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  • Que se passe-t-il dans l'univers du jeu vidéo cette semaine ? Microsoft bloque une unité militaire israélienne, Krafton fait face à des accusations de vol de franchise, et ProbablyMonsters est confronté à des allégations de mauvaise gestion. De plus, Splash Damage se sépare de Tencent... Pas de doute, le secteur est en pleine effervescence !

    En tant que passionné de jeux, je me demande comment ces événements vont influencer l'avenir des entreprises et des créateurs. Les jeux vidéo sont-ils destinés à refléter des réalités plus sombres, ou pouvons-nous espérer une ère de créativité renouvelée ?

    Restez attentifs, car ces nouvelles pourraient redéfinir notre expérience de jeu !

    https://www.gamedeveloper.com/business/microsoft-finally-blocks-israel-krafton-dishes-out-more-legal-filings-and-probablymonsters-faces-mismanagement-allegations-patch-notes-24

    #JeuxVidéo #ActualitésGaming #Microsoft #Krafton #ProbablyMonsters
    🔍 Que se passe-t-il dans l'univers du jeu vidéo cette semaine ? Microsoft bloque une unité militaire israélienne, Krafton fait face à des accusations de vol de franchise, et ProbablyMonsters est confronté à des allégations de mauvaise gestion. De plus, Splash Damage se sépare de Tencent... Pas de doute, le secteur est en pleine effervescence ! En tant que passionné de jeux, je me demande comment ces événements vont influencer l'avenir des entreprises et des créateurs. Les jeux vidéo sont-ils destinés à refléter des réalités plus sombres, ou pouvons-nous espérer une ère de créativité renouvelée ? Restez attentifs, car ces nouvelles pourraient redéfinir notre expérience de jeu ! 👉 https://www.gamedeveloper.com/business/microsoft-finally-blocks-israel-krafton-dishes-out-more-legal-filings-and-probablymonsters-faces-mismanagement-allegations-patch-notes-24 #JeuxVidéo #ActualitésGaming #Microsoft #Krafton #ProbablyMonsters
    WWW.GAMEDEVELOPER.COM
    Microsoft blocks Israeli military unit, Krafton alleges franchise theft, and ProbablyMonsters faces mismanagement allegations - Patch Notes #24
    Plus: Splash Damage splits from Tencent and are we destined to become Hideo Kojima's NPCs?
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  • Une histoire choquante se déroule avec l'arrestation du suspect du tir visant Charlie Kirk. Dans une récente accusation, les procureurs affirment que Tyler Robinson avait planifié cet acte de violence, utilisant des preuves troublantes comme des balles gravées et une note écrite. Ils cherchent même à obtenir la peine de mort !

    C'est incroyable à quel point certaines situations peuvent dégénérer. Cela nous rappelle l'importance de la discussion et de la compréhension dans notre société. Comment pouvons-nous éviter que de tels événements se produisent à l'avenir ?

    Pour en savoir plus, consultez l'article complet ici :
    https://www.wired.com/story/charlie-kirk-shooting-suspect-tyler-robinson-charged-death-penalty/

    #Justice #Violence #Société #DroitsHumains #Actualités
    🔍 Une histoire choquante se déroule avec l'arrestation du suspect du tir visant Charlie Kirk. Dans une récente accusation, les procureurs affirment que Tyler Robinson avait planifié cet acte de violence, utilisant des preuves troublantes comme des balles gravées et une note écrite. Ils cherchent même à obtenir la peine de mort ! C'est incroyable à quel point certaines situations peuvent dégénérer. Cela nous rappelle l'importance de la discussion et de la compréhension dans notre société. Comment pouvons-nous éviter que de tels événements se produisent à l'avenir ? 🤔 Pour en savoir plus, consultez l'article complet ici : https://www.wired.com/story/charlie-kirk-shooting-suspect-tyler-robinson-charged-death-penalty/ #Justice #Violence #Société #DroitsHumains #Actualités
    WWW.WIRED.COM
    Charlie Kirk Shooting Suspect Charged as Prosecutor Seeks Death Penalty
    In the indictment, prosecutors claim Tyler Robinson planned Kirk’s killing in advance, citing rooftop surveillance, engraved bullets, and a written note as they seek the death penalty.
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  • What if a simple accusation could change the course of a career? In a recent turn of events, Sam Altman finds himself defending against serious allegations regarding the death of a former employee. This article explores his response to the claims that have sparked controversy and discussion in the tech community. As we witness the unfolding of this story, it serves as a reminder of the weight that public perception and legal allegations can carry in our increasingly interconnected world. What does this mean for leadership and accountability in corporate settings?

    Read more about this gripping story here: https://arabhardware.net/post-52216
    #SamAltman #Accountability #TechNews #CorporateResponsibility #Leadership
    What if a simple accusation could change the course of a career? In a recent turn of events, Sam Altman finds himself defending against serious allegations regarding the death of a former employee. This article explores his response to the claims that have sparked controversy and discussion in the tech community. As we witness the unfolding of this story, it serves as a reminder of the weight that public perception and legal allegations can carry in our increasingly interconnected world. What does this mean for leadership and accountability in corporate settings? Read more about this gripping story here: https://arabhardware.net/post-52216 #SamAltman #Accountability #TechNews #CorporateResponsibility #Leadership
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    سام ألتمان يدافع عن نفسه ضد اتهامات بقتل موظف سابق
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  • _* SENTENCE de la COUR SUPRÊME DES ÉTATS-UNIS : 《LES VACCINS COVID NE SONT PAS DES VACCINS》*_

    _Presque personne n'a réalisé que ROBERT F. KENNEDY Jr. avait gagné le procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques._

    _*LES VACCINS COVID NE SONT PAS DES VACCINS.*_

    Dans son arrêt, la COUR SUPRÊME confirme que *LES DOMMAGES CAUSÉS PAR LES THÉRAPIES GÉNIQUES AVEC L'ARNm du Covid SONT IRRÉPARABLES*.

    Étant donné que la Cour suprême est la plus haute juridiction des États-Unis, il n'y a plus de place pour d'autres appels et les possibilités d'appel ont été épuisées.

    *ROBERT F. KENNEDY* a souligné dans une première déclaration qu'il s'agissait d'un succès qui n'avait été possible que grâce à la coopération internationale d'un grand nombre de juristes et de scientifiques.

    Bien sûr, cette décision ouvre quelque chose au niveau international, en particulier ici en SUISSE, cette décision devrait faire des vagues, car la Suisse a une position particulière ici avec sa Constitution fédérale.

    D'une part, le *CODE DE NUREMBERG* est dans la Constitution avec l'article 118b, et l'*ABUS DU GÉNIE GÉNÉTIQUE CHEZ L'HOMME EST INTERDIT EN SUISSE*, selon l'article 119 de la Constitution fédérale.

    Celui-ci est complété par l'article 230 bis du Code pénal... Les auteurs encourent ainsi des peines pouvant aller jusqu'à 10 ans de prison.

    Cependant, cette décision devrait également inciter le reste du monde à s'asseoir et à prendre note, car * LE CODE DE NUREMBERG A UNE VALIDITÉ INTERNATIONALE * et est également inclus dans l'article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.

    Dans le cas d'accusations criminelles, la déclaration devrait faire référence au scandale de la THALIDOMIDE pour donner un poids particulier à l'importance de cette accusation.

    Vous devez également savoir que l'AVOCAT ALLEMAND Dr. RAINER FÜLLMICH et plus de 100 AVOCATS ALLEMANDS ont participé à ces essais.

    https://www.foxnews.com/us/new-york-supreme-court-reinstates-all-employees-fired-being-unvaccinated-orders-backpay

    Aucun média n'en parle, ni en Suisse ni en Europe.

    Malheureusement, cela prend du temps avant que cela ne se reproduise.

    Transmettez donc la décision à votre famille, vos amis et vos connaissances.

    _*Un séisme de POLITIQUE SANITAIRE.*_

    *janvier 2023*

    _*L'OMS déclare soudainement la fin imminente de l'urgence pandémique mondiale.*_

    _*Le gouvernement allemand met fin au financement des centres de vaccination Corona.*_

    _*Les critiques de la vaccination, comme le virologue Drosten, se taisent soudainement.*_

    Le directeur de l'Institut Robert Koch, Wieler, démissionne brusquement.

    Tout cela, bien sûr, n'est pas un hasard.

    Le *1er janvier 2023*, un article alarmant est paru dans le *Wall Street Journal*, faisant référence à une étude parue dans le célèbre *NATURE SCIENTIFIC MAGAZINE* le 19 décembre 2022.

    Le message central :

    *《LES VACCINS À ARN FAVORISENT UNE EXPLOSION DES MUTATIONS DU CORONAVIRUS CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES.》*

    Donc le chat est sorti du sac :

    *《COVID est devenu une pandémie de vaccinés》*
    UNE « BOMBE À RETARDEMENT BIOLOGIQUE » est en train de tourner dans des millions de personnes vaccinées : un Eldorado pour les futurs marchés de l'industrie pharmaceutique, un Waterloo pour tous ces politiciens qui ont imposé à des millions de personnes les slogans infondés de vaccination de cette industrie.

    _*La parution de cet article dans le Wall Street Journal, le journal économique le plus important au monde, n'est pas non plus un hasard.*_

    _* Cela s'est produit à peine deux semaines après que le même journal a eu le courage de publier la seule alternative scientifiquement prouvée - et sans effets secondaires - au crime flagrant de vaccination de l'industrie pharmaceutique : un mélange breveté de micronutriments naturels, développé dans le Dr. Institut de recherche Rath.*_

    _*Les conséquences politiques de cette évolution ne sont pas encore du tout prévisibles.*_

