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    signs you need to hire an outsourced copywriter
    Among these organizational changes, outsourcing is today a major component of this reorganization phenomenon accompanied by the refocusing of firms on their core competencies.
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  • La France est une femme battue
    par Oncle Fernand. Elle a tendu la deuxième joue s’imaginant qu’on l’aimait toujours. Elle croit que derrière les coups reçus se cache en réalité un amour sincère mais troublé. Et plus elle en reçoit, plus elle les accepte en baissant la tête pensant être la seule fautive. À commencer par le nouveau...
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  • Tennis – Le Français Jérémy Chardy suspend sa saison après une réaction au vaccin contre le Covid
    Le joueur de Tennis Jérémy Chardy a annoncé suspendre sa saison en raison de réactions au vaccin contre le Covid-19. Le Français 73ème mondial évoque des douleurs quasiment paralysantes.

    Jérémy Chardy, 73ème mondial, a été contraint de suspendre sa saison sans savoir pour combien de temps, en raison d’une réaction au vaccin Pfizer contre le Covid, a-t-il annoncé le 23 septembre à l’AFP.

    « Depuis que j’ai eu mon vaccin, j’ai un problème, j’enchaîne les galères. Du coup, je ne peux pas m’entraîner, je ne peux pas jouer », a-t-il justifié en expliquant ressentir de violentes douleurs partout dans le corps dès qu’il fait un effort physique.

    Durant plusieurs semaines, le Français de 34 ans s’est posé des questions sur la provenance de ces douleurs quasiment paralysantes.

    « Maintenant, j’ai été voir deux docteurs, j’ai fait des tests donc je sais ce que j’ai et le plus important c’est de me soigner. Je préfère même prendre plus de temps pour me soigner et être sûr que dans le futur je n’aurai pas de problème plutôt que d’essayer de revenir le plus vite possible sur le court et me retrouver avec encore des problèmes de santé », a-t-il ajouté.

    « Dans la tête c’est difficile parce que je ne sais pas combien de temps ça va durer. Pour l’instant, ma saison est arrêtée et je ne sais pas quand je reprendrai », a-t-il encore souligné, toujours sous le choc 24 heures après avoir reçu les résultats de ses analyses.

    « C’est frustrant parce que j’ai très bien commencé l’année, je jouais très bien. Et puis je suis allé aux Jeux, où je me sentais très bien aussi. Et maintenant, ma saison est à l’arrêt et je ne sais pas quand je vais reprendre. C’est frustrant surtout qu’il ne me reste pas dix ans à jouer […] Du coup, maintenant je regrette d’avoir fait le vaccin, mais je ne pouvais pas savoir », a-t-il ajouté. D’autant qu’à son âge, un arrêt prolongé pourrait mettre un terme à sa carrière.

    « J’ai 35 ans en février alors pour l’instant je suis peut-être un petit peu négatif mais c’est la première fois que me traverse l’esprit l’idée que la saison prochaine est peut-être ma dernière. J’y pense… C’est difficile parce que je me faisais plaisir et j’avais envie de jouer plus longtemps », a-t-il reconnu.

    « Le problème, c’est qu’on n’a pas de recul sur le vaccin. Il y a des personnes qui ont eu des choses similaires, mais les durées ont été vraiment différentes », a-t-il relevé en s’appuyant sur ce que lui ont dit les médecins consultés.

    source : https://francais.rt.com
    Tennis – Le Français Jérémy Chardy suspend sa saison après une réaction au vaccin contre le Covid Le joueur de Tennis Jérémy Chardy a annoncé suspendre sa saison en raison de réactions au vaccin contre le Covid-19. Le Français 73ème mondial évoque des douleurs quasiment paralysantes. Jérémy Chardy, 73ème mondial, a été contraint de suspendre sa saison sans savoir pour combien de temps, en raison d’une réaction au vaccin Pfizer contre le Covid, a-t-il annoncé le 23 septembre à l’AFP. « Depuis que j’ai eu mon vaccin, j’ai un problème, j’enchaîne les galères. Du coup, je ne peux pas m’entraîner, je ne peux pas jouer », a-t-il justifié en expliquant ressentir de violentes douleurs partout dans le corps dès qu’il fait un effort physique. Durant plusieurs semaines, le Français de 34 ans s’est posé des questions sur la provenance de ces douleurs quasiment paralysantes. « Maintenant, j’ai été voir deux docteurs, j’ai fait des tests donc je sais ce que j’ai et le plus important c’est de me soigner. Je préfère même prendre plus de temps pour me soigner et être sûr que dans le futur je n’aurai pas de problème plutôt que d’essayer de revenir le plus vite possible sur le court et me retrouver avec encore des problèmes de santé », a-t-il ajouté. « Dans la tête c’est difficile parce que je ne sais pas combien de temps ça va durer. Pour l’instant, ma saison est arrêtée et je ne sais pas quand je reprendrai », a-t-il encore souligné, toujours sous le choc 24 heures après avoir reçu les résultats de ses analyses. « C’est frustrant parce que j’ai très bien commencé l’année, je jouais très bien. Et puis je suis allé aux Jeux, où je me sentais très bien aussi. Et maintenant, ma saison est à l’arrêt et je ne sais pas quand je vais reprendre. C’est frustrant surtout qu’il ne me reste pas dix ans à jouer […] Du coup, maintenant je regrette d’avoir fait le vaccin, mais je ne pouvais pas savoir », a-t-il ajouté. D’autant qu’à son âge, un arrêt prolongé pourrait mettre un terme à sa carrière. « J’ai 35 ans en février alors pour l’instant je suis peut-être un petit peu négatif mais c’est la première fois que me traverse l’esprit l’idée que la saison prochaine est peut-être ma dernière. J’y pense… C’est difficile parce que je me faisais plaisir et j’avais envie de jouer plus longtemps », a-t-il reconnu. « Le problème, c’est qu’on n’a pas de recul sur le vaccin. Il y a des personnes qui ont eu des choses similaires, mais les durées ont été vraiment différentes », a-t-il relevé en s’appuyant sur ce que lui ont dit les médecins consultés. source : https://francais.rt.com
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  • Joe Biden apprenti-sorcier nucléaire
    Le président Biden a annoncé la naissance de l’Aukus, partenariat stratégico- militaire entre Etats-Unis, Grande-Bretagne et Australie, avec “l’impératif d’assurer la paix et la stabilité à long terme dans l’Indo-Pacifique”, la région qui dans la géo-politique de Washington s’étend de la côte occidentale des USA à celle de l’Inde. But de cette “mission stratégique” : “affronter ensemble les menaces du 21ème siècle comme nous avons fait au 20ème siècle”. Référence claire à la Chine et à la Russie. Pour “se défendre contre les menaces en rapide évolution”, l’Aukus lance un “projet clé”: Etats-Unis et Grande-Bretagne aideront l’Australie à acquérir “des sous-marins à propulsion nucléaire, armés conventionnellement”.

