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  • La start-up chinoise Antigravity lance un drone qui filme à 360° en 8K© Antigravity

    La start-up chinoise Antigravity, incubée par Insta360, annonce son premier produit ce 14 août. Il s'agit de l'Antigravity A1, premier drone à être équipé d'une caméra filmant à 360° en résolution 8K. Deux capteurs, situés en haut et en bas de l'appareil, capturent tout l'environnement. Un logiciel dédié permet ensuite de raccorder ces images tout en invisibilisant le drone lui-même. Cela donne des vidéos immersives saisissantes. L'expertise d'Insta360 (spécialiste des caméras 360° depuis une dizaine d'années) est sans doute précieuse de ce point de vue.

    L'Antigravity A1 se pilote aussi de façon immersive, par le biais d'un casque VR et d'un contrôleur à détection de mouvements. Le pilote peut ainsi regarder dans n'importe quelle direction, et ce alors qu'il fait voler le drone avec une vue à la première personne. C'est l'un des arguments de vente d'Antigravity, qui le présente comme une "nouvelle façon de faire voler des drones", même si d'autres constructeurs comme DJI vendent des drones avec vue à la première personne depuis longtemps. C'est le contrôle par mouvements et la vue à 360° qui doivent faire la différence.

    Compact et facile à transporter, l'A1 ne pèse que 249 grammes. Antigravity le destine aux particuliers, créateurs de contenus et explorateurs à la recherche de prises de vue insolites. Sa commercialisation est prévue en janvier 2026. Son prix et sa disponibilité précise en France n'ont pas encore été communiqués, néanmoins les créateurs de contenus sont encouragés à prendre contact avec la société. Certains pourront recevoir des modèles de pré-production et influencer le développement du produit final.
    La start-up chinoise Antigravity lance un drone qui filme à 360° en 8K© Antigravity La start-up chinoise Antigravity, incubée par Insta360, annonce son premier produit ce 14 août. Il s'agit de l'Antigravity A1, premier drone à être équipé d'une caméra filmant à 360° en résolution 8K. Deux capteurs, situés en haut et en bas de l'appareil, capturent tout l'environnement. Un logiciel dédié permet ensuite de raccorder ces images tout en invisibilisant le drone lui-même. Cela donne des vidéos immersives saisissantes. L'expertise d'Insta360 (spécialiste des caméras 360° depuis une dizaine d'années) est sans doute précieuse de ce point de vue. L'Antigravity A1 se pilote aussi de façon immersive, par le biais d'un casque VR et d'un contrôleur à détection de mouvements. Le pilote peut ainsi regarder dans n'importe quelle direction, et ce alors qu'il fait voler le drone avec une vue à la première personne. C'est l'un des arguments de vente d'Antigravity, qui le présente comme une "nouvelle façon de faire voler des drones", même si d'autres constructeurs comme DJI vendent des drones avec vue à la première personne depuis longtemps. C'est le contrôle par mouvements et la vue à 360° qui doivent faire la différence. Compact et facile à transporter, l'A1 ne pèse que 249 grammes. Antigravity le destine aux particuliers, créateurs de contenus et explorateurs à la recherche de prises de vue insolites. Sa commercialisation est prévue en janvier 2026. Son prix et sa disponibilité précise en France n'ont pas encore été communiqués, néanmoins les créateurs de contenus sont encouragés à prendre contact avec la société. Certains pourront recevoir des modèles de pré-production et influencer le développement du produit final.
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  • https://www.radiofrance.fr/franceinter/affaire-mckinsey-temoignages-inedits-sur-le-role-du-cabinet-americain-dans-la-presidentielle-2017-8432106
    https://www.radiofrance.fr/franceinter/affaire-mckinsey-temoignages-inedits-sur-le-role-du-cabinet-americain-dans-la-presidentielle-2017-8432106
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    Affaire McKinsey : témoignages inédits sur le rôle du cabinet américain dans la présidentielle 2017
    Une dizaine de consultants de McKinsey a participé à la campagne d’Emmanuel Macron de 2017 de manière “active” voire “intrusive”, selon les informations de la cellule investigation de Radio France. Une ancienne du cabinet de conseil estime que “leur travail aurait dû être facturé et déclaré”.
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  • Fiasco du Stade de France : l’enquête du Sénat met en lumière les mensonges de Gérald Darmanin.

    Les deux commissions sénatoriales qui enquêtaient sur les incidents en marge de la finale de la Ligue des champions le 28 mai dernier ont rendu publiques mercredi leurs conclusions : contrairement à ce qu’avait affirmé le ministre de l’intérieur, le fiasco est avant tout dû à un « enchaînement de dysfonctionnements » dans l’organisation, imputables notamment à la préfecture de police.  

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    ? Suivez-nous ??? t.me/StreetReporters1
    Fiasco du Stade de France : l’enquête du Sénat met en lumière les mensonges de Gérald Darmanin. Les deux commissions sénatoriales qui enquêtaient sur les incidents en marge de la finale de la Ligue des champions le 28 mai dernier ont rendu publiques mercredi leurs conclusions : contrairement à ce qu’avait affirmé le ministre de l’intérieur, le fiasco est avant tout dû à un « enchaînement de dysfonctionnements » dans l’organisation, imputables notamment à la préfecture de police.   Lire la suite ? lien ? Suivez-nous ??? t.me/StreetReporters1
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  • https://citizengo.org/fr/209997-que-france-ne-livre-pas-chars-lourds-leclerc-lukraine-pour-etre-engages-dans-guerre-russo?m=6&utm_campaign=&tcid=104324698&fb=0&nid=209997
    https://citizengo.org/fr/209997-que-france-ne-livre-pas-chars-lourds-leclerc-lukraine-pour-etre-engages-dans-guerre-russo?m=6&utm_campaign=&tcid=104324698&fb=0&nid=209997
    CITIZENGO.ORG
    Non à la livraison de chars Leclerc (et de chasseurs Rafale) à l'Ukraine ! La paix doit être la priorité.
    Monsieur le Président,Nous voulons que la Paix soit le premier objectif politique qui vous anime.
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  • Immigration de masse: Scholz va nous faire regretter Merkel !


    Rappelez-vous tout d'abord les propos de Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne, qui expliquait en novembre dernier que « l’hiver démographique de l’Europe est comblé par des apports du reste du monde ». Ses propos ont trouvé un écho dans plusieurs pays puisque de nombreuses initiatives visant à faire venir légalement en Europe des travailleurs étrangers sont mises en place.

    Rappelons aussi qu'en 2022, l’agence Frontex a comptabilisé 330.000 franchissements irréguliers des frontières extérieures de l’Union européenne. Un record depuis 2016. Face à cette augmentation de 64% d’entrée illégales par rapport 2021, la Commission veut encore accentuer les flux vers l’Europe.

    L’Allemagne s’apprête à battre tous les records avec sa nouvelle loi immigration qui sera bientôt discutée. Berlin veut assouplir les conditions d’entrée des étrangers sur son territoire.

    Il ne serait plus nécessaire de parler la langue ou de présenter un contrat de travail avant de s’installer dans le pays. Ainsi, plus de 400.000 travailleurs étrangers devraient être accueillis chaque année jusqu’en 2035, soit près de cinq millions de personnes. Olaf Scholz va finir par nous faire regretter Angela Merkel et son million d'immigrés !

    Heureusement, certains États membres de l'UE ont vu le danger. Ainsi, l’Autriche, la Grèce, le Danemark, la Lituanie, la Lettonie, l’Estonie, Malte et la Slovaquie ont insisté, lors du Sommet européen sur la migration, sur la nécessité de renforcer la protection des frontières extérieures, y compris par le déploiement « d'infrastructures ». La Commission a pour l'instant refusé, estimant que « construire des murs et des barbelés » n'était pas la bonne solution. Mais ces pays insistent en demandant que l’UE utilise les nombreux leviers dont elle dispose : les visas, le commerce et les politiques de développement pour assurer le retour dans les pays d'origine de ces migrants. Bien sûr, la France ne s'occupe en rien du sujet et suit aveuglément la politique migratoire du chancelier allemand. Pourtant, ces millions de migrants, une fois en Allemagne, seront libres de circuler partout en Europe. Ils ne s'en priveront pas. L'Allemagne doit renoncer à son projet qui impactera toutes nos nations. Nous joindrons nos forces à celles qui refusent une telle politique, funeste pour l'avenir de notre civilisation.