    _*Les virages publics et les démissions des principaux protagonistes du show de la vaccination sont évidemment une tentative désespérée d'échapper à la responsabilité légale de cette catastrophe. Nürumberg 2 (déjà en cours), doit être le macro-essai pour tous les responsables de la santé et les politiciens du monde entier *_
    _* SENTENCE de la COUR SUPRÊME DES ÉTATS-UNIS : 《LES VACCINS COVID NE SONT PAS DES VACCINS》*_ _Presque personne n'a réalisé que ROBERT F. KENNEDY Jr. avait gagné le procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques._ _*LES VACCINS COVID NE SONT PAS DES VACCINS.*_ Dans son arrêt, la COUR SUPRÊME confirme que *LES DOMMAGES CAUSÉS PAR LES THÉRAPIES GÉNIQUES AVEC L'ARNm du Covid SONT IRRÉPARABLES*. Étant donné que la Cour suprême est la plus haute juridiction des États-Unis, il n'y a plus de place pour d'autres appels et les possibilités d'appel ont été épuisées. *ROBERT F. KENNEDY* a souligné dans une première déclaration qu'il s'agissait d'un succès qui n'avait été possible que grâce à la coopération internationale d'un grand nombre de juristes et de scientifiques. Bien sûr, cette décision ouvre quelque chose au niveau international, en particulier ici en SUISSE, cette décision devrait faire des vagues, car la Suisse a une position particulière ici avec sa Constitution fédérale. D'une part, le *CODE DE NUREMBERG* est dans la Constitution avec l'article 118b, et l'*ABUS DU GÉNIE GÉNÉTIQUE CHEZ L'HOMME EST INTERDIT EN SUISSE*, selon l'article 119 de la Constitution fédérale. Celui-ci est complété par l'article 230 bis du Code pénal... Les auteurs encourent ainsi des peines pouvant aller jusqu'à 10 ans de prison. Cependant, cette décision devrait également inciter le reste du monde à s'asseoir et à prendre note, car * LE CODE DE NUREMBERG A UNE VALIDITÉ INTERNATIONALE * et est également inclus dans l'article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Dans le cas d'accusations criminelles, la déclaration devrait faire référence au scandale de la THALIDOMIDE pour donner un poids particulier à l'importance de cette accusation. Vous devez également savoir que l'AVOCAT ALLEMAND Dr. RAINER FÜLLMICH et plus de 100 AVOCATS ALLEMANDS ont participé à ces essais. https://www.foxnews.com/us/new-york-supreme-court-reinstates-all-employees-fired-being-unvaccinated-orders-backpay Aucun média n'en parle, ni en Suisse ni en Europe. Malheureusement, cela prend du temps avant que cela ne se reproduise. Transmettez donc la décision à votre famille, vos amis et vos connaissances. _*Un séisme de POLITIQUE SANITAIRE.*_ *janvier 2023* _*L'OMS déclare soudainement la fin imminente de l'urgence pandémique mondiale.*_ _*Le gouvernement allemand met fin au financement des centres de vaccination Corona.*_ _*Les critiques de la vaccination, comme le virologue Drosten, se taisent soudainement.*_ Le directeur de l'Institut Robert Koch, Wieler, démissionne brusquement. Tout cela, bien sûr, n'est pas un hasard. Le *1er janvier 2023*, un article alarmant est paru dans le *Wall Street Journal*, faisant référence à une étude parue dans le célèbre *NATURE SCIENTIFIC MAGAZINE* le 19 décembre 2022. Le message central : *《LES VACCINS À ARN FAVORISENT UNE EXPLOSION DES MUTATIONS DU CORONAVIRUS CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES.》* Donc le chat est sorti du sac : *《COVID est devenu une pandémie de vaccinés》* UNE « BOMBE À RETARDEMENT BIOLOGIQUE » est en train de tourner dans des millions de personnes vaccinées : un Eldorado pour les futurs marchés de l'industrie pharmaceutique, un Waterloo pour tous ces politiciens qui ont imposé à des millions de personnes les slogans infondés de vaccination de cette industrie. _*La parution de cet article dans le Wall Street Journal, le journal économique le plus important au monde, n'est pas non plus un hasard.*_ _* Cela s'est produit à peine deux semaines après que le même journal a eu le courage de publier la seule alternative scientifiquement prouvée - et sans effets secondaires - au crime flagrant de vaccination de l'industrie pharmaceutique : un mélange breveté de micronutriments naturels, développé dans le Dr. Institut de recherche Rath.*_ _*Les conséquences politiques de cette évolution ne sont pas encore du tout prévisibles.*_ _*Les virages publics et les démissions des principaux protagonistes du show de la vaccination sont évidemment une tentative désespérée d'échapper à la responsabilité légale de cette catastrophe. Nürumberg 2 (déjà en cours), doit être le macro-essai pour tous les responsables de la santé et les politiciens du monde entier *_
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    New York Supreme Court reinstates all employees fired for being unvaccinated, orders backpay
    The New York state Supreme Court reinstated all state employees fired for being unvaccinated during the pandemic Monday, saying the government violated their rights.
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  • Coronavirus : Pour le Pr. Montagnier, nous sommes confrontés à un virus manipulé par les Chinois avec de l’ADN de VIH !

    Le célèbre biologiste virologue français, découvreur en 1983 du VIH, Prix Nobel 2008, a bien voulu répondre aux questions du Dr Jean-François Lemoine pour le site Pourquoi Docteur. Ce qu’il énonce dans cet entretien est pour le moins surprenant et ne manquera pas de lui valoir des accusations de conspirationnisme.

    Très peu de temps après la publication de ces propos, plusieurs scientifiques ont souhaité réfuter immédiatement la théorie du Professeur Montagnier.

    Voici l’intégralité de l’entretien enregistré diffusé sur le site Pourquoi Docteur :

    https://play.acast.com/s/5e6f65a454ef80a13f838a4e/5e984b231a43333372f5349a
    Coronavirus : Pour le Pr. Montagnier, nous sommes confrontés à un virus manipulé par les Chinois avec de l’ADN de VIH ! Le célèbre biologiste virologue français, découvreur en 1983 du VIH, Prix Nobel 2008, a bien voulu répondre aux questions du Dr Jean-François Lemoine pour le site Pourquoi Docteur. Ce qu’il énonce dans cet entretien est pour le moins surprenant et ne manquera pas de lui valoir des accusations de conspirationnisme. Très peu de temps après la publication de ces propos, plusieurs scientifiques ont souhaité réfuter immédiatement la théorie du Professeur Montagnier. Voici l’intégralité de l’entretien enregistré diffusé sur le site Pourquoi Docteur : https://play.acast.com/s/5e6f65a454ef80a13f838a4e/5e984b231a43333372f5349a
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    Le journal du 16 avril de la Covid-19
    Nous sommes le jeudi 16 avril et il est 15 heures, et le Pr Luc Montagnier, prix Nobel de médecine accrédite l'hypothèse que le nouveau coronavirus serait issu d'une tentative malheureuse visant à créer un vaccin contre le VIH.Le journal quotidien de la pandémie Covid-19 avec le Dr Jean-François Lemoine.Au moment où le coronavirus SARS-CoV-2 fait irruption dans nos vies et où le doute sur l'origine du virus est au plus haut, le Professeur Luc Montagnier fait éclater une bombe, en exclusivité dans notre journal.Virologue de renom et prix Nobel de médecine pour la découverte du virus du SIDA, il raconte une tout autre histoire que la version officielle chinoise (chauve souris, Pangolin, marchés de wuhan...) pour ramener l’origine de ce virus au laboratoire de virologie de haute sécurité de Wuhan.Des recherches sur les vaccins contre le SIDA auraient échappé à leurs auteurs : le nouveau coronavirus contiendrait en effet des séquences d'un autre virus qu'il connaît bien, le VIH, une combinaison impossible à obtenir par le seul hasard de la nature.Un phénomène qu'il daterait du dernier semestre 2019…Avec les conséquences mondiales que l’on mesure aujourd’hui.Ecoutez-le ! L’argumentation est étayée… mais impossible à vérifier à notre niveau. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
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  • ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE : DE GRAVES ACCUSATIONS CONTRE MACRON.
    7 févr. 2022
    ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE : DE GRAVES ACCUSATIONS CONTRE MACRON. 7 févr. 2022
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  • Cacher les cadavres

    Merci, Art Moore du World Net Daily, d’avoir rapporté la trahison de Fauci et Walensky par l’équipe après qu’un sénateur américain ait finalement rencontré les deux, bien que de manière inadéquate, au nombre de décès dus à la vaccination dans le VAERS.

    Avant d’entre dans le contenu de l’histoire de Moore, je voudrais souligner pourquoi elle reste un problème médiatique exclusif pour toujours : la létalité du « vaccin » Covid est la dernière choisie que les médias, les élites politiques et monétaires veulent nous transmettre aux « mangeurs inutiles ».

    Le mantra qu’ils nous ont imposé est « sûr et efficace », que je considère comme le nouveau « Sieg Heil ».

    Nous sommes supposés le leur répéter car nous entendons le même vieux babillage : « Fauci, Walensky témoignent tandis qu’omicron provoque de nombreux changements possibles » (Associated Press) ; ou le même vieux mélodrame : « Critique par les sénateurs, les responsables américains de la santé défendent la réponse d’Omicron » (NYT) ; ou, pire encore, le « combat » Fauci contre Paul, ces faux gladiateurs dans l’arène qui se battent pour rien. [J’y reviendrai.]

    Entre autres choses, CNBC a propagé ce dernier (« Fauci dit que les fausses accusations du sénateur Rand Paul « enflamment les fous » et ont conduit à des menaces de mort »), tout comme Fox, sauf l’inverse (« Rand Paul déchire Fauci après le feu d’artifice récent : il ne veut pas de débat parce qu’il « est la science »).

    Quoi que Fauci et Rand Paul s’accusent mutuellement dans ces « confrontations » récurrentes, leur différent sur la recherche sur le virus à Wuhan n’a rien, zero, nada, à voir avec l’agonie de notre nation.

    Nous ne mourons pas à cause des origines d’un virus qui n’existe peut-être même pas, ou à cause du virus lui-même (plus des « variants ») avec taux de survie de plus de 99%, don’t l ' l’âge moyen de décès est proche de l’âge moyen de décès.

    Nous sommes en train de mourir du « remède » tyrannique : chaque acte d’oppression qui nous est imposé par nos propres gouvernements et institutions, le tout au nom d’un faux fléau appelé « Covid ».

    De « l’aplatissement de la courbe » (15 jours), aux « confinements » pour toujours, en passant par la « distanciation sociale » et d’autres mesures totalitaires, y compris des « tests » incessants (avec un faux test), nous ne sommes pas sur la voie de ce qu’ils appellent avec dérision la « santé publique », mais plutôt vers un état de peur constante, l’apartheid vaccinal, les « passeports verts », les camps de concentration (déjà en cours) , la monnaie numérique (à venir), une mort induite par le vaccin et une maladie générale de la population mondiale, et, j’en suis de plus en plus convaincu, l’objectif de mettre fin à l’espèce humaine elle-même dans un « transhumanisme » génétiquement modifié et nano-câble. "

    Il y a un simple interrupteur pour éteindre le mastodonte dystopique. Si nous arrêtions de « tester » des personnes en bonne santé par millions (ou si des personnes en bonne santé refusaient d’être testées par millions), les « tableaux de bord » de Xi, de la Fondation Gates, du WEF, de l’OMS, du CDC et de Johns Hopkins cesseraient de générer les « cas » de faux positifs qui alimentent les fermetures, les débrayages, les licenciements, les effondrements, l’hystérie, la colère et plus de tests. Sans les fausses données statistiques qui alimentent cette « pandémie », cette « pandémie » s’arrêtera.

    Théoriquement aussi demande ou soumission à l’injection Covid de Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Astra Zeneca, Comiraty, tous. Ce sont les véritables armes biologiques, pas un virus qui représente une menace négligeable pour la plupart des gens.

