout d’abord, il n’y a pas suffisamment de preuves pour affirmer qu’aucun pays au monde ne dispose d’une telle technologie capable de produire les effets décrits par les diplomates. Parfois, les accusations américaines sonnaient non seulement comme des mots complotistes, mais véritablement futuristes. Donc, avant de prétendre que tel ou tel pays est impliqué dans ce genre d’activités, il appartiendrait aux États-Unis de prouver que de telles armes existent réellement.

    Un autre point est le fait qu’il est douteux que les diplomates américains stationnés à Cuba et dans d’autres pays en développement seraient les cibles privilégiées d’une technologie aussi puissante si un pays disposait réellement de ce type d’armes. Néanmoins, il faut dire que les symptômes rapportés par les diplomates sont très fréquents dans divers types de maladies, notamment liés au stress et aux situations dangereuses, il est donc prématuré de dire que les rapports sont des preuves suffisantes pour parler d’un nouveau « syndrôme ».

    Ce que nous voyons maintenant n’est pas un réel changement dans les croyances du gouvernement américain par rapport aux déclarations précédentes. Au contraire, il s’agit simplement d’une tentative de « confirmer » les théories du complot largement répandues. Washington ne semble pas intéressé à admettre qu’il n’y a aucune preuve d’implication étrangère, mais se sent obligé d’éviter d’être accusé d’utiliser une rhétorique complotiste et anti-scientifique, ce qui nuirait à l’image des États-Unis dans la société internationale. Cela explique la position ambiguë de la CIA : elle admet qu’il n’y a aucune preuve de l’existence d’un plan étranger, mais en même temps elle prétend queque tous les cas n’ont pas fait l’objet d’une enquête et qu’il existe une possibilité d’implication étrangère dans certaines situations spécifiques.