    Jean-Paul Garraud
    Président de la délégation RN au Parlement européen

    © Groupe Identité & Démocratie - Délégation française

    ATR 07K066
    Parlement européen
    60 rue Wiertz
    1047 Bruxelles
    Belgique


    Immigration de masse: Scholz va nous faire regretter Merkel ! Rappelez-vous tout d'abord les propos de Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne, qui expliquait en novembre dernier que « l’hiver démographique de l’Europe est comblé par des apports du reste du monde ». Ses propos ont trouvé un écho dans plusieurs pays puisque de nombreuses initiatives visant à faire venir légalement en Europe des travailleurs étrangers sont mises en place. Rappelons aussi qu'en 2022, l’agence Frontex a comptabilisé 330.000 franchissements irréguliers des frontières extérieures de l’Union européenne. Un record depuis 2016. Face à cette augmentation de 64% d’entrée illégales par rapport 2021, la Commission veut encore accentuer les flux vers l’Europe. L’Allemagne s’apprête à battre tous les records avec sa nouvelle loi immigration qui sera bientôt discutée. Berlin veut assouplir les conditions d’entrée des étrangers sur son territoire. Il ne serait plus nécessaire de parler la langue ou de présenter un contrat de travail avant de s’installer dans le pays. Ainsi, plus de 400.000 travailleurs étrangers devraient être accueillis chaque année jusqu’en 2035, soit près de cinq millions de personnes. Olaf Scholz va finir par nous faire regretter Angela Merkel et son million d'immigrés ! Heureusement, certains États membres de l'UE ont vu le danger. Ainsi, l’Autriche, la Grèce, le Danemark, la Lituanie, la Lettonie, l’Estonie, Malte et la Slovaquie ont insisté, lors du Sommet européen sur la migration, sur la nécessité de renforcer la protection des frontières extérieures, y compris par le déploiement « d'infrastructures ». La Commission a pour l'instant refusé, estimant que « construire des murs et des barbelés » n'était pas la bonne solution. Mais ces pays insistent en demandant que l’UE utilise les nombreux leviers dont elle dispose : les visas, le commerce et les politiques de développement pour assurer le retour dans les pays d'origine de ces migrants. Bien sûr, la France ne s'occupe en rien du sujet et suit aveuglément la politique migratoire du chancelier allemand. Pourtant, ces millions de migrants, une fois en Allemagne, seront libres de circuler partout en Europe. Ils ne s'en priveront pas. L'Allemagne doit renoncer à son projet qui impactera toutes nos nations. Nous joindrons nos forces à celles qui refusent une telle politique, funeste pour l'avenir de notre civilisation. Jean-Paul Garraud Président de la délégation RN au Parlement européen © Groupe Identité & Démocratie - Délégation française ATR 07K066 Parlement européen 60 rue Wiertz 1047 Bruxelles Belgique
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  • "Si nous voulons sauver notre identité, notre économie et notre modèle social, la France doit travailler urgemment à relancer sa natalité."
    Baisse de la natalité en Europe : l'heure est grave !
    En 2021, l’Union européenne a vu sa population baisser de 312 000 personnes, pour tomber à 447 millions d’habitants. Depuis 2012, le Vieux Continent enregistre plus de décès que de naissances.
    La France n’est évidemment pas épargnée : selon l’Insee dans son bilan démographique dévoilé mardi dernier, en 2022 la mortalité est en hausse avec 667.000 décès.
    La même année, 723.000 bébés ont vu le jour en France, soit 19.000 de moins que l’année précédente. Ce déficit de naissances est inquiétant à tous points de vue, tant la démographie est décisive depuis la nuit des temps.
    Alors que la réforme des retraites occupe les Français en ce moment, le sujet de la natalité est oublié par Emmanuel Macron. Or il est évident qu’avec moins d’actifs, notre système de retraites va couler. « Les bébés de 2023 sont les cotisants de 2043 », rappelle l’Unaf, l’Union nationale des associations familiales.
    Pour lutter contre ces défis démographiques, la Commission européenne a rappelé le 17 janvier sa volonté de soutenir la migration légale vers notre continent. Une fois n’est pas coutume, Bruxelles agite la vieille marotte de l’immigration comme moyen de sauver l’Europe. Je ne reviendrai pas sur les conséquences de ces choix funestes, nous ne les connaissons que trop bien.
    Les causes de cette dénatalité sont en grande partie liées à la réalité sociale que traversent des millions de nos concitoyens, qui s’inquiètent de leur capacité à pourvoir aux besoins économiques de l’enfant. Pourtant, les Français souhaitent avoir plus d’enfants selon des études sérieuses. Le rôle du gouvernement est donc de les y aider, et celui de la Commission est d’encourager les États membres à développer des politiques natalistes, comme la Hongrie qui a mis en place une politique de natalité ambitieuse par des aides dans l’accès à la propriété, et la Pologne qui a augmenté ses allocations familiales.
    Si nous voulons sauver notre identité, notre économie et notre modèle social, la France doit travailler urgemment à relancer sa natalité. 
     

    Jean-Paul Garraud
    Président de la délégation RN au Parlement européen 
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    "Si nous voulons sauver notre identité, notre économie et notre modèle social, la France doit travailler urgemment à relancer sa natalité." Baisse de la natalité en Europe : l'heure est grave ! En 2021, l’Union européenne a vu sa population baisser de 312 000 personnes, pour tomber à 447 millions d’habitants. Depuis 2012, le Vieux Continent enregistre plus de décès que de naissances. La France n’est évidemment pas épargnée : selon l’Insee dans son bilan démographique dévoilé mardi dernier, en 2022 la mortalité est en hausse avec 667.000 décès. La même année, 723.000 bébés ont vu le jour en France, soit 19.000 de moins que l’année précédente. Ce déficit de naissances est inquiétant à tous points de vue, tant la démographie est décisive depuis la nuit des temps. Alors que la réforme des retraites occupe les Français en ce moment, le sujet de la natalité est oublié par Emmanuel Macron. Or il est évident qu’avec moins d’actifs, notre système de retraites va couler. « Les bébés de 2023 sont les cotisants de 2043 », rappelle l’Unaf, l’Union nationale des associations familiales. Pour lutter contre ces défis démographiques, la Commission européenne a rappelé le 17 janvier sa volonté de soutenir la migration légale vers notre continent. Une fois n’est pas coutume, Bruxelles agite la vieille marotte de l’immigration comme moyen de sauver l’Europe. Je ne reviendrai pas sur les conséquences de ces choix funestes, nous ne les connaissons que trop bien. Les causes de cette dénatalité sont en grande partie liées à la réalité sociale que traversent des millions de nos concitoyens, qui s’inquiètent de leur capacité à pourvoir aux besoins économiques de l’enfant. Pourtant, les Français souhaitent avoir plus d’enfants selon des études sérieuses. Le rôle du gouvernement est donc de les y aider, et celui de la Commission est d’encourager les États membres à développer des politiques natalistes, comme la Hongrie qui a mis en place une politique de natalité ambitieuse par des aides dans l’accès à la propriété, et la Pologne qui a augmenté ses allocations familiales. Si nous voulons sauver notre identité, notre économie et notre modèle social, la France doit travailler urgemment à relancer sa natalité.    Jean-Paul Garraud Président de la délégation RN au Parlement européen  ­
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  • Cliquez ici pour le voir en ligne : https://agir.touscontribuables.org/taxe-fonciere?lien=1&guid=E72BF138-9E19-479A-BCF0-4DBCEE4569F8

    Mobilisation générale taxe foncière
    La hausse de la taxe fonciere doit s'arreter des 2023


    Cher contribuable,



    Vous venez de payer votre taxe foncière ?



    Ça fait mal. Très mal pour certains. La taxe foncière saigne les propriétaires :



    « Elle est passée de 1 756 € à 2 108 € : + 20 % en un an ! » s’exaspère Pierre.



    « A Rochefort-sur-Mer, la part de l’intercommunalité est passée de 1,38 % à 4,40 %, soit 330 %. La taxe inondation (GEMAPI) est en hausse de + 40,91 %. Et les frais de gestion +35 % ! » s’insurge Laurent.



    « A Mérignac, la valeur cadastrale de ma simple demeure non rénovée vient de subir une augmentation de 150 % ! Donc mon impôt foncier aussi ! Réévaluation due à l’installation du tram qui n’est toujours pas en service !! » témoigne une dame.



    « La taxe sur les ordures ménagères (TEOM) a augmenté de 42 % sur ma commune » déclare Nadia.



    Une ponction fiscale colossale sur les propriétaires





    La taxe foncière, c’est 23,5 milliards d’euros pris dans les poches des contribuables-propriétaires en 2010. 35,3 milliards en 20201.