    Tout ce qui est sorti des Laboratoires de Wuhan ou non n’est pas la clé (à moins que Mme Bugnolo ait raison et que le « vaccin » mortel y ait été développé); la clé est ce qui est sorti des laboratoires financés par la DARPA de Big Pharma ici dans le monde occidental.

    C’est ce « vaccin » - une thérapie génique expérimentale plus des nano-circuits tout aussi terribles et plus encore - qui menace la santé publique, et susceptible, il est imposé aux gens, malgré le fait qu’il tue « secrètement » ( c’est-à-dire sans que les médias ou les autorités ne l’admettent) des dizaines de milliers de personnes - plus probablement des centaines de milliers - et bénissant sérieusement des centaines de milliers d’autres personnes.

    Forcer les hommes, les femmes et les enfants à risquer la mort et l’invalidité (et la modification génétique et le micro-câblage pour un « Internet des gens » ou similaire) n’est pas seulement une violation de tous les droits imaginables des êtres souverains en vertu de la loi éternelle, de la loi naturelle, de la Magna Carta, de la Constitution, du Codex de Nuremberg... Et ainsi de suite.

    Mais le pouvoir gouvernemental qui les anime nous dit que nous sommes entrés dans une nouvelle ère effrayante dans laquelle être citoyen signifie être un esclave aux yeux de quelque chose d’autre qui est nouveau, ou du moins nouveau pour le public : des gouvernements superficiellement séparés agissant de concert comme un seul - gouvernement mondial, changer radicalement ou « remodeler » tous les aspects de ce signifie être humain.

    Bien sûr, le nombre de morts doit augmenter en silence – ou se noyer dans le bruit de Fauci contre Paul, ou Wuhan, ou toute distraction que vous venez ensuite. Une fois que vous avez appris à étaindre la censure et à entendre ce qui se passe réellement, il n’y a pas assez de bruit dans le monde pour noyer les cris.

    Tout est là, sur internet, qu’ils ne maîtrisent toujours pas vraiment, loin de là. Même un petit échantillon des derniers jours suffit à briser leur récit « sûr et efficace ».

    Regardez la vidéo de Jessica Sara Blattner, 14 ans, prise cinq jours avant sa mort suite à l’injection de Pfizer; l' interview que Stew Peters a menée avec Jeff Jackson, 47 ans, don’t la peau est devenue une chambre de torture après son deuxième coup de Moderna (il ne supporte pas de porter des vêtements) ; l' histoire de Casey Hodgkinson, 23 ans, et comment le coup de Covid a conduit à son handicap neurologique, à l’indifférence de son employeur et au rabaissement du personnel hospitalier.

    « Pourquoi? » demande Casey à son premier ministre démoniaque en se tournant vers la caméra. « Pourquoi? »

    Il n’y a pas de réponses, pas de ceux au pouvoir - ou, comme avec Trump & Biden & Ardern & Johnson & Co., il y a panne d’électricité et mensonges. Peut-être le pire de tout, il n’y a pas de questions.

    A de rares exceptions près, personne au pouvoir ou au pouvoir n’exhorte ces monstres à tirer les coups, et le silence est, oui, assourdissant.

    Ce qui me ramène au cirque du Sénat Fauci-Walensky don’t Art Moore a parlé.

    De manière choquante, le sénateur Tommy Tuberville (R-AL) a brisé le silence - l’Omertà mondialiste - en traînant la carcasse souffrante de la réalité négligée dans une salle d’audience du Sénat américain. Il a en fait demandé aux capitaines de la santé Fauci et Walensky s’il était vrai que selon VAERS, des « milliers » de personnes sont mortes après avoir reçu les vaccins Covid.

    Son interrogatoire était inadéquat, sa préparation misérable et son incapacité à résumer la tromperie absurde qu’il entendait en réponse fut une amère déception. Mais au moins at-il demandé.

    SÉN. TUBERVILLE : Le VAERS rapporte que le nombre de personnes qui meurent après ou à la suite de la vaccination Covid se chiffre en milliers.

    C’est ce que j’entends. Je vous donne la possibilité de réfuter ou de confirmer cela ici. Savez-vous si c’est vrai ? Y a-t-il autant de personnes qui meurent après avoir pris l’un de ces vaccins ?

    DIRECTEUR DU CDC WALENSKY : Sen Tuberville, merci pour cette question. Le Vaccine Adverse Event Reporting System est un système obligatoire pour tous les événements indésirables survenant après une vaccination, c’est-à-dire que si une personne est tragiquement heurtée par une voiture après une vaccination, elle sera signalée dans le système VAERS.

    Donc les vaccins sont incroyablement sûrs, ils nous protègent d’Omicron, ils nous protègent de Delta, ils nous protègent de Covid. Mais ils ne nous protègent pas de toutes les autres formes de mortalité.

    Appeler cette réponse offensante est offensant à offensant. Je soupçonne que Walensky n’était pas préparée à cette question et a répondu avec tout ce qui lui venait à l’esprit, se terminant bien sûr par « Victory: Safe and Effective ».

    Peut-être a-t-elle rappelé la « vérification des faits » de USA Today qui incluait un rapport antérieur du World Net Daily selon lequel le nombre d’événements indésirables VAERS dus aux vaccinations Covid avait dépassé le million – une histoire qui est vraie à 100%.

    Cependant, USA Today les qualifiés de faux parce que Daniel Salmon, directeur de l’Institute for Vaccine Safety de l’Université Johns Hopkins (JHU était un sponsor de l’événement 201, la tristement célèbre conférence sur la planification en cas de pandémie en octobre 2019), une citation déclarée :

    Je peux me faire vacciner contre la COVID et mon chien sera heurté par une voiture – je peux le signaler et cela apparaîtra dans la base de données [VAERS] », a déclaré Salmon. « Cela ne veut pas dire que le vaccin contre la COVID est la cause de mon chien blessé par une voiture.

    Qu’en est-il de ces gens et des voitures ?

    En tout cas, Tuberville ne se décourage pas à sa manière. Il posera sa question.

    SÉN. TUBERVILLE : Y at-il un nombre de personnes qui sont mortes après avoir pris ce vaccin ? Avons-nous une idée – je demande simplement. ... Y at-il un compte ? Conservons-nous des registres à ce sujet ?

    DIRECTEUR DU CDC WALENSKY : Certainement oui. Je ne peux pas vous dire le chiffre absolu à l’improviste, mais notre personnel pourrait certainement entrer en contact avec vous. Nous collectons ces données.

    Dommage que Tuberville n’ait pas pris le temps de lire le récapitulatif de la boîte rouge Open VAERS de la semaine dernière.

    Quoi qu’il en soit, Walensky pense qu’elle est tirée d’affaire. Tuberville pousse juste ses défenses vers Fauci.

    SEN TUBERVILLE : Connaissez-vous les chiffres Dr. fauc? Avez-vous une idée?

    FAUCI : [inintelligible...] Je n’ai pas de chiffre, mais je pense qu’une partie de la confusion est que si vous faites un rapport lorsque vous vous faites vacciner et que vous sortez et que vous vous faites renverser par une voiture, c’est considéré comme un décès (rires ). C’est ce qui est déroutant, tout ce qui se passe après la vaccination, même si vous mourez de quelque chose qui n’a manifestement aucun rapport, compte comme un décès. Donc si j’ai un cancer métastatique, que je me fais vacciner et que je meurs deux semaines plus tard, c’est un décès qui compte.

    Comme un bon gangster, Fauci a sauté sur l’alibi extravagant de son co-conspirateur.

    J’ai lu des centaines de rapports du VAERS et je n’en ai vu aucun qui se rapproche de ces descriptions griffonnées des crétins responsables, du NIH au CDC en passant par Johns Hopkins, tous violant tous les serments d’office et de décence, y compris notre droit d’être Consentement éclairé à mentir au sujet de ceux qui ont inutilement perdu la vie à cause, par exemple, d’un vaccin contre la grippe qui a mal tourné.

    Voici une capture d’écran d’une recherche VAERS que je viens de faire sur les décès post-vaccination Covid chez les femmes âgées de 50 à 59 ans avec apparition des symptômes dans les trois jours suivant la vaccination.

    Voici une liste similaire aux résultats pour les personnes âgées de 30 à 39 ans.

    Pas une seule voiture en vue.