    La CIA ouvre simplement la voie aux États-Unis pour prétendre à l’avenir qu’ils ont trouvé suffisamment de données pour prouver l’existence d’un plan étranger. C’est une manière de « justifier » des thèses non fondées et de leur donner une « validité scientifique ».
    Rapport de la CIA : Le syndrome de La Havane n’est pas le résultat d’une campagne étrangère ciblée Par Lucas Leiroz : Chercheur en sciences sociales à l’Université fédérale de Rio de Janeiro ; conseiller géopolitique. Après plusieurs allégations non fondées selon lesquelles la Russie et la Chine auraient utilisé des armes à micro-ondes pour causer des problèmes de santé aux diplomates américains, la CIA a admis qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour soutenir l’affirmation selon laquelle le soi-disant « syndrome de La Havane » est délibérément provoqué par des agents étrangers. Cependant, les services de renseignements américains confirment d’affirmer que dans certains cas spécifiques, il existe des preuves d’implication étrangère, suggèrent que Washington veut simplement éviter les accusations d’utilisation de théories du complot, mais s’en tient à sa rhétorique anti-russe et anti-chinoise. Récemment, la CIA a publié des informations sur un rapport de l’étude résultante sur le cas du syndrome à La Havane. Après plusieurs analyses et enquêtes, l’agence semble avoir conclu qu’il n’y a pas suffisamment de preuves de l’existence d’une campagne mondiale délibérément organisée par des « puissances hostiles » - associées à la Russie ou à la Chine – pour produire les symptômes décrits par les diplomates américains. Contrairement aux affirmations du gouvernement, aucune preuve de l’utilisation d’armes radioactives n’a été trouvée. Aucun mécanisme spécifique n’a été identifié qui pourrait causer les symptômes. Les portes-parole de la CIA ont également précisé qu’il y a environ deux douzaines de cas qui sont toujours en cours, et que de nouvelles études et données pourraient indiquer une action étrangère délibérée. Cependant, la CIA n’a pas pris de position claire sur la question. Tout en reconnaissant qu’il n’y a aucune preuve d’un plan d’action mondial délibéré de la partie de nations hostiles, l’agence a précisé que dans certains cas spécifiques, il existe la possibilité d’une implication étrangère. Il est intéressant de noter qu’aucun détail n’a été donné sur ces « cas spécifiques » et les preuves d’une action étrangère, ce qui suggère que la rhétorique de Washington est une fois de plus basée sur des accusations de conspiration. Comme l’a déclaré un haut responsable de la CIA dans une interview sur le sujet : « Je n’y a pas une seule explication... On ne voit pas une campagne globale d’un acteur étranger (...) Nous n 'Exclurions certainement pas la possibilité d’une implication d’acteurs étrangers dans certains cas individuels, [mais] nous n’avons pas identifié de mécanisme causal, une nouvelle arme utilisée pour le moment. » Depuis 2017, le gouvernement américain a adopté comme récit officiel le discours selon lequel Moscou et Pékin utilisent des armes technologiquement avancées pour induire des symptômes de nausées, de vertiges, d’acouphènes et de confusion mentale chez les diplomates américains. L’hypothèse la plus communément admise par les responsables américains est que les symptômes résultent de l’exposition des victimes à des ondes radioactives émises par des armes à micro-ondes prétendument utilisées par des agents secrets de pays ennemis américains. De telles affirmations sont bien sûr totalement infondées. Tout d’abord, il n’y a pas suffisamment de preuves pour affirmer qu’aucun pays au monde ne dispose d’une telle technologie capable de produire les effets décrits par les diplomates. Parfois, les accusations américaines sonnaient non seulement comme des mots complotistes, mais véritablement futuristes. Donc, avant de prétendre que tel ou tel pays est impliqué dans ce genre d’activités, il appartiendrait aux États-Unis de prouver que de telles armes existent réellement. Un autre point est le fait qu’il est douteux que les diplomates américains stationnés à Cuba et dans d’autres pays en développement seraient les cibles privilégiées d’une technologie aussi puissante si un pays disposait réellement de ce type d’armes. Néanmoins, il faut dire que les symptômes rapportés par les diplomates sont très fréquents dans divers types de maladies, notamment liés au stress et aux situations dangereuses, il est donc prématuré de dire que les rapports sont des preuves suffisantes pour parler d’un nouveau « syndrôme ». Ce que nous voyons maintenant n’est pas un réel changement dans les croyances du gouvernement américain par rapport aux déclarations précédentes. Au contraire, il s’agit simplement d’une tentative de « confirmer » les théories du complot largement répandues. Washington ne semble pas intéressé à admettre qu’il n’y a aucune preuve d’implication étrangère, mais se sent obligé d’éviter d’être accusé d’utiliser une rhétorique complotiste et anti-scientifique, ce qui nuirait à l’image des États-Unis dans la société internationale. Cela explique la position ambiguë de la CIA : elle admet qu’il n’y a aucune preuve de l’existence d’un plan étranger, mais en même temps elle prétend queque tous les cas n’ont pas fait l’objet d’une enquête et qu’il existe une possibilité d’implication étrangère dans certaines situations spécifiques. La CIA ouvre simplement la voie aux États-Unis pour prétendre à l’avenir qu’ils ont trouvé suffisamment de données pour prouver l’existence d’un plan étranger. C’est une manière de « justifier » des thèses non fondées et de leur donner une « validité scientifique ».
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  • Des signaux fous, une conclusion... Les États-Unis et leurs partenaires de l’OTAN lance une guerre contre la Russie

    Strategic-culture.org : Washington et ses alliés de l’OTAN mettent en danger la paix en Europe. Ils ont créé les conditions d’une guerre entre puissances nucléaires.