    Soit + 50 % en 10 ans : une hausse 5 fois supérieure à celle de l’inflation et des loyers.



    La taxe foncière, c’est 3 éléments clés : une base taxable (la valeur locative de votre bien), un taux d’imposition (voté par les communes), la TEOM (taxe sur les ordures ménagères) et d’autres taxes.





    1. Le taux d’imposition flambe : il est passé (en moyenne) de 34 % à 48 % en 20 ans2.



    Il atteint aujourd’hui plus de 54 % à Angers, Amiens, Orléans, Grenoble, au Havre…



    Et cette hausse du taux d’imposition s’accélère. En 2022 : + 18,8 % à Mantes-la-Jolie, + 16,5 % à Marseille, + 15 % à Tours, + 12,6 % à Strasbourg, + 11,5 % à Nantes… Sur une seule année !



    Un emballement phénoménal.





    2. La base taxable s’envole : la valeur locative a été revalorisée de 34 % entre 2000 et 20213.



    Et les choses s’accélèrent en 2022 car les valeurs locatives sont indexées sur le taux d’inflation. Ce qui entraîne mécaniquement une hausse équivalente de la taxe foncière.





    3. Côté TEOM, c’est un feu d’artifice : + 31 % à Rennes, + 40 % à Aubagne, + 44 % à Beauvais, et le pompon, c’est Ivry sur Seine : + 182 % ! Au total, ce sont plus de 7 milliards d’euros4 pris dans les poches des propriétaires (2020). C’est hors de contrôle !



    Propriétaires, vous êtes victimes d'une imposture politique





    M. Macron a supprimé la taxe d’habitation (qui rapportait 24 milliards aux communes). Il récidive aujourd’hui avec la CVAE (taxe sur la valeur ajoutée des entreprises) : 8 milliards d’euros.

    Il supprime ainsi 1/3 des recettes des communes, sans augmenter les dotations de l’Etat. Résultat : un trou béant de 32 milliards à combler5.



    Le seul levier fiscal qui leur reste est la taxe foncière. Alors ça y va ! On leur coupe la taxe d’habitation/CVAE, elles s’engouffrent dans de la taxe foncière.



    M. Macron se gausse de baisser les impôts ! En réalité, il coupe le robinet de l’argent aux communes qui, asphyxiées, répercutent sur les propriétaires leur manque à gagner abyssal.



    L’impopularité va sur les maires. Et M. Macron, l’homme qui « baisse » les impôts est réélu.

    Hypocrisie ? Tartufferie ? Duplicité ? Je vous laisse trancher… une chose est sûre : ce n’est pas franc du collier. Et nous sommes les dindons de la farce.



    Et pendant ce temps là… en catimini… le gouvernement donne le feu vert aux communes pour augmenter la taxe d’habitation6 de 20 % à 60 %.



    60 % ! La France n’a que le mot « égalité » à la bouche, mais désigne ses « têtes de Turc » et les massacre fiscalement. C’est de l’injustice fiscale.



    De la confiscation même… car votre bien est le fruit de votre travail. Et ce travail a déjà été taxé, surtaxé et retaxé à tous les niveaux. Allons-nous rester les bras croisés sans broncher ? Il y a urgence :





    Contribuables-propriétaires, nous allons être pris en étau. Voire à la gorge !





    D’un côté l’Etat augmente nos charges, et nous oblige à payer toujours plus :



    · Très forte hausse de la taxe foncière, de la TEOM, de la taxe d’habitation…



    · Obligation de réaliser des travaux de rénovation énergétique très coûteux pour les propriétaires bailleurs



    · Revenus taxés plein-pot (contrairement aux revenus boursiers qui bénéficient d’une simple taxe forfaitaire)



    La taxe foncière représente 25 % des loyers perçus par le propriétaire. La CGS-RDS 17,2 % : on vous a déjà pris 40 % de vos revenus, soit 5 mois de loyers, avant même le passage de la grande faucheuse : l’impôt sur les revenus !





    De l’autre, l’Etat bloque nos loyers pour protéger le pouvoir d’achat des locataires.



    Résultat : la petite dame qui a travaillé dur toute sa vie, qui touche une retraite de misère et ne survit que grâce à la location d’un petit 2 pièces, est prise à la gorge. Elle en crève !



    400 000 logements vont être retirés de la location dans 4 mois. Parce que les propriétaires, comme cette petite retraitée, n’ont pas les moyens de les rénover.



    Quant aux propriétaires qui habitent leur maison… ils ne souffrent pas de l’inflation, eux ? Hausse des coûts d’entretien, de l’électricité, du gaz, des rénovations… Alors pourquoi on les massacre ?





    Et vous n'avez encore rien vu. Ils vont nous saigner jusqu'à l'os !





    Alerte tsunami ! Tout se cumule pour faire flamber la taxe foncière les prochaines années :



    1 - Les communes exsangues sont prises à la gorge. Et la taxe foncière est la variable d’ajustement qui leur permet d’équilibrer leur budget



    2 - Les communes ne bénéficient pas du « bouclier tarifaire » et voient leurs 11 milliards de dépenses annuelles d’énergie s’envoler (il faut chauffer les écoles, hôpitaux, services publics). Rien que la hausse du prix de l’énergie de 15 % en 20237, c’est 1,65 milliard en plus. Qui va payer à votre avis ?



    3 - Les rénovations énergétiques réalisées par les propriétaires augmentent mécaniquement la valeur locative de leur bien, donc leur taxe foncière. Terrible cercle vicieux !



    4 - La valeur locative de votre bien est indexée sur l’inflation. Ce qui fera grimper automatiquement de près de 8% votre taxe foncière 2023.



    5 - L’Etat raptor sort ses griffes : il mijote une réforme EXPLOSIVE. Les technocrates de Bercy sont sur le coup.

    Objectif : revaloriser massivement la valeur locative de votre bien immobilier, actuellement calculée sur des données datant de 1970. Et qui sera dorénavant évaluée en fonction du prix des loyers pratiqués aujourd’hui.



    C’est une véritable BOMBE qui attend les contribuables-propriétaires.



    Cette réforme entrera en vigueur en 2026. Et pourrait multiplier votre taxe foncière par 5 ou 6, voire 78 !



    Ouvrez les yeux ! La vague qui va s’abattre sur nous est énorme.



    En France, le propriétaire est dans le camp des « riches », des « salauds de patrons ». Dans le camp de ceux qu’on peut taxer à volonté. Ils nous prennent pour une machine à cash.



    Ils nous dépouillent sans aucun scrupule. Parce que nous sommes une proie facile ! Nous ne montons pas sur les barricades. Nous ne descendons pas dans la rue.



    Réveillez-vous ! Votre patrimoine est en danger. Les fruits de votre travail injustement captés.



    Sans réaction de votre part, ils n’hésiteront pas à lâcher le loup affamé sur la proie facile que nous sommes.



    Bataillons pour enrayer cette folie taxatrice ! Mobilisons-nous ! Signez notre pétition ici !





    Trois leviers d'action concrets pour enrayer cette sprirale infernale





    Vous en avez assez ? Vous voulez que ça change ? Alors agissons :



    1 - Exigeons de Gabriel Attal, ministre du Budget :



    · La suppression des frais de gestion. 8% de la TEOM que vous payez, et 3% de la taxe foncière que vous payez, vont directement dans la poche de l’Etat. Sus à ces frais !



    2 - Exigeons de Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances :



    · Que les valeurs locatives soient décorrélées du taux d’inflation. Sinon nous allons être confrontés dès 2023 à une hausse explosive de la base taxable. Donc de notre taxe foncière.



    · Qu’une règle d’or soit gravée dans la réforme des valeurs locatives de 2026 : pour que les rénovations énergétiques ne se répercutent pas sur la taxe foncière (et taxes d’habitation toujours actives). Sus au cercle vicieux « rénovation = hausse de la taxation ».



    Vous aussi, vous avez droit à la justice fiscale. Faites-le leur savoir ! Signez notre pétition en cliquant sur ce lien.



    Tous ensemble, protégeons notre pouvoir d’achat, notre épargne, et notre patrimoine.



    Je sais que je sollicite souvent votre générosité. Et je m’en excuse. Mais il y a tant de fronts ! Nous, les contribuables, sommes attaqués de toutes parts. Et je ferai tout pour vous défendre.



    Mais sans vous, rien n’est possible. Vous le savez bien.



    Alors complétez ici vos deux MISES EN DEMEURE, signées et accompagnées de votre don pour financer ce combat. Je les déposerai en votre nom, avec celles de tous les Contribuables Associés, à M. Le Maire et M. Attal.