    Crier au parjure n’est qu’une distraction lorsque des preuves de meurtre apparaissent.
    Cacher les cadavres Merci, Art Moore du World Net Daily, d’avoir rapporté la trahison de Fauci et Walensky par l’équipe après qu’un sénateur américain ait finalement rencontré les deux, bien que de manière inadéquate, au nombre de décès dus à la vaccination dans le VAERS. Avant d’entre dans le contenu de l’histoire de Moore, je voudrais souligner pourquoi elle reste un problème médiatique exclusif pour toujours : la létalité du « vaccin » Covid est la dernière choisie que les médias, les élites politiques et monétaires veulent nous transmettre aux « mangeurs inutiles ». Le mantra qu’ils nous ont imposé est « sûr et efficace », que je considère comme le nouveau « Sieg Heil ». Nous sommes supposés le leur répéter car nous entendons le même vieux babillage : « Fauci, Walensky témoignent tandis qu’omicron provoque de nombreux changements possibles » (Associated Press) ; ou le même vieux mélodrame : « Critique par les sénateurs, les responsables américains de la santé défendent la réponse d’Omicron » (NYT) ; ou, pire encore, le « combat » Fauci contre Paul, ces faux gladiateurs dans l’arène qui se battent pour rien. [J’y reviendrai.] Entre autres choses, CNBC a propagé ce dernier (« Fauci dit que les fausses accusations du sénateur Rand Paul « enflamment les fous » et ont conduit à des menaces de mort »), tout comme Fox, sauf l’inverse (« Rand Paul déchire Fauci après le feu d’artifice récent : il ne veut pas de débat parce qu’il « est la science »). Quoi que Fauci et Rand Paul s’accusent mutuellement dans ces « confrontations » récurrentes, leur différent sur la recherche sur le virus à Wuhan n’a rien, zero, nada, à voir avec l’agonie de notre nation. Nous ne mourons pas à cause des origines d’un virus qui n’existe peut-être même pas, ou à cause du virus lui-même (plus des « variants ») avec taux de survie de plus de 99%, don’t l ' l’âge moyen de décès est proche de l’âge moyen de décès. Nous sommes en train de mourir du « remède » tyrannique : chaque acte d’oppression qui nous est imposé par nos propres gouvernements et institutions, le tout au nom d’un faux fléau appelé « Covid ». De « l’aplatissement de la courbe » (15 jours), aux « confinements » pour toujours, en passant par la « distanciation sociale » et d’autres mesures totalitaires, y compris des « tests » incessants (avec un faux test), nous ne sommes pas sur la voie de ce qu’ils appellent avec dérision la « santé publique », mais plutôt vers un état de peur constante, l’apartheid vaccinal, les « passeports verts », les camps de concentration (déjà en cours) , la monnaie numérique (à venir), une mort induite par le vaccin et une maladie générale de la population mondiale, et, j’en suis de plus en plus convaincu, l’objectif de mettre fin à l’espèce humaine elle-même dans un « transhumanisme » génétiquement modifié et nano-câble. " Il y a un simple interrupteur pour éteindre le mastodonte dystopique. Si nous arrêtions de « tester » des personnes en bonne santé par millions (ou si des personnes en bonne santé refusaient d’être testées par millions), les « tableaux de bord » de Xi, de la Fondation Gates, du WEF, de l’OMS, du CDC et de Johns Hopkins cesseraient de générer les « cas » de faux positifs qui alimentent les fermetures, les débrayages, les licenciements, les effondrements, l’hystérie, la colère et plus de tests. Sans les fausses données statistiques qui alimentent cette « pandémie », cette « pandémie » s’arrêtera. Théoriquement aussi demande ou soumission à l’injection Covid de Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Astra Zeneca, Comiraty, tous. Ce sont les véritables armes biologiques, pas un virus qui représente une menace négligeable pour la plupart des gens. Tout ce qui est sorti des Laboratoires de Wuhan ou non n’est pas la clé (à moins que Mme Bugnolo ait raison et que le « vaccin » mortel y ait été développé); la clé est ce qui est sorti des laboratoires financés par la DARPA de Big Pharma ici dans le monde occidental. C’est ce « vaccin » - une thérapie génique expérimentale plus des nano-circuits tout aussi terribles et plus encore - qui menace la santé publique, et susceptible, il est imposé aux gens, malgré le fait qu’il tue « secrètement » ( c’est-à-dire sans que les médias ou les autorités ne l’admettent) des dizaines de milliers de personnes - plus probablement des centaines de milliers - et bénissant sérieusement des centaines de milliers d’autres personnes. Forcer les hommes, les femmes et les enfants à risquer la mort et l’invalidité (et la modification génétique et le micro-câblage pour un « Internet des gens » ou similaire) n’est pas seulement une violation de tous les droits imaginables des êtres souverains en vertu de la loi éternelle, de la loi naturelle, de la Magna Carta, de la Constitution, du Codex de Nuremberg... Et ainsi de suite. Mais le pouvoir gouvernemental qui les anime nous dit que nous sommes entrés dans une nouvelle ère effrayante dans laquelle être citoyen signifie être un esclave aux yeux de quelque chose d’autre qui est nouveau, ou du moins nouveau pour le public : des gouvernements superficiellement séparés agissant de concert comme un seul - gouvernement mondial, changer radicalement ou « remodeler » tous les aspects de ce signifie être humain. Bien sûr, le nombre de morts doit augmenter en silence – ou se noyer dans le bruit de Fauci contre Paul, ou Wuhan, ou toute distraction que vous venez ensuite. Une fois que vous avez appris à étaindre la censure et à entendre ce qui se passe réellement, il n’y a pas assez de bruit dans le monde pour noyer les cris. Tout est là, sur internet, qu’ils ne maîtrisent toujours pas vraiment, loin de là. Même un petit échantillon des derniers jours suffit à briser leur récit « sûr et efficace ». Regardez la vidéo de Jessica Sara Blattner, 14 ans, prise cinq jours avant sa mort suite à l’injection de Pfizer; l' interview que Stew Peters a menée avec Jeff Jackson, 47 ans, don’t la peau est devenue une chambre de torture après son deuxième coup de Moderna (il ne supporte pas de porter des vêtements) ; l' histoire de Casey Hodgkinson, 23 ans, et comment le coup de Covid a conduit à son handicap neurologique, à l’indifférence de son employeur et au rabaissement du personnel hospitalier. « Pourquoi? » demande Casey à son premier ministre démoniaque en se tournant vers la caméra. « Pourquoi? » Il n’y a pas de réponses, pas de ceux au pouvoir - ou, comme avec Trump & Biden & Ardern & Johnson & Co., il y a panne d’électricité et mensonges. Peut-être le pire de tout, il n’y a pas de questions. A de rares exceptions près, personne au pouvoir ou au pouvoir n’exhorte ces monstres à tirer les coups, et le silence est, oui, assourdissant. Ce qui me ramène au cirque du Sénat Fauci-Walensky don’t Art Moore a parlé. De manière choquante, le sénateur Tommy Tuberville (R-AL) a brisé le silence - l’Omertà mondialiste - en traînant la carcasse souffrante de la réalité négligée dans une salle d’audience du Sénat américain. Il a en fait demandé aux capitaines de la santé Fauci et Walensky s’il était vrai que selon VAERS, des « milliers » de personnes sont mortes après avoir reçu les vaccins Covid. Son interrogatoire était inadéquat, sa préparation misérable et son incapacité à résumer la tromperie absurde qu’il entendait en réponse fut une amère déception. Mais au moins at-il demandé. SÉN. TUBERVILLE : Le VAERS rapporte que le nombre de personnes qui meurent après ou à la suite de la vaccination Covid se chiffre en milliers. C’est ce que j’entends. Je vous donne la possibilité de réfuter ou de confirmer cela ici. Savez-vous si c’est vrai ? Y a-t-il autant de personnes qui meurent après avoir pris l’un de ces vaccins ? DIRECTEUR DU CDC WALENSKY : Sen Tuberville, merci pour cette question. Le Vaccine Adverse Event Reporting System est un système obligatoire pour tous les événements indésirables survenant après une vaccination, c’est-à-dire que si une personne est tragiquement heurtée par une voiture après une vaccination, elle sera signalée dans le système VAERS. Donc les vaccins sont incroyablement sûrs, ils nous protègent d’Omicron, ils nous protègent de Delta, ils nous protègent de Covid. Mais ils ne nous protègent pas de toutes les autres formes de mortalité. Appeler cette réponse offensante est offensant à offensant. Je soupçonne que Walensky n’était pas préparée à cette question et a répondu avec tout ce qui lui venait à l’esprit, se terminant bien sûr par « Victory: Safe and Effective ». Peut-être a-t-elle rappelé la « vérification des faits » de USA Today qui incluait un rapport antérieur du World Net Daily selon lequel le nombre d’événements indésirables VAERS dus aux vaccinations Covid avait dépassé le million – une histoire qui est vraie à 100%. Cependant, USA Today les qualifiés de faux parce que Daniel Salmon, directeur de l’Institute for Vaccine Safety de l’Université Johns Hopkins (JHU était un sponsor de l’événement 201, la tristement célèbre conférence sur la planification en cas de pandémie en octobre 2019), une citation déclarée : Je peux me faire vacciner contre la COVID et mon chien sera heurté par une voiture – je peux le signaler et cela apparaîtra dans la base de données [VAERS] », a déclaré Salmon. « Cela ne veut pas dire que le vaccin contre la COVID est la cause de mon chien blessé par une voiture. Qu’en est-il de ces gens et des voitures ? En tout cas, Tuberville ne se décourage pas à sa manière. Il posera sa question. SÉN. TUBERVILLE : Y at-il un nombre de personnes qui sont mortes après avoir pris ce vaccin ? Avons-nous une idée – je demande simplement. ... Y at-il un compte ? Conservons-nous des registres à ce sujet ? DIRECTEUR DU CDC WALENSKY : Certainement oui. Je ne peux pas vous dire le chiffre absolu à l’improviste, mais notre personnel pourrait certainement entrer en contact avec vous. Nous collectons ces données. Dommage que Tuberville n’ait pas pris le temps de lire le récapitulatif de la boîte rouge Open VAERS de la semaine dernière. Quoi qu’il en soit, Walensky pense qu’elle est tirée d’affaire. Tuberville pousse juste ses défenses vers Fauci. SEN TUBERVILLE : Connaissez-vous les chiffres Dr. fauc? Avez-vous une idée? FAUCI : [inintelligible...] Je n’ai pas de chiffre, mais je pense qu’une partie de la confusion est que si vous faites un rapport lorsque vous vous faites vacciner et que vous sortez et que vous vous faites renverser par une voiture, c’est considéré comme un décès (rires ). C’est ce qui est déroutant, tout ce qui se passe après la vaccination, même si vous mourez de quelque chose qui n’a manifestement aucun rapport, compte comme un décès. Donc si j’ai un cancer métastatique, que je me fais vacciner et que je meurs deux semaines plus tard, c’est un décès qui compte. Comme un bon gangster, Fauci a sauté sur l’alibi extravagant de son co-conspirateur. J’ai lu des centaines de rapports du VAERS et je n’en ai vu aucun qui se rapproche de ces descriptions griffonnées des crétins responsables, du NIH au CDC en passant par Johns Hopkins, tous violant tous les serments d’office et de décence, y compris notre droit d’être Consentement éclairé à mentir au sujet de ceux qui ont inutilement perdu la vie à cause, par exemple, d’un vaccin contre la grippe qui a mal tourné. Voici une capture d’écran d’une recherche VAERS que je viens de faire sur les décès post-vaccination Covid chez les femmes âgées de 50 à 59 ans avec apparition des symptômes dans les trois jours suivant la vaccination. Voici une liste similaire aux résultats pour les personnes âgées de 30 à 39 ans. Pas une seule voiture en vue. Crier au parjure n’est qu’une distraction lorsque des preuves de meurtre apparaissent.
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  • Royaume-Uni : La fraude Covid-19 doit maintenant faire l’objet d’une enquête criminelle !?

    « Le 20 décembre, une série de documents ont été déposés dans un poste de police de l’ouest de Londres soutenant l’allégation d’un crime lié au programme de vaccination britannique », a déclaré le porte-parole à Reuters le 19 janvier .

    « Les fonctionnaires ont été chargés d’examiner les documents. Ce processus prend beaucoup de temps et a été prolongé par la soumission de documents supplémentaires par des personnes à qui on a demandé de le faire en ligne.

    L’enquête est en cours, mais jusqu’à présent, il n’y a aucune preuve d’un crime, et aucune enquête criminelle n’aurait été ouverte.

    Seule l’information sur le site internet de la police, avant l’attribution d’un numéro de dossier, et une « évaluation de l’enquête » est effective. Les informations recueillies sont examinées pour décider si d’autres enquêtes sont justifiées. Plus d’informations sur cette procédure peuvent êtretrouvées ici .

    Reuters écrit :

    Cependant, la police métropolitaine a déclaré à Reuters qu’aucune enquête criminelle n’avait été détenue en lien avec les vaccins contre la COVID-19, confirmant qu’aucun centre de vaccination n’avait été fermé dans le cadre d’une enquête inexistant ».

    Un porte-parole a déclaré dans un courriel que l’émission d’un CRN ne signifie pas automatiquement qu’une enquête a été commise - ni qu’un crime a été réellement commis.