    La première réaction à l’annonce du projet de l’Aukus a été celle de la France : elle perd de cette façon un contrat de 90 milliards de dollars, stipulé avec l’Australie, pour la fourniture de 12 sous-marins d’attaque Barracuda à propulsion conventionnelle. Paris, accusant d’avoir été poignardé dans le dos, a rappelé ses ambassadeurs en poste aux USA et en Australie. Sur le contentieux entre Paris et Washington s’est focalisée l’attention politico-médiatique, laissant dans l’ombre les implications du projet Aukus.

    Avant toute chose il n’est pas crédible qu’Etats-Unis et Grande-Bretagne fournissent à l’Australie les technologies les plus avancées pour construire au moins 8 sous-marins nucléaires de dernière génération, avec un coût unitaire d’environ 10 milliards de dollars, pour les doter seulement d’armements conventionnels (non-nucléaires). C’est comme s’ils fournissaient à l’Australie des porte-avions dans l’impossibilité d’embarquer des avions. En réalité les sous-marins auront des tubes de lancement adaptés aussi bien à des missiles non-nucléaires qu’à des missiles nucléaires. Le Premier ministre Morrison a déjà annoncé que l’Australie obtiendra rapidement, via les USA, “une capacité d’attaque à longue portée” avec des missiles Tomahawk et des missiles hypersoniques, armables de têtes pouvant être conventionnelles ou nucléaires.

    A coup sûr les sous-marins australiens seront en mesure de lancer aussi des missiles balistiques USA Trident D5, dont sont armés les sous-marins étasuniens et britanniques. Le Trident D5 a un portée de 12.000 km et peut transporter jusqu’à 14 têtes thermonucléaires indépendantes : W76 de 100 kilotonnes ou W88 de 475 kilotonnes. Le sous-marin d’attaque nucléaire Columbia, dont la construction a commencé en 2019, a 16 tubes de lancement pour les Trident D5, et a donc la capacité de lancer plus de 200 têtes nucléaires pouvant détruire tout autant d’objectifs (bases, ports, villes et autres).

    Ainsi, il apparaît clairement que Washington a écarté Paris de la fourniture des sous-marins à l’Australie non pas simplement dans un but économique (favoriser sa propre industrie de guerre), mais dans un but stratégique : passer à une nouvelle phase de l’escalade militaire contre la Chine et la Russie dans l’”Indo-Pacifique”, en gardant le commandement absolu de l’opération. Une fois effacée la fourniture des sous-marins français à propulsion conventionnelle, obsolètes pour cette stratégie, Washington a lancé ce que l’Ican-Australie dénonce comme “la nucléarisation croissante de la capacité militaire de l’Australie”. Une fois opérationnels, les sous-marins nucléaires australiens seront de fait insérés dans la chaîne de commandement USA, qui décidera de leur utilisation. Ces sous-marins, dont personne ne pourra contrôler l’armement réel, en s’approchant en profondeur et silencieusement des côtes de la Chine, et aussi de celles de la Russie, pourraient frapper en quelques minutes les principaux objectifs de ces pays avec une capacité destructrice équivalente à 20 mille bombes d’Hiroshima.

    On peut facilement prévoir quelle sera la première conséquence. La Chine, qui selon le Sipri possède 350 têtes nucléaires en regard des 5.550 des USA, accélèrera le développement quantitatif et qualitatif de ses propres forces nucléaires. Le potentiel économique et technologique qu’elle possède lui permet de se doter de forces nucléaires équivalentes à celles des USA et de la Russie. Le tout grâce à l’apprenti-sorcier Biden qui, tandis qu’il lance le “projet clé” des sous-marins nucléaires à l’Australie, exalte “le leadership de longue date des Etats-Unis dans la non-prolifération mondiale”.

    Manlio Dinucci

    Joe Biden apprenti-sorcier nucléaire Le président Biden a annoncé la naissance de l’Aukus, partenariat stratégico- militaire entre Etats-Unis, Grande-Bretagne et Australie, avec “l’impératif d’assurer la paix et la stabilité à long terme dans l’Indo-Pacifique”, la région qui dans la géo-politique de Washington s’étend de la côte occidentale des USA à celle de l’Inde. But de cette “mission stratégique” : “affronter ensemble les menaces du 21ème siècle comme nous avons fait au 20ème siècle”. Référence claire à la Chine et à la Russie. Pour “se défendre contre les menaces en rapide évolution”, l’Aukus lance un “projet clé”: Etats-Unis et Grande-Bretagne aideront l’Australie à acquérir “des sous-marins à propulsion nucléaire, armés conventionnellement”. La première réaction à l’annonce du projet de l’Aukus a été celle de la France : elle perd de cette façon un contrat de 90 milliards de dollars, stipulé avec l’Australie, pour la fourniture de 12 sous-marins d’attaque Barracuda à propulsion conventionnelle. Paris, accusant d’avoir été poignardé dans le dos, a rappelé ses ambassadeurs en poste aux USA et en Australie. Sur le contentieux entre Paris et Washington s’est focalisée l’attention politico-médiatique, laissant dans l’ombre les implications du projet Aukus. Avant toute chose il n’est pas crédible qu’Etats-Unis et Grande-Bretagne fournissent à l’Australie les technologies les plus avancées pour construire au moins 8 sous-marins nucléaires de dernière génération, avec un coût unitaire d’environ 10 milliards de dollars, pour les doter seulement d’armements conventionnels (non-nucléaires). C’est comme s’ils fournissaient à l’Australie des porte-avions dans l’impossibilité d’embarquer des avions. En réalité les sous-marins auront des tubes de lancement adaptés aussi bien à des missiles non-nucléaires qu’à des missiles nucléaires. Le Premier ministre Morrison a déjà annoncé que l’Australie obtiendra rapidement, via les USA, “une capacité d’attaque à longue portée” avec des missiles Tomahawk et des missiles hypersoniques, armables de têtes pouvant être conventionnelles ou nucléaires. A coup sûr les sous-marins australiens seront en mesure de lancer aussi des missiles balistiques USA Trident D5, dont sont armés les sous-marins étasuniens et britanniques. Le Trident D5 a un portée de 12.000 km et peut transporter jusqu’à 14 têtes thermonucléaires indépendantes : W76 de 100 kilotonnes ou W88 de 475 kilotonnes. Le sous-marin d’attaque nucléaire Columbia, dont la construction a commencé en 2019, a 16 tubes de lancement pour les Trident D5, et a donc la capacité de lancer plus de 200 têtes nucléaires pouvant détruire tout autant d’objectifs (bases, ports, villes et autres). Ainsi, il apparaît clairement que Washington a écarté Paris de la fourniture des sous-marins à l’Australie non pas simplement dans un but économique (favoriser sa propre industrie de guerre), mais dans un but stratégique : passer à une nouvelle phase de l’escalade militaire contre la Chine et la Russie dans l’”Indo-Pacifique”, en gardant le commandement absolu de l’opération. Une fois effacée la fourniture des sous-marins français à propulsion conventionnelle, obsolètes pour cette stratégie, Washington a lancé ce que l’Ican-Australie dénonce comme “la nucléarisation croissante de la capacité militaire de l’Australie”. Une fois opérationnels, les sous-marins nucléaires australiens seront de fait insérés dans la chaîne de commandement USA, qui décidera de leur utilisation. Ces sous-marins, dont personne ne pourra contrôler l’armement réel, en s’approchant en profondeur et silencieusement des côtes de la Chine, et aussi de celles de la Russie, pourraient frapper en quelques minutes les principaux objectifs de ces pays avec une capacité destructrice équivalente à 20 mille bombes d’Hiroshima. On peut facilement prévoir quelle sera la première conséquence. La Chine, qui selon le Sipri possède 350 têtes nucléaires en regard des 5.550 des USA, accélèrera le développement quantitatif et qualitatif de ses propres forces nucléaires. Le potentiel économique et technologique qu’elle possède lui permet de se doter de forces nucléaires équivalentes à celles des USA et de la Russie. Le tout grâce à l’apprenti-sorcier Biden qui, tandis qu’il lance le “projet clé” des sous-marins nucléaires à l’Australie, exalte “le leadership de longue date des Etats-Unis dans la non-prolifération mondiale”. Manlio Dinucci
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  • La loi qui donne au président USA licence de tuer
    Le 18 septembre 2001, une semaine après le 11 Septembre, le Congrès des États-Unis approuve avec un vote bi-partisan unanime la Loi Publique 107-40 qui stipule : “Le Président est autorisé à utiliser toute la force nécessaire et appropriée contre les nations, organisations ou personnes dont il considère qu’ils ont planifié, autorisé, commis ou aidé les attaques terroristes survenues le 11 septembre 2001, ou a donné refuge à ces organisations ou personnes, dans le but de prévenir tout futur acte de terrorisme international contre les États-Unis de la part de ces nations organisations ou personnes”. La loi, qui conférait au président républicain George W. Bush les pleins pouvoirs de guerre, avait été rédigée par le sénateur démocrate Joe Biden, président de la Commission pour les relations extérieures.(Voir le pdf en anglais)