    De tout cœur merci. Merci pour votre infaillible fidélité.



    Claude Garrec
    ‍Claude Garrec

    Secrétaire Général de Contribuables Associés





    P.S : Tous les facteurs se cumulent pour une explosion massive de la taxe foncière. Ne restons pas passif, à attendre que le tsunami nous emporte. Mobilisation générale !



    Dites STOP aux frais de gestion. A la réévaluation automatique de la taxe foncière en fonction de l’inflation et lors des travaux de rénovation énergétique. Nous n’en voulons pas. Dites-le leurs !



    P.S.S : Ne leur laissons pas le champ libre : renvoyez-moi vos MISES EN DEMEURE accompagnées de votre don. J’irai les déposer à MM. Le Maire et Attal. Faisons pression sur eux AUJOURD’HUI, pour que la prochaine échéance de la taxe foncière soit moins douloureuse… cliquez ici !





    1. Source DGCL : Direction générale des collectivités locales

    2. Source : Ministère de l’Action et des Comptes Publics – DGFiP, données statistiques

    3. Source : toutsurmesfinances.com

    4. Source : vie-publique.fr

    5. Les communes sont légalement obligées de voter un budget à l’équilibre

    6. La taxe d’habitation reste active sur les résidences secondaires

    7. Mme Borne a annoncé le 14 septembre une hausse du prix de l’électricité et du gaz de 15 % pour 2023

    8. Selon BFM TV





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    Cliquez ici pour le voir en ligne : https://agir.touscontribuables.org/taxe-fonciere?lien=1&guid=E72BF138-9E19-479A-BCF0-4DBCEE4569F8 Mobilisation générale taxe foncière La hausse de la taxe fonciere doit s'arreter des 2023 Cher contribuable, Vous venez de payer votre taxe foncière ? Ça fait mal. Très mal pour certains. La taxe foncière saigne les propriétaires : « Elle est passée de 1 756 € à 2 108 € : + 20 % en un an ! » s’exaspère Pierre. « A Rochefort-sur-Mer, la part de l’intercommunalité est passée de 1,38 % à 4,40 %, soit 330 %. La taxe inondation (GEMAPI) est en hausse de + 40,91 %. Et les frais de gestion +35 % ! » s’insurge Laurent. « A Mérignac, la valeur cadastrale de ma simple demeure non rénovée vient de subir une augmentation de 150 % ! Donc mon impôt foncier aussi ! Réévaluation due à l’installation du tram qui n’est toujours pas en service !! » témoigne une dame. « La taxe sur les ordures ménagères (TEOM) a augmenté de 42 % sur ma commune » déclare Nadia. Une ponction fiscale colossale sur les propriétaires La taxe foncière, c’est 23,5 milliards d’euros pris dans les poches des contribuables-propriétaires en 2010. 35,3 milliards en 20201. Soit + 50 % en 10 ans : une hausse 5 fois supérieure à celle de l’inflation et des loyers. La taxe foncière, c’est 3 éléments clés : une base taxable (la valeur locative de votre bien), un taux d’imposition (voté par les communes), la TEOM (taxe sur les ordures ménagères) et d’autres taxes. 1. Le taux d’imposition flambe : il est passé (en moyenne) de 34 % à 48 % en 20 ans2. Il atteint aujourd’hui plus de 54 % à Angers, Amiens, Orléans, Grenoble, au Havre… Et cette hausse du taux d’imposition s’accélère. En 2022 : + 18,8 % à Mantes-la-Jolie, + 16,5 % à Marseille, + 15 % à Tours, + 12,6 % à Strasbourg, + 11,5 % à Nantes… Sur une seule année ! Un emballement phénoménal. 2. La base taxable s’envole : la valeur locative a été revalorisée de 34 % entre 2000 et 20213. Et les choses s’accélèrent en 2022 car les valeurs locatives sont indexées sur le taux d’inflation. Ce qui entraîne mécaniquement une hausse équivalente de la taxe foncière. 3. Côté TEOM, c’est un feu d’artifice : + 31 % à Rennes, + 40 % à Aubagne, + 44 % à Beauvais, et le pompon, c’est Ivry sur Seine : + 182 % ! Au total, ce sont plus de 7 milliards d’euros4 pris dans les poches des propriétaires (2020). C’est hors de contrôle ! Propriétaires, vous êtes victimes d'une imposture politique M. Macron a supprimé la taxe d’habitation (qui rapportait 24 milliards aux communes). Il récidive aujourd’hui avec la CVAE (taxe sur la valeur ajoutée des entreprises) : 8 milliards d’euros. Il supprime ainsi 1/3 des recettes des communes, sans augmenter les dotations de l’Etat. Résultat : un trou béant de 32 milliards à combler5. Le seul levier fiscal qui leur reste est la taxe foncière. Alors ça y va ! On leur coupe la taxe d’habitation/CVAE, elles s’engouffrent dans de la taxe foncière. M. Macron se gausse de baisser les impôts ! En réalité, il coupe le robinet de l’argent aux communes qui, asphyxiées, répercutent sur les propriétaires leur manque à gagner abyssal. L’impopularité va sur les maires. Et M. Macron, l’homme qui « baisse » les impôts est réélu. Hypocrisie ? Tartufferie ? Duplicité ? Je vous laisse trancher… une chose est sûre : ce n’est pas franc du collier. Et nous sommes les dindons de la farce. Et pendant ce temps là… en catimini… le gouvernement donne le feu vert aux communes pour augmenter la taxe d’habitation6 de 20 % à 60 %. 60 % ! La France n’a que le mot « égalité » à la bouche, mais désigne ses « têtes de Turc » et les massacre fiscalement. C’est de l’injustice fiscale. De la confiscation même… car votre bien est le fruit de votre travail. Et ce travail a déjà été taxé, surtaxé et retaxé à tous les niveaux. Allons-nous rester les bras croisés sans broncher ? Il y a urgence : Contribuables-propriétaires, nous allons être pris en étau. Voire à la gorge ! D’un côté l’Etat augmente nos charges, et nous oblige à payer toujours plus : · Très forte hausse de la taxe foncière, de la TEOM, de la taxe d’habitation… · Obligation de réaliser des travaux de rénovation énergétique très coûteux pour les propriétaires bailleurs · Revenus taxés plein-pot (contrairement aux revenus boursiers qui bénéficient d’une simple taxe forfaitaire) La taxe foncière représente 25 % des loyers perçus par le propriétaire. La CGS-RDS 17,2 % : on vous a déjà pris 40 % de vos revenus, soit 5 mois de loyers, avant même le passage de la grande faucheuse : l’impôt sur les revenus ! De l’autre, l’Etat bloque nos loyers pour protéger le pouvoir d’achat des locataires. Résultat : la petite dame qui a travaillé dur toute sa vie, qui touche une retraite de misère et ne survit que grâce à la location d’un petit 2 pièces, est prise à la gorge. Elle en crève ! 400 000 logements vont être retirés de la location dans 4 mois. Parce que les propriétaires, comme cette petite retraitée, n’ont pas les moyens de les rénover. Quant aux propriétaires qui habitent leur maison… ils ne souffrent pas de l’inflation, eux ? Hausse des coûts d’entretien, de l’électricité, du gaz, des rénovations… Alors pourquoi on les massacre ? Et vous n'avez encore rien vu. Ils vont nous saigner jusqu'à l'os ! Alerte tsunami ! Tout se cumule pour faire flamber la taxe foncière les prochaines années : 1 - Les communes exsangues sont prises à la gorge. Et la taxe foncière est la variable d’ajustement qui leur permet d’équilibrer leur budget 2 - Les communes ne bénéficient pas du « bouclier tarifaire » et voient leurs 11 milliards de dépenses annuelles d’énergie s’envoler (il faut chauffer les écoles, hôpitaux, services publics). Rien que la hausse du prix de l’énergie de 15 % en 20237, c’est 1,65 milliard en plus. Qui va payer à votre avis ? 3 - Les rénovations énergétiques réalisées par les propriétaires augmentent mécaniquement la valeur locative de leur bien, donc leur taxe foncière. Terrible cercle vicieux ! 4 - La valeur locative de votre bien est indexée sur l’inflation. Ce qui fera grimper automatiquement de près de 8% votre taxe foncière 2023. 5 - L’Etat raptor sort ses griffes : il mijote une réforme EXPLOSIVE. Les technocrates de Bercy sont sur le coup. Objectif : revaloriser massivement la valeur locative de votre bien immobilier, actuellement calculée sur des données datant de 1970. Et qui sera dorénavant évaluée en fonction du prix des loyers pratiqués aujourd’hui. C’est une véritable BOMBE qui attend les contribuables-propriétaires. Cette réforme entrera en vigueur en 2026. Et pourrait multiplier votre taxe foncière par 5 ou 6, voire 78 ! Ouvrez les yeux ! La vague qui va s’abattre sur nous est énorme. En France, le propriétaire est dans le camp des « riches », des « salauds de patrons ». Dans le camp de ceux qu’on peut taxer à volonté. Ils nous prennent pour une machine à cash. Ils nous dépouillent sans aucun scrupule. Parce que nous sommes une proie facile ! Nous ne montons pas sur les barricades. Nous ne descendons pas dans la rue. Réveillez-vous ! Votre patrimoine est en danger. Les fruits de votre travail injustement captés. Sans réaction de votre part, ils n’hésiteront pas à lâcher le loup affamé sur la proie facile que nous sommes. Bataillons pour enrayer cette folie taxatrice ! Mobilisons-nous ! Signez notre pétition ici ! ‍ Trois leviers d'action concrets pour enrayer cette sprirale infernale Vous en avez assez ? Vous voulez que ça change ? Alors agissons : 1 - Exigeons de Gabriel Attal, ministre du Budget : · La suppression des frais de gestion. 8% de la TEOM que vous payez, et 3% de la taxe foncière que vous payez, vont directement dans la poche de l’Etat. Sus à ces frais ! 2 - Exigeons de Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances : · Que les valeurs locatives soient décorrélées du taux d’inflation. Sinon nous allons être confrontés dès 2023 à une hausse explosive de la base taxable. Donc de notre taxe foncière. · Qu’une règle d’or soit gravée dans la réforme des valeurs locatives de 2026 : pour que les rénovations énergétiques ne se répercutent pas sur la taxe foncière (et taxes d’habitation toujours actives). Sus au cercle vicieux « rénovation = hausse de la taxation ». Vous aussi, vous avez droit à la justice fiscale. Faites-le leur savoir ! Signez notre pétition en cliquant sur ce lien. Tous ensemble, protégeons notre pouvoir d’achat, notre épargne, et notre patrimoine. Je sais que je sollicite souvent votre générosité. Et je m’en excuse. Mais il y a tant de fronts ! Nous, les contribuables, sommes attaqués de toutes parts. Et je ferai tout pour vous défendre. Mais sans vous, rien n’est possible. Vous le savez bien. Alors complétez ici vos deux MISES EN DEMEURE, signées et accompagnées de votre don pour financer ce combat. Je les déposerai en votre nom, avec celles de tous les Contribuables Associés, à M. Le Maire et M. Attal. De tout cœur merci. Merci pour votre infaillible fidélité. Claude Garrec ‍Claude Garrec Secrétaire Général de Contribuables Associés P.S : Tous les facteurs se cumulent pour une explosion massive de la taxe foncière. Ne restons pas passif, à attendre que le tsunami nous emporte. Mobilisation générale ! Dites STOP aux frais de gestion. A la réévaluation automatique de la taxe foncière en fonction de l’inflation et lors des travaux de rénovation énergétique. Nous n’en voulons pas. Dites-le leurs ! P.S.S : Ne leur laissons pas le champ libre : renvoyez-moi vos MISES EN DEMEURE accompagnées de votre don. J’irai les déposer à MM. Le Maire et Attal. Faisons pression sur eux AUJOURD’HUI, pour que la prochaine échéance de la taxe foncière soit moins douloureuse… cliquez ici ! 1. Source DGCL : Direction générale des collectivités locales 2. Source : Ministère de l’Action et des Comptes Publics – DGFiP, données statistiques 3. Source : toutsurmesfinances.com 4. Source : vie-publique.fr 5. Les communes sont légalement obligées de voter un budget à l’équilibre 6. La taxe d’habitation reste active sur les résidences secondaires 7. Mme Borne a annoncé le 14 septembre une hausse du prix de l’électricité et du gaz de 15 % pour 2023 8. Selon BFM TV ‍Les informations vous concernant font l’objet d’un traitement informatique destiné à l’envoi de newsletters d’information, d’emails d’appels à signature de pétitions et/ou d’emails afin de collecter des dons. Vos données sont conservées en conformité avec les directives de la CNIL. Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée et au Règlement européen n°2016/679/UE du 27 avril 2016, vous bénéficiez d’un droit d’accès, de rectification, de portabilité et d’effacement de vos données ou encore de limitation de traitement, en écrivant à Contribuables Associés - 13 rue du Quatre-Septembre – 75002 Paris | contact@contribuables. Statistics image
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  • "Se réveiller, ou mourir" !