    Au contraire, un CRN signifie que la police a reçu et enregistré une accusation.
    Royaume-Uni : La fraude Covid-19 doit maintenant faire l’objet d’une enquête criminelle !? « Le 20 décembre, une série de documents ont été déposés dans un poste de police de l’ouest de Londres soutenant l’allégation d’un crime lié au programme de vaccination britannique », a déclaré le porte-parole à Reuters le 19 janvier . « Les fonctionnaires ont été chargés d’examiner les documents. Ce processus prend beaucoup de temps et a été prolongé par la soumission de documents supplémentaires par des personnes à qui on a demandé de le faire en ligne. L’enquête est en cours, mais jusqu’à présent, il n’y a aucune preuve d’un crime, et aucune enquête criminelle n’aurait été ouverte. Seule l’information sur le site internet de la police, avant l’attribution d’un numéro de dossier, et une « évaluation de l’enquête » est effective. Les informations recueillies sont examinées pour décider si d’autres enquêtes sont justifiées. Plus d’informations sur cette procédure peuvent êtretrouvées ici . Reuters écrit : Cependant, la police métropolitaine a déclaré à Reuters qu’aucune enquête criminelle n’avait été détenue en lien avec les vaccins contre la COVID-19, confirmant qu’aucun centre de vaccination n’avait été fermé dans le cadre d’une enquête inexistant ». Un porte-parole a déclaré dans un courriel que l’émission d’un CRN ne signifie pas automatiquement qu’une enquête a été commise - ni qu’un crime a été réellement commis. Au contraire, un CRN signifie que la police a reçu et enregistré une accusation.
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  • Rapport de la CIA : Le syndrome de La Havane n’est pas le résultat d’une campagne étrangère ciblée

    Par Lucas Leiroz : Chercheur en sciences sociales à l’Université fédérale de Rio de Janeiro ; conseiller géopolitique.

    Après plusieurs allégations non fondées selon lesquelles la Russie et la Chine auraient utilisé des armes à micro-ondes pour causer des problèmes de santé aux diplomates américains, la CIA a admis qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour soutenir l’affirmation selon laquelle le soi-disant « syndrome de La Havane » est délibérément provoqué par des agents étrangers. Cependant, les services de renseignements américains confirment d’affirmer que dans certains cas spécifiques, il existe des preuves d’implication étrangère, suggèrent que Washington veut simplement éviter les accusations d’utilisation de théories du complot, mais s’en tient à sa rhétorique anti-russe et anti-chinoise.

    Récemment, la CIA a publié des informations sur un rapport de l’étude résultante sur le cas du syndrome à La Havane. Après plusieurs analyses et enquêtes, l’agence semble avoir conclu qu’il n’y a pas suffisamment de preuves de l’existence d’une campagne mondiale délibérément organisée par des « puissances hostiles » - associées à la Russie ou à la Chine – pour produire les symptômes décrits par les diplomates américains.

    Contrairement aux affirmations du gouvernement, aucune preuve de l’utilisation d’armes radioactives n’a été trouvée. Aucun mécanisme spécifique n’a été identifié qui pourrait causer les symptômes. Les portes-parole de la CIA ont également précisé qu’il y a environ deux douzaines de cas qui sont toujours en cours, et que de nouvelles études et données pourraient indiquer une action étrangère délibérée.

    Cependant, la CIA n’a pas pris de position claire sur la question. Tout en reconnaissant qu’il n’y a aucune preuve d’un plan d’action mondial délibéré de la partie de nations hostiles, l’agence a précisé que dans certains cas spécifiques, il existe la possibilité d’une implication étrangère. Il est intéressant de noter qu’aucun détail n’a été donné sur ces « cas spécifiques » et les preuves d’une action étrangère, ce qui suggère que la rhétorique de Washington est une fois de plus basée sur des accusations de conspiration.

    Comme l’a déclaré un haut responsable de la CIA dans une interview sur le sujet : « Je n’y a pas une seule explication... On ne voit pas une campagne globale d’un acteur étranger (...) Nous n 'Exclurions certainement pas la possibilité d’une implication d’acteurs étrangers dans certains cas individuels, [mais] nous n’avons pas identifié de mécanisme causal, une nouvelle arme utilisée pour le moment. »

    Depuis 2017, le gouvernement américain a adopté comme récit officiel le discours selon lequel Moscou et Pékin utilisent des armes technologiquement avancées pour induire des symptômes de nausées, de vertiges, d’acouphènes et de confusion mentale chez les diplomates américains. L’hypothèse la plus communément admise par les responsables américains est que les symptômes résultent de l’exposition des victimes à des ondes radioactives émises par des armes à micro-ondes prétendument utilisées par des agents secrets de pays ennemis américains.

    De telles affirmations sont bien sûr totalement infondées. Tout d’abord, il n’y a pas suffisamment de preuves pour affirmer qu’aucun pays au monde ne dispose d’une telle technologie capable de produire les effets décrits par les diplomates. Parfois, les accusations américaines sonnaient non seulement comme des mots complotistes, mais véritablement futuristes. Donc, avant de prétendre que tel ou tel pays est impliqué dans ce genre d’activités, il appartiendrait aux États-Unis de prouver que de telles armes existent réellement.

    Un autre point est le fait qu’il est douteux que les diplomates américains stationnés à Cuba et dans d’autres pays en développement seraient les cibles privilégiées d’une technologie aussi puissante si un pays disposait réellement de ce type d’armes. Néanmoins, il faut dire que les symptômes rapportés par les diplomates sont très fréquents dans divers types de maladies, notamment liés au stress et aux situations dangereuses, il est donc prématuré de dire que les rapports sont des preuves suffisantes pour parler d’un nouveau « syndrôme ».

    Ce que nous voyons maintenant n’est pas un réel changement dans les croyances du gouvernement américain par rapport aux déclarations précédentes. Au contraire, il s’agit simplement d’une tentative de « confirmer » les théories du complot largement répandues. Washington ne semble pas intéressé à admettre qu’il n’y a aucune preuve d’implication étrangère, mais se sent obligé d’éviter d’être accusé d’utiliser une rhétorique complotiste et anti-scientifique, ce qui nuirait à l’image des États-Unis dans la société internationale. Cela explique la position ambiguë de la CIA : elle admet qu’il n’y a aucune preuve de l’existence d’un plan étranger, mais en même temps elle prétend queque tous les cas n’ont pas fait l’objet d’une enquête et qu’il existe une possibilité d’implication étrangère dans certaines situations spécifiques.

    La CIA ouvre simplement la voie aux États-Unis pour prétendre à l’avenir qu’ils ont trouvé suffisamment de données pour prouver l’existence d’un plan étranger. C’est une manière de « justifier » des thèses non fondées et de leur donner une « validité scientifique ».
    Rapport de la CIA : Le syndrome de La Havane n’est pas le résultat d’une campagne étrangère ciblée Par Lucas Leiroz : Chercheur en sciences sociales à l’Université fédérale de Rio de Janeiro ; conseiller géopolitique. Après plusieurs allégations non fondées selon lesquelles la Russie et la Chine auraient utilisé des armes à micro-ondes pour causer des problèmes de santé aux diplomates américains, la CIA a admis qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour soutenir l’affirmation selon laquelle le soi-disant « syndrome de La Havane » est délibérément provoqué par des agents étrangers. Cependant, les services de renseignements américains confirment d’affirmer que dans certains cas spécifiques, il existe des preuves d’implication étrangère, suggèrent que Washington veut simplement éviter les accusations d’utilisation de théories du complot, mais s’en tient à sa rhétorique anti-russe et anti-chinoise. Récemment, la CIA a publié des informations sur un rapport de l’étude résultante sur le cas du syndrome à La Havane. Après plusieurs analyses et enquêtes, l’agence semble avoir conclu qu’il n’y a pas suffisamment de preuves de l’existence d’une campagne mondiale délibérément organisée par des « puissances hostiles » - associées à la Russie ou à la Chine – pour produire les symptômes décrits par les diplomates américains. Contrairement aux affirmations du gouvernement, aucune preuve de l’utilisation d’armes radioactives n’a été trouvée. Aucun mécanisme spécifique n’a été identifié qui pourrait causer les symptômes. Les portes-parole de la CIA ont également précisé qu’il y a environ deux douzaines de cas qui sont toujours en cours, et que de nouvelles études et données pourraient indiquer une action étrangère délibérée. Cependant, la CIA n’a pas pris de position claire sur la question. Tout en reconnaissant qu’il n’y a aucune preuve d’un plan d’action mondial délibéré de la partie de nations hostiles, l’agence a précisé que dans certains cas spécifiques, il existe la possibilité d’une implication étrangère. Il est intéressant de noter qu’aucun détail n’a été donné sur ces « cas spécifiques » et les preuves d’une action étrangère, ce qui suggère que la rhétorique de Washington est une fois de plus basée sur des accusations de conspiration. Comme l’a déclaré un haut responsable de la CIA dans une interview sur le sujet : « Je n’y a pas une seule explication... On ne voit pas une campagne globale d’un acteur étranger (...) Nous n 'Exclurions certainement pas la possibilité d’une implication d’acteurs étrangers dans certains cas individuels, [mais] nous n’avons pas identifié de mécanisme causal, une nouvelle arme utilisée pour le moment. » Depuis 2017, le gouvernement américain a adopté comme récit officiel le discours selon lequel Moscou et Pékin utilisent des armes technologiquement avancées pour induire des symptômes de nausées, de vertiges, d’acouphènes et de confusion mentale chez les diplomates américains. L’hypothèse la plus communément admise par les responsables américains est que les symptômes résultent de l’exposition des victimes à des ondes radioactives émises par des armes à micro-ondes prétendument utilisées par des agents secrets de pays ennemis américains. De telles affirmations sont bien sûr totalement infondées. Tout d’abord, il n’y a pas suffisamment de preuves pour affirmer qu’aucun pays au monde ne dispose d’une telle technologie capable de produire les effets décrits par les diplomates. Parfois, les accusations américaines sonnaient non seulement comme des mots complotistes, mais véritablement futuristes. Donc, avant de prétendre que tel ou tel pays est impliqué dans ce genre d’activités, il appartiendrait aux États-Unis de prouver que de telles armes existent réellement. Un autre point est le fait qu’il est douteux que les diplomates américains stationnés à Cuba et dans d’autres pays en développement seraient les cibles privilégiées d’une technologie aussi puissante si un pays disposait réellement de ce type d’armes. Néanmoins, il faut dire que les symptômes rapportés par les diplomates sont très fréquents dans divers types de maladies, notamment liés au stress et aux situations dangereuses, il est donc prématuré de dire que les rapports sont des preuves suffisantes pour parler d’un nouveau « syndrôme ». Ce que nous voyons maintenant n’est pas un réel changement dans les croyances du gouvernement américain par rapport aux déclarations précédentes. Au contraire, il s’agit simplement d’une tentative de « confirmer » les théories du complot largement répandues. Washington ne semble pas intéressé à admettre qu’il n’y a aucune preuve d’implication étrangère, mais se sent obligé d’éviter d’être accusé d’utiliser une rhétorique complotiste et anti-scientifique, ce qui nuirait à l’image des États-Unis dans la société internationale. Cela explique la position ambiguë de la CIA : elle admet qu’il n’y a aucune preuve de l’existence d’un plan étranger, mais en même temps elle prétend queque tous les cas n’ont pas fait l’objet d’une enquête et qu’il existe une possibilité d’implication étrangère dans certaines situations spécifiques. La CIA ouvre simplement la voie aux États-Unis pour prétendre à l’avenir qu’ils ont trouvé suffisamment de données pour prouver l’existence d’un plan étranger. C’est une manière de « justifier » des thèses non fondées et de leur donner une « validité scientifique ».
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  • Des signaux fous, une conclusion... Les États-Unis et leurs partenaires de l’OTAN lance une guerre contre la Russie

    Strategic-culture.org : Washington et ses alliés de l’OTAN mettent en danger la paix en Europe. Ils ont créé les conditions d’une guerre entre puissances nucléaires.

