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  • Avez-vous déjà entendu parler d'une île qui n'existe pas ? Découvrez l'incroyable histoire de San Serriffe, une république fictive créée par The Guardian comme un poisson d'avril typographique ! Ce canular brillant du XXᵉ siècle allie satire et jeux de mots pour piéger les lecteurs et remettre en question la réalité des nouvelles. En lisant cet article, je me suis rappelé à quel point notre perception peut être influencée par les mots et les récits. Alors, jusqu'où iriez-vous pour croire une histoire ?

    Pour en savoir plus, plongez dans cet article fascinant :
    https://grapheine.com/magazine/ile-de-san-serriffe-poisson-avril-typographique/

    #SanSerriffe #PoissonDAvril #Journalisme #Typographie #Canular
    Avez-vous déjà entendu parler d'une île qui n'existe pas ? 🌴✨ Découvrez l'incroyable histoire de San Serriffe, une république fictive créée par The Guardian comme un poisson d'avril typographique ! Ce canular brillant du XXᵉ siècle allie satire et jeux de mots pour piéger les lecteurs et remettre en question la réalité des nouvelles. En lisant cet article, je me suis rappelé à quel point notre perception peut être influencée par les mots et les récits. Alors, jusqu'où iriez-vous pour croire une histoire ? 🤔 Pour en savoir plus, plongez dans cet article fascinant : https://grapheine.com/magazine/ile-de-san-serriffe-poisson-avril-typographique/ #SanSerriffe #PoissonDAvril #Journalisme #Typographie #Canular
    GRAPHEINE.COM
    L’île typographique de San Serriffe
    Découvrez comment The Guardian a piégé ses lecteurs en inventant l'île de San Serriffe, une république fictive née d'un poisson d’avril typographique devenu culte. Entre satire subtile et jeux de mots typographiques, plongez dans l'un des canulars jo
    ·86 Views ·0 önizleme
  • Avez-vous déjà entendu parler de l'île de San Serriffe ? C'est l'un des canulars journalistiques les plus emblématiques du XXᵉ siècle, créé par The Guardian. Ce poisson d'avril astucieux a captivé des lecteurs avec une république fictive, mêlant satire et jeux de mots typographiques.

    En découvrant cette histoire, je me suis demandé : et si nous étions tous un peu comme San Serriffe ? Prêts à oser l'imaginaire et à jouer avec les mots pour créer des histoires inattendues ? Ça nous rappelle que la créativité n’a pas de limites !

    Laissez-vous inspirer par cette belle aventure typographique et n’hésitez pas à inventer votre propre monde !

    Pour en savoir plus, lisez l'article ici : https://www.grapheine.com/divers/ile-de-san-serriffe-poisson-avril-typographique

    #Inspiration #Créativité #Typographie #SanSerriffe #Journalisme
    🌍✨ Avez-vous déjà entendu parler de l'île de San Serriffe ? C'est l'un des canulars journalistiques les plus emblématiques du XXᵉ siècle, créé par The Guardian. Ce poisson d'avril astucieux a captivé des lecteurs avec une république fictive, mêlant satire et jeux de mots typographiques. En découvrant cette histoire, je me suis demandé : et si nous étions tous un peu comme San Serriffe ? Prêts à oser l'imaginaire et à jouer avec les mots pour créer des histoires inattendues ? Ça nous rappelle que la créativité n’a pas de limites ! Laissez-vous inspirer par cette belle aventure typographique et n’hésitez pas à inventer votre propre monde ! 🌟 👉 Pour en savoir plus, lisez l'article ici : https://www.grapheine.com/divers/ile-de-san-serriffe-poisson-avril-typographique #Inspiration #Créativité #Typographie #SanSerriffe #Journalisme
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    L’île typographique de San Serriffe
    Découvrez comment The Guardian a piégé ses lecteurs en inventant l'île de San Serriffe, une république fictive née d'un poisson d’avril typographique devenu culte. Entre satire subtile et jeux de mots typographiques, plongez dans l'un des canulars jo
    ·3K Views ·0 önizleme
  • 500 Km avec 1 litre d’eau: un homme brésilien montre pourquoi nous n’avons pas besoin d’essence.
    Le motard Ricardo Azevedo, son créateur, a annoncé le mois dernier à Sao Paulo une moto capable de parcourir 500 kilomètres avec un litre d’eau.

    C’est ce qu’on appelle le «T Power H20» et sa conception comprend une combinaison d’eau et une batterie de voiture externe unique utilisée pour produire de l’électricité et déclencher le processus qui sépare l’hydrogène de la molécule d’eau. En conséquence, l’énergie nécessaire pour alimenter la motocyclette est créée.

    Il reste encore beaucoup de scepticisme à l’égard des machines fonctionnant à l’eau. Ceux qui sont sceptiques invoqueront souvent diverses raisons pour expliquer leur impossibilité, notamment la loi de la thermodynamique.