    C’est par ces deux mots qu’ Yvan Rioufol conclut sa chronique hebdomadaire dans le Figaro.
    Et de son côté, Édouard Philippe annonce des lendemains douloureux, au pays des Bisounours et des inconscients : “Je pense que nous allons affronter une tempête – une tempête économique, une tempête sanitaire, une tempête à tous égards – et peut-être une tempête sociale, peut-être une tempête politique.
    Et je pense que les temps qui viennent sont des temps difficiles”.
    Il aurait pu ajouter une tempête identitaire et confessionnelle, tant le chaos racial et l’arrogance islamiste ont pris possession du pays.
    Qu’on apprécie ou pas l’ex-hôte de Matignon, celui-ci a le mérite de parler vrai, même s’il n’ose mentionner l’immigration comme cause majeure de ruine, de violence et de désordre. “Une tempête à tous égards”… l’ex-Premier ministre ne croit pas si bien dire.
    Et il est vrai que tout s’effondre, et pas seulement l’économie, ravagée par la pandémie du Covid-19 et par une immigration de masse, qui coûte plus cher en social que sa contribution au PIB.

    La France cigale, qui danse inconsciemment depuis la fin des Trente Glorieuses et a cru pourvoir partager ses richesses et son fabuleux social avec toute la planète, est au bord de la faillite et du chaos social et racial.
    Le peuple va payer au centuple les décennies de trahison de ses élus, mais également son incroyable aveuglement.
    Car si les élus ont pu détruire le pays en une seule génération avec autant de facilité, c’est grâce à l’appui constant des électeurs lors de chaque scrutin.
    A chaque sondage les Français se montrent lucides sur les maux du pays, mais à chaque élection ils persistent à mal voter, c’est-à-dire à reconduire ceux qui coulent la nation depuis si longtemps.
    Les fossoyeurs de la France n’ont jamais volé leur mandat.
    Ils ont toujours été élus.
    Dans notre France de 2022, tout part en vrille et il n’y a aucun pilote capable d’en sortir.
    Le mouvement des Gilets jaunes, qui avait espéré renverser la table en faisant trembler Macron, a été laminé par la violence des Black Blocs et les voyous des cités.
    Le mouvement est mort.
    Les plans sociaux vont s’enchaîner à grande vitesse et le fiasco ”Bridgestone” n’est qu’un petit épisode de l’hécatombe à venir.
    La sphère politique est dévastée.
    La droite, depuis trois ans, n’a ni leader ni programme, au point que ses rescapés rallient en masse la Macronie.
    A gauche, communistes, socialistes, France STLS insoumise et Verts voudraient nous refaire le coup de la grande union de 1981.
    Autant dire que c’est l’Apocalypse à l’horizon…
    Les mouvements racialistes et islamistes ont pris le pouvoir un peu partout en France, permettant aux Verts de rafler la mise dans les grandes
    villes.
    Les minorités font la loi.
    Tandis que Macron feint de dénoncer le séparatisme…, les coloniaux, les indigénistes et les islamistes sont comme des poissons dans l’eau.
    Seuls les populistes, les identitaires et les patriotes sont dans le collimateur du pouvoir, des élites, et parfois de la justice.
    En 2019, ce sont 177 000 demandeurs d’asile qui ont frappé à
    la porte de la France, pays du tout gratuit, paradis des migrants
    économiques et des sans-papiers. Un record.
    Mais les expulsions, déjà rarissimes, sont en chute libre.
    Un clandestin est protégé comme un VIP par un filet juridique démentiel, qui le met à l’abri pour des années, voire à vie.
    Les policiers, qu’on peut traiter de “*****” en toute impunité dès
    qu’ils font leur travail de maintien de l’ordre, contrôlent systématiquement
    les clandestins en pure perte.
    Plus de 110 000 contrôles sont effectués chaque année, mais la justice ne suit pas.
    En France, un squatteur n’a besoin que d’un ticket de pizza pour prouver qu’il est chez lui depuis 48h.
    Mais le propriétaire des lieux depuis 30 ans doit prouver son identité
    et fournir un acte de propriété.
    Moyennant quoi, selon le bon vouloir du juge et du préfet, il pourra récupérer son bien dans les deux ans, le plus souvent saccagé.
    Et si le propriétaire se réinstalle chez lui de force, il y a violation de domicile puisque le squatteur est chez lui selon la loi.

