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  • Le syndrome de la Havane vous connaissez?

    C'est un ensemble de symptÎmes allant de problÚmes neurologiques comme des malaises, vertiges, acouphÚnes, fatigue, insomnies mais également des douleurs et dysfonctionnements cardiaques.

    ?? Le neurologue de la DARPA (Agence des Projets de Recherche Avancée) Américaine James Giordano à avoué dans cette conférence que les neuro-armes et armes à energie dirigée (utilisant des ondes électromagnétique comme des micro-ondes) sont à l'origine de cette maladie ayant touché des diplomates US à la Havane, Cuba en 2016-2017 et en Chine.

    C'est reconnu par le gouvernement AmĂ©ricain et ils auront droit Ă  des dĂ©dommagements. NĂ©anmoins l'ensemble de la population des Ă©tats de l'OTAN est susceptible d'en ĂȘtre victime car ces armes Ă  micro-ondes sont dissĂ©minĂ©es dans les antennes relais, satellites, bornes wi-fi et smartphones.

    SVP Faites connaitre ce phénomÚne en partagent cette vidéo.
    Le syndrome de la Havane vous connaissez? C'est un ensemble de symptĂŽmes allant de problĂšmes neurologiques comme des malaises, vertiges, acouphĂšnes, fatigue, insomnies mais Ă©galement des douleurs et dysfonctionnements cardiaques. ?? Le neurologue de la DARPA (Agence des Projets de Recherche AvancĂ©e) AmĂ©ricaine James Giordano Ă  avouĂ© dans cette confĂ©rence que les neuro-armes et armes Ă  energie dirigĂ©e (utilisant des ondes Ă©lectromagnĂ©tique comme des micro-ondes) sont Ă  l'origine de cette maladie ayant touchĂ© des diplomates US Ă  la Havane, Cuba en 2016-2017 et en Chine. C'est reconnu par le gouvernement AmĂ©ricain et ils auront droit Ă  des dĂ©dommagements. NĂ©anmoins l'ensemble de la population des Ă©tats de l'OTAN est susceptible d'en ĂȘtre victime car ces armes Ă  micro-ondes sont dissĂ©minĂ©es dans les antennes relais, satellites, bornes wi-fi et smartphones. SVP Faites connaitre ce phĂ©nomĂšne en partagent cette vidĂ©o.
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  • Rapport de la CIA : Le syndrome de La Havane n’est pas le rĂ©sultat d’une campagne Ă©trangĂšre ciblĂ©e

    Par Lucas Leiroz : Chercheur en sciences sociales Ă  l’UniversitĂ© fĂ©dĂ©rale de Rio de Janeiro ; conseiller gĂ©opolitique.

    AprĂšs plusieurs allĂ©gations non fondĂ©es selon lesquelles la Russie et la Chine auraient utilisĂ© des armes Ă  micro-ondes pour causer des problĂšmes de santĂ© aux diplomates amĂ©ricains, la CIA a admis qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour soutenir l’affirmation selon laquelle le soi-disant « syndrome de La Havane » est dĂ©libĂ©rĂ©ment provoquĂ© par des agents Ă©trangers. Cependant, les services de renseignements amĂ©ricains confirment d’affirmer que dans certains cas spĂ©cifiques, il existe des preuves d’implication Ă©trangĂšre, suggĂšrent que Washington veut simplement Ă©viter les accusations d’utilisation de thĂ©ories du complot, mais s’en tient Ă  sa rhĂ©torique anti-russe et anti-chinoise.

    RĂ©cemment, la CIA a publiĂ© des informations sur un rapport de l’étude rĂ©sultante sur le cas du syndrome Ă  La Havane. AprĂšs plusieurs analyses et enquĂȘtes, l’agence semble avoir conclu qu’il n’y a pas suffisamment de preuves de l’existence d’une campagne mondiale dĂ©libĂ©rĂ©ment organisĂ©e par des « puissances hostiles » - associĂ©es Ă  la Russie ou Ă  la Chine – pour produire les symptĂŽmes dĂ©crits par les diplomates amĂ©ricains.

