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  • Selon des témoins oculaires, les chiens de police qui grignotaient les membres des manifestants ont littéralement « déchiré » les citoyens mécontents de la politique du pays. Les forces de l'ordre ont frappé avec des bâtons de frappe les manifestants qui sont tombés au sol ! Comment accepter cela de Forces de l'Ordre !!! INADMISSIBLE !!!
    Selon des témoins oculaires, les chiens de police qui grignotaient les membres des manifestants ont littéralement « déchiré » les citoyens mécontents de la politique du pays. Les forces de l'ordre ont frappé avec des bâtons de frappe les manifestants qui sont tombés au sol ! Comment accepter cela de Forces de l'Ordre !!! INADMISSIBLE !!!
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  • La secte du sang – 27 victimes, 27 témoins (de Loïs Sasek)
    La secte du sang – 27 victimes, 27 témoins (de Loïs Sasek)
    T.ME
    Valérie Bugault officiel
    La secte du sang – 27 victimes, 27 témoins (de Loïs Sasek) ✓www.kla.tv/24016 Halloween trouve son origine dans la fête de Samhain, au cours de laquelle des êtres humains étaient sacrifiés. Les sacrifices humains existent-ils encore aujourd'hui ? 27 victimes et 27 témoins du monde entier répondent par l'affirmative et font des déclarations effrayantes sur une "secte sanguinaire cruelle". Leurs déclarations coïncident avec des centaines d'autres victimes et de témoignages qui attestent tous indépendamment de la même chose. Attachez votre ceinture et confrontez-vous à ces déclarations. Diffusez cette émission. Plus sur ce thème : #Pornographie #Satanisme #Halloween-fr ? @KlaTV_FR - Suivez-nous sur Telegram ➡️ www.kla.tv/abo-fr - Abonnez-vous à notre newsletter
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  • La secte du sang – 27 victimes, 27 témoins (de Loïs Sasek)

    ✓www.kla.tv/24016

    Halloween trouve son origine dans la fête de Samhain, au cours de laquelle des êtres humains étaient sacrifiés. Les sacrifices humains existent-ils encore aujourd'hui ? 27 victimes et 27 témoins du monde entier répondent par l'affirmative et font des déclarations effrayantes sur une "secte sanguinaire cruelle". Leurs déclarations coïncident avec des centaines d'autres victimes et de témoignages qui attestent tous indépendamment de la même chose. Attachez votre ceinture et confrontez-vous à ces déclarations. Diffusez cette émission.

    Plus sur ce thème : #Pornographie #Satanisme #Halloween-fr

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    La secte du sang – 27 victimes, 27 témoins (de Loïs Sasek) ✓www.kla.tv/24016 Halloween trouve son origine dans la fête de Samhain, au cours de laquelle des êtres humains étaient sacrifiés. Les sacrifices humains existent-ils encore aujourd'hui ? 27 victimes et 27 témoins du monde entier répondent par l'affirmative et font des déclarations effrayantes sur une "secte sanguinaire cruelle". Leurs déclarations coïncident avec des centaines d'autres victimes et de témoignages qui attestent tous indépendamment de la même chose. Attachez votre ceinture et confrontez-vous à ces déclarations. Diffusez cette émission. Plus sur ce thème : #Pornographie #Satanisme #Halloween-fr ? @KlaTV_FR - Suivez-nous sur Telegram ➡️ www.kla.tv/abo-fr - Abonnez-vous à notre newsletter
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  • INTERVIEW. "99 cas de 'soucoupe volante' restent inexpliqués malgré nos enquêtes"

    sam. 30 juillet 2022 à 2:00 PM

    Thomas Baron / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP
    À Toulouse, le Geipan étudie chaque année près de 700 signalements de phénomènes aérospatiaux non identifiés, précise son directeur. La plupart avec succès… Mais certains résistent à l'analyse.

    Cet article est issu du magazine Les Indispensables de Sciences et Avenir n°210 daté juillet/ septembre 2022.

    Vincent Costes est directeur du Groupe d'étude et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Geipan).

    Sciences et Avenir : Voit-on encore beaucoup de soucoupes volantes de nos jours ?

    Vincent Costes : Au Geipan, le groupe du Centre national d'études spatiales (Cnes) chargé depuis 1977 d'étudier les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Pan), nous recevons environ 700 signalements par an, dont 500 sont traités par échanges de mails avec le témoin car leur explication est simple. En complément, nous ouvrons 150 à 200 enquêtes par an. Nous traitons tout témoignage de "soucoupe volante" ! Mais nous n'utilisons pas ce terme ou ceux de "petits hommes verts" ou "ovnis", même s'ils ne sont pas tabous. Notre mission est d'expliquer de façon rationnelle toutes les étrangetés vues, perçues ou vécues.

    Qui sont les témoins, et quelles sont les explications courantes des phénomènes qu'ils observent ?