    Le président américain Joe Biden a déclaré la dernière semaine qu’il croyait que la Russie envahirait l’Ukraine. Il y a quelques jours à peine, Biden et ses conseillers principaux n’étaient pas sûrs, disant qu’ils ne savaient pas si cela se convenait. Si les membres les plus hauts lieux de l’exécutif américain ne peuvent pas s’entendre sur un courant de pensée cohérent, donc la conclusion est évidente qu’ils sont désemparés et que leurs revendications sont sans fondement. En bref : des mensonges.

    Malpractice, cette ignorance conduit à une guerre en Europe. Depuis près de deux mois, l’administration Biden, au sud des médias, a bombardé le public avec des informations selon lesquelles la Russie planifie une invasion de l’Ukraine. Ce n’est pas de l’ignorance innocente. C’est une incitation criminelle à la guerre et des crimes contre la paix.

    Toute cette propagande - parce que c’est de cela qu’il s’agit - est basée sur une mentalité toxique de la guerre froide, ainsi que sur la russophobie, des affirmations arrogantes dépourvues de substance et des données falsifiées. Des images satellites prétendant un renforcement militaire russe à la frontière ukrainienne se sont manifestées en fait des bases à des centaines de kilomètres sur le territoire russe.

    Comme à l’approche de la guerre d’agression anglo-américaine contre l’Irak en 2003, la perception publique de l’Occident est mise en scène pour générer une « approbation » pour une confrontation, cette fois avec la Russie. La technique du grand mensonge, inventée par le propagandiste nazi Joseph Goebbels et perfectionnée par les puissances impériales occidentales, est à nouveau utilisée.

    Moscou a nié à plusieurs reprises et catégoriquement les allégations d’un plan d’invasion, affirmant qu’elle n’avait pas l’intention d’attaquer une nation. La Russie a appelé les États occidentaux à ne plus propager cette folie monotone. Le simple soupçon de telles accusations révèle un préjugé anti-russe provocateur et une fomentation impitoyable de l’instabilité. Il est étonnant que Moscou doive dire que les troupes à l’intérieur de ses frontières territoriales sont une affaire souveraine, ne nécessitant aucune explication ou responsabilité envers un gouvernement étranger.

    Cette semaine, on dit que le « spectre de la guerre » grandit et que les pourparlers entre le secrétaire d’État américain Antony Blinken et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov à Genève vendredi seraient des « efforts de la dernière chance » de la diplomatie pour éviter le conflit.

    En fait, il y a une double accumulation ridicule et imprudente : à la fois des forces militaires et de la propagande pour la guerre. Cette accumulation est de la part des États-Unis et de ses alliés de l’OTAN, y compris le régime soutenu par l’Occident en Ukraine.

    Les États-Unis et le bloc de l’OTAN inondent l’Ukraine d’armes. L’administration Biden vient d’annoncer une aide militaire supplémentaire de 200 millions de dollars à Kiev, en plus des près de 3 milliards de dollars fournis depuis 2014, lorsque le coup d’État soutenu par la CIA en Ukraine a lancé un régime anti-russe en colère.

    La Grande-Bretagne et d’autres membres de l’OTAN, y compris les États baltes, envoient des missiles antichars et antiaériens et des conseillers militaires en Ukraine. Toutes ces armes encouragent le régime de Kiev à intensifier son offensive contre la population d’origine russe dans le sud-est de l’Ukraine. Les forces armées de Kiev refusent une solution politique à la guerre civile de près de huit ans qui a commencé peu après le coup d’État soutenu par la CIA. Il a été rapporté cette semaine que les forces ukrainiennes ont installé plusieurs lance-roquettes sur la ligne de contact dans la zone de conflit du Donbass dans ce qui serait la préparation d’une offensive majeure.

    La réalité est que les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN étendent le militarisme en Ukraine, ce qui constitue une menace directe pour la Russie. Étonnamment, cependant, cette réalité est renversée par des politiciens américains et européens qui ont accusé la Russie de planifier une invasion et de fomenter une agression. Le coup d’État de 2014 est rétrospectivement déguisé en Russie envahissant l’Ukraine et annexant la Crimée. Maintenant, on dit que la Russie envahira « à nouveau ».