    Contrairement aux affirmations du gouvernement, aucune preuve de l’utilisation d’armes radioactives n’a Ă©tĂ© trouvĂ©e. Aucun mĂ©canisme spĂ©cifique n’a Ă©tĂ© identifiĂ© qui pourrait causer les symptĂŽmes. Les portes-parole de la CIA ont Ă©galement prĂ©cisĂ© qu’il y a environ deux douzaines de cas qui sont toujours en cours, et que de nouvelles Ă©tudes et donnĂ©es pourraient indiquer une action Ă©trangĂšre dĂ©libĂ©rĂ©e.

    Cependant, la CIA n’a pas pris de position claire sur la question. Tout en reconnaissant qu’il n’y a aucune preuve d’un plan d’action mondial dĂ©libĂ©rĂ© de la partie de nations hostiles, l’agence a prĂ©cisĂ© que dans certains cas spĂ©cifiques, il existe la possibilitĂ© d’une implication Ă©trangĂšre. Il est intĂ©ressant de noter qu’aucun dĂ©tail n’a Ă©tĂ© donnĂ© sur ces « cas spĂ©cifiques » et les preuves d’une action Ă©trangĂšre, ce qui suggĂšre que la rhĂ©torique de Washington est une fois de plus basĂ©e sur des accusations de conspiration.

    Comme l’a dĂ©clarĂ© un haut responsable de la CIA dans une interview sur le sujet : « Je n’y a pas une seule explication... On ne voit pas une campagne globale d’un acteur Ă©tranger (...) Nous n 'Exclurions certainement pas la possibilitĂ© d’une implication d’acteurs Ă©trangers dans certains cas individuels, [mais] nous n’avons pas identifiĂ© de mĂ©canisme causal, une nouvelle arme utilisĂ©e pour le moment. »

    Depuis 2017, le gouvernement amĂ©ricain a adoptĂ© comme rĂ©cit officiel le discours selon lequel Moscou et PĂ©kin utilisent des armes technologiquement avancĂ©es pour induire des symptĂŽmes de nausĂ©es, de vertiges, d’acouphĂšnes et de confusion mentale chez les diplomates amĂ©ricains. L’hypothĂšse la plus communĂ©ment admise par les responsables amĂ©ricains est que les symptĂŽmes rĂ©sultent de l’exposition des victimes Ă  des ondes radioactives Ă©mises par des armes Ă  micro-ondes prĂ©tendument utilisĂ©es par des agents secrets de pays ennemis amĂ©ricains.

    De telles affirmations sont bien sĂ»r totalement infondĂ©es. Tout d’abord, il n’y a pas suffisamment de preuves pour affirmer qu’aucun pays au monde ne dispose d’une telle technologie capable de produire les effets dĂ©crits par les diplomates. Parfois, les accusations amĂ©ricaines sonnaient non seulement comme des mots complotistes, mais vĂ©ritablement futuristes. Donc, avant de prĂ©tendre que tel ou tel pays est impliquĂ© dans ce genre d’activitĂ©s, il appartiendrait aux États-Unis de prouver que de telles armes existent rĂ©ellement.

    Un autre point est le fait qu’il est douteux que les diplomates amĂ©ricains stationnĂ©s Ă  Cuba et dans d’autres pays en dĂ©veloppement seraient les cibles privilĂ©giĂ©es d’une technologie aussi puissante si un pays disposait rĂ©ellement de ce type d’armes. NĂ©anmoins, il faut dire que les symptĂŽmes rapportĂ©s par les diplomates sont trĂšs frĂ©quents dans divers types de maladies, notamment liĂ©s au stress et aux situations dangereuses, il est donc prĂ©maturĂ© de dire que les rapports sont des preuves suffisantes pour parler d’un nouveau « syndrĂŽme ».