    Et dans ce cas, les peines de prison et d’amende encourues sont le double decelles du squatteur ! C’est cela la France de 2022 ! Le monde à l'envers !!!

    Voilà des décennies que les gouvernements, de droite comme de gauche,refusent de changer la loi, pour ne pas déplaire aux associations et aux anticapitalistes de tout poil. Cette loi ne changera que quand des élus et autres nantis du système se feront squatter leur résidence secondaire.

    Et avec le tsunami migratoire, cela ne va pas tarder.
    En France, on baisse la retraite des Français, mais on accorde 880 € à tout
    étranger de 65 ans qui n’a jamais travaillé ni cotisé dans notre pays.
    Des millions de Français ne perçoivent pas cette somme, si, avec leur conjoint, ils dépassent 1 400 € par mois.
    Bien des femmes d’artisan, qui ont aidé leur mari, n’ont droit à rien, si celui-ci dépasse ce seuil de 1 400 € pour un couple.
    Cela s’appelle la justice sociale…
    En France, 140 000 SDF logent sous les ponts, mais 25 000 clandestins sont logés à
    l’hôtel chaque soir.
    Le droit au logement, c’est à la gueule du client.
    En France, on peut organiser des événements interdits aux Blancs.
    Toutes les élites détournent aussitôt le regard pour ne rien voir.
    Mais ces mêmes élites s’abattent en meute sur le pauvre pâtissier
    qui appelle son gâteau “tête de ************”, comme le faisait son père ou son
    grand-père, bien avant la toute-puissance du terrorisme intellectuel.
    Ni la droite, ni la gauche n’ont voulu protéger le peuple français.
    La préférence étrangère est systématique.
    Il semblerait néanmoins que les citoyens ouvrent les yeux sur l’ampleur du désastre national.

    Selon un sondage paru dans Le Monde mardi :

    - 8 % des Français pensent que leur pays est sur le déclin.

    - 60 % jugent la mondialisation dangereuse.
    - 82 % réclament un vrai chef pour remettre de l’ordre.
    - 55 % sont pour le rétablissement de la peine de mort.

    Nous assistons, comme le dit Yvan Rioufol, à l’effondrement
    d’un système qui ne maîtrise plus rien :
    - ni la sécurité,

    - ni l’autorité,

    - ni l’immigration,

    - ni le roman national,

    - ni les lois essentielles,

    - ni la monnaie”.

    -ni la justice,

    L’édifice vermoulu de la Ve République s’écroule.
    Seules les redistributions sociales massives, financées par l’emprunt, retardent l’effondrement final.
    Macron nous mène au chaos généralisé, car il refuse d’admettre que
    les peuples ont une identité propre, une Histoire qui leur appartient et des
    traditions qui ne sont pas celles des autres peuples.
    Le multiculturalisme conduit notre France millénaire tout droit en
    Enfer.
    Ils sont une poignée à batailler pour défendre la France que nous ont léguée nos ancêtres.
    Mais qui les écoute ?
    La torpeur du peuple n’a que trop duré... !

    "Se réveiller, ou mourir" ! Il n’y a pas d’autre issue possible ou n'est-ce pas déjà trop tard !


    "Se réveiller, ou mourir" ! C’est par ces deux mots qu’ Yvan Rioufol conclut sa chronique hebdomadaire dans le Figaro. Et de son côté, Édouard Philippe annonce des lendemains douloureux, au pays des Bisounours et des inconscients : “Je pense que nous allons affronter une tempête – une tempête économique, une tempête sanitaire, une tempête à tous égards – et peut-être une tempête sociale, peut-être une tempête politique. Et je pense que les temps qui viennent sont des temps difficiles”. Il aurait pu ajouter une tempête identitaire et confessionnelle, tant le chaos racial et l’arrogance islamiste ont pris possession du pays. Qu’on apprécie ou pas l’ex-hôte de Matignon, celui-ci a le mérite de parler vrai, même s’il n’ose mentionner l’immigration comme cause majeure de ruine, de violence et de désordre. “Une tempête à tous égards”… l’ex-Premier ministre ne croit pas si bien dire. Et il est vrai que tout s’effondre, et pas seulement l’économie, ravagée par la pandémie du Covid-19 et par une immigration de masse, qui coûte plus cher en social que sa contribution au PIB. La France cigale, qui danse inconsciemment depuis la fin des Trente Glorieuses et a cru pourvoir partager ses richesses et son fabuleux social avec toute la planète, est au bord de la faillite et du chaos social et racial. Le peuple va payer au centuple les décennies de trahison de ses élus, mais également son incroyable aveuglement. Car si les élus ont pu détruire le pays en une seule génération avec autant de facilité, c’est grâce à l’appui constant des électeurs lors de chaque scrutin. A chaque sondage les Français se montrent lucides sur les maux du pays, mais à chaque élection ils persistent à mal voter, c’est-à-dire à reconduire ceux qui coulent la nation depuis si longtemps. Les fossoyeurs de la France n’ont jamais volé leur mandat. Ils ont toujours été élus. Dans notre France de 2022, tout part en vrille et il n’y a aucun pilote capable d’en sortir. Le mouvement des Gilets jaunes, qui avait espéré renverser la table en faisant trembler Macron, a été laminé par la violence des Black Blocs et les voyous des cités. Le mouvement est mort. Les plans sociaux vont s’enchaîner à grande vitesse et le fiasco ”Bridgestone” n’est qu’un petit épisode de l’hécatombe à venir. La sphère politique est dévastée. La droite, depuis trois ans, n’a ni leader ni programme, au point que ses rescapés rallient en masse la Macronie. A gauche, communistes, socialistes, France STLS insoumise et Verts voudraient nous refaire le coup de la grande union de 1981. Autant dire que c’est l’Apocalypse à l’horizon… Les mouvements racialistes et islamistes ont pris le pouvoir un peu partout en France, permettant aux Verts de rafler la mise dans les grandes villes. Les minorités font la loi. Tandis que Macron feint de dénoncer le séparatisme…, les coloniaux, les indigénistes et les islamistes sont comme des poissons dans l’eau. Seuls les populistes, les identitaires et les patriotes sont dans le collimateur du pouvoir, des élites, et parfois de la justice. En 2019, ce sont 177 000 demandeurs d’asile qui ont frappé à la porte de la France, pays du tout gratuit, paradis des migrants économiques et des sans-papiers. Un record. Mais les expulsions, déjà rarissimes, sont en chute libre. Un clandestin est protégé comme un VIP par un filet juridique démentiel, qui le met à l’abri pour des années, voire à vie. Les policiers, qu’on peut traiter de “nazis” en toute impunité dès qu’ils font leur travail de maintien de l’ordre, contrôlent systématiquement les clandestins en pure perte. Plus de 110 000 contrôles sont effectués chaque année, mais la justice ne suit pas. En France, un squatteur n’a besoin que d’un ticket de pizza pour prouver qu’il est chez lui depuis 48h. Mais le propriétaire des lieux depuis 30 ans doit prouver son identité et fournir un acte de propriété. Moyennant quoi, selon le bon vouloir du juge et du préfet, il pourra récupérer son bien dans les deux ans, le plus souvent saccagé. Et si le propriétaire se réinstalle chez lui de force, il y a violation de domicile puisque le squatteur est chez lui selon la loi. Et dans ce cas, les peines de prison et d’amende encourues sont le double decelles du squatteur ! C’est cela la France de 2022 ! Le monde à l'envers !!! Voilà des décennies que les gouvernements, de droite comme de gauche,refusent de changer la loi, pour ne pas déplaire aux associations et aux anticapitalistes de tout poil. Cette loi ne changera que quand des élus et autres nantis du système se feront squatter leur résidence secondaire. Et avec le tsunami migratoire, cela ne va pas tarder. En France, on baisse la retraite des Français, mais on accorde 880 € à tout étranger de 65 ans qui n’a jamais travaillé ni cotisé dans notre pays. Des millions de Français ne perçoivent pas cette somme, si, avec leur conjoint, ils dépassent 1 400 € par mois. Bien des femmes d’artisan, qui ont aidé leur mari, n’ont droit à rien, si celui-ci dépasse ce seuil de 1 400 € pour un couple. Cela s’appelle la justice sociale… En France, 140 000 SDF logent sous les ponts, mais 25 000 clandestins sont logés à l’hôtel chaque soir. Le droit au logement, c’est à la gueule du client. En France, on peut organiser des événements interdits aux Blancs. Toutes les élites détournent aussitôt le regard pour ne rien voir. Mais ces mêmes élites s’abattent en meute sur le pauvre pâtissier qui appelle son gâteau “tête de nègre”, comme le faisait son père ou son grand-père, bien avant la toute-puissance du terrorisme intellectuel. Ni la droite, ni la gauche n’ont voulu protéger le peuple français. La préférence étrangère est systématique. Il semblerait néanmoins que les citoyens ouvrent les yeux sur l’ampleur du désastre national. Selon un sondage paru dans Le Monde mardi : - 8 % des Français pensent que leur pays est sur le déclin. - 60 % jugent la mondialisation dangereuse. - 82 % réclament un vrai chef pour remettre de l’ordre. - 55 % sont pour le rétablissement de la peine de mort. Nous assistons, comme le dit Yvan Rioufol, à l’effondrement d’un système qui ne maîtrise plus rien : - ni la sécurité, - ni l’autorité, - ni l’immigration, - ni le roman national, - ni les lois essentielles, - ni la monnaie”. -ni la justice, L’édifice vermoulu de la Ve République s’écroule. Seules les redistributions sociales massives, financées par l’emprunt, retardent l’effondrement final. Macron nous mène au chaos généralisé, car il refuse d’admettre que les peuples ont une identité propre, une Histoire qui leur appartient et des traditions qui ne sont pas celles des autres peuples. Le multiculturalisme conduit notre France millénaire tout droit en Enfer. Ils sont une poignée à batailler pour défendre la France que nous ont léguée nos ancêtres. Mais qui les écoute ? La torpeur du peuple n’a que trop duré... ! "Se réveiller, ou mourir" ! Il n’y a pas d’autre issue possible ou n'est-ce pas déjà trop tard !
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  • Un forcené a été abattu par le #GIGN mercredi à la mi-journée à #Douvres (Ain), près d'Ambérieu-en-Bugey. L'homme s'était retranché mardi soir dans une maison où il a tué cinq membres d'une même famille dont trois enfants.