    À cela s’ajoute la présomption mépriseuse du chef de la politique étrangère des États-Unis, Antony Blinken, qui se serait « engagé dans une diplomatie de navette pour empêcher la guerre ».

    La semaine dernière, la Russie a fait des propositions claires aux représentants des États-Unis et de l’OTAN sur la manière de mettre en œuvre les garanties de sécurité en Europe. Ces propositions comprenaient l’arrêt de l’expansion vers l’est du bloc de l’OTAN et le retrait des armes stratégiques américaines d’Europe de l’Est. L’initiative éminemment sensée de Moscou visant à améliorer la sécurité a été rejetée. Avant sa rencontre avec Lavrov à Genève, clignotant a déclaré qu’il ne fournirait pas de réponse écrite aux propositions russes. Néanmoins, la partie américaine parle « d’offrir à la Russie une alternative diplomatique au conflit ». Cela équivaut à une offre de paix à travers le canon d’une arme tendue.

    La vérité est que Washington et ses alliés de l’OTAN mettent en péril la paix en Europe. Ils créent les conditions d’une guerre entre puissances nucléaires.

    Il y a des échos inquiétants des guerres passées en Europe, lorsque l’Allemagne nazie a construit une machine de guerre sous le couvert cynique de la « défense ». Aujourd’hui, le bloc de l’OTAN dirigé par les États-Unis est un agresseur en Europe sous la bannière de la « défense » contre une prétendue invasion russe.

    Pas un seul politicien américain ou européen ne peut expliquer de manière crédible les raisons du renforcement militaire excessif et de l’agression contre la Russie. La pensée de groupe folle et l’illusion ont dominé la classe politique aux États-Unis et dans d’autres pays de l’OTAN. L’incohérence et la franche folie de leurs propos sont une menace pour la paix mondiale. Il ne fait aucun doute que les crises politiques et économiques internes qui s’approfondissent actuellement des puissances capitalistes occidentales alimentent un bellicisme impitoyable pour détourner l’attention de leurs échecs systématiques. La pandémie de coronavirus et le malaise social résultant d’échecs économiques historiques alimentent le militarisme des États occidentaux dans leurs politiques envers la Russie. L’establishment au pouvoir est incapable de résoudre rationnellement et démocratiquement les problèmes politiques.

    Pour ceux qui veulent voir et penser avec un esprit ouvert, ce qui se passe est évident. Historiquement, les États-Unis et leurs complices de l’OTAN sont les héritiers politiques du régime nazi soutenu par l’Occident, qui cherchait à détruire la Russie au nom de l’hégémonie impériale du capital occidental. Washington et ses laquais occidentaux doivent empêcher une normalisation des relations au sein de l’Europe qui permettrait au plus grand pays du continent, la Russie, de se développer pacifiquement avec ses voisins européens. Les États-Unis - la première puissance hégémonique occidentale - doivent empêcher à tout prix cette issue géopolitique. Dans le passé, l’Allemagne nazie et le fascisme ont été utilisés comme des matraques. Aujourd’hui, c’est l’expansionnisme de l’OTAN dans la « défense de la démocratie et de la paix ».

    Il semble que la guerre se profile et que les fauteurs de guerre trébuchent vers l’abîme. Comme par le passé, les peuples d’Europe et des États-Unis n’ont aucun intérêt au conflit. De manière abominable, le désastre et la souffrance sont envisagés par les élites gâtées prêtes à faire la guerre jusqu’au dernier homme, femme et enfant.

    Les masses populaires doivent s’opposer et réellement vaincre les fauteurs de guerre afin de trouver une manière meilleure et plus pacifique de gouverner les sociétés et les relations internationales.