    Tandis que d’autres vont simplement le mettre dans le vieux «royaume du complot» sans raison véritable. Beaucoup de gens ont du mal à comprendre pourquoi, pourquoi Ruptly TV, une société mère de RT News, The Daily Mail , de sites Web tels que celui de la motorbike times et d’autres, publie cet article?
    Ce n’est pas la première fois que nous entendons parler d’un moteur à eau, c’est pourquoi nous le partageons ici. Il semble y en avoir beaucoup qui prétendent que cela est possible, et beaucoup qui prétendent que non.

    Une société japonaise appelée Genepax a apparemment dévoilé sa voiture à eau en 2008 à Osaka, au Japon, mais comme toujours avec ce sujet, des critiques sévères et des jugement de «canulars» ont suivi.

    Il y a peu de temps auparavant, il existait un engouement pour une voiture alimentée à l’eau de mer. Vous pouvez lire cette histoire ici. Cela a également fait l’objet de vives critiques, mais ce n’est pas le cas, c’est le fait que la marine américaine a converti avec succès l’eau de mer en carburant. Vous pouvez en lire plus à ce sujet ici.

    Stanley Allen Meyer est un autre individu qui a inventé une voiture à eau (il y a de nombreuses années) et il a reçu très peu d’attention lorsqu’il a été question de rendre les informations accessibles aux masses. Aujourd’hui, c’est une histoire assez connue en raison de la prise de conscience de masse qui s’est créée autour d’elle.

    L’invention de Stan a été reprise très brièvement par une chaîne de nouvelles locale dans l’Ohio. Vous pouvez voir son brevet ici, qui décrit également l’ensemble du processus.

    Vous pouvez voir la collection complète de ses documents ici (NDT : le site a été mis hors ligne…). Son histoire a fait les gros titres et le Pentagone a envoyé un colonel pour la vérifier. Peu de temps après, il a été retrouvé mort! Vous pouvez en savoir plus sur cette histoire ici (voir article en français ICI).

    Encore une fois, ce sujet ne manque pas de controverse, alors n’hésitez pas à partager vos réflexions ci-dessous. Nous aimerions avoir de vos nouvelles. Que vous pensiez que ce soit vrai ou qu’il s’agisse d’un canular, nous n’avons absolument pas besoin de pétrole pour faire fonctionner nos machines.
    500 Km avec 1 litre d’eau: un homme brésilien montre pourquoi nous n’avons pas besoin d’essence. Le motard Ricardo Azevedo, son créateur, a annoncé le mois dernier à Sao Paulo une moto capable de parcourir 500 kilomètres avec un litre d’eau. C’est ce qu’on appelle le «T Power H20» et sa conception comprend une combinaison d’eau et une batterie de voiture externe unique utilisée pour produire de l’électricité et déclencher le processus qui sépare l’hydrogène de la molécule d’eau. En conséquence, l’énergie nécessaire pour alimenter la motocyclette est créée. Il reste encore beaucoup de scepticisme à l’égard des machines fonctionnant à l’eau. Ceux qui sont sceptiques invoqueront souvent diverses raisons pour expliquer leur impossibilité, notamment la loi de la thermodynamique. Tandis que d’autres vont simplement le mettre dans le vieux «royaume du complot» sans raison véritable. Beaucoup de gens ont du mal à comprendre pourquoi, pourquoi Ruptly TV, une société mère de RT News, The Daily Mail , de sites Web tels que celui de la motorbike times et d’autres, publie cet article? Ce n’est pas la première fois que nous entendons parler d’un moteur à eau, c’est pourquoi nous le partageons ici. Il semble y en avoir beaucoup qui prétendent que cela est possible, et beaucoup qui prétendent que non. Une société japonaise appelée Genepax a apparemment dévoilé sa voiture à eau en 2008 à Osaka, au Japon, mais comme toujours avec ce sujet, des critiques sévères et des jugement de «canulars» ont suivi. Il y a peu de temps auparavant, il existait un engouement pour une voiture alimentée à l’eau de mer. Vous pouvez lire cette histoire ici. Cela a également fait l’objet de vives critiques, mais ce n’est pas le cas, c’est le fait que la marine américaine a converti avec succès l’eau de mer en carburant. Vous pouvez en lire plus à ce sujet ici. Stanley Allen Meyer est un autre individu qui a inventé une voiture à eau (il y a de nombreuses années) et il a reçu très peu d’attention lorsqu’il a été question de rendre les informations accessibles aux masses. Aujourd’hui, c’est une histoire assez connue en raison de la prise de conscience de masse qui s’est créée autour d’elle. L’invention de Stan a été reprise très brièvement par une chaîne de nouvelles locale dans l’Ohio. Vous pouvez voir son brevet ici, qui décrit également l’ensemble du processus. Vous pouvez voir la collection complète de ses documents ici (NDT : le site a été mis hors ligne…). Son histoire a fait les gros titres et le Pentagone a envoyé un colonel pour la vérifier. Peu de temps après, il a été retrouvé mort! Vous pouvez en savoir plus sur cette histoire ici (voir article en français ICI). Encore une fois, ce sujet ne manque pas de controverse, alors n’hésitez pas à partager vos réflexions ci-dessous. Nous aimerions avoir de vos nouvelles. Que vous pensiez que ce soit vrai ou qu’il s’agisse d’un canular, nous n’avons absolument pas besoin de pétrole pour faire fonctionner nos machines.
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  • Projet Grudge
    Le Projet Grudge (rancune en français) était une étude de l’US Air Force, chargée d’étudier le phénomène OVNI entre 1949 et 1952. Elle succède au projet Sign, qui avait le même but. Ce projet était dirigé par le général Charles Cabell. Le projet était de tendance sceptique, mais on peut légitimement lui reprocher son manque d’enquêtes sur le terrain, contrairement au projet Blue Book.