    Ce que nous voyons maintenant n’est pas un rĂ©el changement dans les croyances du gouvernement amĂ©ricain par rapport aux dĂ©clarations prĂ©cĂ©dentes. Au contraire, il s’agit simplement d’une tentative de « confirmer » les thĂ©ories du complot largement rĂ©pandues. Washington ne semble pas intĂ©ressĂ© Ă  admettre qu’il n’y a aucune preuve d’implication Ă©trangĂšre, mais se sent obligĂ© d’éviter d’ĂȘtre accusĂ© d’utiliser une rhĂ©torique complotiste et anti-scientifique, ce qui nuirait Ă  l’image des États-Unis dans la sociĂ©tĂ© internationale. Cela explique la position ambiguĂ« de la CIA : elle admet qu’il n’y a aucune preuve de l’existence d’un plan Ă©tranger, mais en mĂȘme temps elle prĂ©tend queque tous les cas n’ont pas fait l’objet d’une enquĂȘte et qu’il existe une possibilitĂ© d’implication Ă©trangĂšre dans certaines situations spĂ©cifiques.

    La CIA ouvre simplement la voie aux États-Unis pour prĂ©tendre Ă  l’avenir qu’ils ont trouvĂ© suffisamment de donnĂ©es pour prouver l’existence d’un plan Ă©tranger. C’est une maniĂšre de « justifier » des thĂšses non fondĂ©es et de leur donner une « validitĂ© scientifique ».
    Rapport de la CIA : Le syndrome de La Havane n’est pas le rĂ©sultat d’une campagne Ă©trangĂšre ciblĂ©e Par Lucas Leiroz : Chercheur en sciences sociales Ă  l’UniversitĂ© fĂ©dĂ©rale de Rio de Janeiro ; conseiller gĂ©opolitique. AprĂšs plusieurs allĂ©gations non fondĂ©es selon lesquelles la Russie et la Chine auraient utilisĂ© des armes Ă  micro-ondes pour causer des problĂšmes de santĂ© aux diplomates amĂ©ricains, la CIA a admis qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour soutenir l’affirmation selon laquelle le soi-disant « syndrome de La Havane » est dĂ©libĂ©rĂ©ment provoquĂ© par des agents Ă©trangers. Cependant, les services de renseignements amĂ©ricains confirment d’affirmer que dans certains cas spĂ©cifiques, il existe des preuves d’implication Ă©trangĂšre, suggĂšrent que Washington veut simplement Ă©viter les accusations d’utilisation de thĂ©ories du complot, mais s’en tient Ă  sa rhĂ©torique anti-russe et anti-chinoise. RĂ©cemment, la CIA a publiĂ© des informations sur un rapport de l’étude rĂ©sultante sur le cas du syndrome Ă  La Havane. AprĂšs plusieurs analyses et enquĂȘtes, l’agence semble avoir conclu qu’il n’y a pas suffisamment de preuves de l’existence d’une campagne mondiale dĂ©libĂ©rĂ©ment organisĂ©e par des « puissances hostiles » - associĂ©es Ă  la Russie ou Ă  la Chine – pour produire les symptĂŽmes dĂ©crits par les diplomates amĂ©ricains. Contrairement aux affirmations du gouvernement, aucune preuve de l’utilisation d’armes radioactives n’a Ă©tĂ© trouvĂ©e. Aucun mĂ©canisme spĂ©cifique n’a Ă©tĂ© identifiĂ© qui pourrait causer les symptĂŽmes. Les portes-parole de la CIA ont Ă©galement prĂ©cisĂ© qu’il y a environ deux douzaines de cas qui sont toujours en cours, et que de nouvelles Ă©tudes et donnĂ©es pourraient indiquer une action Ă©trangĂšre dĂ©libĂ©rĂ©e. Cependant, la CIA n’a pas pris de position claire sur la question. Tout en reconnaissant qu’il n’y a aucune preuve d’un plan d’action mondial dĂ©libĂ©rĂ© de la partie de nations hostiles, l’agence a prĂ©cisĂ© que dans certains cas spĂ©cifiques, il existe la possibilitĂ© d’une implication Ă©trangĂšre. Il est intĂ©ressant de noter qu’aucun dĂ©tail n’a Ă©tĂ© donnĂ© sur ces « cas spĂ©cifiques » et les preuves d’une action