    SOURCE : SIGNAUX INSENSÉS, UNE CONCLUSION... LES ÉTATS-UNIS ET LES PARTENAIRES DE L’OTAN INCITENT À LA GUERRE CONTRE LA RUSSIE
    Des signaux fous, une conclusion... Les États-Unis et leurs partenaires de l’OTAN lance une guerre contre la Russie Strategic-culture.org : Washington et ses alliés de l’OTAN mettent en danger la paix en Europe. Ils ont créé les conditions d’une guerre entre puissances nucléaires. Le président américain Joe Biden a déclaré la dernière semaine qu’il croyait que la Russie envahirait l’Ukraine. Il y a quelques jours à peine, Biden et ses conseillers principaux n’étaient pas sûrs, disant qu’ils ne savaient pas si cela se convenait. Si les membres les plus hauts lieux de l’exécutif américain ne peuvent pas s’entendre sur un courant de pensée cohérent, donc la conclusion est évidente qu’ils sont désemparés et que leurs revendications sont sans fondement. En bref : des mensonges. Malpractice, cette ignorance conduit à une guerre en Europe. Depuis près de deux mois, l’administration Biden, au sud des médias, a bombardé le public avec des informations selon lesquelles la Russie planifie une invasion de l’Ukraine. Ce n’est pas de l’ignorance innocente. C’est une incitation criminelle à la guerre et des crimes contre la paix. Toute cette propagande - parce que c’est de cela qu’il s’agit - est basée sur une mentalité toxique de la guerre froide, ainsi que sur la russophobie, des affirmations arrogantes dépourvues de substance et des données falsifiées. Des images satellites prétendant un renforcement militaire russe à la frontière ukrainienne se sont manifestées en fait des bases à des centaines de kilomètres sur le territoire russe. Comme à l’approche de la guerre d’agression anglo-américaine contre l’Irak en 2003, la perception publique de l’Occident est mise en scène pour générer une « approbation » pour une confrontation, cette fois avec la Russie. La technique du grand mensonge, inventée par le propagandiste nazi Joseph Goebbels et perfectionnée par les puissances impériales occidentales, est à nouveau utilisée. Moscou a nié à plusieurs reprises et catégoriquement les allégations d’un plan d’invasion, affirmant qu’elle n’avait pas l’intention d’attaquer une nation. La Russie a appelé les États occidentaux à ne plus propager cette folie monotone. Le simple soupçon de telles accusations révèle un préjugé anti-russe provocateur et une fomentation impitoyable de l’instabilité. Il est étonnant que Moscou doive dire que les troupes à l’intérieur de ses frontières territoriales sont une affaire souveraine, ne nécessitant aucune explication ou responsabilité envers un gouvernement étranger. Cette semaine, on dit que le « spectre de la guerre » grandit et que les pourparlers entre le secrétaire d’État américain Antony Blinken et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov à Genève vendredi seraient des « efforts de la dernière chance » de la diplomatie pour éviter le conflit. En fait, il y a une double accumulation ridicule et imprudente : à la fois des forces militaires et de la propagande pour la guerre. Cette accumulation est de la part des États-Unis et de ses alliés de l’OTAN, y compris le régime soutenu par l’Occident en Ukraine. Les États-Unis et le bloc de l’OTAN inondent l’Ukraine d’armes. L’administration Biden vient d’annoncer une aide militaire supplémentaire de 200 millions de dollars à Kiev, en plus des près de 3 milliards de dollars fournis depuis 2014, lorsque le coup d’État soutenu par la CIA en Ukraine a lancé un régime anti-russe en colère. La Grande-Bretagne et d’autres membres de l’OTAN, y compris les États baltes, envoient des missiles antichars et antiaériens et des conseillers militaires en Ukraine. Toutes ces armes encouragent le régime de Kiev à intensifier son offensive contre la population d’origine russe dans le sud-est de l’Ukraine. Les forces armées de Kiev refusent une solution politique à la guerre civile de près de huit ans qui a commencé peu après le coup d’État soutenu par la CIA. Il a été rapporté cette semaine que les forces ukrainiennes ont installé plusieurs lance-roquettes sur la ligne de contact dans la zone de conflit du Donbass dans ce qui serait la préparation d’une offensive majeure. La réalité est que les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN étendent le militarisme en Ukraine, ce qui constitue une menace directe pour la Russie. Étonnamment, cependant, cette réalité est renversée par des politiciens américains et européens qui ont accusé la Russie de planifier une invasion et de fomenter une