    Un homme d'une vingtaine d'années a été abattu par le GIGN mercredi à la mi-journée après avoir tué cinq membres d'une même famille, dont trois enfants, à Douvres (Ain), près d'Ambérieu-en-Bugey. Les gendarmes ont été alertés mardi soir, en début de soirée, par l'individu lui-même. Il leur a indiqué qu'il venait de tuer cinq personnes. Ils ont tenté de dialoguer avec le forcené jusqu'à l'arrivé sur place du GIGN de Dijon mercredi matin, peu avant 7 heures du matin. Une longue négociation s'est déroulée jusqu'à la fin de matinée. L'individu était armé d'un fusil et d'un sabre japonais, ainsi que d'un gilet pare-balles selon franceinfo. Il a finalement été abattu à la mi-journée ce mercredi.

    #AmbérieuEnBugey
    #GIGN
    #Douvres

    Un forcené a été abattu par le #GIGN mercredi à la mi-journée à #Douvres (Ain), près d'Ambérieu-en-Bugey. L'homme s'était retranché mardi soir dans une maison où il a tué cinq membres d'une même famille dont trois enfants. Un homme d'une vingtaine d'années a été abattu par le GIGN mercredi à la mi-journée après avoir tué cinq membres d'une même famille, dont trois enfants, à Douvres (Ain), près d'Ambérieu-en-Bugey. Les gendarmes ont été alertés mardi soir, en début de soirée, par l'individu lui-même. Il leur a indiqué qu'il venait de tuer cinq personnes. Ils ont tenté de dialoguer avec le forcené jusqu'à l'arrivé sur place du GIGN de Dijon mercredi matin, peu avant 7 heures du matin. Une longue négociation s'est déroulée jusqu'à la fin de matinée. L'individu était armé d'un fusil et d'un sabre japonais, ainsi que d'un gilet pare-balles selon franceinfo. Il a finalement été abattu à la mi-journée ce mercredi. #AmbérieuEnBugey #GIGN #Douvres
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  • COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits
    ARTICLE. En déplacement à Fouras (Charente-Maritime), Emmanuel Macron s’est livré à une attaque en règle contre « l’extrême droite ». Évoquant la crise sanitaire, il s’est livré à une diatribe courte, mais remplie de fantasmes et de réecritures des faits. Macron, en marche vers la post-vérité ?
    COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits
    Fébrilité ? Agacement ? Manipulation volontaire des faits ? Mais quelle mouche a bien pu piquer le président de la République, hier en déplacement à Fouras en Charente-Maritime ? Dans une séquence d’une vingtaine de secondes, diffusée sur la plateforme Twitter par le compte Macron 2022, on voit (et entend) le président, interpellé par un passant, répondre à son interlocuteur avec véhémence. Si l’extrême droite avait été au pouvoir à sa place, la France aurait-elle subi les dix plaies d’Égypte ? À l’entendre, ce serait presque le cas. Un décryptage s’impose.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous n’auriez pas eu de vaccin parce qu’on serait sorti de l’Europe »
    Première affirmation et première contre-vérité. À date du 29 mars 2022, la Suisse avait vacciné (deux doses) 70 % de sa population. La Norvège, 74,9 %. Pourtant, ces deux nations ne font pas partie de l’UE et présentent un taux de vaccination largement supérieur à celui de la Roumanie (40 %), pourtant membre de l’UE depuis 2007. Quant à la Croatie et à la Slovénie, les taux de vaccination ne sont que de respectivement 55,3 % et 58,1 %. Comme quoi, n’en déplaise à Macron, appartenir à l’Europe n’est pas gage d’un bon taux de vaccination.
    Et ce n’est pas tout. Le Royaume-Uni a quitté l’Europe en janvier 2021, comme envisageait de le faire également le FN de 2017. Si l’on en croit Emmanuel Macron, le pays aurait dû entrer dans une ère sombre, sans accès aux produits stratégiques. Non seulement il n’en a rien été, mais en plus, libéré des contraintes administratives et des lenteurs bruxelloises, le pays de Boris Johnson a connu la campagne de vaccination la plus rapide du continent européen en 2021. Fin mars de cette année, au moins 45 % des Britanniques avaient reçu une dose. En France à la même époque ? Environ trois fois moins, autour de 13 %. Emmanuel Macron oublie une chose pourtant assez simple : être en dehors de l’Union européenne n’empêche nullement de commercer avec elle.
    « La France n’a pas produit de vaccin »
    Une affirmation discutable et dont on ne voit pas bien d’ailleurs en quoi elle joue en la faveur du candidat Macron. Ni l’institut Pasteur ni Sanofi n’ont réussi à créer un vaccin contre le Covid. Le pays de Pasteur a payé – chèrement – le prix de son manque d’investissement dans la recherche. Une note du Conseil d’analyse économique datant de janvier 2021 expliquait qu’entre 2011 et 2018 en France, les crédits publics en recherche et développement dans le domaine de la santé avaient baissé de 3,5 à 2,5 milliards d’euros. Emmanuel Macron porte donc une responsabilité notable dans ce délitement.
    Mais quand bien même : il y a eu un laboratoire français qui est resté en course pour produire un vaccin : Valneva. L’entreprise basée à Saint-Herblain (Loire-Atlantique) a annoncé ce 31 mars être prête à distribuer son vaccin dès avril. La France aurait pu investir dans sa pépinière, mais ne l’a pas fait, pas plus que l’UE. Valneva a donc bénéficié d’un financement de 353 millions d’euros de la part… du Royaume-Uni.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous auriez peut-être eu de l’hydroxychloroquine, puisque c’était les convictions du moment »
    Avant de voir le consensus scientifique établir que l’hydroxychloroquine n’avait pas les effets escomptés dans la lutte contre la maladie, un doute a longtemps persisté sur les vertus thérapeutiques de ce médicament. L’hydroxychloroquine a longtemps été portée médiatiquement par le professeur Didier Raoult, alors Directeur de l’IHU Méditerranée Infection, et de nombreuses personnalités publiques n’étaient alors pas insensibles à ses propos.
    À tel point que le 9 avril 2020, un certain Emmanuel Macron — pourtant pas « d’extrême droite » — a rendu visite au célèbre épidémiologiste. Un moyen de profiter d’un émoi médiatique à peu de frais. Le président s’y est vu présenter les résultats d’études montrant, selon Didier Raoult, l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Si cette visite ne valait pas approbation, elle a de fait légitimé le professeur Raoult à l’époque, lequel était également en disussion avec Olivier Véran, ministre de la Santé. À la même époque, Marine Le Pen expliquait être en faveur de l’administration de la chloroquine pour des symptômes « peu graves ». Si depuis, Didier Raoult est devenu persona non grata aux yeux du gouvernement, qui a bien vite retourné sa veste, force est de constater que « les convictions du moment » étaient plutôt partagées et qu’elles n’engageaient en rien le futur.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans, avait gagné, vous auriez été vacciné en décembre. Et ‘’dévacciné’’ en janvier. Parce que c’était les convictions »
    Sur ce point, il est difficile de contre-analyser les propos du président tant ils n’ont que peu de sens. Si des propos pro « dé-vaccination » ont bien existé dans le débat public, ce fut tout à fait à la marge, dans le camp des complotistes les plus durs, qui ne sont en rien représentatifs de ce qu’Emmanuel Macron se plaît à qualifier d’ « extrême droite ». Il y a bien eu quelques vidéos, virales, d’influenceurs, mais aucune n’a été récupérée politiquement ni par Marine Le Pen, ni par Éric Zemmour. Aucun des deux candidats n’a ainsi repris à son compte cette vidéo de l’influenceur Mickaël Vendetta, jadis inventeur du concept de la « bogossitude », qui préconisait l’utilisation d’un aspivenin en cas de vaccination contrainte.