    Ce sont Monsieur ou Madame Tout-le-Monde, confronté(e) à une observation insolite, inattendue, qu'il ou elle ne peut s'expliquer clairement. C'est ce manque d'explication qui crée l'étrangeté. L'émotion peut s'inviter, la mémoire jouer des tours... Et la croyance aux extraterrestres rend parfois le témoignage complexe à analyser.
    INTERVIEW. "99 cas de 'soucoupe volante' restent inexpliqués malgré nos enquêtes" sam. 30 juillet 2022 à 2:00 PM Thomas Baron / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP À Toulouse, le Geipan étudie chaque année près de 700 signalements de phénomènes aérospatiaux non identifiés, précise son directeur. La plupart avec succès… Mais certains résistent à l'analyse. Cet article est issu du magazine Les Indispensables de Sciences et Avenir n°210 daté juillet/ septembre 2022. Vincent Costes est directeur du Groupe d'étude et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Geipan). Sciences et Avenir : Voit-on encore beaucoup de soucoupes volantes de nos jours ? Vincent Costes : Au Geipan, le groupe du Centre national d'études spatiales (Cnes) chargé depuis 1977 d'étudier les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Pan), nous recevons environ 700 signalements par an, dont 500 sont traités par échanges de mails avec le témoin car leur explication est simple. En complément, nous ouvrons 150 à 200 enquêtes par an. Nous traitons tout témoignage de "soucoupe volante" ! Mais nous n'utilisons pas ce terme ou ceux de "petits hommes verts" ou "ovnis", même s'ils ne sont pas tabous. Notre mission est d'expliquer de façon rationnelle toutes les étrangetés vues, perçues ou vécues. Qui sont les témoins, et quelles sont les explications courantes des phénomènes qu'ils observent ? Ce sont Monsieur ou Madame Tout-le-Monde, confronté(e) à une observation insolite, inattendue, qu'il ou elle ne peut s'expliquer clairement. C'est ce manque d'explication qui crée l'étrangeté. L'émotion peut s'inviter, la mémoire jouer des tours... Et la croyance aux extraterrestres rend parfois le témoignage complexe à analyser.
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  • DÉCOUVERTE EN ASIE EN 1944 UN DRAGON NOIR
    Cet incident de chute de dragon a eu lieu dans le village de Chenjiaweizi sur la rive sud de la rivière Songhua en 1944. Après la propagation de l'incident, de nombreuses personnes sont venues regarder. Les habitants ont dit que c'était un dragon noir. L'un des témoins, Ren Dianyuan, l'a décrit.

    Le dragon fait douze mètres de long. Il gisait sur la plage à l'époque. Sa tête était comme un bœuf, sa bouche était comme un poisson-chat, il avait une barbe et il avait une corne de chaque côté de sa tête. Il n'avait pas de fourches et avait quatre griffes en dessous. Impossible de confirmer la dernière photo malheureusement. L'histoire est fascinante. Qu'est-ce que tu penses?
    DÉCOUVERTE EN ASIE EN 1944 UN DRAGON NOIR Cet incident de chute de dragon a eu lieu dans le village de Chenjiaweizi sur la rive sud de la rivière Songhua en 1944. Après la propagation de l'incident, de nombreuses personnes sont venues regarder. Les habitants ont dit que c'était un dragon noir. L'un des témoins, Ren Dianyuan, l'a décrit. Le dragon fait douze mètres de long. Il gisait sur la plage à l'époque. Sa tête était comme un bœuf, sa bouche était comme un poisson-chat, il avait une barbe et il avait une corne de chaque côté de sa tête. Il n'avait pas de fourches et avait quatre griffes en dessous. Impossible de confirmer la dernière photo malheureusement. L'histoire est fascinante. Qu'est-ce que tu penses?
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  • Rapport Condon

    Le rapport Condon est le nom usuel du rapport du projet OVNI de l’université du Colorado. Ce projet a étudié les Objets Volants Non Identifiés de 1966 à 1968 sous la direction du physicien Edward Condon et a rendu son rapport en 1968. Il a été initié à la demande de l’US Air Force.

    Travaux:

    Après examen de plusieurs centaines de dossiers du Projet Blue Book et de certains groupes civils sur la recherche d’OVNI, le comité en a sélectionné 56 pour une analyse détaillée afin, d’une part, de déterminer si « l’analyse de nouvelles observations peut permettre d’augmenter les connaissances scientifiques utiles pour l’US air force » et, d’autre part, « de tirer des rapports sur les OVNI toute contribution pouvant être considérée comme un accroissement des connaissances scientifiques. ».

    Le rapport final, officiellement titré L’étude scientifique des Objets Volants Non Identifiés mais plus connu sous le nom de rapport Condon a été publié en 1968. Il a conclu « que l’étude des OVNI durant ces vingt et une dernières années n’a rien apporté à la connaissance scientifique [et] que d’autres études approfondies des OVNI ne peuvent probablement pas se justifier par l’espoir qu’elles pourraient faire progresser la science »et que certains scientifiques n’accepteraient pas sans sourciller la conclusion que l’étude des rapports OVNI n’est pas à même de faire avancer la science. En particulier le comité a conclu à des lacunes dans les domaines de l’optique atmosphérique, de la propagation d’ondes radio et d’électricité atmosphérique qui pourraient bénéficier des travaux effectués par le comité Condon. Ils concluent, d’autre part, que l’étude des 56 cas n’a pas apporté de preuves sur la réalité des ovnis ou sur l’hypothèse extraterrestre

    Le rapport a été relu par un panel de l’Académie des Sciences des États-Unis qui l’a validé, ainsi que ses conclusions et ses recommandations. Le rapport Condon reste donc encore aujourd’hui un document fondateur de l’approche sceptique du phénomène ovni. Il faut toutefois remarquer que l’Académie des Sciences ne s’était nullement intéressée aux ovnis et que sa consultation était une initiative de l’armée de l’air qui tenta ainsi de cacher les lacunes de ce travail. Les responsables de la censure de l’USAF craignaient en effet les conséquences d’un symposium devant réunir les scientifiques opposés à la thèse de Condon, symposium au cours duquel le travail de l’Université du Colorado aurait été vivement critiqué. En définitive, le rapport Condon n’a de valeur que pour ceux qui n’ont jamais analysé le travail effectué et la méthodologie mise en œuvre. Cette étude scientifique publique était la plus chère (500 000 dollars) consacrée à un sujet de ce type.