agression. Le coup d’État de 2014 est rétrospectivement déguisé en Russie envahissant l’Ukraine et annexant la Crimée. Maintenant, on dit que la Russie envahira « à nouveau ». À cela s’ajoute la présomption mépriseuse du chef de la politique étrangère des États-Unis, Antony Blinken, qui se serait « engagé dans une diplomatie de navette pour empêcher la guerre ». La semaine dernière, la Russie a fait des propositions claires aux représentants des États-Unis et de l’OTAN sur la manière de mettre en œuvre les garanties de sécurité en Europe. Ces propositions comprenaient l’arrêt de l’expansion vers l’est du bloc de l’OTAN et le retrait des armes stratégiques américaines d’Europe de l’Est. L’initiative éminemment sensée de Moscou visant à améliorer la sécurité a été rejetée. Avant sa rencontre avec Lavrov à Genève, clignotant a déclaré qu’il ne fournirait pas de réponse écrite aux propositions russes. Néanmoins, la partie américaine parle « d’offrir à la Russie une alternative diplomatique au conflit ». Cela équivaut à une offre de paix à travers le canon d’une arme tendue. La vérité est que Washington et ses alliés de l’OTAN mettent en péril la paix en Europe. Ils créent les conditions d’une guerre entre puissances nucléaires. Il y a des échos inquiétants des guerres passées en Europe, lorsque l’Allemagne nazie a construit une machine de guerre sous le couvert cynique de la « défense ». Aujourd’hui, le bloc de l’OTAN dirigé par les États-Unis est un agresseur en Europe sous la bannière de la « défense » contre une prétendue invasion russe. Pas un seul politicien américain ou européen ne peut expliquer de manière crédible les raisons du renforcement militaire excessif et de l’agression contre la Russie. La pensée de groupe folle et l’illusion ont dominé la classe politique aux États-Unis et dans d’autres pays de l’OTAN. L’incohérence et la franche folie de leurs propos sont une menace pour la paix mondiale. Il ne fait aucun doute que les crises politiques et économiques internes qui s’approfondissent actuellement des puissances capitalistes occidentales alimentent un bellicisme impitoyable pour détourner l’attention de leurs échecs systématiques. La pandémie de coronavirus et le malaise social résultant d’échecs économiques historiques alimentent le militarisme des États occidentaux dans leurs politiques envers la Russie. L’establishment au pouvoir est incapable de résoudre rationnellement et démocratiquement les problèmes politiques. Pour ceux qui veulent voir et penser avec un esprit ouvert, ce qui se passe est évident. Historiquement, les États-Unis et leurs complices de l’OTAN sont les héritiers politiques du régime nazi soutenu par l’Occident, qui cherchait à détruire la Russie au nom de l’hégémonie impériale du capital occidental. Washington et ses laquais occidentaux doivent empêcher une normalisation des relations au sein de l’Europe qui permettrait au plus grand pays du continent, la Russie, de se développer pacifiquement avec ses voisins européens. Les États-Unis - la première puissance hégémonique occidentale - doivent empêcher à tout prix cette issue géopolitique. Dans le passé, l’Allemagne nazie et le fascisme ont été utilisés comme des matraques. Aujourd’hui, c’est l’expansionnisme de l’OTAN dans la « défense de la démocratie et de la paix ». Il semble que la guerre se profile et que les fauteurs de guerre trébuchent vers l’abîme. Comme par le passé, les peuples d’Europe et des États-Unis n’ont aucun intérêt au conflit. De manière abominable, le désastre et la souffrance sont envisagés par les élites gâtées prêtes à faire la guerre jusqu’au dernier homme, femme et enfant. Les masses populaires doivent s’opposer et réellement vaincre les fauteurs de guerre afin de trouver une manière meilleure et plus pacifique de gouverner les sociétés et les relations internationales. SOURCE : SIGNAUX INSENSÉS, UNE CONCLUSION... LES ÉTATS-UNIS ET LES PARTENAIRES DE L’OTAN INCITENT À LA GUERRE CONTRE LA RUSSIE
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  • Jeux olympiques d’hiver en Chine : boycott américain - « Qui boycotte réellement qui ? ».
    Par Peter Koenig : Il est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé sur l’eau et l’environnement dans le monde pendant plus de 30 ans. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des magazines en ligne et est l’auteur de Implosion - An Economic Thriller about War, Environmental Degradation and Corporate Greed et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico- Crise économique " (Clarity Press - 1er novembre 2020)

