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  • Immigration de masse: Scholz va nous faire regretter Merkel !


    Rappelez-vous tout d'abord les propos de Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne, qui expliquait en novembre dernier que « l’hiver démographique de l’Europe est comblé par des apports du reste du monde ». Ses propos ont trouvé un écho dans plusieurs pays puisque de nombreuses initiatives visant à faire venir légalement en Europe des travailleurs étrangers sont mises en place.

    Rappelons aussi qu'en 2022, l’agence Frontex a comptabilisé 330.000 franchissements irréguliers des frontières extérieures de l’Union européenne. Un record depuis 2016. Face à cette augmentation de 64% d’entrée illégales par rapport 2021, la Commission veut encore accentuer les flux vers l’Europe.

    L’Allemagne s’apprête à battre tous les records avec sa nouvelle loi immigration qui sera bientôt discutée. Berlin veut assouplir les conditions d’entrée des étrangers sur son territoire.

    Il ne serait plus nécessaire de parler la langue ou de présenter un contrat de travail avant de s’installer dans le pays. Ainsi, plus de 400.000 travailleurs étrangers devraient être accueillis chaque année jusqu’en 2035, soit près de cinq millions de personnes. Olaf Scholz va finir par nous faire regretter Angela Merkel et son million d'immigrés !

    Heureusement, certains États membres de l'UE ont vu le danger. Ainsi, l’Autriche, la Grèce, le Danemark, la Lituanie, la Lettonie, l’Estonie, Malte et la Slovaquie ont insisté, lors du Sommet européen sur la migration, sur la nécessité de renforcer la protection des frontières extérieures, y compris par le déploiement « d'infrastructures ». La Commission a pour l'instant refusé, estimant que « construire des murs et des barbelés » n'était pas la bonne solution. Mais ces pays insistent en demandant que l’UE utilise les nombreux leviers dont elle dispose : les visas, le commerce et les politiques de développement pour assurer le retour dans les pays d'origine de ces migrants. Bien sûr, la France ne s'occupe en rien du sujet et suit aveuglément la politique migratoire du chancelier allemand. Pourtant, ces millions de migrants, une fois en Allemagne, seront libres de circuler partout en Europe. Ils ne s'en priveront pas. L'Allemagne doit renoncer à son projet qui impactera toutes nos nations. Nous joindrons nos forces à celles qui refusent une telle politique, funeste pour l'avenir de notre civilisation.


    Jean-Paul Garraud
    Président de la délégation RN au Parlement européen

    © Groupe Identité & Démocratie - Délégation française

    ATR 07K066
    Parlement européen
    60 rue Wiertz
    1047 Bruxelles
    Belgique


    Immigration de masse: Scholz va nous faire regretter Merkel ! Rappelez-vous tout d'abord les propos de Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne, qui expliquait en novembre dernier que « l’hiver démographique de l’Europe est comblé par des apports du reste du monde ». Ses propos ont trouvé un écho dans plusieurs pays puisque de nombreuses initiatives visant à faire venir légalement en Europe des travailleurs étrangers sont mises en place. Rappelons aussi qu'en 2022, l’agence Frontex a comptabilisé 330.000 franchissements irréguliers des frontières extérieures de l’Union européenne. Un record depuis 2016. Face à cette augmentation de 64% d’entrée illégales par rapport 2021, la Commission veut encore accentuer les flux vers l’Europe. L’Allemagne s’apprête à battre tous les records avec sa nouvelle loi immigration qui sera bientôt discutée. Berlin veut assouplir les conditions d’entrée des étrangers sur son territoire. Il ne serait plus nécessaire de parler la langue ou de présenter un contrat de travail avant de s’installer dans le pays. Ainsi, plus de 400.000 travailleurs étrangers devraient être accueillis chaque année jusqu’en 2035, soit près de cinq millions de personnes. Olaf Scholz va finir par nous faire regretter Angela Merkel et son million d'immigrés ! Heureusement, certains États membres de l'UE ont vu le danger. Ainsi, l’Autriche, la Grèce, le Danemark, la Lituanie, la Lettonie, l’Estonie, Malte et la Slovaquie ont insisté, lors du Sommet européen sur la migration, sur la nécessité de renforcer la protection des frontières extérieures, y compris par le déploiement « d'infrastructures ». La Commission a pour l'instant refusé, estimant que « construire des murs et des barbelés » n'était pas la bonne solution. Mais ces pays insistent en demandant que l’UE utilise les nombreux leviers dont elle dispose : les visas, le commerce et les politiques de développement pour assurer le retour dans les pays d'origine de ces migrants. Bien sûr, la France ne s'occupe en rien du sujet et suit aveuglément la politique migratoire du chancelier allemand. Pourtant, ces millions de migrants, une fois en Allemagne, seront libres de circuler partout en Europe. Ils ne s'en priveront pas. L'Allemagne doit renoncer à son projet qui impactera toutes nos nations. Nous joindrons nos forces à celles qui refusent une telle politique, funeste pour l'avenir de notre civilisation. Jean-Paul Garraud Président de la délégation RN au Parlement européen © Groupe Identité & Démocratie - Délégation française ATR 07K066 Parlement européen 60 rue Wiertz 1047 Bruxelles Belgique
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  • Étude allemande : pas un seul enfant en bonne santé entre 5 et 18 ans ne meurt de COVID

    Néanmoins, le pays souhaite promouvoir la vaccination des enfants.