    « C’est ça la réalité, faut (sic) aussi le dire »
    En terminant sa réponse de la sorte, Emmanuel Macron insulte bien évidemment des millions d’électeurs – rappelons que ce n’est pas là son coup d’essai. Mais il insulte surtout la vérité. En « faisant du Donald Trump », agitant des affirmations infondées, aux dépens de tout bon sens, Emmanuel Macron fait basculer sa campagne électorale dans l’ère de la post-vérité. « Il est temps de se réveiller », clame le compte Twitter Macron2022 en complément de cette vidéo. Peut-être s’adressait-il non pas au lecteur, mais au président de la République ?
    COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits ARTICLE. En déplacement à Fouras (Charente-Maritime), Emmanuel Macron s’est livré à une attaque en règle contre « l’extrême droite ». Évoquant la crise sanitaire, il s’est livré à une diatribe courte, mais remplie de fantasmes et de réecritures des faits. Macron, en marche vers la post-vérité ? COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits Fébrilité ? Agacement ? Manipulation volontaire des faits ? Mais quelle mouche a bien pu piquer le président de la République, hier en déplacement à Fouras en Charente-Maritime ? Dans une séquence d’une vingtaine de secondes, diffusée sur la plateforme Twitter par le compte Macron 2022, on voit (et entend) le président, interpellé par un passant, répondre à son interlocuteur avec véhémence. Si l’extrême droite avait été au pouvoir à sa place, la France aurait-elle subi les dix plaies d’Égypte ? À l’entendre, ce serait presque le cas. Un décryptage s’impose. « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous n’auriez pas eu de vaccin parce qu’on serait sorti de l’Europe » Première affirmation et première contre-vérité. À date du 29 mars 2022, la Suisse avait vacciné (deux doses) 70 % de sa population. La Norvège, 74,9 %. Pourtant, ces deux nations ne font pas partie de l’UE et présentent un taux de vaccination largement supérieur à celui de la Roumanie (40 %), pourtant membre de l’UE depuis 2007. Quant à la Croatie et à la Slovénie, les taux de vaccination ne sont que de respectivement 55,3 % et 58,1 %. Comme quoi, n’en déplaise à Macron, appartenir à l’Europe n’est pas gage d’un bon taux de vaccination. Et ce n’est pas tout. Le Royaume-Uni a quitté l’Europe en janvier 2021, comme envisageait de le faire également le FN de 2017. Si l’on en croit Emmanuel Macron, le pays aurait dû entrer dans une ère sombre, sans accès aux produits stratégiques. Non seulement il n’en a rien été, mais en plus, libéré des contraintes administratives et des lenteurs bruxelloises, le pays de Boris Johnson a connu la campagne de vaccination la plus rapide du continent européen en 2021. Fin mars de cette année, au moins 45 % des Britanniques avaient reçu une dose. En France à la même époque ? Environ trois fois moins, autour de 13 %. Emmanuel Macron oublie une chose pourtant assez simple : être en dehors de l’Union européenne n’empêche nullement de commercer avec elle. « La France n’a pas produit de vaccin » Une affirmation discutable et dont on ne voit pas bien d’ailleurs en quoi elle joue en la faveur du candidat Macron. Ni l’institut Pasteur ni Sanofi n’ont réussi à créer un vaccin contre le Covid. Le pays de Pasteur a payé – chèrement – le prix de son manque d’investissement dans la recherche. Une note du Conseil d’analyse économique datant de janvier 2021 expliquait qu’entre 2011 et 2018 en France, les crédits publics en recherche et développement dans le domaine de la santé avaient baissé de 3,5 à 2,5 milliards d’euros. Emmanuel Macron porte donc une responsabilité notable dans ce délitement. Mais quand bien même : il y a eu un laboratoire français qui est resté en course pour produire un vaccin : Valneva. L’entreprise basée à Saint-Herblain (Loire-Atlantique) a annoncé ce 31 mars être prête à distribuer son vaccin dès avril. La France aurait pu investir dans sa pépinière, mais ne l’a pas fait, pas plus que l’UE. Valneva a donc bénéficié d’un financement de 353 millions d’euros de la part… du Royaume-Uni. « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous auriez peut-être eu de l’hydroxychloroquine, puisque c’était les convictions du moment » Avant de voir le consensus scientifique établir que l’hydroxychloroquine n’avait pas les effets escomptés dans la lutte contre la maladie, un doute a longtemps persisté sur les vertus thérapeutiques de ce médicament. L’hydroxychloroquine a longtemps été portée médiatiquement par le professeur Didier Raoult, alors Directeur de l’IHU Méditerranée Infection, et de nombreuses personnalités publiques n’étaient alors pas insensibles à ses propos. À tel point que le 9 avril 2020, un certain Emmanuel Macron — pourtant pas « d’extrême droite » — a rendu visite au célèbre épidémiologiste. Un moyen de profiter d’un émoi médiatique à peu de frais. Le président s’y est vu présenter les résultats d’études montrant, selon Didier Raoult, l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Si cette visite ne valait pas approbation, elle a de fait légitimé le professeur Raoult à l’époque, lequel était également en disussion avec Olivier Véran, ministre de la Santé. À la même époque, Marine Le Pen expliquait être en faveur de l’administration de la chloroquine pour des symptômes « peu graves ». Si depuis, Didier Raoult est devenu persona non grata aux yeux du gouvernement, qui a bien vite retourné sa veste, force est de constater que « les convictions du moment » étaient plutôt partagées et qu’elles n’engageaient en rien le futur. « Si l’extrême droite il y a cinq ans, avait gagné, vous auriez été vacciné en décembre. Et ‘’dévacciné’’ en janvier. Parce que c’était les convictions » Sur ce point, il est difficile de contre-analyser les propos du président tant ils n’ont que peu de sens. Si des propos pro « dé-vaccination » ont bien existé dans le débat public, ce fut tout à fait à la marge, dans le camp des complotistes les plus durs, qui ne sont en rien représentatifs de ce qu’Emmanuel Macron se plaît à qualifier d’ « extrême droite ». Il y a bien eu quelques vidéos, virales, d’influenceurs, mais aucune n’a été récupérée politiquement ni par Marine Le Pen, ni par Éric Zemmour. Aucun des deux candidats n’a ainsi repris à son compte cette vidéo de l’influenceur Mickaël Vendetta, jadis inventeur du concept de la « bogossitude », qui préconisait l’utilisation d’un aspivenin en cas de vaccination contrainte. « C’est ça la réalité, faut (sic) aussi le dire » En terminant sa réponse de la sorte, Emmanuel Macron insulte bien évidemment des millions d’électeurs – rappelons que ce n’est pas là son coup d’essai. Mais il insulte surtout la vérité. En « faisant du Donald Trump », agitant des affirmations infondées, aux dépens de tout bon sens, Emmanuel Macron fait basculer sa campagne électorale dans l’ère de la post-vérité. « Il est temps de se réveiller », clame le compte Twitter Macron2022 en complément de cette vidéo. Peut-être s’adressait-il non pas au lecteur, mais au président de la République ?
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