    Le président Biden, qui a tracé des « lignes rouges » contre la Russie et l’Ukraine lors d’une réunion virtuelle avec Vladimir Poutine, n’oublie pas l’importance du boycott des Jeux olympiques d’hiver en Chine.

    Il s’agit simplement d’un boycott diplomatique, selon Mme Jen Psaki, attachée de presse de la Maison Blanche. Néanmoins, elle et Biden souhaitent bonne chance aux participants américains et les soutiendront. C’est-à-dire, dés-ils. Les athlètes américains sont autorisés à participer aux jeux. C’est la diplomatie américaine qui est freiné. C’est une hypocrisie que seul Washington - et peut-être Bruxelles en tant que siège de l’UE et de l’OTAN - peut rassembler. Maintenant, l’Australie a également rejoint le club infâme.

    Espèrent-ils durablement que le reste du monde suivra leur exemple parce qu’ils veulent être « avec » les États-Unis et ne pas être perçu comme « contre » le grand empire ?

    Peut-être que certains seront en effet des imitateurs. La peur est le nom du jeu, que ce soit pour Covid ou des sanctions politiques. L’humanité occidentale tremble de peur. Tellement de peur que le processus de pensée a littéralement cessé de fonctionner par logique, même avec les tyrans eux-mêmes.

    Mme Psaki a expliqué le boycott en réponse aux « violations des droits humains de Pékin » et a ajouté ce qu’elle appelle « le génocide et les crimes contre l’humanité ». Elle faisait bien sûr référence à la région autonome ouïghoure du Xinjiang (XUAR), une région autonome de la République populaire de Chine (RPC), qui est la plus grande région de Chine en termes de superficie et est située au nord-ouest de le pays proche de l’Asie centrale.

    Il est fort possible que l’attachée de presse ne sache pas de quoi elle parle, mais se contente de répéter la présentation habituelle.

    Il y a un certain nombre d’accusations standard portées contre la Chine sur une base régulière, sans aucune substance. C’est l’un d’eux. Voir « Le Xinjiang dans mes yeux » : Exposer les mensonges et la propagande anti-chinoise centrée dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang en Chine.

    Autant dire que la région du Xinjiang est une plaque tournante de la célèbre initiative chinoise de la Ceinture et de la Route (BRI), qui relie la Chine à l’Europe et à l’océan Indien via l’Asie centrale.

    Washington considère la Chine et la BRI en particulier comme une menace économique pour sa prétendue suprématie et fait tout ce qui est en son pouvoir pour vilipender la Chine et en particulier la région du Xinjiang, où environ 12 millions de Ouïghours sur une population totale de 26 millions de Ouïghours sont majoritairement musulmans.