    Le président Bush se trouvait ainsi autorisé par le Congrès, au nom de la “guerre à la terreur”, à utiliser la force militaire non seulement contre des organisations ou personnes mais des nations entières, dont la culpabilité était décrétée par le président même, qui émettait la sentence sans procès ni possibilité d’appel et en ordonnait l’immédiate exécution au moyen de la guerre. Les seuls qui depuis longtemps demandent l’effacement de cette loi sont deux sénateurs, le démocrate Kaine et le républicain Young, mais leur tentative n’a jusqu’à présent pas abouti. La loi du 18 septembre 2001, toujours en vigueur, a été utilisée, après le président républicain Bush, par le démocrate Obama, par le républicain Trump et par le démocrate Biden (ex- vice président de l’Administration Obama). On calcule qu’elle a déjà été utilisée pour “légitimer”, pendant les vingt dernières années, des opérations militaires effectuées par les forces armées étasuniennes, sur ordre présidentiel, dans 19 pays du monde, parmi lesquels Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, Yemen, Tunisie, Kenya, Mali, Nigeria, Somalie, Cameroun et Niger

    Trois semaines après l’adoption de la loi, le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Afghanistan, officiellement pour donner la chasse à Ben Laden protégé par les talibans ; trois mois après, il ordonnait l’ouverture du camp de détention de Guantanamo, où étaient secrètement déportés et torturés de présumés terroristes de différents parties du monde ; un an et demi plus tard -sollicité par une résolution bi-partisan de 77 sénateurs, menée par Joe Biden- le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Irak sous l’accusation (qui s’est ensuite révélée fausse) qu’il possédait des armes de destruction de masse. L’ordre était d’avoir un poing de fer pour écraser la résistance : confirmation en était donnée par les images des tortures dans la prison d’Abu Ghraib, mises à jour en 2004.

    Toujours sur la base de la loi de 2001 qui l’autorisait à “utiliser toute la force nécessaire et appropriée””, le président Obama, dix ans après, autorisait la CIA à mener des actions secrètes en Libye pour préparer la guerre OTAN qui allait démolir l’État libyen. Selon le même procédure “légale” -documentait le New York Times (29 mai 2012)- pendant l’Administration Obama fut instituée la “kill list”, mise à jour hebdomadairement, comprenant des personnes du monde entier condamnées secrètement à mort sous l’accusation de terrorisme, lesquelles, après l’approbation du Président, étaient éliminées généralement avec des drones-killer. La même procédure était suivie en janvier 2020 par le président Trump, qui ordonnait l’élimination du général iranien Soleimani, tué par un drone USA à l’aéroport de Baghdad. Des attaques analogues de drones USA ont été “légalement” autorisées en Afghanistan, Irak, Libye, Pakistan, Somalie, Syrie et Yemen.

    La plus récente attaque d’un drone-killer est celle qui, sur la base de l’autorisation du président Biden, a frappé le 29 août à Kaboul une voiture suspectée de transporter une bombe de l’Isis. Une enquête du New York Times (10 septembre) a pu vérifier que la voiture (suivie longtemps par le pilote du drone, à des milliers de km de distance) ne transportait pas des explosifs mais des réservoirs d’eau. Contre cette voiture, dans un quartier densément habité, a été lancé un missile “Feu de l’enfer”, qui a tué dix civils, dont sept enfants.