    Le président américain Joe Biden a déclaré la dernière semaine qu’il croyait que la Russie envahirait l’Ukraine. Il y a quelques jours à peine, Biden et ses conseillers principaux n’étaient pas sûrs, disant qu’ils ne savaient pas si cela se convenait. Si les membres les plus hauts lieux de l’exécutif américain ne peuvent pas s’entendre sur un courant de pensée cohérent, donc la conclusion est évidente qu’ils sont désemparés et que leurs revendications sont sans fondement. En bref : des mensonges.

    Malpractice, cette ignorance conduit à une guerre en Europe. Depuis près de deux mois, l’administration Biden, au sud des médias, a bombardé le public avec des informations selon lesquelles la Russie planifie une invasion de l’Ukraine. Ce n’est pas de l’ignorance innocente. C’est une incitation criminelle à la guerre et des crimes contre la paix.

    Toute cette propagande - parce que c’est de cela qu’il s’agit - est basée sur une mentalité toxique de la guerre froide, ainsi que sur la russophobie, des affirmations arrogantes dépourvues de substance et des données falsifiées. Des images satellites prétendant un renforcement militaire russe à la frontière ukrainienne se sont manifestées en fait des bases à des centaines de kilomètres sur le territoire russe.

    Comme à l’approche de la guerre d’agression anglo-américaine contre l’Irak en 2003, la perception publique de l’Occident est mise en scène pour générer une « approbation » pour une confrontation, cette fois avec la Russie. La technique du grand mensonge, inventée par le propagandiste nazi Joseph Goebbels et perfectionnée par les puissances impériales occidentales, est à nouveau utilisée.

    Moscou a nié à plusieurs reprises et catégoriquement les allégations d’un plan d’invasion, affirmant qu’elle n’avait pas l’intention d’attaquer une nation. La Russie a appelé les États occidentaux à ne plus propager cette folie monotone. Le simple soupçon de telles accusations révèle un préjugé anti-russe provocateur et une fomentation impitoyable de l’instabilité. Il est étonnant que Moscou doive dire que les troupes à l’intérieur de ses frontières territoriales sont une affaire souveraine, ne nécessitant aucune explication ou responsabilité envers un gouvernement étranger.

    Cette semaine, on dit que le « spectre de la guerre » grandit et que les pourparlers entre le secrétaire d’État américain Antony Blinken et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov à Genève vendredi seraient des « efforts de la dernière chance » de la diplomatie pour éviter le conflit.

    En fait, il y a une double accumulation ridicule et imprudente : à la fois des forces militaires et de la propagande pour la guerre. Cette accumulation est de la part des États-Unis et de ses alliés de l’OTAN, y compris le régime soutenu par l’Occident en Ukraine.

    Les États-Unis et le bloc de l’OTAN inondent l’Ukraine d’armes. L’administration Biden vient d’annoncer une aide militaire supplémentaire de 200 millions de dollars à Kiev, en plus des près de 3 milliards de dollars fournis depuis 2014, lorsque le coup d’État soutenu par la CIA en Ukraine a lancé un régime anti-russe en colère.

    La Grande-Bretagne et d’autres membres de l’OTAN, y compris les États baltes, envoient des missiles antichars et antiaériens et des conseillers militaires en Ukraine. Toutes ces armes encouragent le régime de Kiev à intensifier son offensive contre la population d’origine russe dans le sud-est de l’Ukraine. Les forces armées de Kiev refusent une solution politique à la guerre civile de près de huit ans qui a commencé peu après le coup d’État soutenu par la CIA. Il a été rapporté cette semaine que les forces ukrainiennes ont installé plusieurs lance-roquettes sur la ligne de contact dans la zone de conflit du Donbass dans ce qui serait la préparation d’une offensive majeure.

    La réalité est que les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN étendent le militarisme en Ukraine, ce qui constitue une menace directe pour la Russie. Étonnamment, cependant, cette réalité est renversée par des politiciens américains et européens qui ont accusé la Russie de planifier une invasion et de fomenter une agression. Le coup d’État de 2014 est rétrospectivement déguisé en Russie envahissant l’Ukraine et annexant la Crimée. Maintenant, on dit que la Russie envahira « à nouveau ».

    À cela s’ajoute la présomption mépriseuse du chef de la politique étrangère des États-Unis, Antony Blinken, qui se serait « engagé dans une diplomatie de navette pour empêcher la guerre ».

    La semaine dernière, la Russie a fait des propositions claires aux représentants des États-Unis et de l’OTAN sur la manière de mettre en œuvre les garanties de sécurité en Europe. Ces propositions comprenaient l’arrêt de l’expansion vers l’est du bloc de l’OTAN et le retrait des armes stratégiques américaines d’Europe de l’Est. L’initiative éminemment sensée de Moscou visant à améliorer la sécurité a été rejetée. Avant sa rencontre avec Lavrov à Genève, clignotant a déclaré qu’il ne fournirait pas de réponse écrite aux propositions russes. Néanmoins, la partie américaine parle « d’offrir à la Russie une alternative diplomatique au conflit ». Cela équivaut à une offre de paix à travers le canon d’une arme tendue.

    La vérité est que Washington et ses alliés de l’OTAN mettent en péril la paix en Europe. Ils créent les conditions d’une guerre entre puissances nucléaires.

    Il y a des échos inquiétants des guerres passées en Europe, lorsque l’Allemagne nazie a construit une machine de guerre sous le couvert cynique de la « défense ». Aujourd’hui, le bloc de l’OTAN dirigé par les États-Unis est un agresseur en Europe sous la bannière de la « défense » contre une prétendue invasion russe.

    Pas un seul politicien américain ou européen ne peut expliquer de manière crédible les raisons du renforcement militaire excessif et de l’agression contre la Russie. La pensée de groupe folle et l’illusion ont dominé la classe politique aux États-Unis et dans d’autres pays de l’OTAN. L’incohérence et la franche folie de leurs propos sont une menace pour la paix mondiale. Il ne fait aucun doute que les crises politiques et économiques internes qui s’approfondissent actuellement des puissances capitalistes occidentales alimentent un bellicisme impitoyable pour détourner l’attention de leurs échecs systématiques. La pandémie de coronavirus et le malaise social résultant d’échecs économiques historiques alimentent le militarisme des États occidentaux dans leurs politiques envers la Russie. L’establishment au pouvoir est incapable de résoudre rationnellement et démocratiquement les problèmes politiques.

    Pour ceux qui veulent voir et penser avec un esprit ouvert, ce qui se passe est évident. Historiquement, les États-Unis et leurs complices de l’OTAN sont les héritiers politiques du régime nazi soutenu par l’Occident, qui cherchait à détruire la Russie au nom de l’hégémonie impériale du capital occidental. Washington et ses laquais occidentaux doivent empêcher une normalisation des relations au sein de l’Europe qui permettrait au plus grand pays du continent, la Russie, de se développer pacifiquement avec ses voisins européens. Les États-Unis - la première puissance hégémonique occidentale - doivent empêcher à tout prix cette issue géopolitique. Dans le passé, l’Allemagne nazie et le fascisme ont été utilisés comme des matraques. Aujourd’hui, c’est l’expansionnisme de l’OTAN dans la « défense de la démocratie et de la paix ».

    Il semble que la guerre se profile et que les fauteurs de guerre trébuchent vers l’abîme. Comme par le passé, les peuples d’Europe et des États-Unis n’ont aucun intérêt au conflit. De manière abominable, le désastre et la souffrance sont envisagés par les élites gâtées prêtes à faire la guerre jusqu’au dernier homme, femme et enfant.

    Les masses populaires doivent s’opposer et réellement vaincre les fauteurs de guerre afin de trouver une manière meilleure et plus pacifique de gouverner les sociétés et les relations internationales.