    Ce que Washington ne dit pas, c’est que la CIA et d’autres agences de renseignement américaines recrutent, entraînent et envoient des musulmans ouïghours au Moyen-Orient pour combattre le jihad, principalement en Syrie mais aussi en Irak. À leur retour, ils seront entraînés à semer le chaos et l’instabilité au Xinjiang. Le gouvernement chinois les remodèle afin qu’ils puissent être réintégrés dans la société ouïghoure de la région du Xinjiang.
    Jeux olympiques d’hiver en Chine : boycott américain - « Qui boycotte réellement qui ? ». Par Peter Koenig : Il est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé sur l’eau et l’environnement dans le monde pendant plus de 30 ans. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des magazines en ligne et est l’auteur de Implosion - An Economic Thriller about War, Environmental Degradation and Corporate Greed et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico- Crise économique " (Clarity Press - 1er novembre 2020) Le président Biden, qui a tracé des « lignes rouges » contre la Russie et l’Ukraine lors d’une réunion virtuelle avec Vladimir Poutine, n’oublie pas l’importance du boycott des Jeux olympiques d’hiver en Chine. Il s’agit simplement d’un boycott diplomatique, selon Mme Jen Psaki, attachée de presse de la Maison Blanche. Néanmoins, elle et Biden souhaitent bonne chance aux participants américains et les soutiendront. C’est-à-dire, dés-ils. Les athlètes américains sont autorisés à participer aux jeux. C’est la diplomatie américaine qui est freiné. C’est une hypocrisie que seul Washington - et peut-être Bruxelles en tant que siège de l’UE et de l’OTAN - peut rassembler. Maintenant, l’Australie a également rejoint le club infâme. Espèrent-ils durablement que le reste du monde suivra leur exemple parce qu’ils veulent être « avec » les États-Unis et ne pas être perçu comme « contre » le grand empire ? Peut-être que certains seront en effet des imitateurs. La peur est le nom du jeu, que ce soit pour Covid ou des sanctions politiques. L’humanité occidentale tremble de peur. Tellement de peur que le processus de pensée a littéralement cessé de fonctionner par logique, même avec les tyrans eux-mêmes. Mme Psaki a expliqué le boycott en réponse aux « violations des droits humains de Pékin » et a ajouté ce qu’elle appelle « le génocide et les crimes contre l’humanité ». Elle faisait bien sûr référence à la région autonome ouïghoure du Xinjiang (XUAR), une région autonome de la République populaire de Chine (RPC), qui est la plus grande région de Chine en termes de superficie et est située au nord-ouest de le pays proche de l’Asie centrale. Il est fort possible que l’attachée de presse ne sache pas de quoi elle parle, mais se contente de répéter la présentation habituelle. Il y a un certain nombre d’accusations standard portées contre la Chine sur une base régulière, sans aucune substance. C’est l’un d’eux. Voir « Le Xinjiang dans mes yeux » : Exposer les mensonges et la propagande anti-chinoise centrée dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang en Chine. Autant dire que la région du Xinjiang est une plaque tournante de la célèbre initiative chinoise de la Ceinture et de la Route (BRI), qui relie la Chine à l’Europe et à l’océan Indien via l’Asie centrale. Washington considère la Chine et la BRI en particulier comme une menace économique pour sa prétendue suprématie et fait tout ce qui est en son pouvoir pour vilipender la Chine et en particulier la région du Xinjiang, où environ 12 millions de Ouïghours sur une population totale de 26 millions de Ouïghours sont majoritairement musulmans. Ce que Washington ne dit pas, c’est que la CIA et d’autres agences de renseignement américaines recrutent, entraînent et envoient des musulmans ouïghours au Moyen-Orient pour combattre le jihad, principalement en Syrie mais aussi en Irak. À leur retour, ils seront entraînés à semer le chaos et l’instabilité au Xinjiang. Le gouvernement chinois les remodèle afin qu’ils puissent être réintégrés dans la société ouïghoure de la région du Xinjiang.
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