    Manlio Dinucci

    La loi qui donne au président USA licence de tuer Le 18 septembre 2001, une semaine après le 11 Septembre, le Congrès des États-Unis approuve avec un vote bi-partisan unanime la Loi Publique 107-40 qui stipule : “Le Président est autorisé à utiliser toute la force nécessaire et appropriée contre les nations, organisations ou personnes dont il considère qu’ils ont planifié, autorisé, commis ou aidé les attaques terroristes survenues le 11 septembre 2001, ou a donné refuge à ces organisations ou personnes, dans le but de prévenir tout futur acte de terrorisme international contre les États-Unis de la part de ces nations organisations ou personnes”. La loi, qui conférait au président républicain George W. Bush les pleins pouvoirs de guerre, avait été rédigée par le sénateur démocrate Joe Biden, président de la Commission pour les relations extérieures.(Voir le pdf en anglais) Le président Bush se trouvait ainsi autorisé par le Congrès, au nom de la “guerre à la terreur”, à utiliser la force militaire non seulement contre des organisations ou personnes mais des nations entières, dont la culpabilité était décrétée par le président même, qui émettait la sentence sans procès ni possibilité d’appel et en ordonnait l’immédiate exécution au moyen de la guerre. Les seuls qui depuis longtemps demandent l’effacement de cette loi sont deux sénateurs, le démocrate Kaine et le républicain Young, mais leur tentative n’a jusqu’à présent pas abouti. La loi du 18 septembre 2001, toujours en vigueur, a été utilisée, après le président républicain Bush, par le démocrate Obama, par le républicain Trump et par le démocrate Biden (ex- vice président de l’Administration Obama). On calcule qu’elle a déjà été utilisée pour “légitimer”, pendant les vingt dernières années, des opérations militaires effectuées par les forces armées étasuniennes, sur ordre présidentiel, dans 19 pays du monde, parmi lesquels Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, Yemen, Tunisie, Kenya, Mali, Nigeria, Somalie, Cameroun et Niger Trois semaines après l’adoption de la loi, le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Afghanistan, officiellement pour donner la chasse à Ben Laden protégé par les talibans ; trois mois après, il ordonnait l’ouverture du camp de détention de Guantanamo, où étaient secrètement déportés et torturés de présumés terroristes de différents parties du monde ; un an et demi plus tard -sollicité par une résolution bi-partisan de 77 sénateurs, menée par Joe Biden- le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Irak sous l’accusation (qui s’est ensuite révélée fausse) qu’il possédait des armes de destruction de masse. L’ordre était d’avoir un poing de fer pour écraser la résistance : confirmation en était donnée par les images des tortures dans la prison d’Abu Ghraib, mises à jour en 2004. Toujours sur la base de la loi de 2001 qui l’autorisait à “utiliser toute la force nécessaire et appropriée””, le président Obama, dix ans après, autorisait la CIA à mener des actions secrètes en Libye pour préparer la guerre OTAN qui allait démolir l’État libyen. Selon le même procédure “légale” -documentait le New York Times (29 mai 2012)- pendant l’Administration Obama fut instituée la “kill list”, mise à jour hebdomadairement, comprenant des personnes du monde entier condamnées secrètement à mort sous l’accusation de terrorisme, lesquelles, après l’approbation du Président, étaient éliminées généralement avec des drones-killer. La même procédure était suivie en janvier 2020 par le président Trump, qui ordonnait l’élimination du général iranien Soleimani, tué par un drone USA à l’aéroport de Baghdad. Des attaques analogues de drones USA ont été “légalement” autorisées en Afghanistan, Irak, Libye, Pakistan, Somalie, Syrie et Yemen. La plus récente attaque d’un drone-killer est celle qui, sur la base de l’autorisation du président Biden, a frappé le 29 août à Kaboul une voiture suspectée de transporter une bombe de l’Isis. Une enquête du New York Times (10 septembre) a pu vérifier que la voiture (suivie longtemps par le pilote du drone, à des milliers de km de distance) ne transportait pas des explosifs mais des réservoirs d’eau. Contre cette voiture, dans un quartier densément habité, a été lancé un missile “Feu de l’enfer”, qui a tué dix civils, dont sept enfants. Manlio Dinucci
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  • La tyrannie digitale et le « passeport-VaxiCode » de l’OMS Rockefeller-Gates: Vers un scénario de troisième guerre mondiale
    Cet article fait suite au webinaire du 20e anniversaire du Centre de recherche sur la mondialisation (le 9 septembre 2021), axé sur Agenda ID2020 et ses implications déployé sous nos yeux.

    Pourtant, pour la plupart des gens, les implications ne sont pas visibles.

    Pour plus de détails, voir les articles suivants de Peter Koenig :

    Le vaccin contre le coronavirus : le vrai danger est « l’Agenda ID2020 ». La vaccination en tant que plate-forme pour « l’identité numérique » (28 juin 2021)

    Voir la traduction du texte en français : La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai danger est « l’Agenda ID2020 ».

    Agenda ID2020 de « l’ordre mondial unique » : Le 101 pour comprendre ses implications (17 août 2020).

    ****

    Qu’est-ce que l’infâme Agenda ID2020 ?
    Derrière son développement se cache la Fondation Bill et Melinda Gates – avec le soutien de la Fondation Rockefeller – et d’autres membres du sinistre programme de numérisation, de dépeuplement et d’eugénisme.

    C’est une alliance de partenaires public-privé, y compris les agences des Nations Unies et la société civile.

    Il s’agit d’un programme d’identification électronique qui utilise la vaccination généralisée contre la Covid-19 comme plateforme d’identité numérique.

    Il s’agit d’une pièce d’identité entièrement électronique – reliant tout à tout ce qui concerne chaque individu (dossiers de santé, criminels, bancaires, personnels et privés, etc.), géré par un organisme d’État ou in extremis, par le secteur privé. – Imaginez – une compagnie d’assurance ou une banque traitant vos dossiers privés, convertie en pièce d’identité électronique et éventuellement « chipped » [avec une puce électronique].

    La privatisation de vos dossiers personnels peut sembler absurde, mais le gouvernement suisse a essayé de faire privatiser discrètement un Agenda ID2020 sans le consentement des citoyens. Mais le peuple l’a découvert et il a lancé un référendum contre l’Agenda ID2020. L’idée a été rejetée avec une marge de 2:1 en juillet 2021.

    Que se passera-t-il ensuite ? Le gouvernement suisse respectera-t-il le vote du peuple ou suivra-t-il le mandat de l’État profond et obscure tel que mentionné ci-dessus ?

    L’Allemagne, l’Autriche et la France – et probablement d’autres pays, ont mis en œuvre cet agenda ID2020 par le Parlement ou par décret – la plupart des gens n’en ont aucune idée.

    La mise en œuvre de l’Agenda ID2020 est liée – ou a émergé – du fameux livre « Covid-19 – The Great Reset » de Klaus Schwab (FEM) – qui, soit dit en passant, est disponible sur Amazon (ou l’était, lors de ma dernière vérification). S’il a été éventuellement enlevé et censuré par l’auteur même, ce ne serait pas étonnant.

    Scénario de la Troisième Guerre mondiale
    En attendant, nous vivons littéralement dans un scénario de Troisième Guerre mondiale, où les Constitutions des pays sont soit interdites, soit simplement dépassées par des mesures dictatoriales qui progressent si rapidement que les mouvements civils arrivent souvent trop tard pour intervenir – simplement parce que la société civile – même parmi les plus alarmistes – ne s’en est pas aperçue.

    Cela se passe en silence.

    Soit par décret, soit par des parlements cooptés et / ou convaincus. Une sorte de loi martiale sur la santé est mise en œuvre pratiquement partout dans le monde, particulièrement en Occident.

    Et la plupart du monde ignorent tout de cela.

    Le passeport vaccinal, Vaxi-Code, de l’OMS est financé par par les fondations Rockefeller et Gates
    Les fondations Gates et Rockefeller financent les lignes directrices de l’OMS pour un certificat de vaccination international numérique, également appelé « passeport vaccinal ».

    Dans le contexte de la pandémie de coronavirus (COVID-19), le concept de documentation numérique des certificats COVID-19 (DDCC) est proposé comme mécanisme par lequel les données de santé liées à la COVID-19 d’une personne peuvent être documentées numériquement via un certificat électronique.

    Un certificat de vaccination numérique qui documente l’état vaccinal actuel d’une personne pour se protéger contre la COVID-19 peut ensuite être utilisé pour la continuité des soins ou comme preuve de vaccination à des fins autres que les soins de santé. L’artefact résultant de cette approche est appelé la documentation numérique des certificats COVID-19 : statut de vaccination (DDCC:VS). (OMS, résumé, accent ajouté)

    Étonnamment ou peut-être pas si surprenant, le « certificat / passeport vaccinal » international n’estpas financé par les pays membres de l’OMS, comme on peut s’y attendre, mais par Gates et Rockefeller. C’est important de le mentionner.