    Le contexte:

    Après les différentes commissions chargées de cette étude, l’U.S. Air Force fait savoir que rien ne permet de croire à l’existence d’une menace pour la sécurité des États-unis. Par menace, on entend d’hypothétiques vaisseaux extra-terrestres ou une arme secrète soviétique. Certains soupçonnèrent les officiels de cacher la vérité. Le président Truman démentit de telles hypothèses développées dans les médias. Pour certains, son intervention était la preuve d’une « conspiration du silence »; pour d’autres, elle ne fit qu’encourager le développement de thèses paranoïaques. Ce fut alors que les militaires se débarrassèrent du problème en le confiant à un organisme universitaire, ayant l’image de neutralité pour le public américain.

    Les principaux résultats de l’équipe Condon

    Analyse de la photo de McMinnville:

    Cette autorité scientifique a par exemple conclu, à propos de la photographie prise à McMinnville (11 mai 1950, Oregon), que « tous les facteurs étudiés, géométriques, psychologiques et physiques paraissent être cohérents avec l’assertion d’un objet volant extraordinaire, argenté, métallique, en forme de disque, de dizaines de mètres de diamètre, et évidemment artificiel, qui volait à portée de vue des deux témoins. On ne peut dire que les éléments excluent catégoriquement une fabrication, bien qu’il y ait des facteurs physiques tels que la précision de certaines mesures photométriques des négatifs d’origine qui arguent contre une fabrication.»

    Une étude chahutée

    La réaction négative des partisans des ovnis:

    Alors que quatre-vingt-dix-sept pour cent des observations avaient été expliquées par le projet blue book, les conclusions scientifiques identiques formulées par le rapport Condon ne plurent pas aux partisans de la thèse extraterrestre, lesquels, au lieu d’apporter des preuves scientifiques, recherchèrent la possibilité d’un biais et déclenchèrent la polémique axée sur la forme plutôt que le fond.

    Le psychologue David Saunders divulgue une note interne de l’administrateur de la commission, Robert Low, de 1966, précisant « Notre étude sera conduite exclusivement par des personnes qui n’y croient pas et qui, bien qu’elles ne pourront probablement pas prouver un résultat négatif, pourront fournir un ensemble impressionnant de preuves qu’il n’y a aucune réalité dans les observations. Le truc serait, je le pense, de présenter le projet de telle manière que pour le public, il apparaisse comme une étude tout à fait objective alors que, pour la communauté scientifique, il présenterait l’image d’un groupe de sceptiques faisant de leur mieux pour être objectifs mais avec un espoir pratiquement nul de trouver une soucoupe ». Cette note sortira dans la presse en avril 1968 et mènera à une polémique sur l’objectivité du rapport.

    Le magazine Look publie en mai 1968 un article virulent contre Condon et l’armée de l’air, et Frank Drake presse le président de l’Académie des sciences de condamner le futur rapport Condon, tandis que le député Edward Roush demande une enquête à la Chambre des représentants. L’Académie des sciences valide l’étude scientifique mais l’Institut américain de l’aéronautique et de l’astronautique (AIAA) estime que « la conclusion inverse aurait pu être déduite de son contenu, c’est-à-dire qu’un phénomène avec un ratio aussi élevé de cas inexpliqués (environ 15 %) devrait produire assez de curiosité scientifique pour continuer son étude ». À l’examen des courriers entre Robert Low et l’U.S.Air Force en vue de la signature du contrat les liant, apparaît le mot trick , mot signifiant aussi bien « astuce » que « fraude ou procédé malhonnête ».

    La négociation du contrat entre l’université du Colorado et le gouvernement américain:

    Craignant de se faire ridiculiser par la communauté scientifique (les histoires de soucoupes et de Martiens n’avaient pas bonne presse à l’époque) , Robert Low et Edward U.Condon négocièrent le contrat de manière à trouver une formulation assez habile pour que leur objectivité ne soit pas mise en doute et qu’ils ne soient pas la risée du monde universitaire.

    James Mac Donald reçut copie de ces documents, par l’intermédiaire de David Saunders et Levine, et fit une campagne de presse en interprétant le mot « trick » , l’astuce de formulation visant à éviter de ridiculiser des scientifiques, comme une fraude ou procédé malhonnête.

    Le précédent de la commission Warren, où l’on suspecte les commanditaires de l’assassinat de John Kennedy d’avoir voulu étouffer l’affaire, a laissé penser certains que d’autres commissions auraient pu avoir été truquées mais là pour des raisons moins évidentes.

    Les partisans des ovnis avancèrent l’idée, c’est la théorie du complot, que le gouvernement américain collaborait avec les extra-terrestres dans des bases secrètes afin de confectionner des engins nouveaux et des armes nouvelles.