Ă©trangĂšre, ce qui suggĂšre que la rhĂ©torique de Washington est une fois de plus basĂ©e sur des accusations de conspiration. Comme l’a dĂ©clarĂ© un haut responsable de la CIA dans une interview sur le sujet : « Je n’y a pas une seule explication... On ne voit pas une campagne globale d’un acteur Ă©tranger (...) Nous n 'Exclurions certainement pas la possibilitĂ© d’une implication d’acteurs Ă©trangers dans certains cas individuels, [mais] nous n’avons pas identifiĂ© de mĂ©canisme causal, une nouvelle arme utilisĂ©e pour le moment. » Depuis 2017, le gouvernement amĂ©ricain a adoptĂ© comme rĂ©cit officiel le discours selon lequel Moscou et PĂ©kin utilisent des armes technologiquement avancĂ©es pour induire des symptĂŽmes de nausĂ©es, de vertiges, d’acouphĂšnes et de confusion mentale chez les diplomates amĂ©ricains. L’hypothĂšse la plus communĂ©ment admise par les responsables amĂ©ricains est que les symptĂŽmes rĂ©sultent de l’exposition des victimes Ă  des ondes radioactives Ă©mises par des armes Ă  micro-ondes prĂ©tendument utilisĂ©es par des agents secrets de pays ennemis amĂ©ricains. De telles affirmations sont bien sĂ»r totalement infondĂ©es. Tout d’abord, il n’y a pas suffisamment de preuves pour affirmer qu’aucun pays au monde ne dispose d’une telle technologie capable de produire les effets dĂ©crits par les diplomates. Parfois, les accusations amĂ©ricaines sonnaient non seulement comme des mots complotistes, mais vĂ©ritablement futuristes. Donc, avant de prĂ©tendre que tel ou tel pays est impliquĂ© dans ce genre d’activitĂ©s, il appartiendrait aux États-Unis de prouver que de telles armes existent rĂ©ellement. Un autre point est le fait qu’il est douteux que les diplomates amĂ©ricains stationnĂ©s Ă  Cuba et dans d’autres pays en dĂ©veloppement seraient les cibles privilĂ©giĂ©es d’une technologie aussi puissante si un pays disposait rĂ©ellement de ce type d’armes. NĂ©anmoins, il faut dire que les symptĂŽmes rapportĂ©s par les diplomates sont trĂšs frĂ©quents dans divers types de maladies, notamment liĂ©s au stress et aux situations dangereuses, il est donc prĂ©maturĂ© de dire que les rapports sont des preuves suffisantes pour parler d’un nouveau « syndrĂŽme ». Ce que nous voyons maintenant n’est pas un rĂ©el changement dans les croyances du gouvernement amĂ©ricain par rapport aux dĂ©clarations prĂ©cĂ©dentes. Au contraire, il s’agit simplement d’une tentative de « confirmer » les thĂ©ories du complot largement rĂ©pandues. Washington ne semble pas intĂ©ressĂ© Ă  admettre qu’il n’y a aucune preuve d’implication Ă©trangĂšre, mais se sent obligĂ© d’éviter d’ĂȘtre accusĂ© d’utiliser une rhĂ©torique complotiste et anti-scientifique, ce qui nuirait Ă  l’image des États-Unis dans la sociĂ©tĂ© internationale. Cela explique la position ambiguĂ« de la CIA : elle admet qu’il n’y a aucune preuve de l’existence d’un plan Ă©tranger, mais en mĂȘme temps elle prĂ©tend queque tous les cas n’ont pas fait l’objet d’une enquĂȘte et qu’il existe une possibilitĂ© d’implication Ă©trangĂšre dans certaines situations spĂ©cifiques. La CIA ouvre simplement la voie aux États-Unis pour prĂ©tendre Ă  l’avenir qu’ils ont trouvĂ© suffisamment de donnĂ©es pour prouver l’existence d’un plan Ă©tranger. C’est une maniĂšre de « justifier » des thĂšses non fondĂ©es et de leur donner une « validitĂ© scientifique ».
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