    Historique:

    Suite à la recrudescence de témoignages d’ovnis en 1947, l’US Air Force lance sous l’impulsion du général Twining un programme d’études des OVNI, le projet Sign. Le projet fut dissous en 1949 et remplacé par le Projet Grudge en février 1949.

    Le Projet Grudge fut la seconde étude officielle de l’US Air Force chargée d’étudier le phénomène OVNI entre 1949 et 1952. Le Projet, dirigé par le général Charles Cabell, fut controversé en raison d’un certain nombre de « démystifications » . Certains y virent une tentative de démystification (voire de désinformation) de l’US Air Force en réponse aux conclusions du projet Sign. Comme Sign, Grudge avait établi que la majorité des cas d’OVNI étaient dus à des méprises. Mais là où les enquêteurs du projet Sign admirent l’existence de cas mystérieux, les enquêteurs du projet Grudge affirmèrent que tous les cas non-identifiés étaient probablement causés par des phénomènes connus et des fabulations.

    Le Projet Grudge fut mis en sommeil puis réactivé le 12 septembre 1951, et le capitaine Edward J. Ruppelt en prit la direction. Le projet Grudge devint le projet Blue Book l’année suivante, et Ruppelt lui donna la rigueur scientifique qui manquait à Grudge.

    Le Rapport Grudge:

    En août 1949, le personnel de Grudge rendit son rapport, dans lequel il fut inscrit :
    Toutes les analyses indiquent que les observations d’OVNI résultent :

    1. D’une méprise avec des objets conventionnels
    2. D’une forme d’hystérie collective et de nervosité
    3. D’individus qui inventent ces observations pour faire des canulars ou se rendre intéressants
    4. De personnes atteintes de troubles psychiatriques

    Les conclusions du projet Grudge rejoignent ainsi les grandes lignes du modèle sociopsychologique du phénomène ovni.

    Controverses:

    Comme le soulignera en 1956 le futur chef du projet Blue Book, Ruppelt (dans son livre intitulé The Report on Unidentified Flying Objects), à propos du projet Grudge (ex-projet Sign) :

    « Avec le changement de nom et de personnel, vint le changement d’objectif, clairement affiché, qui était de se débarrasser des ovnis. Ce ne fut jamais écrit nulle part, mais il ne fallait guère d’efforts pour voir qu’il s’agissait là du véritable objectif du Projet Grudge. Ce but inavoué transparaissait dans chaque mémorandum, rapport ou directive. »

    L’astronome américain J. Allen Hynek, devenu partisan de l’hypothèse extraterrestre, critiqua Grudge pour les mêmes raisons. Ce dernier expliqua une partie des OVNI par des confusions avec des étoiles ou des planètes. Néanmoins, certains y voient un moyen pour lui de rendre responsable sa hiérarchie des erreurs qu’il a pu commettre dans ses enquêtes.

    C’est pour cela que le projet Grudge est généralement perçu par les ufologues défendant l’hypothèse extraterrestre comme une opération de démystification.