    L’OMS a publié et distribué à tous les pays membres le 27 août 2021 les lignes directrices pour l’introduction d’un « certificat / passeport de vaccination » numérique international – ainsi que les lignes directrices de mise en œuvre.
    Mandat All-Vaxx de Joe Biden
    Comme conséquence manifeste, l’administration Biden a émis un mandat all-vaxx [tous vaccinés] – demandant à toutes les entreprises de 100 employés ou plus d’exiger que leurs employés soient vaccinés, ou sinon ils seront pénalisés. En cas de refus, ils sont menacés de recevoir d’énormes amendes. Il en va de même pour les plus de deux millions d’employés du gouvernement. Au total, quelque 100 millions d’Étasuniens sont touchés par ce mandat draconien. Biden suit les ordres de Rockefeller et al.

    Cette exigence s’appliquera à plus de 80 millions de travailleurs dans les entreprises du secteur privé, a déclaré la Maison Blanche. …

    Les Centers for Medicare & Medicaid Services (CMS) exigeront des vaccins COVID-19 pour les travailleurs de la plupart des établissements de santé… Cette exigence aura un impact sur plus de 17 millions de travailleurs de la santé dans les hôpitaux et autres établissements qui accueillent ces patients. …

    L’administration exigera que les enseignants et le personnel des programmes d’aide préscolaire, des écoles du ministère de la Défense et des écoles gérées par le Bureau of Indian Education soient vaccinés.

    Biden appellera également tous les États à adopter des exigences en matière de vaccins pour tous les employés de l’école.

    Le plan de Biden concerne des lieux de divertissement comme des arénas sportifs, de grandes salles de concert et d’autres espaces où de grands groupes de personnes se réunissent pour exiger que les clients soient vaccinés ou présentent un test de dépistage négatif du coronavirus afin d’y entrer. (Reuters, soulignement ajouté)

    L’Union européenne (UE) et la Suisse
    La Suisse et d’autres pays de l’UE, également en raison du certificat vaccinal / passeport délivré par l’OMS, exigent l’interdiction d’accès à la plupart des activités intérieures – y compris les restaurants, les gymnases et les cinémas – à compter du 13 septembre. Sans certificat vaccinal, les gens ne peuvent pas fréquenter ces lieux.

    Cette exigence de la vaccination obligatoire est totalement contraire au Code de Nuremberg (expérimentation animale des médicaments et des vaccins avant leur application sur l’homme) et contredit toutes les Constitutions démocratiques. Les Constitutions des pays du monde entier sont envahies et « désactivées » par une tyrannie qui fonctionne avec un pouvoir énorme – des menaces de mort et sans doute des récompenses extrêmement séduisantes et corruptrices.

    Jamais dans l’histoire de l’humanité une telle dictature mondiale n’a existé. Elle a fait son apparition en moins de 12 mois et a subjugué et dominé – je le répète – les 193 pays membres de l’ONU, y compris l’ensemble du système des Nations Unies.

    Le certificat / passeport de vaccination pourrait éventuellement être intégré par puce dans le corps des gens (Klaus Schwab, WEF, dans une interview accordée en 2016 à la télévision suisse de Genève). Voir ceci : Dr. Astrid Stuckelberger – You’re Being Chipped.

    Le passeport vaccinal Vaxi-Code peut constituer la base d’un enregistrement mondial de l’identité numérique.

    Entre parenthèses, les deux fondations de financement des certificats de vaccination de l’OMS sont dirigées par les eugénistes les plus connus du monde. Gates et Rockefeller utilisent l’OMS pour développer leur programme.

    La plupart des États membres de l’OMS ne sont pas directement impliqués.

    Il convient également de mentionner que la création de l’OMS en 1948 était l’idée de Rockefeller, avec tout l’argent qu’il avait accumulé avec son monopole standard d’hydrocarbures pétroliers (principalement l’essence et le gaz), la création et l’intégration ultérieure de l’OMS dans le système des Nations Unies étaient relativement « faciles » – avec » L’argent achète également l’ONU ».

    Avec l’OMS au sein de l’ONU, une institution officielle des Nations Unies est responsable de la santé mondiale – ou des maladies – et c’est exactement ce que veulent les eugénistes.

    La Banque mondiale est également un acteur important dans ce plan criminel colossal

    – parce qu’elle a le pouvoir sur les soi-disant « pays en développement » les plus pauvres

    – pour faire pression sur eux avec des « conditionnalités » en échange d’un soutien financier.

    Comme d’habitude. Tout comme le FMI – leurs rôles sont essentiellement les mêmes.

    Scénario de la Troisième Guerre mondiale sans bombes ni armes à feu
    En bref, nous vivons en effet dans un scénario de la Troisième Guerre mondiale – sans bombes ni fusils, dirigés contre toute l’humanité

    Un virus invisible – et qui n’a jamais été isolé – : la propagande, la campagne de peur et le « vaccin » sont leurs armes de destruction massive – les ADM.

    Ce que ces mesures font – « Certificat de vaccination / Passeport » pour les injectés : c’est séparer la société en « bons », les « vaccinés » ; et les « méchants », ceux qui ne sont pas vaccinés, et n’ont pas l’intention d’avoir l’injection mortelle et ils ne méritent donc pas le certificat vaccinal / passeport.

    Selon les gouvernements menteurs, les 193 pays membres de l’ONU dont les gouvernements ont été copétés au cours d’une longue période de préparation voudraient que vous croyiez que les non-vaccinés constituent un danger pour la société.

    C’est absurde, car selon les CDC, et répété par les mêmes pays membres de l’ONU, les personnes vaccinées transmettent également le virus. Quel virus ?

    Diviser la population est une stratégie de guerre séculaire (du moins de retour à l’Empire romain) : « Divide et Impera » – « Divide and conquer » [Diviser pour régner, Diviser pour conquérir]. On utilise cette stratégie afin que le peuple se divise et se batte entre citoyens, au lieu de combattre l’ennemi commun qui, dans ce scénario de faux cas de covid, sont nos propres gouvernements, les 193 gouvernements membres de l’ONU – le font en même temps.

    Agenda ID2020 est le principal instrument de mise en œuvre de la grande réinitialisation du FEM.

    La mise en œuvre progressent rapidement.

    Voici comment :

    Selon l’équipe de recherche espagnole de la cinquième colonne, environ 90 % ou plus du « fluide vaccinal » de la formule d’ARNm est constitué de graphène. – Le graphène est le secret de l’Agenda ID2020 – qui a été breveté par Gates avec un brevet (luciférien) no. 666.

    Triple-six, 666, est également la formule chimique du graphène lui-même – 6 molécules attachées dans un cycle, attachées à d’autres cycles de ce type. Le symbole qu’ils utilisent est 3 anneaux attachés.

    Le graphène inoculé par l’injection d’ARNm forme immédiatement un filet neuronal dans le cerveau. C’est un filet épais d’une molécule qui se développe spontanément autour du cerveau à partir du graphène contenu dans le « vaccin ».

    Les ondes électromagnétiques émanant des millions d’antennes 5G / 6G dans le monde sont censées convertir les humains en « transhumains » (terme utilisé par Klaus Schwab, dans son entrevue à la télévision franco-suisse en 2016.