    Source: Wikipedia
    Rapport Condon Le rapport Condon est le nom usuel du rapport du projet OVNI de l’université du Colorado. Ce projet a étudié les Objets Volants Non Identifiés de 1966 à 1968 sous la direction du physicien Edward Condon et a rendu son rapport en 1968. Il a été initié à la demande de l’US Air Force. Travaux: Après examen de plusieurs centaines de dossiers du Projet Blue Book et de certains groupes civils sur la recherche d’OVNI, le comité en a sélectionné 56 pour une analyse détaillée afin, d’une part, de déterminer si « l’analyse de nouvelles observations peut permettre d’augmenter les connaissances scientifiques utiles pour l’US air force » et, d’autre part, « de tirer des rapports sur les OVNI toute contribution pouvant être considérée comme un accroissement des connaissances scientifiques. ». Le rapport final, officiellement titré L’étude scientifique des Objets Volants Non Identifiés mais plus connu sous le nom de rapport Condon a été publié en 1968. Il a conclu « que l’étude des OVNI durant ces vingt et une dernières années n’a rien apporté à la connaissance scientifique [et] que d’autres études approfondies des OVNI ne peuvent probablement pas se justifier par l’espoir qu’elles pourraient faire progresser la science »et que certains scientifiques n’accepteraient pas sans sourciller la conclusion que l’étude des rapports OVNI n’est pas à même de faire avancer la science. En particulier le comité a conclu à des lacunes dans les domaines de l’optique atmosphérique, de la propagation d’ondes radio et d’électricité atmosphérique qui pourraient bénéficier des travaux effectués par le comité Condon. Ils concluent, d’autre part, que l’étude des 56 cas n’a pas apporté de preuves sur la réalité des ovnis ou sur l’hypothèse extraterrestre Le rapport a été relu par un panel de l’Académie des Sciences des États-Unis qui l’a validé, ainsi que ses conclusions et ses recommandations. Le rapport Condon reste donc encore aujourd’hui un document fondateur de l’approche sceptique du phénomène ovni. Il faut toutefois remarquer que l’Académie des Sciences ne s’était nullement intéressée aux ovnis et que sa consultation était une initiative de l’armée de l’air qui tenta ainsi de cacher les lacunes de ce travail. Les responsables de la censure de l’USAF craignaient en effet les conséquences d’un symposium devant réunir les scientifiques opposés à la thèse de Condon, symposium au cours duquel le travail de l’Université du Colorado aurait été vivement critiqué. En définitive, le rapport Condon n’a de valeur que pour ceux qui n’ont jamais analysé le travail effectué et la méthodologie mise en œuvre. Cette étude scientifique publique était la plus chère (500 000 dollars) consacrée à un sujet de ce type. Le contexte: Après les différentes commissions chargées de cette étude, l’U.S. Air Force fait savoir que rien ne permet de croire à l’existence d’une menace pour la sécurité des États-unis. Par menace, on entend d’hypothétiques vaisseaux extra-terrestres ou une arme secrète soviétique. Certains soupçonnèrent les officiels de cacher la vérité. Le président Truman démentit de telles hypothèses développées dans les médias. Pour certains, son intervention était la preuve d’une « conspiration du silence »; pour d’autres, elle ne fit qu’encourager le développement de thèses paranoïaques. Ce fut alors que les militaires se débarrassèrent du problème en le confiant à un organisme universitaire, ayant l’image de neutralité pour le public américain. Les principaux résultats de l’équipe Condon Analyse de la photo de McMinnville: Cette autorité scientifique a par exemple conclu, à propos de la photographie prise à McMinnville (11 mai 1950, Oregon), que « tous les facteurs étudiés, géométriques, psychologiques et physiques paraissent être cohérents avec l’assertion d’un objet volant extraordinaire, argenté, métallique, en forme de disque, de dizaines de mètres de diamètre, et évidemment artificiel, qui volait à portée de vue des deux témoins. On ne peut dire que les éléments excluent catégoriquement une fabrication, bien qu’il y ait des facteurs physiques tels que la précision de certaines mesures photométriques des négatifs d’origine qui arguent contre une fabrication.» Une étude chahutée La réaction négative des partisans des ovnis: Alors que quatre-vingt-dix-sept pour cent des observations avaient été expliquées par le projet blue book, les conclusions scientifiques identiques formulées par le rapport Condon ne plurent pas aux partisans de la thèse extraterrestre, lesquels, au lieu d’apporter des preuves scientifiques, recherchèrent la possibilité d’un biais et déclenchèrent la polémique axée sur la forme plutôt que le fond. Le psychologue David Saunders divulgue une note interne de l’administrateur de la commission, Robert Low, de 1966, précisant « Notre étude sera conduite exclusivement par des personnes qui n’y croient pas et qui, bien qu’elles ne pourront probablement pas prouver un résultat négatif, pourront fournir un ensemble impressionnant de preuves qu’il n’y a aucune réalité dans les observations. Le truc serait, je le pense, de présenter le projet de telle manière que pour le public, il apparaisse comme une étude tout à fait objective alors que, pour la communauté scientifique, il présenterait l’image d’un groupe de sceptiques faisant de leur mieux pour être objectifs mais avec un espoir pratiquement nul de trouver une soucoupe ». Cette note sortira dans la presse en avril 1968 et mènera à une polémique sur l’objectivité du rapport. Le magazine Look publie en mai 1968 un article virulent contre Condon et l’armée de l’air, et Frank Drake presse le président de l’Académie des sciences de condamner le futur rapport Condon, tandis que le député Edward Roush demande une enquête à la Chambre des représentants. L’Académie des sciences valide l’étude scientifique mais l’Institut américain de l’aéronautique et de l’astronautique (AIAA) estime que « la conclusion inverse aurait pu être déduite de son contenu, c’est-à-dire qu’un phénomène avec un ratio aussi élevé de cas inexpliqués (environ 15 %) devrait produire assez de curiosité scientifique pour continuer son étude ». À l’examen des courriers entre Robert Low et l’U.S.Air Force en vue de la signature du contrat les liant, apparaît le mot trick , mot signifiant aussi bien « astuce » que « fraude ou procédé malhonnête ». La négociation du contrat entre l’université du Colorado et le gouvernement américain: Craignant de se faire ridiculiser par la communauté scientifique (les histoires de soucoupes et de Martiens n’avaient pas bonne presse à l’époque) , Robert Low et Edward U.Condon négocièrent le contrat de manière à trouver une formulation assez habile pour que leur objectivité ne soit pas mise en doute et qu’ils ne soient pas la risée du monde universitaire. James Mac Donald reçut copie de ces documents, par l’intermédiaire de David Saunders et Levine, et fit une campagne de presse en interprétant le mot « trick » , l’astuce de formulation visant à éviter de ridiculiser des scientifiques, comme une fraude ou procédé malhonnête. Le précédent de la commission Warren, où l’on suspecte les commanditaires de l’assassinat de John Kennedy d’avoir voulu étouffer l’affaire, a laissé penser certains que d’autres commissions auraient pu avoir été truquées mais là pour des raisons moins évidentes. Les partisans des ovnis avancèrent l’idée, c’est la théorie du complot, que le gouvernement américain collaborait avec les extra-terrestres dans des bases secrètes afin de confectionner des engins nouveaux et des armes nouvelles. Source: Wikipedia
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  • Projet Blue Book
    Le projet Blue Book est une commission mise en place par l’US Air Force, afin d’étudier et d’enquêter sur le phénomène OVNI. Cette commission fut créée en 1952 et resta en activité jusqu’en 1969.