    Une étude menée par des chercheurs en Allemagne a révélé qu'aucun enfant en bonne santé âgé de 5 à 18 ans n'est décédé du COVID-19 au cours des 15 premiers mois de la pandémie.

    "Dans l'ensemble, l'exposition associée au SRAS-CoV-2 à une maladie grave ou à la mort chez les enfants et les adolescents est faible" , rapportent les scientifiques .

    "Cela semble être particulièrement vrai pour les enfants de 5 à 11 ans sans comorbidités."

    Bien que COVID n'ait causé aucun décès chez les enfants en bonne santé âgés de 5 à 18 ans, seuls six enfants et adolescents ayant déjà souffert de maladies sont décédés dans ce groupe d'âge.

    La fréquence à laquelle un enfant a dû être hospitalisé pour COVID était également de 1 sur 50 000.

    Entre mars 2020 et mai 2021, un total de huit nourrissons et tout-petits sont décédés, dont cinq avec des maladies antérieures, de sorte qu'un total de 14 Allemands de moins de 18 ans sont décédés du COVID au cours de cette période de 15 mois.

    Les chiffres sont comparables à ceux du Royaume-Uni, où seuls six enfants en bonne santé sur 12 millions sont morts du COVID-19.

    "Compte tenu des risques connus de myocardite d'origine vaccinale chez les jeunes hommes et du fait que Pfizer a testé ses vaccins à ARNm sur à peine 3 000 enfants âgés de 5 à 11 ans et observé la plupart d'entre eux quelques semaines seulement après la deuxième dose, le Les données allemandes soulèvent à nouveau la question de savoir comment les autorités sanitaires peuvent justifier d'encourager les enfants ou les adolescents à vacciner », écrit Alex Berenson.

    "Si vous vaccinez votre enfant ou adolescent en bonne santé avec le vaccin ARNm Covid, vous êtes fou", ajoute-t-il.

    Malgré les résultats de l'étude, l'Allemagne devrait proposer un vaccin aux enfants de moins de 12 ans au cours du premier trimestre 2022.

    Ceci est susceptible de devenir obligatoire car le pays a un plan draconien pour rendre la vaccination obligatoire pour les adultes à partir de février de l'année prochaine.

    SOURCE : HTTPS://CDN.SUMMIT.NEWS/2021/12/061221GERMANY1.JPG
    Étude allemande : pas un seul enfant en bonne santé entre 5 et 18 ans ne meurt de COVID Néanmoins, le pays souhaite promouvoir la vaccination des enfants. Une étude menée par des chercheurs en Allemagne a révélé qu'aucun enfant en bonne santé âgé de 5 à 18 ans n'est décédé du COVID-19 au cours des 15 premiers mois de la pandémie. "Dans l'ensemble, l'exposition associée au SRAS-CoV-2 à une maladie grave ou à la mort chez les enfants et les adolescents est faible" , rapportent les scientifiques . "Cela semble être particulièrement vrai pour les enfants de 5 à 11 ans sans comorbidités." Bien que COVID n'ait causé aucun décès chez les enfants en bonne santé âgés de 5 à 18 ans, seuls six enfants et adolescents ayant déjà souffert de maladies sont décédés dans ce groupe d'âge. La fréquence à laquelle un enfant a dû être hospitalisé pour COVID était également de 1 sur 50 000. Entre mars 2020 et mai 2021, un total de huit nourrissons et tout-petits sont décédés, dont cinq avec des maladies antérieures, de sorte qu'un total de 14 Allemands de moins de 18 ans sont décédés du COVID au cours de cette période de 15 mois. Les chiffres sont comparables à ceux du Royaume-Uni, où seuls six enfants en bonne santé sur 12 millions sont morts du COVID-19. "Compte tenu des risques connus de myocardite d'origine vaccinale chez les jeunes hommes et du fait que Pfizer a testé ses vaccins à ARNm sur à peine 3 000 enfants âgés de 5 à 11 ans et observé la plupart d'entre eux quelques semaines seulement après la deuxième dose, le Les données allemandes soulèvent à nouveau la question de savoir comment les autorités sanitaires peuvent justifier d'encourager les enfants ou les adolescents à vacciner », écrit Alex Berenson. "Si vous vaccinez votre enfant ou adolescent en bonne santé avec le vaccin ARNm Covid, vous êtes fou", ajoute-t-il. Malgré les résultats de l'étude, l'Allemagne devrait proposer un vaccin aux enfants de moins de 12 ans au cours du premier trimestre 2022. Ceci est susceptible de devenir obligatoire car le pays a un plan draconien pour rendre la vaccination obligatoire pour les adultes à partir de février de l'année prochaine. SOURCE : HTTPS://CDN.SUMMIT.NEWS/2021/12/061221GERMANY1.JPG
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