    Source: Wikipedia
    Projet Grudge Le Projet Grudge (rancune en français) était une étude de l’US Air Force, chargée d’étudier le phénomène OVNI entre 1949 et 1952. Elle succède au projet Sign, qui avait le même but. Ce projet était dirigé par le général Charles Cabell. Le projet était de tendance sceptique, mais on peut légitimement lui reprocher son manque d’enquêtes sur le terrain, contrairement au projet Blue Book. Historique: Suite à la recrudescence de témoignages d’ovnis en 1947, l’US Air Force lance sous l’impulsion du général Twining un programme d’études des OVNI, le projet Sign. Le projet fut dissous en 1949 et remplacé par le Projet Grudge en février 1949. Le Projet Grudge fut la seconde étude officielle de l’US Air Force chargée d’étudier le phénomène OVNI entre 1949 et 1952. Le Projet, dirigé par le général Charles Cabell, fut controversé en raison d’un certain nombre de « démystifications » . Certains y virent une tentative de démystification (voire de désinformation) de l’US Air Force en réponse aux conclusions du projet Sign. Comme Sign, Grudge avait établi que la majorité des cas d’OVNI étaient dus à des méprises. Mais là où les enquêteurs du projet Sign admirent l’existence de cas mystérieux, les enquêteurs du projet Grudge affirmèrent que tous les cas non-identifiés étaient probablement causés par des phénomènes connus et des fabulations. Le Projet Grudge fut mis en sommeil puis réactivé le 12 septembre 1951, et le capitaine Edward J. Ruppelt en prit la direction. Le projet Grudge devint le projet Blue Book l’année suivante, et Ruppelt lui donna la rigueur scientifique qui manquait à Grudge. Le Rapport Grudge: En août 1949, le personnel de Grudge rendit son rapport, dans lequel il fut inscrit : Toutes les analyses indiquent que les observations d’OVNI résultent : 1. D’une méprise avec des objets conventionnels 2. D’une forme d’hystérie collective et de nervosité 3. D’individus qui inventent ces observations pour faire des canulars ou se rendre intéressants 4. De personnes atteintes de troubles psychiatriques Les conclusions du projet Grudge rejoignent ainsi les grandes lignes du modèle sociopsychologique du phénomène ovni. Controverses: Comme le soulignera en 1956 le futur chef du projet Blue Book, Ruppelt (dans son livre intitulé The Report on Unidentified Flying Objects), à propos du projet Grudge (ex-projet Sign) : « Avec le changement de nom et de personnel, vint le changement d’objectif, clairement affiché, qui était de se débarrasser des ovnis. Ce ne fut jamais écrit nulle part, mais il ne fallait guère d’efforts pour voir qu’il s’agissait là du véritable objectif du Projet Grudge. Ce but inavoué transparaissait dans chaque mémorandum, rapport ou directive. » L’astronome américain J. Allen Hynek, devenu partisan de l’hypothèse extraterrestre, critiqua Grudge pour les mêmes raisons. Ce dernier expliqua une partie des OVNI par des confusions avec des étoiles ou des planètes. Néanmoins, certains y voient un moyen pour lui de rendre responsable sa hiérarchie des erreurs qu’il a pu commettre dans ses enquêtes. C’est pour cela que le projet Grudge est généralement perçu par les ufologues défendant l’hypothèse extraterrestre comme une opération de démystification. Source: Wikipedia
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  • La pandémie de mensonges.

    De Gordon Duff : Un vétéran du combat naval de la guerre du Vietnam qui a passé des décennies à s'occuper des problèmes des vétérans et des prisonniers de guerre et à conseiller les gouvernements confrontés à des problèmes de sécurité. Il est rédacteur en chef et président du Board of Veterans Today, en particulier pour le magazine en ligne New Eastern Outlook.

    Les États-Unis et l'Europe entrent maintenant dans un quatrième ou est-ce cinquième cycle de COVID, avec de nouvelles infections, de nouveaux pics de décès et un sentiment de désespoir qui assombrit la saison des vacances judéo-chrétiennes.

    Derrière cela se cache ce que certains appellent généreusement la « résistance aux vaccins ». Sans le mouvement anti-vaccination, le COVID aurait disparu dans une grande partie du monde où les vaccins sont abondants et sûrs.

    Les vaccins sont-ils sûrs ? La réponse est un oui catégorique, les effets secondaires sont rares compte tenu des centaines de millions de vaccinés, et le taux actuel d'infections graves et de décès entre les non vaccinés et les vaccinés est d'environ 20 pour un. Les personnes non vaccinées meurent "comme des mouches" en Europe et aux États-Unis, mais leurs décès, qui sont au nombre d'environ 5 000 par mois, ne sont que le symptôme d'une maladie plus grave.

    Quel genre de maladie est-ce?

    Nous connaissons le COVID, d'accord, nous ne savons pas d'où il vient, et nous n'avons certainement jamais vu de version de la grippe qui provoque des caillots sanguins et détruit les poumons, parfois en quelques heures.

    Ce que nous, c'est-à-dire le grand public, avons vécu en plus de la maladie, c'est ce qu'on appelle aussi « la gestion des champignons » dans les milieux d'affaires.

    Ici, vous êtes laissé dans le noir et nourri avec un régime constant de fumier de cheval.

    Des millions de personnes accusent le « tsar COVID » Fauci, et elles n'ont pas tout à fait tort.

    L'excuse est celle que le gouvernement et l'industrie médicale ont en commun : ils traitent leurs patients, même s'ils sont « votants », comme des enfants ignorants et entêtés. Le régime qu'ils prescrivent est un régime de mensonges purs et simples, de demi-vérités fabriquées et de prédictions édulcorées. Nous sommes trop enfantins pour jamais connaître la vérité.