    Historique:

    Les premières observations d’ovnis qui suivirent la fin de la Seconde Guerre mondiale (notamment la célèbre histoire de Kenneth Arnold) mirent rapidement l’armée américaine en alerte. Dès 1947, l’US Air Force lança le projet Sign qui devait étudier la réalité ou non de ces phénomènes. Elle fut rebaptisée projet Grudge en 1949. En 1951, à la suite d’une importante vague de témoignages d’ovnis, l’armée décide de relancer le projet avec davantage de moyens.

    C’est le 12 avril 1952, que commença le « projet Blue Book », dirigé par le capitaine Edward J. Ruppelt. Cette commission se divisera en une section d’étude, une d’enquête, un agent de liaison avec le Pentagone et des consultants scientifiques civils. À la suite d’une recrudescence des témoignages d’ovnis au cours de l’année 1952, le gouvernement commença à s’intéresser au problème de plus près et décida d’enquêter. En septembre 1953, le capitaine Ruppelt démissionne de son poste. Il publiera, dès 1955, The Report on Unidentified Flying Objects, livre relatant les cas les plus significatifs qu’il avait pu traiter au sein du projet Blue Book.

    Le capitaine Charles Hardin reprend le commandement du projet en mars 1954. Il décide de déclassifier et de rendre public le rapport spécial N°14 du projet Blue Book. Ce rapport, qui conclut à l’inexistence des ovnis, est mis en vente auprès du grand public en octobre 1955.

    Le capitaine George T. Gregory est nommé à la tête du projet en avril 1956 ; il sera remplacé par le major Robert J. Friend en octobre 1958. En avril 1963, le projet Blue Book passe sous les ordres du major Hector Quintanilla. En mars 1966, plusieurs scientifiques civils du projet (dont J. Allen Hynek) prirent publiquement parti pour la réalité du phénomène ovni (et donc contre la position officielle du projet Blue Book), ce qu’ils n’ont jamais réussi à prouver. Ces divergences amèneront le gouvernement américain à commanditer, en 1969, un rapport d’experts auprès du docteur Edward Condon, de l’Université du Colorado afin d’établir ou non la réalité du phénomène ovni. Le rapport Condon conclura que les ovnis n’existent pas et que tous les témoignages reposent soit sur une méprise avec des phénomènes naturels, soit sur des hallucinations et que toute recherche scientifique dans ce domaine ne présente aucun intérêt. Le projet Blue Book sera donc officiellement dissout en décembre 1969 et cessera toute activité en janvier 1970.

    Champs d’étude et objectifs:

    Lors de sa création officielle, le 12 avril 1952, l’US Air Force définit très clairement les trois objectifs du projet Blue Book :

    – Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis.
    – Déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des États-Unis.
    – Déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter.

    À cela, vint s’ajouter un rôle de porte-parole gouvernemental sur le phénomène ovni qui, à de nombreuses reprises, obligea le projet Blue Book à délaisser l’objectivité scientifique pour répondre à des considérations plus politiques.
    Faits et chiffres:

    – Le projet Blue Book étudia 12 618 cas et retint 3 201 cas pour l’analyse statistique.
    – Le secrétaire de l’armée de l’air, Donald Quarles, annonce le chiffre de 3 % de cas inexpliqués lors de la conférence de presse du 25 octobre 1955.
    – Les archives du projet Blue Book comprennent 8 360 photos, 20 bobines de film (ce qui représente 6h30 de film) et 23 enregistrements audio d’interviews de témoins.
    – Conservées jusqu’en 1974 dans les archives de l’US Air Force, les archives du projet Blue Book sont stockées depuis 1976 aux archives nationales américaines après la censure de tous les noms de témoins.

    Conclusions:

    Dans son rapport annuel, le major Quantanilla, directeur du projet Blue Book déclare : « 30 seulement de tous les cas soumis à l’Air Force sont inexpliqués et 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 se rangent dans cette catégorie … Il n’existe aucune preuve que les O.V.N.I. encore « inexpliqués » représentent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ». Sur un panel de plus de onze mille affaires, quatre-vingt-dix-sept pour cent ont été élucidées et, de l’avis même de ceux qui ont travaillé au projet, rien n’indique que les quelques cas restants soient de nature différente, et que le statut « non-identifié » résulte d’un manque d’informations et non d’une catégorie nouvelle.