    Cela peut expliquer l’énorme pression temporelle derrière le projet vaccinal ; car une fois que vous êtes injectés avec la mRNA-concoction, vous êtes affecté d’une manière ou d’une autre. Soit votre santé est en danger, soit comme l’a souligné Klaus Schwab (vidéo ci-dessous), vous pouvez devenir un « transhumain » qui peut être manipulé par des robots et / ou l’intelligence artificielle (IA).
    La tyrannie digitale et le « passeport-VaxiCode » de l’OMS Rockefeller-Gates: Vers un scénario de troisième guerre mondiale Cet article fait suite au webinaire du 20e anniversaire du Centre de recherche sur la mondialisation (le 9 septembre 2021), axé sur Agenda ID2020 et ses implications déployé sous nos yeux. Pourtant, pour la plupart des gens, les implications ne sont pas visibles. Pour plus de détails, voir les articles suivants de Peter Koenig : Le vaccin contre le coronavirus : le vrai danger est « l’Agenda ID2020 ». La vaccination en tant que plate-forme pour « l’identité numérique » (28 juin 2021) Voir la traduction du texte en français : La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai danger est « l’Agenda ID2020 ». Agenda ID2020 de « l’ordre mondial unique » : Le 101 pour comprendre ses implications (17 août 2020). **** Qu’est-ce que l’infâme Agenda ID2020 ? Derrière son développement se cache la Fondation Bill et Melinda Gates – avec le soutien de la Fondation Rockefeller – et d’autres membres du sinistre programme de numérisation, de dépeuplement et d’eugénisme. C’est une alliance de partenaires public-privé, y compris les agences des Nations Unies et la société civile. Il s’agit d’un programme d’identification électronique qui utilise la vaccination généralisée contre la Covid-19 comme plateforme d’identité numérique. Il s’agit d’une pièce d’identité entièrement électronique – reliant tout à tout ce qui concerne chaque individu (dossiers de santé, criminels, bancaires, personnels et privés, etc.), géré par un organisme d’État ou in extremis, par le secteur privé. – Imaginez – une compagnie d’assurance ou une banque traitant vos dossiers privés, convertie en pièce d’identité électronique et éventuellement « chipped » [avec une puce électronique]. La privatisation de vos dossiers personnels peut sembler absurde, mais le gouvernement suisse a essayé de faire privatiser discrètement un Agenda ID2020 sans le consentement des citoyens. Mais le peuple l’a découvert et il a lancé un référendum contre l’Agenda ID2020. L’idée a été rejetée avec une marge de 2:1 en juillet 2021. Que se passera-t-il ensuite ? Le gouvernement suisse respectera-t-il le vote du peuple ou suivra-t-il le mandat de l’État profond et obscure tel que mentionné ci-dessus ? L’Allemagne, l’Autriche et la France – et probablement d’autres pays, ont mis en œuvre cet agenda ID2020 par le Parlement ou par décret – la plupart des gens n’en ont aucune idée. La mise en œuvre de l’Agenda ID2020 est liée – ou a émergé – du fameux livre « Covid-19 – The Great Reset » de Klaus Schwab (FEM) – qui, soit dit en passant, est disponible sur Amazon (ou l’était, lors de ma dernière vérification). S’il a été éventuellement enlevé et censuré par l’auteur même, ce ne serait pas étonnant. Scénario de la Troisième Guerre mondiale En attendant, nous vivons littéralement dans un scénario de Troisième Guerre mondiale, où les Constitutions des pays sont soit interdites, soit simplement dépassées par des mesures dictatoriales qui progressent si rapidement que les mouvements civils arrivent souvent trop tard pour intervenir – simplement parce que la société civile – même parmi les plus alarmistes – ne s’en est pas aperçue. Cela se passe en silence. Soit par décret, soit par des parlements cooptés et / ou convaincus. Une sorte de loi martiale sur la santé est mise en œuvre pratiquement partout dans le monde, particulièrement en Occident. Et la plupart du monde ignorent tout de cela. Le passeport vaccinal, Vaxi-Code, de l’OMS est financé par par les fondations Rockefeller et Gates Les fondations Gates et Rockefeller financent les lignes directrices de l’OMS pour un certificat de vaccination international numérique, également appelé « passeport vaccinal ». Dans le contexte de la pandémie de coronavirus (COVID-19), le concept de documentation numérique des certificats COVID-19 (DDCC) est proposé comme mécanisme par lequel les données de santé liées à la COVID-19 d’une personne peuvent être documentées numériquement via un certificat électronique. Un certificat de vaccination numérique qui documente l’état vaccinal actuel d’une personne pour se protéger contre la COVID-19 peut ensuite être utilisé pour la continuité des soins ou comme preuve de vaccination à des fins autres que les soins de santé. L’artefact résultant de cette approche est appelé la documentation numérique des certificats COVID-19 : statut de vaccination (DDCC:VS). (OMS, résumé, accent ajouté) Étonnamment ou peut-être pas si surprenant, le « certificat / passeport vaccinal » international n’estpas financé par les pays membres de l’OMS, comme on peut s’y attendre, mais par Gates et Rockefeller. C’est important de le mentionner. L’OMS a publié et distribué à tous les pays membres le 27 août 2021 les lignes directrices pour l’introduction d’un « certificat / passeport de vaccination » numérique international – ainsi que les lignes directrices de mise en œuvre. Mandat All-Vaxx de Joe Biden Comme conséquence manifeste, l’administration Biden a émis un mandat all-vaxx [tous vaccinés] – demandant à toutes les entreprises de 100 employés ou plus d’exiger que leurs employés soient vaccinés, ou sinon ils seront pénalisés. En cas de refus, ils sont menacés de recevoir d’énormes amendes. Il en va de même pour les plus de deux millions d’employés du gouvernement. Au total, quelque 100 millions d’Étasuniens sont touchés par ce mandat draconien. Biden suit les ordres de Rockefeller et al. Cette exigence s’appliquera à plus de 80 millions de travailleurs dans les entreprises du secteur privé, a déclaré la Maison Blanche. … Les Centers for Medicare & Medicaid Services (CMS) exigeront des vaccins COVID-19 pour les travailleurs de la plupart des établissements de santé… Cette exigence aura un impact sur plus de 17 millions de travailleurs de la santé dans les hôpitaux et autres établissements qui accueillent ces patients. … L’administration exigera que les enseignants et le personnel des programmes d’aide préscolaire, des écoles du ministère de la Défense et des écoles gérées par le Bureau of Indian Education soient vaccinés. Biden appellera également tous les États à adopter des exigences en matière de vaccins pour tous les employés de l’école. Le plan de Biden concerne des lieux de divertissement comme des arénas sportifs, de grandes salles de concert et d’autres espaces où de grands groupes de personnes se réunissent pour exiger que les clients soient vaccinés ou présentent un test de dépistage négatif du coronavirus afin d’y entrer. (Reuters, soulignement ajouté) L’Union européenne (UE) et la Suisse La Suisse et d’autres pays de l’UE, également en raison du certificat vaccinal / passeport délivré par l’OMS, exigent l’interdiction d’accès à la plupart des activités intérieures – y compris les restaurants, les gymnases et les cinémas – à compter du 13 septembre. Sans certificat vaccinal, les gens ne peuvent pas fréquenter ces lieux. Cette exigence de la vaccination obligatoire est totalement contraire au Code de Nuremberg (expérimentation animale des médicaments et des vaccins avant leur application sur l’homme) et contredit toutes les Constitutions démocratiques. Les Constitutions des pays du monde entier sont envahies et « désactivées » par une tyrannie qui fonctionne avec un pouvoir énorme – des menaces de mort et sans doute des récompenses extrêmement séduisantes et corruptrices. Jamais dans l’histoire de l’humanité une telle dictature mondiale n’a existé. Elle a fait son apparition en moins de 12 mois et a subjugué et dominé – je le répète – les 193 pays membres de l’ONU, y compris l’ensemble du système des Nations Unies. Le certificat / passeport de vaccination pourrait éventuellement être intégré par puce dans le corps des gens (Klaus Schwab, WEF, dans une interview accordée en 2016 à la télévision suisse de Genève). Voir ceci : Dr. Astrid Stuckelberger – You’re Being Chipped. Le passeport vaccinal Vaxi-Code peut constituer la base d’un enregistrement mondial de l’identité numérique. Entre parenthèses, les deux fondations de financement des certificats de vaccination de l’OMS sont dirigées par les eugénistes les plus connus du monde. Gates et Rockefeller utilisent l’OMS pour développer leur programme. La plupart des États membres de l’OMS ne sont pas directement impliqués. Il convient également de mentionner que la création de l’OMS en 1948 était l’idée de Rockefeller, avec tout l’argent qu’il avait accumulé avec son monopole standard d’hydrocarbures pétroliers (principalement l’essence et le gaz), la création et l’intégration ultérieure de l’OMS dans le système des Nations Unies étaient relativement « faciles » – avec » L’argent achète également l’ONU ». Avec l’OMS au sein de l’ONU, une institution officielle des Nations Unies est responsable de la santé mondiale – ou des maladies – et c’est exactement ce que veulent les eugénistes. La Banque mondiale est également un acteur important dans ce plan criminel colossal – parce qu’elle a le pouvoir sur les soi-disant « pays en développement » les plus pauvres – pour faire pression sur eux avec des « conditionnalités » en échange d’un soutien financier. Comme d’habitude. Tout comme le FMI – leurs rôles sont essentiellement les mêmes. Scénario de la Troisième Guerre mondiale sans bombes ni armes à feu En bref, nous vivons en effet dans un scénario de la Troisième Guerre mondiale – sans bombes ni fusils, dirigés contre toute l’humanité Un virus invisible – et qui n’a jamais été isolé – : la propagande, la campagne de peur et le « vaccin » sont leurs armes de destruction massive – les ADM. Ce que ces mesures font – « Certificat de vaccination / Passeport » pour les injectés : c’est séparer la société en « bons », les « vaccinés » ; et les « méchants », ceux qui ne sont pas vaccinés, et n’ont pas l’intention d’avoir l’injection mortelle et ils ne méritent donc pas le certificat vaccinal / passeport. Selon les gouvernements menteurs, les 193 pays membres de l’ONU dont les gouvernements ont été copétés au cours d’une longue période de préparation voudraient que vous croyiez que les non-vaccinés constituent un danger pour la société. C’est absurde, car selon les CDC, et répété par les mêmes pays membres de l’ONU, les personnes vaccinées transmettent également le virus. Quel virus ? Diviser la population est une stratégie de guerre séculaire (du moins de retour à l’Empire romain) : « Divide et Impera » – « Divide and conquer » [Diviser pour régner, Diviser pour conquérir]. On utilise cette stratégie afin que le peuple se divise et se batte entre citoyens, au lieu de combattre l’ennemi commun qui, dans ce scénario de faux cas de covid, sont nos propres gouvernements, les 193 gouvernements membres de l’ONU – le font en même temps. Agenda ID2020 est le principal instrument de mise en œuvre de la grande réinitialisation du FEM. La mise en œuvre progressent rapidement. Voici comment : Selon l’équipe de recherche espagnole de la cinquième colonne, environ 90 % ou plus du « fluide vaccinal » de la formule d’ARNm est constitué de graphène. – Le graphène est le secret de l’Agenda ID2020 – qui a été breveté par Gates avec un brevet (luciférien) no. 666. Triple-six, 666, est également la formule chimique du graphène lui-même – 6 molécules attachées dans un cycle, attachées à d’autres cycles de ce type. Le symbole qu’ils utilisent est 3 anneaux attachés. Le graphène inoculé par l’injection d’ARNm forme immédiatement un filet neuronal dans le cerveau. C’est un filet épais d’une molécule qui se développe spontanément autour du cerveau à partir du graphène contenu dans le « vaccin ». Les ondes électromagnétiques émanant des millions d’antennes 5G / 6G dans le monde sont censées convertir les humains en « transhumains » (terme utilisé par Klaus Schwab, dans son entrevue à la télévision franco-suisse en 2016. Cela peut expliquer l’énorme pression temporelle derrière le projet vaccinal ; car une fois que vous êtes injectés avec la mRNA-concoction, vous êtes affecté d’une manière ou d’une autre. Soit votre santé est en danger, soit comme l’a souligné Klaus Schwab (vidéo ci-dessous), vous pouvez devenir un « transhumain » qui peut être manipulé par des robots et / ou l’intelligence artificielle (IA).
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  • Coup de tonnerre : Poutine lève les restrictions Covid !