    Quel genre de vérité est-ce? Sans déranger le lecteur avec une banalité mineure, COVID est l'une des nombreuses maladies développées par des laboratoires principalement financés par l'USAID/CIA, des laboratoires dirigés par des scientifiques précédemment impliqués dans des programmes de lutte contre les agents pathogènes ont fonctionné et nous "protégent" maintenant en développant de nouvelles maladies.

    Les responsables du renseignement savent que ces maladies sont parfois disséminées accidentellement, mais qu'elles sont aussi régulièrement testées sur des personnes sans méfiance, des navetteurs new-yorkais, des séparatistes angolais et namibiens ou, plus récemment, des animaux de ferme et plus tard des personnes en Eurasie, notamment en Russie, en Chine et le Caucase.

    Ensuite, nous avons COVID. Il a rebondi autour de la planète d'une manière totalement inexplicable fin 2019 et début 2020 et s'est rendu en Italie, en Espagne et aux États-Unis, mais comment est-il arrivé en Chine ?

    Ce que nous pouvons faire, c'est suivre les publications de recherche qui sont maintenant censurées et parfois même supprimées. On peut trouver des centres de recherche sur le SRAS/COV aux États-Unis, par exemple à l'Université de Caroline du Nord, où des versions « chimériques » d'une maladie ont été développées en 2017 qui ressemble exactement au COVID et a échappé cinq fois au laboratoire.

    Nous suivons également le financement de l'USAID pour les étudiants diplômés qui collectent des chauves-souris dans toute la République de Géorgie pour des études financées par le ministère de la Défense sur le SRAS / COV.

    Le laboratoire de Tbilissi a été lié à des épidémies de grippe porcine et aviaire, et ceux qui gèrent et utilisent cette installation ont également été liés à des armes chimiques, en particulier en Syrie.

    Ce ne sont pas nécessairement des « vérités » en tant que telles. Ce ne sont que des indicateurs, faisant partie d'une mosaïque qui inspirerait et devrait inspirer des journalistes d'investigation honnêtes.

    Mais que se passerait-il si cette enquête sur les origines de COVID-19 se poursuivait, comme l'a suggéré le sénateur américain Rand Paul, qui, lors d'enquêtes au Congrès américain, a spéculé que COVID-19 est une arme biologique.

    Maintenant, une note sombre qui a été écrite à contrecœur. Le COVID a certainement été conçu comme une arme biologique. Compte tenu des énormes profits et de la « mauvaise gestion » inexplicable du régime Trump aux États-Unis, on peut également supposer que COVID-19 a été développé par le gouvernement américain et approuvé par une cabale à la Maison Blanche et au Pentagone.

    C'est notre tournant.

    Le grand public ne sait rien de cette cabale en tant que telle, à part de faux rapports, par exemple de Qanon. À y regarder de plus près, non seulement qanon est toujours faux, mais si l'on suit le but de qanon, on est conduit à cette cabale elle-même. Nous trouvons la même chose lorsque nous examinons Wikileaks, tout comme l'ancien conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Zbigniew Brzezinski, l'architecte des accords de Camp David de 1976.

    En 2009, Brzezinski est apparu à la National Public Radio avec Judy Woodruff. Là, il a estimé que Wikileaks est exploité par une agence de renseignement qui planifie de fausses « fuites » dans une « mer d'aliments pour poulets » afin de promouvoir un programme qui poursuit l'exact opposé de ce que Wikileaks a déclaré, à savoir d'autres militaires soutenir Israël à travers les États-Unis et une politique américaine qui promeut une guerre contre l'Iran, entre autres.

    Cela ouvre une autre porte, à savoir celle des "fuites".

    Il est étrange que rien n'ait été divulgué sur COVID-19 alors que des dizaines de documents clés montrant les agences de renseignement finançant le développement de maladies de type COVID sont encore faciles à trouver pour le moment.

    Mais cela nous éloigne du COVID-19 et de l'autre "pandémie" d'il y a 20 ans, le déclenchement de la guerre au Moyen-Orient en lien avec les événements du 11 septembre.

    Regardons quelques-unes des similitudes pendant un moment.

    Les élections de 2000 ont été ouvertement truquées. Le décompte final réel en Floride, où la Cour suprême des États-Unis a interrompu le décompte des voix en raison d'une menace imaginaire de troubles civils dirigés par Roger Stone (Brooks Brothers Riot), a révélé que Bush, 43 ans, avait perdu 20 000 voix.

    Des tests dans l'Ohio ont montré que le taux de participation dans certains bureaux de vote était supérieur à 100 pour cent, ce que nous avons vu avec Trump dans le Wisconsin en 2016.