    Source: Wikipédia
    Projet Blue Book Le projet Blue Book est une commission mise en place par l’US Air Force, afin d’étudier et d’enquêter sur le phénomène OVNI. Cette commission fut créée en 1952 et resta en activité jusqu’en 1969. Historique: Les premières observations d’ovnis qui suivirent la fin de la Seconde Guerre mondiale (notamment la célèbre histoire de Kenneth Arnold) mirent rapidement l’armée américaine en alerte. Dès 1947, l’US Air Force lança le projet Sign qui devait étudier la réalité ou non de ces phénomènes. Elle fut rebaptisée projet Grudge en 1949. En 1951, à la suite d’une importante vague de témoignages d’ovnis, l’armée décide de relancer le projet avec davantage de moyens. C’est le 12 avril 1952, que commença le « projet Blue Book », dirigé par le capitaine Edward J. Ruppelt. Cette commission se divisera en une section d’étude, une d’enquête, un agent de liaison avec le Pentagone et des consultants scientifiques civils. À la suite d’une recrudescence des témoignages d’ovnis au cours de l’année 1952, le gouvernement commença à s’intéresser au problème de plus près et décida d’enquêter. En septembre 1953, le capitaine Ruppelt démissionne de son poste. Il publiera, dès 1955, The Report on Unidentified Flying Objects, livre relatant les cas les plus significatifs qu’il avait pu traiter au sein du projet Blue Book. Le capitaine Charles Hardin reprend le commandement du projet en mars 1954. Il décide de déclassifier et de rendre public le rapport spécial N°14 du projet Blue Book. Ce rapport, qui conclut à l’inexistence des ovnis, est mis en vente auprès du grand public en octobre 1955. Le capitaine George T. Gregory est nommé à la tête du projet en avril 1956 ; il sera remplacé par le major Robert J. Friend en octobre 1958. En avril 1963, le projet Blue Book passe sous les ordres du major Hector Quintanilla. En mars 1966, plusieurs scientifiques civils du projet (dont J. Allen Hynek) prirent publiquement parti pour la réalité du phénomène ovni (et donc contre la position officielle du projet Blue Book), ce qu’ils n’ont jamais réussi à prouver. Ces divergences amèneront le gouvernement américain à commanditer, en 1969, un rapport d’experts auprès du docteur Edward Condon, de l’Université du Colorado afin d’établir ou non la réalité du phénomène ovni. Le rapport Condon conclura que les ovnis n’existent pas et que tous les témoignages reposent soit sur une méprise avec des phénomènes naturels, soit sur des hallucinations et que toute recherche scientifique dans ce domaine ne présente aucun intérêt. Le projet Blue Book sera donc officiellement dissout en décembre 1969 et cessera toute activité en janvier 1970. Champs d’étude et objectifs: Lors de sa création officielle, le 12 avril 1952, l’US Air Force définit très clairement les trois objectifs du projet Blue Book : – Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis. – Déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des États-Unis. – Déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter. À cela, vint s’ajouter un rôle de porte-parole gouvernemental sur le phénomène ovni qui, à de nombreuses reprises, obligea le projet Blue Book à délaisser l’objectivité scientifique pour répondre à des considérations plus politiques. Faits et chiffres: – Le projet Blue Book étudia 12 618 cas et retint 3 201 cas pour l’analyse statistique. – Le secrétaire de l’armée de l’air, Donald Quarles, annonce le chiffre de 3 % de cas inexpliqués lors de la conférence de presse du 25 octobre 1955. – Les archives du projet Blue Book comprennent 8 360 photos, 20 bobines de film (ce qui représente 6h30 de film) et 23 enregistrements audio d’interviews de témoins. – Conservées jusqu’en 1974 dans les archives de l’US Air Force, les archives du projet Blue Book sont stockées depuis 1976 aux archives nationales américaines après la censure de tous les noms de témoins. Conclusions: Dans son rapport annuel, le major Quantanilla, directeur du projet Blue Book déclare : « 30 seulement de tous les cas soumis à l’Air Force sont inexpliqués et 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 se rangent dans cette catégorie … Il n’existe aucune preuve que les O.V.N.I. encore « inexpliqués » représentent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ». Sur un panel de plus de onze mille affaires, quatre-vingt-dix-sept pour cent ont été élucidées et, de l’avis même de ceux qui ont travaillé au projet, rien n’indique que les quelques cas restants soient de nature différente, et que le statut « non-identifié » résulte d’un manque d’informations et non d’une catégorie nouvelle. Source: Wikipédia
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  • Sacré Jean !!!


    La chute est géniale !!!!.

    À bientôt,


    JEAN EST SUR LE POINT DE MOURIR… SON INFIRMIÈRE, SON ÉPOUSE,
    SA FILLE ET SES DEUX FILS SONT À SON CHEVET.

    IL DEMANDE LA PRÉSENCE DE DEUX TÉMOINS ET D'UN CAMÉSCOPE POUR
    ENREGISTRER SES DERNIÈRES VOLONTÉS.

    QUAND TOUT EST PRÊT, IL COMMENCE :

    - Mon fils, Jacques, tu prends les maisons près de l'Hôtel de ville.

    - Ma fille, Elodie, toi tu prends les appartements sur les Champs Elysées.

    - Mon fils, Pierre, pour toi c'est les bureaux de la Défense.