    Allant à contre-courant de la paranoia des gouvernements occidentaux, Vladimir Poutine a annoncé ce jour le retour à la normale en Russie:

    « En Russie, la situation avec le coronavirus se stabilise ; les restrictions imposées en lien avec la pandémie peuvent être progressivement levées. En général, la situation épidémiologique dans le pays se stabilise progressivement. Ce matin, j’ai écouté les rapports : nous avons déjà le nombre de guéris supérieur au nombre de malades. Le nombre de personnes infectées diminue, il est à moins de 20 pour mille. Cela permet de supprimer soigneusement les restrictions imposées. »

    Actuellement dans la plupart des régions de la Fédération de Russie il y a déjà très peu de restrictions depuis l’été dernier, comparativement aux pays occidentaux: Tous les services et commerces fonctionnent (bars et restaurants doivent dans plusieurs régions fermer à 23 heures… en théorie. En pratique, beaucoup ne ferment qu’à l’aube…). Les seules limitations sont l’obligation (ici aussi très théorique) du masque dans les transports et magasins, et la limitation à 50% du taux d’occupation des cinémas, musées etc. Par ailleurs la population en grande partie ne suit que très peu les consignes stupides: Le masque est peu porté, ou alors sous le menton. Quand aux « distances sociales »… Voici une photo prise il y a quelques jours dans le métro de Moscou..