    C'est un domaine où la divergence entre la « vérité » rapportée et la « vérité réelle » est terrifiante. Pour ceux qui sont concernés par le « monde réel », non seulement les élections de 2000 semblent avoir été truquées de manière flagrante, mais les élections de 2004 également.

    Au cours d'un processus électoral, il a été révélé que des agents de Bush avaient engagé un consultant en informatique qui travaillait avec une société de machines électorales pour pirater les machines à l'aide de clés USB. Les machines à voter ne sont pas connectées à Internet.

    Il l'a fait avec l'aide d'« observateurs d'élections » recrutés par un « groupe de réflexion » extrémiste financé par un mystérieux groupe de milliardaires qui contrôlent, pas seulement à Hollywood, les médias d'information, les grandes sociétés pétrolières, les grandes sociétés pharmaceutiques et l'industrie de la défense le États-Unis mais partout dans le monde.

    C'est le même groupe qui a fait des billions, pas des milliards, des billions, pas des milliards, avec la guerre mondiale contre le terrorisme, avec des armes à feu, du pétrole volé, la spéculation sur la dette, et encore plus avec COVID-19.

    De plus, « ils » reçoivent des « doubles » et même « triples » retours d'un complot anti-vaccination soigneusement conçu étroitement lié aux extrémistes et même aux terroristes aux États-Unis, mais aussi en Europe.

    Ceux qui tentent de renverser la Constitution américaine et d'introduire une règle « une seule religion », comme l'a souligné le général Michael Flynn, qui pourrait être le véritable « Q » derrière Qanon, s'appuient également sur la catastrophe du COVID et l'engouement anti-vaccination combinés aux anti-vaccinations. -les sentiments des immigrés pour reconstruire une Europe dirigée par les *****.

    En fait, le même mouvement anti-immigrés est utilisé pour unir les extrémistes du monde entier. Il faut également se rappeler que l'immigration elle-même est alimentée non seulement par une économie défaillante basée sur la dette, mais aussi aujourd'hui et depuis 20 ans par le militarisme et le terrorisme sous fausse bannière enveloppés dans la rhétorique de la « révolution de couleur » et du « changement de régime ». ".

    Mais personne ne va jusque-là, encore moins la presse, pas Hollywood, pas notre direction politique collective. Ceux qui abordent cette « piste » sont étiquetés comme des antisémites ou des théoriciens du complot, pour ainsi dire.

    L'insulte est que l'histoire des médias contrôlés travaillant main dans la main avec la cabale qui a déclenché la Première et la Seconde Guerre mondiale et presque tous les conflits avant et après, jusqu'au moment de la naissance avant le Christ, est évidente pour n'importe qui.

    conclusion

    Nous arrivons inévitablement à la conclusion ici que la « vérité » en tant que telle est une denrée rare et ne peut exister que dans le contexte de récits falsifiés sans fin.

    Une vérité est évidente avant tout le monde : les médias ne nous sauveront pas. Ils ne peuvent certainement pas et ne livreront certainement pas la "vérité", d'autant plus que la plupart du journalisme d'investigation est délivré par les services secrets à leurs employés lauréats du prix Pulitzer.

    Derrière tout cela se cachent les géants des réseaux sociaux, mais sont-ils vraiment des géants ? Sans oublier Wikipédia, la fausse « encyclopédie » en ligne qui nous dit avec un aplomb étrange qui a construit nos vélos tout en diffusant des canulars « certifiés », des calomnies et des théories du complot, les centres de données noirs financés par la CIA / USAID à Haïfa et Haïfa Tel Aviv sont originaires.

    Sans les algorithmes basés sur la théorie du chaos de Google, Facebook et autres, les « vulnérables mentalement » soigneusement profilés ne pourraient pas être nourris avec un régime continu de contrôle mental.

    Non seulement cela a créé une armée d'ignorance armée, mais une armée qui s'autofinance.