    - Sandra, ma chère épouse, tu t'occupes de tous les immeubles
    Résidentiels situés du côté de la Place de la Concorde"

    L'INFIRMIÈRE ET LES TÉMOINS SONT ÉMERVEILLÉS :

    ILS NE S'ÉTAIENT JAMAIS IMAGINÉ LE PATRIMOINE DE JEAN.
    ALORS QUE JEAN COMMENCE À SOMBRER DANS SON SOMMEIL ÉTERNEL
    L'INFIRMIÈRE DIT :

    Madame Martin, votre mari a dû être un travailleur infatigable pour
    avoir accumulé toutes ces propriétés ! »

    MADAME MARTIN répond :

    - Mais non ! C'est son circuit habituel de distribution des prospectus !...

    Sacré Jean !!! La chute est géniale !!!!. À bientôt, JEAN EST SUR LE POINT DE MOURIR… SON INFIRMIÈRE, SON ÉPOUSE, SA FILLE ET SES DEUX FILS SONT À SON CHEVET. IL DEMANDE LA PRÉSENCE DE DEUX TÉMOINS ET D'UN CAMÉSCOPE POUR ENREGISTRER SES DERNIÈRES VOLONTÉS. QUAND TOUT EST PRÊT, IL COMMENCE : - Mon fils, Jacques, tu prends les maisons près de l'Hôtel de ville. - Ma fille, Elodie, toi tu prends les appartements sur les Champs Elysées. - Mon fils, Pierre, pour toi c'est les bureaux de la Défense. - Sandra, ma chère épouse, tu t'occupes de tous les immeubles Résidentiels situés du côté de la Place de la Concorde" L'INFIRMIÈRE ET LES TÉMOINS SONT ÉMERVEILLÉS : ILS NE S'ÉTAIENT JAMAIS IMAGINÉ LE PATRIMOINE DE JEAN. ALORS QUE JEAN COMMENCE À SOMBRER DANS SON SOMMEIL ÉTERNEL L'INFIRMIÈRE DIT : Madame Martin, votre mari a dû être un travailleur infatigable pour avoir accumulé toutes ces propriétés ! » MADAME MARTIN répond : - Mais non ! C'est son circuit habituel de distribution des prospectus !...
    Ha ha
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  • Ces personnes seront-elles accusées de génocide ?

    Sept témoins ont intenté une action en justice au nom du peuple britannique auprès de la Cour pénale internationale (CPI) accusant 16 personnes de génocide, de crimes contre l’humanité, de crimes de guerre et de crimes d’agression.
    Les 16 accusés comprennent le Dr. Antoine Fauci, Dr. Peter Daszak, Bill et Melinda Gates, les PDG de Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Johnson & Johnson, le Premier ministre britannique Boris Johnson et plusieurs autres autorités britanniques, ainsi que les présidents de la Fondation Rockefeller et du Forum économique mondial.
    Selon la plainte de la CPI, les 16 accusés ont violé le Code de Nuremberg et les articles 6, 7, 8, 15, 21 et 53 du Statut de Rome
    Le Code de Nuremberg est un ensemble de principes éthiques pour la recherche médicale qui a émergé du « Procès des médecins » de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale. Le Tribunal des crimes de guerre de Nuremberg a établi 10 normes que les médecins doivent respecter lorsqu’ils mènent des expériences sur des sujets humains
    La Cour pénale internationale est une cour permanente et indépendante qui enquête sur les crimes affectant la communauté internationale. Ses activités sont régies par un traité international connu sous le nom de Statut de Rome, qui a été ratifié par plus de 120 pays, don’t les États-Unis. (Celles-ci n’auraient finalement pas été ratifiées par les États-Unis. Voir ici .) La CPI peut intervenir lorsqu’un État membre ne prend pas les mesures appropriées pour traduire un criminel en justice. En théorie, les États membres devraient coopérer avec la Cour.
    Selon The Desert Review, un certain nombre de personnalités de haut niveau ont été accusées de plusieurs crimes, notamment de crimes contre l’humanité, de crimes de guerre et de crimes d’agression, en relation avec la pandémie de COVID-19 et la pression pour déployer des vaccins expérimentaux contre le COVID au Royaume-Uni. :

    Dans une étonnante plainte de 46 pages à la Cour pénale internationale datée du 6 décembre [2021], un avocat intrépide et sept plaignants ont accusé Anthony Fauci, Peter Daszak, Melinda Gates, William Gates III et 12 autres de nombreuses violations du Code de Nuremberg. Il s’agit notamment de divers crimes contre l’humanité et crimes de guerre au sens des articles 6, 7, 8, 15, 21 et 53 du Statut de Rome.

    Le Sale 16

    Au total, 16 accusés sont nommés dans la plainte :

    docteur Anthony Fauci, directeur du NIAID
    docteur Peter Daszak, président de l’Alliance ÉcoSanté
    Bill Gates
    Portes Melinda
    Albert Bourla, PDG de Pfizer
    Stéphane Bancel, PDG de Moderna
    Pascal Soriot, PDG d’AstraZeneca
    Alex Gorsky, président de Johnson & Johnson
    Tedros Adhanhom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS
    Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni
    Christopher Whitty, conseiller médical principal au Royaume-Uni
    Matthew Hancock , ancien secrétaire d’État britannique à la santé et au bien-être
    Médicaments et soins de santé, actuel secrétaire d’État britannique à la santé et aux affaires sociales
    June Raine, directrice générale des médicaments et des produits de santé au Royaume-Uni
    docteur Rajiv Shah, président de la Fondation Rockefeller
    Klaus Schwab, président du Forum économique mondial
    Les victimes au nom desquelles le procès a été intenté sont « le peuple du Royaume-Uni ». L’un des sept candidats est le Dr. Michael Yeadon, ancien vice-président et scientifique en chef de la recherche sur les allergies et les voies respiratoires chez Pfizer.