    La portée de la déclaration de Vladimir Poutine est en fait très politique : Elle montre au clan des globalistes en Russie, mené par le maire de Moscou qui désire renforcer les mesures pour s’aligner sur les pays occidentaux, que son petit jeu est terminé. En août, c’est déjà Vladimir Poutine qui avait ordonné au maire de Moscou de lever la quarantaine (Le maire avait reçu un coup de téléphone en pleine réunion pour préparer l’annonce de la poursuite de la quarantaine et avait déjà commencé à faire envoyer des SMS pour en informer la population. Selon un témoin, le maire n’a rien dit durant 2 à 3 minutes, et à la fin de la communication a déclaré que la quarantaine était levée.). La semaine dernière c’est encore le président qui a ordonné au maire de Moscou de cesser l’enseignement « à distance » que celui-ci avait mis en place en octobre pour une grande partie des élèves. Aujourd’hui, le président Poutine déclare donc, au plan national, que les choses ont assez duré.

    S’il y a assurément une justification électorale à cette décision, par la chute de popularité du maire de Moscou à 80% de mécontents qui se traduit par la chute de popularité de Poutine avec un énorme 40% de mécontents, ), il semble clair, alors que les pays occidentaux rivalisent de paranoïa pour savoir qui enfermera le plus durement et longuement sa population, que Vladimir Poutine met la Russie en-dehors du plan globaliste. On rappellera par ailleurs les mesures nouvelles que la Russie a inscrites dans sa Constitution (par exemple le mariage = Homme plus Femme exclusivement, la réaffirmation de la foi en Dieu, la prédominance des lois Russes sur les lois internationales, etc) qui montrent clairement le chemin choisi, aux antipodes du projet de société mondialiste.

    Le hold-up électoral réalisé par Biden et ses complices aux Etats-Unis va rapidement entraîner l’Europe de l’ouest dans une globalisation à marche forcée. Macron a d’ailleurs fait allégeance à Biden lors de leur premier entretien téléphonique hier. La Russie s’affirmera alors comme un oasis souverain dans un monde fou. C’est d’ailleurs pour éviter cela que les globalistes font le forcing avec les tentatives de soulèvement fomentées par la « 5ème colonne » menée par Navalny et quelques oligarques.

    Mais, comme le disait ici-même Konstantin Sergueïevitch : « la Russie a les moyens humains, financiers et militaires, de tracer sa voie quelles que soient les réactions des globalistes. » Dans ce même article, Konstantin Sergueïevitch écrit : « Faute de réaction rapide, demain ou après-demain, le pire est déjà programmé ». La déclaration de Vladimir Poutine ce jour sur la fin de la folie autour du covid montre qu’il y a une réaction, qui devrait être suivie d’autres dans les semaines à venir.

    Boris Guenadevitch Karpov
    https://boriskarpov.tvs24.ru
    Coup de tonnerre : Poutine lève les restrictions Covid ! Allant à contre-courant de la paranoia des gouvernements occidentaux, Vladimir Poutine a annoncé ce jour le retour à la normale en Russie: « En Russie, la situation avec le coronavirus se stabilise ; les restrictions imposées en lien avec la pandémie peuvent être progressivement levées. En général, la situation épidémiologique dans le pays se stabilise progressivement. Ce matin, j’ai écouté les rapports : nous avons déjà le nombre de guéris supérieur au nombre de malades. Le nombre de personnes infectées diminue, il est à moins de 20 pour mille. Cela permet de supprimer soigneusement les restrictions imposées. » Actuellement dans la plupart des régions de la Fédération de Russie il y a déjà très peu de restrictions depuis l’été dernier, comparativement aux pays occidentaux: Tous les services et commerces fonctionnent (bars et restaurants doivent dans plusieurs régions fermer à 23 heures… en théorie. En pratique, beaucoup ne ferment qu’à l’aube…). Les seules limitations sont l’obligation (ici aussi très théorique) du masque dans les transports et magasins, et la limitation à 50% du taux d’occupation des cinémas, musées etc. Par ailleurs la population en grande partie ne suit que très peu les consignes stupides: Le masque est peu porté, ou alors sous le menton. Quand aux « distances sociales »… Voici une photo prise il y a quelques jours dans le métro de Moscou.. La portée de la déclaration de Vladimir Poutine est en fait très politique : Elle montre au clan des globalistes en Russie, mené par le maire de Moscou qui désire renforcer les mesures pour s’aligner sur les pays occidentaux, que son petit jeu est terminé. En août, c’est déjà Vladimir Poutine qui avait ordonné au maire de Moscou de lever la quarantaine (Le maire avait reçu un coup de téléphone en pleine réunion pour préparer l’annonce de la poursuite de la quarantaine et avait déjà commencé à faire envoyer des SMS pour en informer la population. Selon un témoin, le maire n’a rien dit durant 2 à 3 minutes, et à la fin de la communication a déclaré que la quarantaine était levée.). La semaine dernière c’est encore le président qui a ordonné au maire de Moscou de cesser l’enseignement « à distance » que celui-ci avait mis en place en octobre pour une grande partie des élèves. Aujourd’hui, le président Poutine déclare donc, au plan national, que les choses ont assez duré. S’il y a assurément une justification électorale à cette décision, par la chute de popularité du maire de Moscou à 80% de mécontents qui se traduit par la chute de popularité de Poutine avec un énorme 40% de mécontents, ), il semble clair, alors que les pays occidentaux rivalisent de paranoïa pour savoir qui enfermera le plus durement et longuement sa population, que Vladimir Poutine met la Russie en-dehors du plan globaliste. On rappellera par ailleurs les mesures nouvelles que la Russie a inscrites dans sa Constitution (par exemple le mariage = Homme plus Femme exclusivement, la réaffirmation de la foi en Dieu, la prédominance des lois Russes sur les lois internationales, etc) qui montrent clairement le chemin choisi, aux antipodes du projet de société mondialiste. Le hold-up électoral réalisé par Biden et ses complices aux Etats-Unis va rapidement entraîner l’Europe de l’ouest dans une globalisation à marche forcée. Macron a d’ailleurs fait allégeance à Biden lors de leur premier entretien téléphonique hier. La Russie s’affirmera alors comme un oasis souverain dans un monde fou. C’est d’ailleurs pour éviter cela que les globalistes font le forcing avec les tentatives de soulèvement fomentées par la « 5ème colonne » menée par Navalny et quelques oligarques. Mais, comme le disait ici-même Konstantin Sergueïevitch : « la Russie a les moyens humains, financiers et militaires, de tracer sa voie quelles que soient les réactions des globalistes. » Dans ce même article, Konstantin Sergueïevitch écrit : « Faute de réaction rapide, demain ou après-demain, le pire est déjà programmé ». La déclaration de Vladimir Poutine ce jour sur la fin de la folie autour du covid montre qu’il y a une réaction, qui devrait être suivie d’autres dans les semaines à venir. Boris Guenadevitch Karpov https://boriskarpov.tvs24.ru
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  • Manifestation en France - Altercation avec la police.
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  • TRÉS IMPORTANT ! VOTRE VIE ET CELUI DE VOS ENFANTS EN DÉPENDENT. TOUT LE MONDE DOIT ENTENDRE CE QUE CET HOMME NOUS DONNE COMME INFORMATION.
    Cet homme est un directeur des pompes funèbres et il raconte la réalité sur la soit-disant pandémie et une campagne de vaccination inédite... Voici le lien de la vidéo complète de 40 minutes. VOIR LA VIDÉO INTÉGRALE ICI ! A VOIR ABSOLUMENT !
    Wouah
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