    SOURCE : SIGNAUX INSENSÉS, UNE CONCLUSION... LES ÉTATS-UNIS ET LES PARTENAIRES DE L’OTAN INCITENT À LA GUERRE CONTRE LA RUSSIE
    Des signaux fous, une conclusion... Les États-Unis et leurs partenaires de l’OTAN lance une guerre contre la Russie Strategic-culture.org : Washington et ses alliés de l’OTAN mettent en danger la paix en Europe. Ils ont créé les conditions d’une guerre entre puissances nucléaires. Le président américain Joe Biden a déclaré la dernière semaine qu’il croyait que la Russie envahirait l’Ukraine. Il y a quelques jours à peine, Biden et ses conseillers principaux n’étaient pas sûrs, disant qu’ils ne savaient pas si cela se convenait. Si les membres les plus hauts lieux de l’exécutif américain ne peuvent pas s’entendre sur un courant de pensée cohérent, donc la conclusion est évidente qu’ils sont désemparés et que leurs revendications sont sans fondement. En bref : des mensonges. Malpractice, cette ignorance conduit à une guerre en Europe. Depuis près de deux mois, l’administration Biden, au sud des médias, a bombardé le public avec des informations selon lesquelles la Russie planifie une invasion de l’Ukraine. Ce n’est pas de l’ignorance innocente. C’est une incitation criminelle à la guerre et des crimes contre la paix. Toute cette propagande - parce que c’est de cela qu’il s’agit - est basée sur une mentalité toxique de la guerre froide, ainsi que sur la russophobie, des affirmations arrogantes dépourvues de substance et des données falsifiées. Des images satellites prétendant un renforcement militaire russe à la frontière ukrainienne se sont manifestées en fait des bases à des centaines de kilomètres sur le territoire russe. Comme à l’approche de la guerre d’agression anglo-américaine contre l’Irak en 2003, la perception publique de l’Occident est mise en scène pour générer une « approbation » pour une confrontation, cette fois avec la Russie. La technique du grand mensonge, inventée par le propagandiste nazi Joseph Goebbels et perfectionnée par les puissances impériales occidentales, est à nouveau utilisée. Moscou a nié à plusieurs reprises et catégoriquement les allégations d’un plan d’invasion, affirmant qu’elle n’avait pas l’intention d’attaquer une nation. La Russie a appelé les États occidentaux à ne plus propager cette folie monotone. Le simple soupçon de telles accusations révèle un préjugé anti-russe provocateur et une fomentation impitoyable de l’instabilité. Il est étonnant que Moscou doive dire que les troupes à l’intérieur de ses frontières territoriales sont une affaire souveraine, ne nécessitant aucune explication ou responsabilité envers un gouvernement étranger. Cette semaine, on dit que le « spectre de la guerre » grandit et que les pourparlers entre le secrétaire d’État américain Antony Blinken et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov à Genève vendredi seraient des « efforts de la dernière chance » de la diplomatie pour éviter le conflit. En fait, il y a une double accumulation ridicule et imprudente : à la fois des forces militaires et de la propagande pour la guerre. Cette accumulation est de la part des États-Unis et de ses alliés de l’OTAN, y compris le régime soutenu par l’Occident en Ukraine. Les États-Unis et le bloc de l’OTAN inondent l’Ukraine d’armes. L’administration Biden vient d’annoncer une aide militaire supplémentaire de 200 millions de dollars à Kiev, en plus des près de 3 milliards de dollars fournis depuis 2014, lorsque le coup d’État soutenu par la CIA en Ukraine a lancé un régime anti-russe en colère. La Grande-Bretagne et d’autres membres de l’OTAN, y compris les États baltes, envoient des missiles antichars et antiaériens et des conseillers militaires en Ukraine. Toutes ces armes encouragent le régime de Kiev à intensifier son offensive contre la population d’origine russe dans le sud-est de l’Ukraine. Les forces armées de Kiev refusent une solution politique à la guerre civile de près de huit ans qui a commencé peu après le coup d’État soutenu par la CIA. Il a été rapporté cette semaine que les forces ukrainiennes ont installé plusieurs lance-roquettes sur la ligne de contact dans la zone de conflit du Donbass dans ce qui serait la préparation d’une offensive majeure. La réalité est que les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN étendent le militarisme en Ukraine, ce qui constitue une menace directe pour la Russie. Étonnamment, cependant, cette réalité est renversée par des politiciens américains et européens qui ont accusé la Russie de planifier une invasion et de fomenter une agression. Le coup d’État de 2014 est rétrospectivement déguisé en Russie envahissant l’Ukraine et annexant la Crimée. Maintenant, on dit que la Russie envahira « à nouveau ». À cela s’ajoute la présomption mépriseuse du chef de la politique étrangère des États-Unis, Antony Blinken, qui se serait « engagé dans une diplomatie de navette pour empêcher la guerre ». La semaine dernière, la Russie a fait des propositions claires aux représentants des États-Unis et de l’OTAN sur la manière de mettre en œuvre les garanties de sécurité en Europe. Ces propositions comprenaient l’arrêt de l’expansion vers l’est du bloc de l’OTAN et le retrait des armes stratégiques américaines d’Europe de l’Est. L’initiative éminemment sensée de Moscou visant à améliorer la sécurité a été rejetée. Avant sa rencontre avec Lavrov à Genève, clignotant a déclaré qu’il ne fournirait pas de réponse écrite aux propositions russes. Néanmoins, la partie américaine parle « d’offrir à la Russie une alternative diplomatique au conflit ». Cela équivaut à une offre de paix à travers le canon d’une arme tendue. La vérité est que Washington et ses alliés de l’OTAN mettent en péril la paix en Europe. Ils créent les conditions d’une guerre entre puissances nucléaires. Il y a des échos inquiétants des guerres passées en Europe, lorsque l’Allemagne nazie a construit une machine de guerre sous le couvert cynique de la « défense ». Aujourd’hui, le bloc de l’OTAN dirigé par les États-Unis est un agresseur en Europe sous la bannière de la « défense » contre une prétendue invasion russe. Pas un seul politicien américain ou européen ne peut expliquer de manière crédible les raisons du renforcement militaire excessif et de l’agression contre la Russie. La pensée de groupe folle et l’illusion ont dominé la classe politique aux États-Unis et dans d’autres pays de l’OTAN. L’incohérence et la franche folie de leurs propos sont une menace pour la paix mondiale. Il ne fait aucun doute que les crises politiques et économiques internes qui s’approfondissent actuellement des puissances capitalistes occidentales alimentent un bellicisme impitoyable pour détourner l’attention de leurs échecs systématiques. La pandémie de coronavirus et le malaise social résultant d’échecs économiques historiques alimentent le militarisme des États occidentaux dans leurs politiques envers la Russie. L’establishment au pouvoir est incapable de résoudre rationnellement et démocratiquement les problèmes politiques. Pour ceux qui veulent voir et penser avec un esprit ouvert, ce qui se passe est évident. Historiquement, les États-Unis et leurs complices de l’OTAN sont les héritiers politiques du régime nazi soutenu par l’Occident, qui cherchait à détruire la Russie au nom de l’hégémonie impériale du capital occidental. Washington et ses laquais occidentaux doivent empêcher une normalisation des relations au sein de l’Europe qui permettrait au plus grand pays du continent, la Russie, de se développer pacifiquement avec ses voisins européens. Les États-Unis - la première puissance hégémonique occidentale - doivent empêcher à tout prix cette issue géopolitique. Dans le passé, l’Allemagne nazie et le fascisme ont été utilisés comme des matraques. Aujourd’hui, c’est l’expansionnisme de l’OTAN dans la « défense de la démocratie et de la paix ». Il semble que la guerre se profile et que les fauteurs de guerre trébuchent vers l’abîme. Comme par le passé, les peuples d’Europe et des États-Unis n’ont aucun intérêt au conflit. De manière abominable, le désastre et la souffrance sont envisagés par les élites gâtées prêtes à faire la guerre jusqu’au dernier homme, femme et enfant. Les masses populaires doivent s’opposer et réellement vaincre les fauteurs de guerre afin de trouver une manière meilleure et plus pacifique de gouverner les sociétés et les relations internationales. SOURCE : SIGNAUX INSENSÉS, UNE CONCLUSION... LES ÉTATS-UNIS ET LES PARTENAIRES DE L’OTAN INCITENT À LA GUERRE CONTRE LA RUSSIE
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  • Jeux olympiques d’hiver en Chine : boycott américain - « Qui boycotte réellement qui ? ».
    Par Peter Koenig : Il est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé sur l’eau et l’environnement dans le monde pendant plus de 30 ans. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des magazines en ligne et est l’auteur de Implosion - An Economic Thriller about War, Environmental Degradation and Corporate Greed et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico- Crise économique " (Clarity Press - 1er novembre 2020)

    Le président Biden, qui a tracé des « lignes rouges » contre la Russie et l’Ukraine lors d’une réunion virtuelle avec Vladimir Poutine, n’oublie pas l’importance du boycott des Jeux olympiques d’hiver en Chine.

    Il s’agit simplement d’un boycott diplomatique, selon Mme Jen Psaki, attachée de presse de la Maison Blanche. Néanmoins, elle et Biden souhaitent bonne chance aux participants américains et les soutiendront. C’est-à-dire, dés-ils. Les athlètes américains sont autorisés à participer aux jeux. C’est la diplomatie américaine qui est freiné. C’est une hypocrisie que seul Washington - et peut-être Bruxelles en tant que siège de l’UE et de l’OTAN - peut rassembler. Maintenant, l’Australie a également rejoint le club infâme.

    Espèrent-ils durablement que le reste du monde suivra leur exemple parce qu’ils veulent être « avec » les États-Unis et ne pas être perçu comme « contre » le grand empire ?

    Peut-être que certains seront en effet des imitateurs. La peur est le nom du jeu, que ce soit pour Covid ou des sanctions politiques. L’humanité occidentale tremble de peur. Tellement de peur que le processus de pensée a littéralement cessé de fonctionner par logique, même avec les tyrans eux-mêmes.

    Mme Psaki a expliqué le boycott en réponse aux « violations des droits humains de Pékin » et a ajouté ce qu’elle appelle « le génocide et les crimes contre l’humanité ». Elle faisait bien sûr référence à la région autonome ouïghoure du Xinjiang (XUAR), une région autonome de la République populaire de Chine (RPC), qui est la plus grande région de Chine en termes de superficie et est située au nord-ouest de le pays proche de l’Asie centrale.

    Il est fort possible que l’attachée de presse ne sache pas de quoi elle parle, mais se contente de répéter la présentation habituelle.

    Il y a un certain nombre d’accusations standard portées contre la Chine sur une base régulière, sans aucune substance. C’est l’un d’eux. Voir « Le Xinjiang dans mes yeux » : Exposer les mensonges et la propagande anti-chinoise centrée dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang en Chine.

    Autant dire que la région du Xinjiang est une plaque tournante de la célèbre initiative chinoise de la Ceinture et de la Route (BRI), qui relie la Chine à l’Europe et à l’océan Indien via l’Asie centrale.

    Washington considère la Chine et la BRI en particulier comme une menace économique pour sa prétendue suprématie et fait tout ce qui est en son pouvoir pour vilipender la Chine et en particulier la région du Xinjiang, où environ 12 millions de Ouïghours sur une population totale de 26 millions de Ouïghours sont majoritairement musulmans.