    La pandémie de mensonges. De Gordon Duff : Un vétéran du combat naval de la guerre du Vietnam qui a passé des décennies à s'occuper des problèmes des vétérans et des prisonniers de guerre et à conseiller les gouvernements confrontés à des problèmes de sécurité. Il est rédacteur en chef et président du Board of Veterans Today, en particulier pour le magazine en ligne New Eastern Outlook. Les États-Unis et l'Europe entrent maintenant dans un quatrième ou est-ce cinquième cycle de COVID, avec de nouvelles infections, de nouveaux pics de décès et un sentiment de désespoir qui assombrit la saison des vacances judéo-chrétiennes. Derrière cela se cache ce que certains appellent généreusement la « résistance aux vaccins ». Sans le mouvement anti-vaccination, le COVID aurait disparu dans une grande partie du monde où les vaccins sont abondants et sûrs. Les vaccins sont-ils sûrs ? La réponse est un oui catégorique, les effets secondaires sont rares compte tenu des centaines de millions de vaccinés, et le taux actuel d'infections graves et de décès entre les non vaccinés et les vaccinés est d'environ 20 pour un. Les personnes non vaccinées meurent "comme des mouches" en Europe et aux États-Unis, mais leurs décès, qui sont au nombre d'environ 5 000 par mois, ne sont que le symptôme d'une maladie plus grave. Quel genre de maladie est-ce? Nous connaissons le COVID, d'accord, nous ne savons pas d'où il vient, et nous n'avons certainement jamais vu de version de la grippe qui provoque des caillots sanguins et détruit les poumons, parfois en quelques heures. Ce que nous, c'est-à-dire le grand public, avons vécu en plus de la maladie, c'est ce qu'on appelle aussi « la gestion des champignons » dans les milieux d'affaires. Ici, vous êtes laissé dans le noir et nourri avec un régime constant de fumier de cheval. Des millions de personnes accusent le « tsar COVID » Fauci, et elles n'ont pas tout à fait tort. L'excuse est celle que le gouvernement et l'industrie médicale ont en commun : ils traitent leurs patients, même s'ils sont « votants », comme des enfants ignorants et entêtés. Le régime qu'ils prescrivent est un régime de mensonges purs et simples, de demi-vérités fabriquées et de prédictions édulcorées. Nous sommes trop enfantins pour jamais connaître la vérité. Quel genre de vérité est-ce? Sans déranger le lecteur avec une banalité mineure, COVID est l'une des nombreuses maladies développées par des laboratoires principalement financés par l'USAID/CIA, des laboratoires dirigés par des scientifiques précédemment impliqués dans des programmes de lutte contre les agents pathogènes ont fonctionné et nous "protégent" maintenant en développant de nouvelles maladies. Les responsables du renseignement savent que ces maladies sont parfois disséminées accidentellement, mais qu'elles sont aussi régulièrement testées sur des personnes sans méfiance, des navetteurs new-yorkais, des séparatistes angolais et namibiens ou, plus récemment, des animaux de ferme et plus tard des personnes en Eurasie, notamment en Russie, en Chine et le Caucase. Ensuite, nous avons COVID. Il a rebondi autour de la planète d'une manière totalement inexplicable fin 2019 et début 2020 et s'est rendu en Italie, en Espagne et aux États-Unis, mais comment est-il arrivé en Chine ? Ce que nous pouvons faire, c'est suivre les publications de recherche qui sont maintenant censurées et parfois même supprimées. On peut trouver des centres de recherche sur le SRAS/COV aux États-Unis, par exemple à l'Université de Caroline du Nord, où des versions « chimériques » d'une maladie ont été développées en 2017 qui ressemble exactement au COVID et a échappé cinq fois au laboratoire. Nous suivons également le financement de l'USAID pour les étudiants diplômés qui collectent des chauves-souris dans toute la République de Géorgie pour des études financées par le ministère de la Défense sur le SRAS / COV. Le laboratoire de Tbilissi a été lié à des épidémies de grippe porcine et aviaire, et ceux qui gèrent et utilisent cette installation ont également été liés à des armes chimiques, en particulier en Syrie. Ce ne sont pas nécessairement des « vérités » en tant que telles. Ce ne sont que des indicateurs, faisant partie d'une mosaïque qui inspirerait et devrait inspirer des journalistes d'investigation honnêtes. Mais que se passerait-il si cette enquête sur les origines de COVID-19 se poursuivait, comme l'a suggéré le sénateur américain Rand Paul, qui, lors d'enquêtes au Congrès américain, a spéculé que COVID-19 est une arme biologique. Maintenant, une note sombre qui a été écrite à contrecœur. Le COVID a certainement été conçu comme une arme biologique. Compte tenu des énormes profits et de la « mauvaise gestion » inexplicable du régime Trump aux États-Unis, on peut également supposer que COVID-19 a été développé par le gouvernement américain et approuvé par une cabale à la Maison Blanche et au Pentagone. C'est notre tournant. Le grand public ne sait rien de cette cabale en tant que telle, à part de faux rapports, par exemple de Qanon. À y regarder de plus près, non seulement qanon est toujours faux, mais si l'on suit le but de qanon, on est conduit à cette cabale elle-même. Nous trouvons la même chose lorsque nous examinons Wikileaks, tout comme l'ancien conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Zbigniew Brzezinski, l'architecte des accords de Camp David de 1976. En 2009, Brzezinski