    Fin 2020, il a exprimé sa grande inquiétude quant au fait que la vaccination COVID pourrait devenir obligatoire car il ne trouvait aucune justification médicale à son utilisation. Comme nous le savons tous, les vaccinations sont devenues obligatoires dans le monde entier en 2021. En avril 2021, Yeadon a rendu public ses inquiétudes quant au fait que les vaccinations faisaient partie d’un programme de dépopulation.

    « Je crois que [les injections de rappel COVID-19] sont utilisées pour nuire à votre santé et éventuellement vous tuer. Je ne vois pas d’autre interprétation raisonnable qu’une tentative sérieuse de dépopulation massive », a-t-il déclaré dans une interview de Planet Lockdown publiée fin avril 2021.

    Qu’est-ce que la Cour Pénale Internationale ?

    La Cour pénale internationale (CPI) est une organisation intergouvernementale et un tribunal international basé à La Haye, aux Pays-Bas. Ses activités sont régies par un traité international connu sous le nom de Statut de Rome, qui a été ratifié par plus de 120 pays, don’t les États-Unis.
    Ces personnes seront-elles accusées de génocide ? Sept témoins ont intenté une action en justice au nom du peuple britannique auprès de la Cour pénale internationale (CPI) accusant 16 personnes de génocide, de crimes contre l’humanité, de crimes de guerre et de crimes d’agression. Les 16 accusés comprennent le Dr. Antoine Fauci, Dr. Peter Daszak, Bill et Melinda Gates, les PDG de Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Johnson & Johnson, le Premier ministre britannique Boris Johnson et plusieurs autres autorités britanniques, ainsi que les présidents de la Fondation Rockefeller et du Forum économique mondial. Selon la plainte de la CPI, les 16 accusés ont violé le Code de Nuremberg et les articles 6, 7, 8, 15, 21 et 53 du Statut de Rome Le Code de Nuremberg est un ensemble de principes éthiques pour la recherche médicale qui a émergé du « Procès des médecins » de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale. Le Tribunal des crimes de guerre de Nuremberg a établi 10 normes que les médecins doivent respecter lorsqu’ils mènent des expériences sur des sujets humains La Cour pénale internationale est une cour permanente et indépendante qui enquête sur les crimes affectant la communauté internationale. Ses activités sont régies par un traité international connu sous le nom de Statut de Rome, qui a été ratifié par plus de 120 pays, don’t les États-Unis. (Celles-ci n’auraient finalement pas été ratifiées par les États-Unis. Voir ici .) La CPI peut intervenir lorsqu’un État membre ne prend pas les mesures appropriées pour traduire un criminel en justice. En théorie, les États membres devraient coopérer avec la Cour. Selon The Desert Review, un certain nombre de personnalités de haut niveau ont été accusées de plusieurs crimes, notamment de crimes contre l’humanité, de crimes de guerre et de crimes d’agression, en relation avec la pandémie de COVID-19 et la pression pour déployer des vaccins expérimentaux contre le COVID au Royaume-Uni. : Dans une étonnante plainte de 46 pages à la Cour pénale internationale datée du 6 décembre [2021], un avocat intrépide et sept plaignants ont accusé Anthony Fauci, Peter Daszak, Melinda Gates, William Gates III et 12 autres de nombreuses violations du Code de Nuremberg. Il s’agit notamment de divers crimes contre l’humanité et crimes de guerre au sens des articles 6, 7, 8, 15, 21 et 53 du Statut de Rome. Le Sale 16 Au total, 16 accusés sont nommés dans la plainte : docteur Anthony Fauci, directeur du NIAID docteur Peter Daszak, président de l’Alliance ÉcoSanté Bill Gates Portes Melinda Albert Bourla, PDG de Pfizer Stéphane Bancel, PDG de Moderna Pascal Soriot, PDG d’AstraZeneca Alex Gorsky, président de Johnson & Johnson Tedros Adhanhom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni Christopher Whitty, conseiller médical principal au Royaume-Uni Matthew Hancock , ancien secrétaire d’État britannique à la santé et au bien-être Médicaments et soins de santé, actuel secrétaire d’État britannique à la santé et aux affaires sociales June Raine, directrice générale des médicaments et des produits de santé au Royaume-Uni docteur Rajiv Shah, président de la Fondation Rockefeller Klaus Schwab, président du Forum économique mondial Les victimes au nom desquelles le procès a été intenté sont « le peuple du Royaume-Uni ». L’un des sept candidats est le Dr. Michael Yeadon, ancien vice-président et scientifique en chef de la recherche sur les allergies et les voies respiratoires chez Pfizer. Fin 2020, il a exprimé sa grande inquiétude quant au fait que la vaccination COVID pourrait devenir obligatoire car il ne trouvait aucune justification médicale à son utilisation. Comme nous le savons tous, les vaccinations sont devenues obligatoires dans le monde entier en 2021. En avril 2021, Yeadon a rendu public ses inquiétudes quant au fait que les vaccinations faisaient partie d’un programme de dépopulation. « Je crois que [les injections de rappel COVID-19] sont utilisées pour nuire à votre santé et éventuellement vous tuer. Je ne vois pas d’autre interprétation raisonnable qu’une tentative sérieuse de dépopulation massive », a-t-il déclaré dans une interview de Planet Lockdown publiée fin avril 2021. Qu’est-ce que la Cour Pénale Internationale ? La Cour pénale internationale (CPI) est une organisation intergouvernementale et un tribunal international basé à La Haye, aux Pays-Bas. Ses activités sont régies par un traité international connu sous le nom de Statut de Rome, qui a été ratifié par plus de 120 pays, don’t les États-Unis.
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