    Ce que Washington ne dit pas, c’est que la CIA et d’autres agences de renseignement américaines recrutent, entraînent et envoient des musulmans ouïghours au Moyen-Orient pour combattre le jihad, principalement en Syrie mais aussi en Irak. À leur retour, ils seront entraînés à semer le chaos et l’instabilité au Xinjiang. Le gouvernement chinois les remodèle afin qu’ils puissent être réintégrés dans la société ouïghoure de la région du Xinjiang.
    Jeux olympiques d’hiver en Chine : boycott américain - « Qui boycotte réellement qui ? ». Par Peter Koenig : Il est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé sur l’eau et l’environnement dans le monde pendant plus de 30 ans. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des magazines en ligne et est l’auteur de Implosion - An Economic Thriller about War, Environmental Degradation and Corporate Greed et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico- Crise économique " (Clarity Press - 1er novembre 2020) Le président Biden, qui a tracé des « lignes rouges » contre la Russie et l’Ukraine lors d’une réunion virtuelle avec Vladimir Poutine, n’oublie pas l’importance du boycott des Jeux olympiques d’hiver en Chine. Il s’agit simplement d’un boycott diplomatique, selon Mme Jen Psaki, attachée de presse de la Maison Blanche. Néanmoins, elle et Biden souhaitent bonne chance aux participants américains et les soutiendront. C’est-à-dire, dés-ils. Les athlètes américains sont autorisés à participer aux jeux. C’est la diplomatie américaine qui est freiné. C’est une hypocrisie que seul Washington - et peut-être Bruxelles en tant que siège de l’UE et de l’OTAN - peut rassembler. Maintenant, l’Australie a également rejoint le club infâme. Espèrent-ils durablement que le reste du monde suivra leur exemple parce qu’ils veulent être « avec » les États-Unis et ne pas être perçu comme « contre » le grand empire ? Peut-être que certains seront en effet des imitateurs. La peur est le nom du jeu, que ce soit pour Covid ou des sanctions politiques. L’humanité occidentale tremble de peur. Tellement de peur que le processus de pensée a littéralement cessé de fonctionner par logique, même avec les tyrans eux-mêmes. Mme Psaki a expliqué le boycott en réponse aux « violations des droits humains de Pékin » et a ajouté ce qu’elle appelle « le génocide et les crimes contre l’humanité ». Elle faisait bien sûr référence à la région autonome ouïghoure du Xinjiang (XUAR), une région autonome de la République populaire de Chine (RPC), qui est la plus grande région de Chine en termes de superficie et est située au nord-ouest de le pays proche de l’Asie centrale. Il est fort possible que l’attachée de presse ne sache pas de quoi elle parle, mais se contente de répéter la présentation habituelle. Il y a un certain nombre d’accusations standard portées contre la Chine sur une base régulière, sans aucune substance. C’est l’un d’eux. Voir « Le Xinjiang dans mes yeux » : Exposer les mensonges et la propagande anti-chinoise centrée dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang en Chine. Autant dire que la région du Xinjiang est une plaque tournante de la célèbre initiative chinoise de la Ceinture et de la Route (BRI), qui relie la Chine à l’Europe et à l’océan Indien via l’Asie centrale. Washington considère la Chine et la BRI en particulier comme une menace économique pour sa prétendue suprématie et fait tout ce qui est en son pouvoir pour vilipender la Chine et en particulier la région du Xinjiang, où environ 12 millions de Ouïghours sur une population totale de 26 millions de Ouïghours sont majoritairement musulmans. Ce que Washington ne dit pas, c’est que la CIA et d’autres agences de renseignement américaines recrutent, entraînent et envoient des musulmans ouïghours au Moyen-Orient pour combattre le jihad, principalement en Syrie mais aussi en Irak. À leur retour, ils seront entraînés à semer le chaos et l’instabilité au Xinjiang. Le gouvernement chinois les remodèle afin qu’ils puissent être réintégrés dans la société ouïghoure de la région du Xinjiang.
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  • La loi qui donne au président USA licence de tuer
    Le 18 septembre 2001, une semaine après le 11 Septembre, le Congrès des États-Unis approuve avec un vote bi-partisan unanime la Loi Publique 107-40 qui stipule : “Le Président est autorisé à utiliser toute la force nécessaire et appropriée contre les nations, organisations ou personnes dont il considère qu’ils ont planifié, autorisé, commis ou aidé les attaques terroristes survenues le 11 septembre 2001, ou a donné refuge à ces organisations ou personnes, dans le but de prévenir tout futur acte de terrorisme international contre les États-Unis de la part de ces nations organisations ou personnes”. La loi, qui conférait au président républicain George W. Bush les pleins pouvoirs de guerre, avait été rédigée par le sénateur démocrate Joe Biden, président de la Commission pour les relations extérieures.(Voir le pdf en anglais)

    Le président Bush se trouvait ainsi autorisé par le Congrès, au nom de la “guerre à la terreur”, à utiliser la force militaire non seulement contre des organisations ou personnes mais des nations entières, dont la culpabilité était décrétée par le président même, qui émettait la sentence sans procès ni possibilité d’appel et en ordonnait l’immédiate exécution au moyen de la guerre. Les seuls qui depuis longtemps demandent l’effacement de cette loi sont deux sénateurs, le démocrate Kaine et le républicain Young, mais leur tentative n’a jusqu’à présent pas abouti. La loi du 18 septembre 2001, toujours en vigueur, a été utilisée, après le président républicain Bush, par le démocrate Obama, par le républicain Trump et par le démocrate Biden (ex- vice président de l’Administration Obama). On calcule qu’elle a déjà été utilisée pour “légitimer”, pendant les vingt dernières années, des opérations militaires effectuées par les forces armées étasuniennes, sur ordre présidentiel, dans 19 pays du monde, parmi lesquels Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, Yemen, Tunisie, Kenya, Mali, Nigeria, Somalie, Cameroun et Niger

    Trois semaines après l’adoption de la loi, le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Afghanistan, officiellement pour donner la chasse à Ben Laden protégé par les talibans ; trois mois après, il ordonnait l’ouverture du camp de détention de Guantanamo, où étaient secrètement déportés et torturés de présumés terroristes de différents parties du monde ; un an et demi plus tard -sollicité par une résolution bi-partisan de 77 sénateurs, menée par Joe Biden- le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Irak sous l’accusation (qui s’est ensuite révélée fausse) qu’il possédait des armes de destruction de masse. L’ordre était d’avoir un poing de fer pour écraser la résistance : confirmation en était donnée par les images des tortures dans la prison d’Abu Ghraib, mises à jour en 2004.

    Toujours sur la base de la loi de 2001 qui l’autorisait à “utiliser toute la force nécessaire et appropriée””, le président Obama, dix ans après, autorisait la CIA à mener des actions secrètes en Libye pour préparer la guerre OTAN qui allait démolir l’État libyen. Selon le même procédure “légale” -documentait le New York Times (29 mai 2012)- pendant l’Administration Obama fut instituée la “kill list”, mise à jour hebdomadairement, comprenant des personnes du monde entier condamnées secrètement à mort sous l’accusation de terrorisme, lesquelles, après l’approbation du Président, étaient éliminées généralement avec des drones-killer. La même procédure était suivie en janvier 2020 par le président Trump, qui ordonnait l’élimination du général iranien Soleimani, tué par un drone USA à l’aéroport de Baghdad. Des attaques analogues de drones USA ont été “légalement” autorisées en Afghanistan, Irak, Libye, Pakistan, Somalie, Syrie et Yemen.

    La plus récente attaque d’un drone-killer est celle qui, sur la base de l’autorisation du président Biden, a frappé le 29 août à Kaboul une voiture suspectée de transporter une bombe de l’Isis. Une enquête du New York Times (10 septembre) a pu vérifier que la voiture (suivie longtemps par le pilote du drone, à des milliers de km de distance) ne transportait pas des explosifs mais des réservoirs d’eau. Contre cette voiture, dans un quartier densément habité, a été lancé un missile “Feu de l’enfer”, qui a tué dix civils, dont sept enfants.

    Manlio Dinucci

    La loi qui donne au président USA licence de tuer Le 18 septembre 2001, une semaine après le 11 Septembre, le Congrès des États-Unis approuve avec un vote bi-partisan unanime la Loi Publique 107-40 qui stipule : “Le Président est autorisé à utiliser toute la force nécessaire et appropriée contre les nations, organisations ou personnes dont il considère qu’ils ont planifié, autorisé, commis ou aidé les attaques terroristes survenues le 11 septembre 2001, ou a donné refuge à ces organisations ou personnes, dans le but de prévenir tout futur acte de terrorisme international contre les États-Unis de la part de ces nations organisations ou personnes”. La loi, qui conférait au président républicain George W. Bush les pleins pouvoirs de guerre, avait été rédigée par le sénateur démocrate Joe Biden, président de la Commission pour les relations extérieures.(Voir le pdf en anglais) Le président Bush se trouvait ainsi autorisé par le Congrès, au nom de la “guerre à la terreur”, à utiliser la force militaire non seulement contre des organisations ou personnes mais des nations entières, dont la culpabilité était décrétée par le président même, qui émettait la sentence sans procès ni possibilité d’appel et en ordonnait l’immédiate exécution au moyen de la guerre. Les seuls qui depuis longtemps demandent l’effacement de cette loi sont deux sénateurs, le démocrate Kaine et le républicain Young, mais leur tentative n’a jusqu’à présent pas abouti. La loi du 18 septembre 2001, toujours en vigueur, a été utilisée, après le président républicain Bush, par le démocrate Obama, par le républicain Trump et par le démocrate Biden (ex- vice président de l’Administration Obama). On calcule qu’elle a déjà été utilisée pour “légitimer”, pendant les vingt dernières années, des opérations militaires effectuées par les forces armées étasuniennes, sur ordre présidentiel, dans 19 pays du monde, parmi lesquels Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, Yemen, Tunisie, Kenya, Mali, Nigeria, Somalie, Cameroun et Niger Trois semaines après l’adoption de la loi, le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Afghanistan, officiellement pour donner la chasse à Ben Laden protégé par les talibans ; trois mois après, il ordonnait l’ouverture du camp de détention de Guantanamo, où étaient secrètement déportés et torturés de présumés terroristes de différents parties du monde ; un an et demi plus tard -sollicité par une résolution bi-partisan de 77 sénateurs, menée par Joe Biden- le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Irak sous l’accusation (qui s’est ensuite révélée fausse) qu’il possédait des armes de destruction de masse. L’ordre était d’avoir un poing de fer pour écraser la résistance : confirmation en était donnée par les images des tortures dans la prison d’Abu Ghraib, mises à jour en 2004. Toujours sur la base de la loi de 2001 qui l’autorisait à “utiliser toute la force nécessaire et appropriée””, le président Obama, dix ans après, autorisait la CIA à mener des actions secrètes en Libye pour préparer la guerre OTAN qui allait démolir l’État libyen. Selon le même procédure “légale” -documentait le New York Times (29 mai 2012)- pendant l’Administration Obama fut instituée la “kill list”, mise à jour hebdomadairement, comprenant des personnes du monde entier condamnées secrètement à mort sous l’accusation de terrorisme, lesquelles, après l’approbation du Président, étaient éliminées généralement avec des drones-killer. La même procédure était suivie en janvier 2020 par le président Trump, qui ordonnait l’élimination du général iranien Soleimani, tué par un drone USA à l’aéroport de Baghdad. Des attaques analogues de drones USA ont été “légalement” autorisées en Afghanistan, Irak, Libye, Pakistan, Somalie, Syrie et Yemen. La plus récente attaque d’un drone-killer est celle qui, sur la base de l’autorisation du président Biden, a frappé le 29 août à Kaboul une voiture suspectée de transporter une bombe de l’Isis. Une enquête du New York Times (10 septembre) a pu vérifier que la voiture (suivie longtemps par le pilote du drone, à des milliers de km de distance) ne transportait pas des explosifs mais des réservoirs d’eau. Contre cette voiture, dans un quartier densément habité, a été lancé un missile “Feu de l’enfer”, qui a tué dix civils, dont sept enfants. Manlio Dinucci
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