est apparu à la National Public Radio avec Judy Woodruff. Là, il a estimé que Wikileaks est exploité par une agence de renseignement qui planifie de fausses « fuites » dans une « mer d'aliments pour poulets » afin de promouvoir un programme qui poursuit l'exact opposé de ce que Wikileaks a déclaré, à savoir d'autres militaires soutenir Israël à travers les États-Unis et une politique américaine qui promeut une guerre contre l'Iran, entre autres. Cela ouvre une autre porte, à savoir celle des "fuites". Il est étrange que rien n'ait été divulgué sur COVID-19 alors que des dizaines de documents clés montrant les agences de renseignement finançant le développement de maladies de type COVID sont encore faciles à trouver pour le moment. Mais cela nous éloigne du COVID-19 et de l'autre "pandémie" d'il y a 20 ans, le déclenchement de la guerre au Moyen-Orient en lien avec les événements du 11 septembre. Regardons quelques-unes des similitudes pendant un moment. Les élections de 2000 ont été ouvertement truquées. Le décompte final réel en Floride, où la Cour suprême des États-Unis a interrompu le décompte des voix en raison d'une menace imaginaire de troubles civils dirigés par Roger Stone (Brooks Brothers Riot), a révélé que Bush, 43 ans, avait perdu 20 000 voix. Des tests dans l'Ohio ont montré que le taux de participation dans certains bureaux de vote était supérieur à 100 pour cent, ce que nous avons vu avec Trump dans le Wisconsin en 2016. C'est un domaine où la divergence entre la « vérité » rapportée et la « vérité réelle » est terrifiante. Pour ceux qui sont concernés par le « monde réel », non seulement les élections de 2000 semblent avoir été truquées de manière flagrante, mais les élections de 2004 également. Au cours d'un processus électoral, il a été révélé que des agents de Bush avaient engagé un consultant en informatique qui travaillait avec une société de machines électorales pour pirater les machines à l'aide de clés USB. Les machines à voter ne sont pas connectées à Internet. Il l'a fait avec l'aide d'« observateurs d'élections » recrutés par un « groupe de réflexion » extrémiste financé par un mystérieux groupe de milliardaires qui contrôlent, pas seulement à Hollywood, les médias d'information, les grandes sociétés pétrolières, les grandes sociétés pharmaceutiques et l'industrie de la défense le États-Unis mais partout dans le monde. C'est le même groupe qui a fait des billions, pas des milliards, des billions, pas des milliards, avec la guerre mondiale contre le terrorisme, avec des armes à feu, du pétrole volé, la spéculation sur la dette, et encore plus avec COVID-19. De plus, « ils » reçoivent des « doubles » et même « triples » retours d'un complot anti-vaccination soigneusement conçu étroitement lié aux extrémistes et même aux terroristes aux États-Unis, mais aussi en Europe. Ceux qui tentent de renverser la Constitution américaine et d'introduire une règle « une seule religion », comme l'a souligné le général Michael Flynn, qui pourrait être le véritable « Q » derrière Qanon, s'appuient également sur la catastrophe du COVID et l'engouement anti-vaccination combinés aux anti-vaccinations. -les sentiments des immigrés pour reconstruire une Europe dirigée par les nazis. En fait, le même mouvement anti-immigrés est utilisé pour unir les extrémistes du monde entier. Il faut également se rappeler que l'immigration elle-même est alimentée non seulement par une économie défaillante basée sur la dette, mais aussi aujourd'hui et depuis 20 ans par le militarisme et le terrorisme sous fausse bannière enveloppés dans la rhétorique de la « révolution de couleur » et du « changement de régime ». ". Mais personne ne va jusque-là, encore moins la presse, pas Hollywood, pas notre direction politique collective. Ceux qui abordent cette « piste » sont étiquetés comme des antisémites ou des théoriciens du complot, pour ainsi dire. L'insulte est que l'histoire des médias contrôlés travaillant main dans la main avec la cabale qui a déclenché la Première et la Seconde Guerre mondiale et presque tous les conflits avant et après, jusqu'au moment de la naissance avant le Christ, est évidente pour n'importe qui. conclusion Nous arrivons inévitablement à la conclusion ici que la « vérité » en tant que telle est une denrée rare et ne peut exister que dans le contexte de récits falsifiés sans fin. Une vérité est évidente avant tout le monde : les médias ne nous sauveront pas. Ils ne peuvent certainement pas et ne livreront certainement pas la "vérité", d'autant plus que la plupart du journalisme d'investigation est délivré par les services secrets à leurs employés lauréats du prix Pulitzer. Derrière tout cela se cachent les géants des réseaux sociaux, mais sont-ils vraiment des géants ? Sans oublier Wikipédia, la fausse « encyclopédie » en ligne qui nous dit avec un aplomb étrange qui a construit nos vélos tout en diffusant des canulars « certifiés », des calomnies et des théories du complot, les centres de données noirs financés par la CIA / USAID à Haïfa et Haïfa Tel Aviv sont originaires. Sans les algorithmes basés sur la théorie du chaos de Google, Facebook et autres, les « vulnérables mentalement » soigneusement profilés ne pourraient pas être nourris avec un régime continu de contrôle mental. Non seulement cela a créé une armée d'ignorance armée, mais une armée qui s'autofinance.
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